L’éditeur FREEing semble bien apprécier la tenue de bunny et décide de l’appliquer à Rias Gremory, mise en précommande ce matin.

Après une première adaptation du personnage sortie en mai 2013, FREEing s’attaque de nouveau à l’héroïne de Highschool DxD, Rias Gremory, pour une version plus sexy. L’éditeur continue sur sa lancée sur l’échelle 1/4 en nous proposant un personnage en costume de bunny noir, bas-résilles, oreilles de lapin et pompon blanc qui fait son petit effet. La pose est bien sexy et ses formes voluptueuses mises en valeur. Cependant, le prix ne sera sans doute pas au goût de chacun étant donné qu’il est assez élevé (environ 130 €).

Nom : Rias Gremory
Origine : Highschool DxD
Éditeur : FREEing
Dimension : 1/4 (32 cm)
Sortie : Août 2014
Prix : 18333 ¥ (130,50 €)

© Ichiei Ishibumi, Rei Miyama, Fujimishobo, High School DxD Production Committee

http://www.freeing.co.jp/products/140225_120000.html

Je le sentais mal dès le début celui-là pour une raison bien simple : on ne peut pas faire une histoire sérieuse avec seulement des filles.

Evidemment, il y a des exceptions selon le setting mais lorsque tu prends la vie quotidienne où les deux sexes vivent normalement, c’est juste impossible de finir avec quasiment que des filles en personnages principaux. Ils sont choisis par le destin ou le hasard, qu’importe, ça doit toujours finir de manière à peu près égale. Lorsque tu vois 8 filles et 2 mecs, tu comprends qu’il y a un problème.

C’est juste l’excellence vers la route du harem et jusqu’à présent, cette dernière n’a jamais réussi à bien se passer. Forçant les sentiments pour créer la situation plutôt que la situation ne se crée suite aux sentiments.

C'était pas la peine de chercher aussi loin pour comprendre que la série tournait pