Quantcast
Channel: Nanami.fr - flux général
Viewing all 14946 articles
Browse latest View live

Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - Mes chroniques 7BD de février 2014

$
0
0
Salut les amis,

Les chroniques des 7 BD de mars débuteront demain. Après une intro de notre amie Soakette qui vous révélera le sujet que nous allons traiter, j'aurai l'honneur de donner le coup d'envoi avec une première chronique.

Le mois dernier, sur 7BD, nous fêtions l'amour et la romance. C'était dur de passer à côté de ce thèmes à quelques jours de la saint Valentin.
Voici donc les 2 mangas que j'ai choisi pour illustrer ce sujet.

Coeurs à Coeurs tome 1:


Coeurs à Coeurs tome 1 chez Doki-Doki
Ce manga édité par Doki-Doki se situe entre le josei et le seinen. Il pourra plaire aux garçons comme aux filles.

Comme son titre l'indique il parle des histoires de coeurs et des romances qui s'installent entre lycéens.
Dans ce premier tome, 4 histoires nous sont racontées. Nous commençons par Hiro, élève de seconde qui est follement amoureux de Himari une fille de terminale.
Chaque chapitre est indépendant, ce qui permet une lecture en plusieurs temps. Toutefois, dans chaque histoire, l'élève qui sera le personnage principal de l'histoire suivante est introduit de façon à créer un lien entre chacune d'elle.

La série Coeurs à Coeurs sera composée de 8 tomes et pour en savoir plus je vous propose de découvrir un peu mieux le 1er tome de Coeurs à Coeurs sur 7BD.

Lire un extrait du tome 1 de Coeurs à Coeurs:

Doki doki propose un extrait gratuit sur son site: extrait de Coeurs à Coeurs.

Bande annonce de Coeurs à Coeurs:


Ah les histoires d'amours des lycéens! Des fois ça marche bien et des fois, ça ne colle pas et les histoires d'amours ne se finissent pas toujours bien, si tant-est qu'elles commencent un jour.

Ce qui nous amène au manga suivant....

Heartbroken Chocolatier tome 1:

Heartbroken Chocolatier tome 1 chez Kazé
Heartbroken Chocolatier est un josei édité par Kazé. Ce manga s'adresse aux filles.

L'auteure, Setona Mizushiro, nous raconte l'histoire d'amour déçu de Sohta, amoureux de la belle Saeko depuis le lycée. Lui qui aide son père dans une pâtisserie, rêve de devenir chocolatier pour combler l'amour de Saeko pour le chocolat.
Sohta va donc aller apprendre le métier de chocolatier à Paris et revenir des années plus tard. Son but est d'ouvrir une chocolaterie et de reprendre le cœur de Saeko de qui il est toujours amoureux.
Parviendra t-il à ses fins?
Saeko tombera t-elle enfin amoureuse de lui après tous ses efforts?

Heartbroken Chocolatier est un manga qui plaira assurément aux lectrices et qui leur donnera très certainement envie de manger du chocolat. Si vous voulez en savoir plus sur ce manga et sur la romance entre Sohta et Saeko, rendez-vous sur ma chronique du mois de février.

Lire un extrait du tome 1 de Heartbroken Chocolatier:

Kazé propose un extrait gratuit sur son site: extrait gratuit de Heartbroken Chocolatier

Dès demain découvrez le sujet de mars. Vous pourrez lire, demain (lundi) et vendredi prochain mes 2 chroniques, avec un comics et un manga ;)

Pisse-Froid - Banished

$
0
0

Je ne vais pas y aller par quatre chemins ! Voilà un titre qu'il faut avoir! Comme déjà évoqué, j’ai testé de très bons jeux, de bonnes grosses merdes, mais là, je dois avouer que je n’ai pas été autant enthousiasmé sur un titre depuis... depuis... Ouh là... depuis... Crusader Kings 2! Ca remonte! Je vous en reparlerai d'ailleurs très bientôt... 

Cela ne signifie pas que les bons titres que j'ai aimés et conseillés sur ce blog ne sont pas géniaux, mais j’accolerai bien volontiers un macaron « Choix de la rédaction » sur celui-ci.

Ce jeu est un jeu de gestion dans lequel vous allez aider des villageois à survivre, suite à leur reconduite à la frontière. Le terme correct de cette époque est bannissement (d’où Banished, bien joué Sherlock). Et il va falloir survivre. Non pas en faisant la manche, en jouant de l’accordéon ou alors en se promenant avec un bébé, mais en recréant un village de toute pièce. Un vrai village, avec des maisons et des gens qui travaillent, sans allocation, sécu et tout. Ces bannis veulent juste survivre le plus longtemps possible au fil des saisons, à la sueur de leur front.

Hiver BanishedÇa ressemble beaucoup à Settlers et Anno dans le principe. Pour pouvoir construire des maisons, il faut du bois. Il faut donc couper des arbres, mais aussi en replanter pour l’avenir. Il est nécessaire également d'en couper du plus fin pour faire du bois de chauffage. Mais pour couper, il faut des outils, que l’on obtient en collectant du fer, et en le transformant, etc. Pour les pierres, il faut les ramasser. Vous comprenez le principe ?

Vie de merde

Ça, c’est pour les ressources de construction. Vos ouailles auront aussi des besoins en nourriture. Et s’ils ne mangent pas, ils meurent. Votre tâche sera donc de faire de l’agriculture, de la chasse, ou de la « collecte » pour pouvoir nourrir tout le monde. Bien sûr, vous n’êtes pas sûr du résultat de vos récoltes, car celles-ci dépendent des intempéries et des saisons. Certaines années, vous aurez beaucoup de stock et d’autres années, ça sera la dèche…

Vos administrés n’auront pas besoin QUE de nourriture. (Les relous...) S’ils ont froid, ils peuvent aussi en mourir. Surtout si vous n’avez pas assez de bois de chauffage à l’approche de l’hiver. Mais pas que, car s’il fait -10°C dehors, pas question de se faire arrêter par son médecin et c'est la sécu qui paye… Il faut aller bosser! Et on n'y va pas en slip. Les peaux des bêtes tuées à la chasse donneront des manteaux. Combinées à la laine des moutons vous en ferez des plus chauds, mais cela nécessite d’élever des moutons… etc.

Nous avons ces bonnes vieilles catastrophes!

Nous avons ces bonnes vieilles catastrophes!

Enfin, la dernière partie très importante est la joie de vivre. Imaginez : vous venez d’être banni de chez vous, on vous envoie dans un endroit plutôt hostile : une forêt où il n'y a rien. Vous vous cassez le cul à bosser par tous les temps, juste pour bouffer et pour vous chauffer. Pas de retraite, vous bossez jusqu'à la mort ! C’est pas la vie dont vous auriez rêvé enfant. Il faut donc que vos bannis soient un minimum heureux pour se reproduire… La variété de nourriture, une taverne, des vêtements chauds, une église, etc. tout ça leur fera oublier leur vie de merde et leur donneront envie de baiser. On doutera du réalisme du jeu, car vu le peu de famille au début du jeu, les risques d'épuiser le patrimoine génétique de vos citoyens est considérable. Pourtant, pas de débile à déplorer dans mon beau village de Berck sur mer.

Travailleurs, Travailleuses,

Comme ça, vous me direz, il n’y a pas beaucoup de différence avec Anno. C'est là que d'autres mécanismes interviennent. Votre population est divisée en 3 catégories : Les travailleurs, les étudiants et les enfants.

Votre rôle sera d’attribuer du boulot à ces travailleurs. Par exemple, couper du bois de chauffe nécessite une personne, gérer un champ de haricots demande 2 péquenauds, une carrière de pierre peut nécessiter jusqu’à 15 personnes, etc. Si vous manquez de bouffe à l’arrivée de l’hiver, il sera peut être judicieux de ramasser moins de pierres, et de détacher quelques personnes pour ramasser des baies, pêcher ou chasser. Vous passerez donc énormément de temps à gérer vos travailleurs à partir du tableau de répartition des tâches. Et cette gestion des RH est super prenante, car avez toujours besoin de monde quelque part. 

Evidemment, votre population vieillit, et pas mal d’administrés mourront, il faudra donc les remplacer par de nouveaux. Et ces nouveaux seront les enfants nés de vos couples. Ils vont grandir, éventuellement être éduqués dans une école (pour être plus performants) et se transformeront par la suite en travailleurs que vous pourrez attribuer à de nouvelles tâches ! Et ainsi de suite !

1200 habitantsVotre population augmentera, tout comme votre besoin en nourriture, votre consommation de bois, de pierre, la création de nouvelles maisons, etc. Et c’est génial ! Vous entrez dans un espace-temps ou 2 heures de jeu vous paraissent des minutes. Je n’ai pas décroché du week-end. Impossible de quitter. J'ai réchauffé une dizaine de fois mon plat Picard, à force de l'oublier, tellement pris par ma grande famine de l'année 68. « Allez, encore un hiver » ou « J’attends que mon herboriste se termine » et vous voilà à 2h du mat’ toujours en caleçon depuis 8h30, à bouffer votre plat devenu dégueu, devant votre beau village.

♪ C'est la famine au village ! ♪

C'est tout un équilibre qu'il faudra gérer au mieux en fonction des saisons. Le moindre faux pas, une mauvaise gestion de la nourriture ou du bois de chauffe, et vous pourrez construire de nombreux cimetières! Et du coup recommencer une partie. Personnellement, je ne me suis pas mal débrouillé, et même si mon village est resté bloqué à 30 habitants pendant 20 ans, celui-ci a bien prospéré, et s'est finalement éteint après avoir donné du bonheur à 300 habitants.

En terme d'interface, je ne trouve pas ça catastrophique comme j'ai pu lire. Je suis sûr qu'on pourrait grandement améliorer son ergonomie car on se plante souvent dans ces menus, mais il n'y a pas faute grave. Certaines fenêtres pourraient juste être réduites au lieu d'être fermées ou ouvertes. Mais c'est pour pinailler.

RIP

RIP

Ce qui revient également dans les critiques que j'ai lues, c'est le manque d'objectifs, de campagne. Effectivement, il n'y en a pas, mais finalement, est-ce que c'est un problème? Je ne trouve pas... Je ne suis pas un grand fan de campagne pour ce type de jeu, d'autant plus qu'ici, il n'y aucune gestion d'armée. J'en ai marre de ces jeux où à chaque mission, on débloque un bâtiment qui va être décisif pour la mission courante, et ainsi de suite, pour enfin jouer avec tous à la dernière. C'est sûr que Kevin2000 va être un peu perdu au début, mais je ne suis pas sûr qu'il soit le cœur de cible de ce titre.

Enfin, en terme de rejouabilité, j'ai ressenti une petite période réfractaire après avoir perdu ma ville, puis, je l'ai naturellement relancé 15 jours plus tard. C'est dur de repartir de zéro, surtout que les mécaniques ne changent pas. Mais, je pense que c'est la même chose pour d'autres city builders. De nouvelles mises à jour seront bientôt faites, nous a promis le développeur. Car oui, Banished a été développé par un type tout seul, pendant 3 ans. Une raison supplémentaire de se l'acheter et de respecter ce titre. 

Verdict : Un titre devant faire parti de toutes vos bibliothèques Steam pour quelqu'un qui aime les city builders. Au prix de 18€, c'est un jeu à ne pas rater.

likeLes plus :flikeLes moins du Pisse-Froid :
- Exigeant- En anglais
- La gestion RH- Une interface à améliorer
- Rafraichissant

Si vous voulez débuter à ce jeu, et même à pleins d'autres, voici un joli site fait par l'équipe de Canard PC : http://www.biendebuter.net/banished/1/. C'est top!

Ik` Ilote 4 - Bilan : Noragami ; Witch Craft Works ; Imocho

$
0
0

Pour moi, s'il y avait bien une série à voir cette saison c'est ノラガミ (Noragami). Un bon shōnen avec un trio qui fonctionne super bien. On y retrouve une histoire puise une partie de ses codes dans le shintoïsme, avec un des personnages centraux qui se trouve être un kami, Yato, qui ne donne vraiment pas l'impression de l'être (toujours en survêtement), et avec lui une collégienne, Hiyori, qui s'est malencontreusement, suite à un accident, retrouvée avec la possibilité détacher son corps astral de corps physiques. J'aurais du mal à dire qui est le personnage principal de ces deux, même si Hiyori donne l'impression d'être la plus au centre de l'histoire, le fil conducteur est lui plus centré sur Yato. Le troisième membre, Yukine, est le Shinki (神器 / objet sacré) de Yato, dont la transformation fait un peu penser aux armes de Soul Eater. Il y joue un rôle important dans la progression et la relation entre Yato et Hityori [...].

ウィッチクラフトワークス (Witch Craft Works) est un peu gros le délire de la saison avec un monde où tout part en vrille, des personnes tous plus absurdes les uns que les autres et des sorcières plutôt classes dans leurs transformations ultimes. C'est dans l'ensemble assez drôle, même très drôle[...].

最近、妹のようすがちょっとおかしいんだが。 (Saikin, Imōto no Yōsu ga Chotto Okashi ndaga.) est une comédie romantique pure fan service qui se termine, comme prévu, par une fin qui n'en est pas une. L'histoire n'a rien de transcendant, [...].

Kanpai - Japon sakura 2014 en direct #02 : Tokyo !

$
0
0
image
Note : les articles de liveblog vous permettent de me suivre en direct pendant mon voyage au Japon (plus d’infos ici). Cette page se met à jour toute seule avec mes impressions et photos au fur et à mesure de la journée.
Lire la suite sur Kanpai.fr

Chris†Diary - Star Driver: Kagayaki no Takuto

$
0
0

Le film de Star Driver sortant, j’en ai profité pour regarder la série avant de m’y prendre. La film étant comme souvent un récapitulatif, il possédait néanmoins une part originale incitant à le regarder lui aussi, il avait valeur à être vu.

Tout du moins c’est ce que tu penses. La partie en plus étant une grosse connerie avec combat de mecha en pleine ville de 2 minutes + destruction des bâtiments. Rien d’autre n’est ajouté, t’as juste envie de mentionner la facture et l’intérêt du truc. Bon, je vais pas non plus faire l’hypocrite, c’était supposé montrer que la fille miko finissait en happy end elle aussi.

Mais j’ai bien réussi à regarder cette merde jusqu’au bout.

Elle brillait un peu quand elle voulait cette marque

Takuto dérive sur une île où il est supposé devenir étudiant. Il s’est tapé le trajet à la nage et a fini attrapé par l’épuisement lorsqu’il est sauvé par l’héroïne et l’autre gars de la série.

Tandis qu’il prétend être venu pour vivre sa jeunesse, il se révèle rapidement en montrant qu’il recherche quelque chose sur cette île sous la direction de son grand-père. Il commence alors à se battre contre une organisation faisant rage sur les lieux pour briser les 4 sceaux et libérer des mecha sur le monde contrairement à la situation actuelle où ils ne peuvent fonctionner que sur l’île.

Takuto se présente en tant que le Ginga Bishounen et sort son propre mecha pour les écraser un à un.

En prenant des poses super classes

Tu sens rapidement la connerie avec son arrivé par l’eau et le coup de Ginga Bishounen. Le gars s’auto-proclamant Bishounen avec Ginga (galaxie) pour faire grand. Du comique penserais-tu.

Qu’est-ce que ça aurait été préférable que ça le soit. Il faut dire que mis à part quelques brefs moments, Star Driver n’use pas de comédie. Ou plutôt il en use dans ses développements sérieux avec l’exemple ultime de l’identité des méchants que tout le monde comprend tout en ayant personne ne le sachant dans l’anime lui-même. Tandis qu’à côté t’as lunettes comprenant qui ils sont petit à petit et parlant comme si OH MON DIEU ELLE A FAIT UN TRUC DE FOU tandis que c’est plutôt le fait que personne le comprenait qui est un shock.

Plein de merdes impossible se produisent aussi de façon plus que normale dedans mais c’est clair qu’après le coup de leur masque de la mort arrivant à les cacher de tous, tu peux plus trop t’en plaindre. La fille qui arrive à se retrouver en haut du bâtiment tu sais pas comment ou la caméra caché en plein devant les personnages alors que tu voyais rien et qu’elle a aucune raison d’être là cette cam, ça devient normal hein.

No Problem.

Le sourire diabolique pour que tu comprennes qu'elle est méchante et calculatrice

Star Driver était aussi ton fameux coup de la série à 2x épisodes qui pouvait finir en 6.

Chaque épisode, t’as ton bad guy super classe qui se pointe. Il est un peu introduit histoire de dire que c’est quelqu’un. S’ensuit alors quelques mouvements chez lunettes ou des scènes chez le véritable méchant voir le héros/l’héroïne/le deuxième gars pour faire un peu développement général et puis mecha -> Takuto l’éclate -> passage à un nouveau méchant. Pas de pinch, pas d’emmerdes, juste du slice of life finissant par ton Bishounen prenant des poses gay (non, pas aussi stylé qu’un Jojo malheureusement) avec un mecha à talon.

Les seuls développements avec des personnages récurrents à côté n’apportant rien de bien grand comparé à la longueur d’inutilité dans les 20 minutes, c’est pas pour être méchant mais il sert un peu à que dalle ton épisode.

L'idée de base est déjà bien fumée après tout

S’ensuit enfin le coup de la mort que tu connais déjà bien sans pour autant t’en rendre compte. Difficile à nommer comme effet, ça ressemble à du tout : bon, les mecs, on va sortir un nouveau truc là.

Alors lorsque tu entends parler que le deuxième gars a en fait une destinée incroyable que personne en avait mentionné quoique ce soit avant, tu peux te préparer parce que c’est LE problème de l’épisode. Lorsque tu vois que d’un coup on s’intéresse au passé, ça veut dire que c’est LE sujet de ces 20 prochaines minutes. T’avais même un personnage super marquant dans une école de par sa personnalité qui pop de nul part à l’épisode 09, dans le genre rajouté au milieu. T’as le passé du héros qui se pointe à la fin de la série ! Le pire était le coup du personnage super important dans le passé (le passé est ce qui fait un personnage) du méchant qui arrive tranquille dans les derniers épisodes alors qu’il était toujours au côté de ce dernier d’après leur dire…

Je te demande pas des merveilles et me doute bien que tout était déjà prévu avant mais apprend au moins à introduire tes éléments dans ton histoire avant d’écrire.

Parce que le souvenir de sa mère qu'il a toujours sur lui ne sortant qu'à l'épisode 18, ça fait légèrement con

Après tout le reste est du classique avec la relation en triangle, l’amour, l’amitié, etc… Honnêtement, t’as du mal à comprendre comment ils ont pu partir tant en l’air avec le setting pour ensuite aller dans du cliché complet.

D’ailleurs, l’histoire reste floue avec le renard et leur présidente du club même après avoir terminé la série. T’as envie de leur dire qu’au lieu de foutre des personnages et épisodes servant à rien, ils auraient mieux fait de se poser sur les détails intéressants.

Le final se doit toujours d'être en noir et blanc à certains moments

Bon après, je vais bien t’avouer que les scènes de combats sont biens. Certes, pas une once de logique dedans et leur direction est affolante mais l’animation est de haut niveau.

C’est un peu le seul intérêt de Star Driver en même temps.
[OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_04.11_[2014.02.01_11.37.12][OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_05.20_[2014.02.01_11.38.29][OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_06.38_[2014.02.01_11.39.50][OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_07.44_[2014.02.01_11.43.09][OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_15.25_[2014.02.01_11.51.16][OWA Raws] Star Driver - 01 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_23.26_[2014.02.01_12.00.58]En prenant des poses super classes[OWA Raws] Star Driver - 02 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_01.01_[2014.02.01_12.03.09]Elle brillait un peu quand elle voulait cette marque[OWA Raws] Star Driver - 02 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_10.27_[2014.02.01_13.56.24][OWA Raws] Star Driver - 02 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_13.17_[2014.02.01_13.59.46][OWA Raws] Star Driver - 02 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_15.40_[2014.02.01_14.02.11]L'idée de base est déjà bien fumée après tout[OWA Raws] Star Driver - 03 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_15.58_[2014.02.01_14.29.56][OWA Raws] Star Driver - 05 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_20.12_[2014.02.01_18.05.12][OWA Raws] Star Driver - 07 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_05.38_[2014.02.02_13.24.12][OWA Raws] Star Driver - 07 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_19.50_[2014.02.02_13.41.24][OWA Raws] Star Driver - 08 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_13.57_[2014.02.02_14.06.14][OWA Raws] Star Driver - 08 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_17.47_[2014.02.02_14.12.55][OWA Raws] Star Driver - 08 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_21.17_[2014.02.02_14.19.28][OWA Raws] Star Driver - 09 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_05.49_[2014.02.02_14.31.45][OWA Raws] Star Driver - 12 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_20.44_[2014.02.02_16.46.11][OWA Raws] Star Driver - 13 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_12.14_[2014.02.02_17.08.11][OWA Raws] Star Driver - 15 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_04.57_[2014.02.03_04.32.42]Le sourire diabolique pour que tu comprennes qu'elle est méchante et calculatrice[OWA Raws] Star Driver - 16 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_13.42_[2014.02.03_05.37.26][OWA Raws] Star Driver - 16 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_19.18_[2014.02.03_05.43.56]Parce que le souvenir de sa mère qu'il a toujours sur lui ne sortant qu'à l'épisode 18, ça fait légèrement con[OWA Raws] Star Driver - 18 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_12.38_[2014.02.03_10.36.41][OWA Raws] Star Driver - 18 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_15.46_[2014.02.03_10.43.40][OWA Raws] Star Driver - 19 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_16.34_[2014.02.03_11.10.00][OWA Raws] Star Driver - 20 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_12.02_[2014.02.03_11.46.50][OWA Raws] Star Driver - 20 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_15.00_[2014.02.03_11.50.09][OWA Raws] Star Driver - 22 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_14.43_[2014.02.03_15.36.31][OWA Raws] Star Driver - 23 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_10.54_[2014.02.03_16.00.02][OWA Raws] Star Driver - 24 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_14.12_[2014.02.03_18.28.26][OWA Raws] Star Driver - 24 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_18.03_[2014.02.03_18.32.34][OWA Raws] Star Driver - 25 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_07.54_[2014.02.04_00.33.10][OWA Raws] Star Driver - 25 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_11.11_[2014.02.04_00.37.22][OWA Raws] Star Driver - 25 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_13.34_[2014.02.04_00.39.57][OWA Raws] Star Driver - 25 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_14.14_[2014.02.04_00.40.55][OWA Raws] Star Driver - 25 (TBS 1280x720 h264 AAC Chap).mp4_snapshot_14.24_[2014.02.04_00.41.11]Le final se doit toujours d'être en noir et blanc à certains momentsAvec mecha détruit gravitant dans l'espace[QTS] Gekijouban Star Driver (BD H264 1280x720 24fps AAC).mp4_snapshot_00.00.33_[2014.02.04_02.33.56][QTS] Gekijouban Star Driver (BD H264 1280x720 24fps AAC).mp4_snapshot_02.29.18_[2014.02.04_03.40.42]

Ruru Berryz - [Anime] Sekai Seifuku: Bouryaku no Zvezda. Loli VS The world

$
0
0
A la conquête du monde, bonjour ! Parmi la selection des animés de la saison, voici le petit dernier du studio A-1 Pictures, Sekai Seifuku: Bouryaku no Zvezda, entre humour,...

Lekraken - La babe cosplay de la semaine #178

$
0
0
La babe cosplay de la semaine à découvrir. Devinez le personnage en cosplay !

Hello World - [Jeu] Tomb Raider

$
0
0

PS2CoverSheet108Lassé comme beaucoup de gens par une licence Tomb raider poussiéreuse qui s’enlisait depuis longtemps dans une mythologie poussée bien trop loin et des personnages fadasses, je n’avais que moyennement apprécié un Tomb Raider Underworld pourtant correct. Un reboot fut donc la meilleure nouvelle possible, et le premier trailer et son ambiance mature et réaliste promettait monts et merveilles.
Un mauvais buzz sexiste basé sur une simple seconde d’extrait aura ensuite entaché l’attente du jeu par un combat entre féministes et presse vidéo ludique. Et vint enfin la sortie du jeu qui divisa clairement les fans : certains le renièrent et le pointèrent du doigt comme une trahison à la licence et une aventure superficielle et rocambolesque, menée à grand coup de scripts ; et une autre partie du public y vit une référence en terme de jeu d’action et un titre culte pour la PS3. Difficile de faire la part des choses avec tout ça. J’ai donc préféré laissé passer les escarmouches, et par la même occasion attendre que le jeu soit gratuit pour les abonnés au PS+ pour me plonger dans l’aventure.

Le navire de Lara n'est pas le seul à avoir échoué sur l'île, on dirait...

Le navire de Lara n’est pas le seul à avoir échoué sur l’île, on dirait…

La naissance d’une survivante
Retrouvant une Lara Croft encore étudiante, on prend plaisir à déceler fragilité et naïveté dans ce personnage trop souvent lissé par le passé. Une jeune étudiante, donc, qui participe à une expédition archéologique à la recherche du Royaume du Yamataï. Un monde perdu où Himiko, la Reine des Tempêtes veille. Et alors que Lara avait convaincu l’équipage de s’enfoncer dans le triangle du Dragon, les vents se déchaînent et le bateau s’échoue une île perdue peuplée de mercenaires dirigés par Mathias, un prêtre fou qui organise des rituels étranges. Responsable du naufrage et de la mort de plusieurs personnes, Lara va devoir se battre pour sauver ceux qui restent et apprendre vite, très vite, à survivre dans ce milieu hostile.

Sam est enlevée par Mathias, un méchant qui aurait mérité d'être un peu mieux développé

Sam est enlevée par Mathias, un méchant qui aurait mérité d’être un peu mieux développé

Un scénario simple propice à quelques rebondissements assez classiques, mais faisant la part belle à l’évolution de Lara. Des thématiques fortes qui vont être abordées avec quelques maladresses, malheureusement. Même plusieurs mois après, impossible de ne pas comparer Lara à Ellie, l’héroïne de l’épatant The last of us. Et si la trame globale de l’aventure et la symbolique des situations sont fortes et intenses en émotions, on est bien souvent sorti de l’ambiance au début par une mise en scène et des jeux d’acteurs un peu aléatoires. Plusieurs passages comme la première grosse blessure, le premier gibier de chasse ou bien le premier humain tué auraient mérité des scènes plus posées, plus longues, pour laisser au joueur le temps de vivre profondément la scène. Mais je conçois que ne pas arriver à être au niveau de The last of us est loin de vouloir dire que c’est mauvais, loin de là.

La population locale a l'air d'avoir des coutumes assez étranges...

La population locale a l’air d’avoir des coutumes assez étranges…

Au passage, il n’y avait comme je le pensais strictement aucune raison de crier au loup niveau sexisme. Laisser le doute et accorder un minimum de confiance envers le travail des développeurs jusqu’à la sortie du titre permet de se rendre compte avec plaisir d’une totale absence de sexualisation injustifiée de l’héroïne. Une volonté évidente et rafraîchissante de couper les ponts avec l’ancienne icône à la popularité mammaire, et de créer un personnage fort et complet.
La mayonnaise prend donc malgré tout et une grande empathie se développe envers une Lara malmenée (un peu beaucoup même, au début), qui va apprendre à serrer les dents, à ne jamais abandonner et à se battre.

La montée de la tour radio est un moment hautement mémorable et symbolique de l'évolution de Lara.

La montée de la tour radio est un moment hautement mémorable et symbolique de l’évolution de Lara.

De petites incohérences pas bien graves, également, mais qui cumulées gênent un peu, parfois. Et une VF (tout comme la VO) qui est très correcte durant la majorité du temps, mais pêche en conviction durant les monologues. La musique est quand à elle de qualité, et les thèmes principaux restent bien dans la tête.
Visuellement, c’est magnifique. L’île est détaillée, vivante par sa faune et ses éléments, et on a de cesse de scruter le décor à l’affût de petits détails en tout genre. La gestion de l’eau et du feu est excellente et le temps changeant est bluffant. Les explosions sont impeccables et un grand bravo aux effets de vent particulièrement mis à l’honneur vu le scénario. Les passages dans des habitations accrochées en bord de falaise, et balayés par des vents extrêmes qui font trembler toutes les planches sont mémorables.

Les habitations à flanc de montagne sont toujours propices à l'escalade... et à l'effondrement.

Les habitations à flanc de montagne sont toujours propices à l’escalade… et à l’effondrement.

Un semi-Open World à explorer
Le plus gros souci du jeu n’est au final qu’une question de promesses mal formulées. Que ce soit par une communication avant la sortie du jeu ou par les thématiques abordées, on est logiquement dans l’attente d’un aspect survie poussé et d’un aspect exploration libre. Sauf que pas du tout ! Et du coup, déception. Mais passé cette attente non comblée, il faut faire l’effort de revenir sur ses désirs et de se mettre à apprécier ce que le jeu nous offre, tout simplement. Et le jeu nous offre du bon, du très bon.
En effet, ce nouveau Tomb Raider, n’est absolument pas un survival. Pas de crafting ou de chasse poussée, tout se transforme en XP et en matériel pour upgrader ses armes.

Les phases d'escalade où tout s'écroule sous nos pieds font évidemment penser à Uncharted... et sont aussi bien menées.

Les phases d’escalade où tout s’écroule sous nos pieds font évidemment penser à Uncharted… et sont aussi bien menées.

Peu d’infiltration également, sauf en des passages designés pour. Nous avons affaire avant tout à un jeu d’action, et ce n’est que par l’histoire et les cut-scenes que la portée survie est réellement traitée dans sa complexité. Les phases in-game se concentrent, elles, sur une survie combative. Et cela marche parfaitement. Les combats sont rapides, mouvementés, et le joueur doit se servir de son environnement pour avancer et se battre. Les sensations des armes sont excellentes et l’arc va vite devenir votre meilleur ami.
Un seul aspect fait cruel (mais petit) défaut à mes yeux, l’absence de cover system volontaire. En effet, Lara va se baisser automatiquement près d’un obstacle pour s’y cacher si les ennemis sont proches, mais cette automatisme est forcément soumis à une I.A. jamais parfaite.

les descentes en tyrolienne sont grisantes à souhait !

les descentes en tyrolienne sont grisantes à souhait !

De plus, le fait de ne pas contrôler cette acte de se baisser réduit l’impression de furtivité et la sensation de contrôle dans les esquives. Je comprends la volonté d’avoir voulu innover avec un accroupissement bref au lieu de constant, permettant un mix entre roulade et esquive (surtout en en profitant pour ajouter la feature de jeter du sable au visage des gardes dans le même mouvement), mais le fait est que l’ensemble est quand même un poil moins convaincant qu’un Uncharted niveau jouabilité.
Mais si le côté bagarre a ce petit défaut, le titre tire son épingle du jeu par un aspect exploration très poussé et intelligent. Et ce grâce à un level-design qui frôle la perfection sur tous les plans. Chaque zone propose plusieurs chemins d’exploration pas tout le temps évident à visualiser, propice à la recherche d’items collectionnables en tout genre.

Là où Lara passe, tout finit par exploser, brûler, s'effondrer... la marque des grands aventuriers ! XD

Là où Lara passe, tout finit par exploser, brûler, s’effondrer… la marque des grands aventuriers ! XD

On passe un temps fou à chercher à accéder à de nouvelles zones, à escalader à tout va, et ce grâce à des compétences et gadgets appris au fur et à mesure de notre traversée. Si l’aventure est globalement scriptée, on est sans cesse motivé à revenir sur nos pas, et à aiguiser notre vision pour profiter sans agacement de décors parfaitement construits.
Un aspect exploration qui donne clairement du relief au jeu et évite de ressentir négativement la trame narrative unique et l’avancée scriptée du jeu. Le soft est assez simple et peu frustrant, et la durée de vie est plus qu’acceptable.

Un jeu d'action mené tambour battant !

Un jeu d’action mené tambour battant !

Je ne parlerai pas vraiment du multijoueur, n’y ayant joué qu’une petite heure, le temps de voir les limites évidentes du mode. Les idées sympathiques semblent présentes avec des pièges à activer, des micro-événements qui ponctuent la partie et des maps assez efficaces, mais les sensations ne sont pas au rendez-vous. Les gunfights sont plats, l’ambiance musicale inexistante, et la lassitude pointe vite son nez. Un multi très dispensable comme dans beaucoup de jeux, à mon avis.

Tomb RaiderEn conclusion, je fais donc partie des joueurs qui saluent bien bas la performance de ce nouveau Tomb Raider. Un beau coup de jeune pour la franchise, une maîtrise sur quasiment tous les plans, et des personnages passionnants posés pour une éventuelle suite que j’attends avec impatience. Et comme la petite faiblesse de gameplay et d’immersion est largement compensée par un level-design parfait, je ne peux qu’admettre qu’Uncharted doit faire de la place à une Lara qui en veut sur le podium. Allez, fais pas la tête, Nathan, tu sais que c’est quand même toi que je préfère… à quand un spin-off réunissant les deux personnages ?

2323-lara-croft-tomb-raider-1920x1080-game-wallpaper



Shadonia - Eren Jaeger (Medicom Toy)

$
0
0

Le héros de Shingeki no Kyojin débarque bien énervé chez Medicom Toy.

Alors qu’il est le personnage principal du récit, Eren Jaeger n’est que le quatrième personnage à être proposé par Medicom Toy dans sa gamme Real Action Heroes (je comprends sa colère du coup). Sensiblement identique à ses prédécesseurs du point de vue de sa réalisation globale, Eren se voit doté de deux bonus réservés à la première fournée de précommandes; sa mystérieuse clé, et le visage avec le regard de côté. D’ailleurs les différents visages sont tous très réussis, car très expressif, et ce même pour celui arborant le sentiment le plus « neutre ». Bien évidemment mention spéciale pour le visage rouge de colère qui file véritablement des frissons. Enfin, comme souvent avec Medicom, Eren dispose d’une coiffure supplémentaire « les cheveux dans le vent », idéale pour les poses axées « action ».

Bref, c’est encore du bon boulot de la part de Medicom Toy, et bien que réservé à des portefeuilles plutôt bien garnis, ce nouveau toy d’Eren Jaeger comblera sans aucun doute les aficionados de la licence.

Sculpteur: Akimoto Meiko, PERFECT-STUDIO
Dimension: 1/6ème (30cm)
Sortie: Janvier 2015
Prix: 23600¥ (167€)

Photos
Eren Jaeger - R.A.H. (1)Eren Jaeger - R.A.H. (2)Eren Jaeger - R.A.H. (3)Eren Jaeger - R.A.H. (4)Eren Jaeger - R.A.H. (5)Eren Jaeger - R.A.H. (6)Eren Jaeger - R.A.H. (7)Eren Jaeger - R.A.H. (8)Eren Jaeger - R.A.H. (9)Eren Jaeger - R.A.H. (10)Eren Jaeger - R.A.H. (11)

© Hajime Isayama / Kodansha / [Attack on Titan] Production Committee

http://www.medicomtoy.co.jp/list/8793.html

Ik` Ilote 4 - Yūsha ni Narenakatta Ore wa Shibushibu Shūshoku wo Ketsui Shimashita. OVA

$
0
0

勇者になれなかった俺はしぶしぶ就職を決意しました。OVA
Rōmaji : Yūsha ni Narenakatta Ore wa Shibushibu Shūshoku wo Ketsui Shimashita. Diminutif : Yū-shibu. (勇しぶ。)
Site anime : Officiel. Ik` Ilote : Anime TV.
Roman : Auteur : SAKYŌ Jun (左京 潤), Illustrations : INUZUMI Masaki (戌角 柾) - 9 tomes (en cours)
Genre : fantaisie, pantsu, comédie romantique, travail, harem.
Première publication : 06/03/2014 (édition limitée du tome 9 du light novel)
Production : asread
Voilà un nouvel et treizième épisode pour cette série mêlant monde contemporain et monde médiéval fantastique. La série étant déjà très ecchi à la base, l'OVA n'arrange pas les choses avec la censure en moins et une dose de service en plus. [...]

Kanpai - Japon sakura 2014 en direct #03 : Hitachi

$
0
0
image
Note : les articles de liveblog vous permettent de me suivre en direct pendant mon voyage au Japon (plus d’infos ici). Cette page se met à jour toute seule avec mes impressions et photos au fur et à mesure de la journée.
Lire la suite sur Kanpai.fr

Chris†Diary - Houkago Midnighters

$
0
0

Houkago Midnighters a l’air d’être un film pour enfant… Il est effectivement pour enfant, rien à dire de ce côté.

Par contre, c’est une vraie réussite dans le domaine. N’ayant rien à envier aux scénarios pour adultes, la seule différence serait peut-être que la comédie est plus mise en avant et les graphismes ne faisant pas peur comme signes du public visé. Le reste n’étant en rien particulièrement enfantin, ça marchait très bien.

Particulièrement grâce à l’ambiance régnant tout le long.

Il faut quelques secondes à s'habituer

Grande école primaire, 3 élèves visitant avant leur entrée en cours et une salle de science vielle devant être démolie le lendemain.

Elles entrent et dévalisent le modèle humain en graffiti et autres arrangements sans arrière pensée. Ce qu’il ne prendra pas en bien pour autant lorsque le dit modèle va se réveiller la nuit. Il va alors les inviter à la Midnight Party pour les effrayer et se venger de son affront.

En voyant qu’elle s’amuse de leur frayeur, son acolyte de squelette va proposer aux filles d’exaucer un souhait en rassemblant les 3 médailles de l’école, chacune protégée par une épreuve. Avec des intentions mal cachées bien présentes.

Le mal absolu est présent

Houkago Midnighters part avec une ambiance folle et dynamique grâce à la comédie omniprésente de ses modèles de la salle de science. C’est entraînant et même la sorte de comédie musicale qu’ils jouent au début pour t’attirer dans leur monde est excellente.

Tu possédais un véritable scénario en plus avec le véritable objectif caché derrière les médailles ainsi qu’une légende d’un gamin (que les mannequins ont bien rencontrés) s’étant pendu dans les toilettes et hantant toujours les lieux. Bien qu’honnêtement, l’objectif est quelque peu décevant, la mouche et la mort du gamin était à la fois amusants et intéressants.

Même les développements n’avaient rien à redire. Usant parfaitement de l’enfant et sa personnalité voir même les obstacles fait par le mannequin se retrouvant à aider plus qu’autre chose sans le vouloir, rien n’est un échec ne semblant pas surjoué dans ce qu’il leur arrive.

C'était spécial

Il n’y a ensuite pas grand-chose à rajouter. Le film n’ayant aucun problème. On peut juste dire à la limite que les gamines sont agaçantes.

Sans aller non plus dans de l’extraordinaire, c’était appréciable.

[Zero-Raws] Houkago Midnighters - Extra 01 (BD 1920x1080 x264 FLAC).mkv_snapshot_03.00_[2014.02.08_10.08.41][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.03.48_[2014.02.07_06.22.06][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.06.25_[2014.02.07_06.25.20][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.07.08_[2014.02.07_06.26.05]Il faut quelques secondes à s'habituer[Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.09.08_[2014.02.07_06.28.28][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.09.26_[2014.02.07_06.28.53][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.11.59_[2014.02.07_11.32.49][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.14.38_[2014.02.07_11.35.43][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.18.40_[2014.02.07_11.40.05][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.21.19_[2014.02.07_11.42.55][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.22.46_[2014.02.07_11.44.30][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.24.48_[2014.02.07_11.46.53][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.25.21_[2014.02.07_11.47.33][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.29.45_[2014.02.07_11.52.18][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.32.17_[2014.02.07_11.55.29][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.34.35_[2014.02.07_11.58.02][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.40.00_[2014.02.07_15.40.36][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.40.34_[2014.02.07_15.41.27][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.44.32_[2014.02.07_15.45.50][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.48.43_[2014.02.07_15.50.41][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.50.03_[2014.02.07_15.52.03][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.53.56_[2014.02.07_15.56.20][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.57.48_[2014.02.07_16.11.20][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_00.59.09_[2014.02.07_18.06.29]Le mal absolu est présent[Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.11.12_[2014.02.07_18.19.26][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.14.19_[2014.02.07_18.23.31][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.17.34_[2014.02.07_18.27.09][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.18.17_[2014.02.07_18.28.00]C'était spécial[Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.23.07_[2014.02.08_09.55.04][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.27.04_[2014.02.08_09.59.15][Zero-Raws] Houkago Midnighters (BD 1920x812 x264 DTS).mkv_snapshot_01.30.47_[2014.02.08_10.03.33]

Shadonia - Figma Takebe Saori (Max Factory)

$
0
0

L’opératrice radio de Girls und Panzer nous fait profiter de sa joie de vivre au format Figma chez Max Factory.

Après Nishizumi Miho puis Akiyama Yukari, c’est au tour de Takebe Saori de se présenter au rapport pour l’inspection générale des troupes! Parée du même uniforme que ses camarades, il est surtout bien plus garni par la généreuse poitrine de Saori (*_*) qui porte également pour se distinguer de ses copines de simples bas noirs, exhibant de ce fait un petit zettai ryouiki bien exquis!

Comme à l’accoutumée, Saori disposera de trois visages différents; un sourire simple, une manifestation très joviale, et enfin une expression de grande surprise. Du côté des accessoires, notre mignonne opératrice radio disposera de ses dispositifs d’écoute, d’un casque, et d’un communicateur. Et en référence à un passage clé du récit, son téléphone portable à également été reproduit; de quoi faire face à toutes les situations périlleuses!

Allez, il reste à Max Factory à nous dévoiler encore deux jeunes filles constituant le quintet principal de la série! Et je n’ai qu’une hâte, pouvoir m’amuser à mettre en scène et photographier tout ce beau monde!

Sculpteur: Masaki Asai (APSY)
Dimension: 12,5cm
Sortie: Juillet 2014
Prix: 4444¥ (31,5€)

Photos
Figma Takebe Saori (1)Figma Takebe Saori (2)Figma Takebe Saori (3)Figma Takebe Saori (4)Figma Takebe Saori (5)Figma Takebe Saori (6)

 © Girls und Panzer Projekt

http://www.goodsmile.info/en/product/4276/figma+Saori+Takebe.html

Ruru Berryz - [Event] Nagi no AsuKara Exposition à Akihabara

$
0
0
Hello par ici ! Si vous me suivez sur ma page Facebook avec les avis régulier sur les animés de la saison, vous savez que je suis très très très...

Shadonia - Nendoroid Rin Tohsaka (Good Smile Company)

$
0
0

La ravissante magicienne aux twin tails de l’univers Fate nous ensorcelle à nouveau chez Good Smile Company.

Il en aura fallu du temps à Good Smile pour sortir une Nendoroid de Rin Tohsaka portant sa superbe tenue rouge. Et les fans seront aux anges puisque notre magicienne est carrément bien lotie en matière d’accessoires. Rin disposera de bons nombres de bras et de mains; bras croisé, mains tenant ses gemmes magiques, mains pour tenir les dagues d’Azoth et de Zelretch… Mais ça ne s’arrête pas là, puisqu’un sympathique « effet magique » est également inclus. De quoi rendre les poses actions encore plus vivantes! Une paire de lunettes sera également incluse, afin de faire ressortir le côté étudiante modèle de notre « diable rouge ». Enfin, les trois minois inclus dans la boite seront parfaits pour accompagner les différentes attitudes de Rin.

Sortie: Juillet 2014
Prix: 3611¥ (26€)

Photos
Nendoroid Rin Tohsaka (1)Nendoroid Rin Tohsaka (2)Nendoroid Rin Tohsaka (3)Nendoroid Rin Tohsaka (4)Nendoroid Rin Tohsaka (5)Nendoroid Rin Tohsaka (6)Nendoroid Rin Tohsaka (7)Nendoroid Rin Tohsaka (8)Nendoroid Rin Tohsaka (9)

© TYPE-MOON

http://www.goodsmile.info/en/product/4274/Nendoroid+Rin+Tohsaka.html


Shadonia - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company)

$
0
0

La carrière d’idol ne semble plus suffire pour Miss Monochrome et elle tente de percer aussi dans le monde de la figurine avec une adaptation en Nendoroid chez Good Smile Company !

Peu de temps après la fin de l’anime du même nom, voilà que débarque Miss Monochrome en version Super Deformed chez Good Smile Company. La demoiselle possède deux visages interchangeables : ainsi, elle pourra adopter un air neutre ou faire un clin d’oeil avec la bouche ouverte. Côté accessoire, la Nendoroid sera accompagnée de Ru-chan, de sa pile de recharge et d’une boîte de Nendoroid à son effigie (numéro 4696, ça en fait des Nendoroid mais c’est tout de même la classe pour elle) ! Évidemment, la miss disposera de mains et jambes de rechange avec une mention spéciale à sa paire de mains lui permettant de faire un « bang » vers son public. Je la trouve en tout cas très mignonne, notamment lorsqu’elle fait son clin d’oeil.

Une version limitée est également disponible mais seulement en achetant le Blu-Ray ou DVD de Miss Monochrome: The Animation en White/Black Edition. Les couleurs sont alors inversées : le blanc prend la place du noir et inversement (sauf pour la jupe où il n’y a pas eu besoin de faire ce changement).

Nom : Miss Monochrome
Origine : Miss Monochrome: The Animation
Éditeur : Good Smile Company
Sculpteur : Nendoron, Sanzigen, Sawamura Yukio
Dimension : 10 cm
Sortie : Août 2014 (Version normale) – Septembre 2014 (édition limitée)
Prix (version normale) : 3704 ¥ (26,20 €)
Prix (édition limitée avec Blu-Ray) : 10000 ¥ (70,75 €)
Prix (édition limitée avec DVD) : 8000 ¥ (56,60 €)

Photos (version normale)
Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 01Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 02Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 03Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 04Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 05
Photos (édition limitée)
Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 06Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 07Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 08Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 09Preview - Nendoroid Miss Monochrome (Good Smile Company) - 10

© Miss Monochrome Production Committee

Version normale : http://www.goodsmile.info/en/product/4272/Nendoroid+Miss+Monochrome.html
Version limitée : http://www.goodsmile.info/en/product/4273/Nendoroid+Miss+Monochrome+Poker+Face+Black+ver.html

Shadonia - Kazuki Nana (PLUM)

$
0
0

Mise en précommande de Kazuki Nana de la licence God Eater 2 chez PLUM !

L’éditeur PLUM ajoute à sa liste de figurines la première PVC pour Kazuki Nana, personnage apparaissant dans le jeu God Eater 2 sur PSP. Plutôt correcte dans la réalisation, la figurine a le mérite de montrer le personnage dans une pose dynamique, avec une arme imposante et détaillée (comme pour ses copines) et un grand sourire radieux. Elle débarquera aussi sous forme de Nendoroid chez Good Smile Company. L’éditeur a, par ailleurs, annoncé l’adaptation d’un autre personnage de God Eater 2 : Alisa Ilinichina Amiella mais aucune date de sortie pour le moment.

Nom : Kazuki Nana
Origine : God Eater 2
Éditeur : PLUM
Dimension : 1/7 (23 cm)
Sortie : Mai 2014
Prix : 9800 ¥ (69,35 €)

Photos
Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 01Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 02Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 03Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 04Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 05Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 06Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 07Preview - Kazuki Nana (PLUM) - 08

© NBGI

http://www.pmoa.co.jp/product/86.html

Kanpai - Japon sakura 2014 en direct #04 : Ushiku

$
0
0
image
Note : les articles de liveblog vous permettent de me suivre en direct pendant mon voyage au Japon (plus d’infos ici). Cette page se met à jour toute seule avec mes impressions et photos au fur et à mesure de la journée.
Lire la suite sur Kanpai.fr

Chris†Diary - [R18] Venus Blood -Abyss-

$
0
0

dualtail, la société de développement des Venus Blood, est une des 3 franchises de la société mère (ninetail).

Honnêtement, je ne vois pas trop l’intérêt de partir en trois puisqu’en réalité, les 2 autres sont du soft. L’image étant que d’un côté ils partent plus en love love que l’autre tandis que dualtail est le hard… Venus Blood est en réalité loin d’être hard, faisant plus middle mais passant. L’intérêt étant que dans les trois types, tu es dans du SLG.

Le système pris avec les deux autres franchises est plus proche de celui des premiers Venus Blood. Bien que tu as pas mal de reprises de mêmes bases, si tu veux du jeu allant plus loin que douze choix à la con, ça vaut le coup.

Celui-ci est particulièrement intéressant

Le stage se place sur une île. Plusieurs pays en font parties et un labyrinthe se trouve à l’intérieur d’une grotte. Là sont les démons, séparant le monde humain du leur grâce à ce labyrinthe tandis que le labyrinthe lui même est considéré comme un territoire à part entière par les démons.

Le héros se trouvait hors de cette zone lorsqu’on vint le chercher. Le groupe dirigeant le labyrinthe n’ayant quasiment plus aucune force militaire suite à la soudaine attaque humaine les ayant non seulement pris par traitrise en tuant le maou et sa femme humaine rêvant coexistence lors d’un prétendu traité de paix mais en sortant surtout une armée de golem et de puissants artefacts anti-démon pour leurs hommes. C’est simple, ils sont sur le point de se faire exterminer. La seule chose les sauvant étant que la grande guerre est passée. Seul de petits groupes viennent les attaquer sans avoir d’unions des pays se formant pour de bon.

C’est là qu’entre en jeu le héros. Alchimiste recherchant sur la vie, il lui est demandé si il peut faire quelque chose pour les aider et surtout arranger un problème préoccupant chez les démons depuis le début de la guerre : ils n’ont plus d’enfants.

Il ouvrait bien sa bouche devant son supposé roi

Le thème proposé est alors la naissance de soldats (d’où l’utilité d’avoir un alchimiste étudiant la vie). Le problème de force militaire n’est plus, tandis que le sujet des enfants est, d’après les recherches du héros une simple malédiction ayant de fortes chances de venir des humains cette fois.

La logique des soldats est en soit tenable. Les monstres se pondant rapidement, grandissant en accéléré et apprenant tout à court terme pour se battre. Leur vie est évidemment courte, m’enfin. Ca permet d’introduire un système de naissance dans le jeu. En prenant des cellules de différents types, on fait naitre x monstre. L’héroïne pendant ainsi que le mois choisi pour effectuer l’acte influençant ses capacités.

L’éducation des héroïnes cette fois n’est basée que sur deux stats représentant les bonus attaques/défenses des montres nés. La montée de ces stats débloquent aussi des events mais rien d’aussi important qu’avant, c’est surtout du H ainsi que quelques flags pour leur fin.

Les monstres sont devenus bien plus complexes que dans le précédent opus

Les différences de stats selon le hasard est juste le truc excitant de ce système. Tu peux réessayer plusieurs fois avant de donner naissance avec aperçu des stats sortantes, pouvant même changer l’élément du monstre ainsi.

Par contre le gros problème est que du coup, ton monstre né à la fin est avantagé puisque la porteuse a plus d’expérience. Le nombre de cellules étant très limités, si tu veux tous les monstres, tu ne peux pas te permettre d’écart. T’as bien un moyen de doubler le nombre gagné après combat et en choisissant quelles cellules tu veux (reload), tu arrives à peine à te débrouiller.

Ca fait naître de gros écarts de force. Déjà que ces derniers sont assez immenses dans l’opus… Bon, en même temps avoir un dragon trucidant un goblin, je vais pas m’en plaindre tu t’en doutes.

Tu pouvais modifier le labyrinthe à volonté

Le jeu est ensuite les mêmes combats qu’avant, c’est juste que les stats ne sont pas à max 37 d’attaques, cette fois en dépasse les cents. Les combats servent à présents d’entraînement des unités, l’argent ne se dépensant plus qu’à la construction des salles dans le labyrinthe et se soigner.

Le labyrinthe est encore un système sympa. Construisant pièce par pièce pour chaque étage, chacune avec des bonus ou malus (terrain/argent). Tu pouvais conduire les intrus avec de faux escaliers entre autre. Bref, franchement je ne m’en souviens plus très bien pour la simple raison qu’en réalité seules 4 pièces valent le coup malgré leur grand nombre. Ils auraient pu faire mieux sur la pratique.

Se trouvait pour l’occasion des magies de labyrinthe, augmentant les points de vie du quartier général ou le nombre d’unité soignée au tour voir baissant les rations des troupes ennemis. Ces dernières devant alors remonter en surface… Un choix large est présent.

Le chapitre est évalué

Abyss consiste donc à repousser (anéantir) l’envahisseur. On dispose alors de troupes (double d’avant) permettant d’être ordonnée. Si on opte pour attaquer, elles prennent une cible au hasard (tu peux légèrement diriger mais ils sont pas futés donc oublie) et font un combat accéléré avec juste le résultat des pertes des deux côtés. C’est la clé la plus importante du jeu puisque certains ennemis sont simplement trop forts. Tu les affaiblis petit à petit.

Encore un élément sympa en cette force supérieur des adversaires, tu dois te préparer à de grande pertes et utilisation d’argent en soin.

Tu pouvais t’équiper avec des armes sans que ce ne soit bien exploité malheureusement. Le système d’achat de ses dernières et particulièrement dépensant en temps, devant vendre des minerais de différents niveaux pour débloquer tel produit de même niveau. Tu obtenais peu d’armes achetable même en finissant le jeu tellement le nombre de minerais en condition est abusé. Il y a de la place pour améliorer la chose.

Par contre, bien que de nombreuses unités apparaissent : on ne peut pas user les humains et les anges. Le reste apparaît en tant que extra après avoir vu la fin.

Il nous le fallait celui-là

Après c’est l’habituel point Law/Chaos. Avec un peu plus d’intérêt puisqu’un choix donne 10 de chaos à une occasion (13 environ étant nécessaire). Tu as deux fins générales avec le héros tyran ou le héros normal.

Comme d’habitude, c’est un peu tiré lorsqu’il part en tyran et les sub ends des héroïnes ne servent à rien.

Le H a level up

Après c’est le légendaire problème dans le scénario (armée quasiment détruite) mais rien dans les faits (intact). Ca s’est un peu amélioré cette fois dans les développements, rien de bien con si on omet la sainte ou le héros (yuusha, une des filles) aussi stupides que le sont leur rôle habituellement.

On a même droit à de la philosophie avec le héros à certains moments. Parlant de sa vie et sa soif de savoir contrairement à ceux de son espèce (succube).

Non, ils l’ont vraiment bien réussi. Il est certes pas excellent mais c’est un bon jeu. Un véritable progrès avec le précédent.

Les monstres sont devenus bien plus complexes que dans le précédent opusあいつら、自分の置いている状況は分かっていないみたいいけいけいつも下らん展開いるけどなうむ、こっちは万全ですがなおやカオス10点か...さすが聖女、頭を使うのは得意ではないらしいそうかそうかその姿もうできるねどうやって絶滅したんじゃんふむ、何だ、前よりやさしいじゃないかふむ、確かにあいつにはちょっと優しかったふむ、取られ方全然違いなふむ、大丈夫やっぱりね、しかし解せないなIl ouvrait bien sa bouche devant son supposé roiルートLe H a level up以外であった餓鬼概ね、お前が名急に深い話Le chapitre est évalué犬意外誰も持ってないTu pouvais modifier le labyrinthe à volonté産卵姿勢は勝者のですけどね自分で言うか 以外の二自分で言うかIl nous le fallait celui-là場所取ってますね触手もやるではないか図鑑全く、ドンだけ曲がっているやらCelui-ci est particulièrement intéressant速かったな多面的ね大きすぎ上の趣敵が敵が左とはな美少年武器変わらん迷宮魔法

Paoru.fr - Seven Deadly Sins : premières impressions sur le « shônen de l’année »

$
0
0

Seven-Deadly-Sins-manga-pika

Cette semaine, focus sur une nouveauté qui suscite la curiosité : Seven Deadly Sins de Nakaba Suzuki. Annoncé comme le shônen de l’année par son éditeur, Pika, c’est un des gros lancements de 2014 (communication d’envergure, lancement sur le Salon du Livre de Paris, etc). Lorsque que j’ai évoqué ce titre au début du mois sur Twitter, beaucoup de « alors c’est comment ? » ont éclos…. Une bonne raison pour vous en dire plus.

Au Japon, Seven Deadly Sins est publié dans le magazine star de la Kodansha, l’hebdomadaire Weekly Shônen Magazine, où l’on trouve des titres comme Ippo, Fairy Tail ou encore Dream Team. Sous le nom Nanatsu no Taizai, l’œuvre a débuté en février 2013 au Japon et son huitième tome sera publié en avril prochain. Une série animée est déjà dans les cartons au Japon, pour 2014 ou 2015. Il est probable qu’on recroise le manga dans les top Oricon en fin d’année, vu que les premiers tomes se vendaient autour de 130-140 000 exemplaires la semaine de leur sortie (en 2013 en tout cas) et qu’il s’en est vendu 3 millions d’exemplaires au total depuis les débuts de la série.

Seven Deadly Sins KodanshaSeven Deadly Sins Kodansha

Avant de se lancer dans ces premières impressions, un dernier mot sur l’auteur : Nakaba Suzuki est loin d’être un débutant. Né en 1977 il a commencé sa carrière en 1994 avec une histoire du nom de Revenge et a enchainé depuis une demi-douzaine de série dont Kongô Banchô publié chez nous par Kana. Fait notable : il travaille sans assistant et il est l’un des rares à avoir publié une série dans les quatre gros magazines hebdomadaires : Shônen Jump (Shueisha), Shônen Sunday (Shogakukan), Shônen Champion (Shôgakukan) et Shonen Magazine (Kodansha). Un homme d’expérience, donc.

Voilà pour les bases, rentrons maintenant dans le cœur du sujet ! Bonne lecture ;)

Once upon a time, in Britannia…

Tout débute par la quête de la jeune et naïve princesse Elizabeth qui part à la recherche des Seven Deadly Sins, sept légendaires mercenaires autrefois bannis et pourchassés pour avoir renversé le gouvernement et avoir assassiné le général en chef des armées de Britannia. On les prétend disparus – ou morts pour certains – mais pour Elizabeth ils sont les seuls capables de sauver son royaume de la tyrannie des Chevaliers Sacrés. Son aventure la guide jusqu’au premier d’entre eux, leur chef Meliodas, et son compagnon, Hawk le cochon qui parle. Devant les intentions louables d’Elizabeth, il accepte de l’accompagner pour retrouver ses anciens compagnons.

Seven Deadly Sins 02

Seulement voilà, 10 ans après avoir été vaincus, les Seven Deadly Sins se cachent ou ont été faits prisonniers. Depuis que Meolidas a donné des signes de vie, les Chevaliers Sacrés se lancent à sa poursuite. Réunir les Deadly Sins n’est donc pas une mince affaire, d’autant que leur défaite 10 ans auparavant est le fait d’un traître dans leur rang… Même s’ils sont à nouveau réunis, rien ne dit qu’ils pourront sauver Britannia !

Mainstream, vous avez dit mainstream ? Comme c’est shônen…

Fantasy, chevalerie et aventure sont les premiers ingrédients de ce titre qui suit de près les codes du shônen : le héros a le look d’un jeune homme, il part à l’aventure pour une noble cause et pour une  jolie jeune fille, il retrouve ses compagnons de route en combattant des adversaires de plus en plus difficiles à battre. Mais il possède une volonté et une force à toute épreuve qui devraient faire triompher le bien et rendre la justice en libérant un peuple d’une dictature. Le pitch pourrait paraitre plat mais il est pimenté par quelques mystères : un complot datant d’une décennie a permis de renverser le gouvernement et d’accuser à tort une bande de mercenaires. Leur chef a perdu la mémoire sur ces évènements et l’identité du traitre qui était dans ses rangs. Pas de quoi crier au génie mais pour envelopper le tout l’auteur utilise l’univers des légendes arthuriennes et qualifie Seven Deadly Sins de prologue aux aventures d’Arthur, Merlin, etc. Tiens d’ailleurs Merlin, une femme ici, est l’un des 7 Deadly Sins. On verra bien.

Seven-Deadly-Sins-manga-extrait-008

Coté graphisme on suit une route bien tracée là aussi : le chara-design est ultra classique hormis la géante Diane. Concernant la gente féminine justement : elle est l’instrument d’un fan service récurrent et d’un humour un peu lubrique qui font pour l’instant d’elles des femmes-objets. Entre la princesse un peu cruche qui se laisse peloter ou soulever sa jupe et la géante colérique au géant décolleté et justaucorps, l’accent est clairement mis sur leur plastique plutôt que sur la profondeur de leur personnalité. Cela viendra sans doute avec le temps, et il parait qu’un personnage féminin plus consistant est prévu dans des prochains volumes… Mais dans le tome 1, le résultat est un peu décevant.

Meliodas_and_Elizabeth_meet_Diane

Ce premier tome démontre clairement l’ambition mainstream de la série, qui cherche à attirer le jeune public manga, plutôt masculin. Le public de Fairy Tail sans doute, souvent cité dans les comparaisons de la série. Des crossovers entre les deux séries existent d’ailleurs, lors de chapitres spéciaux. Si on creuse un peu cette question du public (et qu’on se permet de digresser deux secondes), on peut s’étonner du lancement du titre pour le Salon du Livre de Paris, visant plutôt un lectorat plus global avec des titres qui mixent les influences japonaises et occidentales ou qui évoquent l’histoire européenne comme Cesare en 2013 ou Ad Astra en 2014 chez Ki-oon. Seven Deadly Sins aurait plutôt sa place sur Japan Expo. Par le passé, en 2009, Soul Eater a montré que ce genre de lancement peut quand même rimer avec réussite… mais difficile de certifier le cause à effet. Autre hypothèse, complémentaire : le lancement de Dragon Quest en mai aux éditions Ki-oon, un titre proche de Seven Deadly Sins par le public visé, au  point que celui qui sort en second risque fort de perdre une partie de son lectorat qui en aura « déjà un comme ça ».  Mais revenons à nos cochons…

Finalement c’est pas maaaaaal…

Effectivement, Seven Deadly Sins possède aussi quelques atouts. Sur le plan visuel, on peut apprécier les décors qui renforcent l’ambiance fantasy avec de coquettes chaumières, des forêts denses et de grands châteaux. Chevalerie oblige on retrouve aussi une cohorte d’armure, mais elles sont souvent excentriques et parfois fantasmagoriques. Une petite touche d’originalité, finalement. Pour l’instant le mélange conserve sa cohérence et on espère que Nakaba Suzuki saura le développer pour renforcer l’immersion du lecteur et compenser le charisme mitigé des personnages.

Dernier point, la mise en scène, bien maîtrisée et qui prouve que le mangaka connait son métier. Tous les combats jouent sur la même dynamique avec des échanges pour l’instant court mais très explosif, où on mise tout sur l’impressionnante puissance de nos héros. Un coup d’épée peut raser une montagne entière, une lance peut être envoyée à la force du bras à plusieurs kilomètres avec une vélocité surhumaine… Le découpage et le cadrage se focalisent sur quelques actions limpides et simples mais qui produisent l’effet attendu sur le lecteur qui lâchera probablement un « ah ouai quand même ! », « balaise ! ». Par contre, avec toute cette débauche et ces héros qui semblent au sommet de leur art – ou pas loin – comment pousser plus loin la surenchère ? Le volume 2 donne un début de réponse avec des héros pas forcément plus forts que les précédents, mais qui usent de stratagèmes dangereux comme l’hypnose ou la téléportation.

Seven Deadly Sins Diane_destryoing_Friesia_bugs

Seven Deadly Sins laisse donc un effet mitigé après sa lecture : le titre possède un coté sympathique et récréatif grâce à univers intéressant et des combats de haute volée. L’humour qui met en avant la perversité du héros est très spontané et fait parfois mouche (quelque part entre Tortue Géniale et Ryo Saeba) mais le manque d’originalité, les jeunes filles un peu creuses et le fan service risquent de le plomber le titre sur le long terme. Mais, qui sait, avec un scénario encore naissant et pleins de nouveaux personnages à venir, Seven Deadly Sins a ses chances. Qu’il soit le shônen de l’année n’est pas d’impossible si on prend les ventes cumulées, vu que sa publication hebdomadaire va lui permettre d’être régulièrement présent. Mais pour vraiment statuer, il va falloir attendre de voir ce que propose la concurence !

Et vous, finalement, vous tenterez l’aventure ou vous l’avez déjà fait ?

Fiche descriptive

seven-deadly-sins-1-pikaTitre : Seven Deadly Sins
Auteur : Nakaba Suzuki
Date de parution du dernier tome : 19 mars
Éditeurs fr/jp : Pika / Kodansha
Nombre de pages : 192 n&b
Prix de vente : 6.95 €
Nombre de volumes : 2/7 (en cours)

Visuels : NANATSU NO TAIZAI © Nakaba SUZUKI / Kodansha Ltd.

Vous pouvez suivre Nakaba Suzuki sur son blog. Pour lire un extrait du tome 1, c’est ici.

The post Seven Deadly Sins : premières impressions sur le « shônen de l’année » appeared first on Paoru.fr.

Viewing all 14946 articles
Browse latest View live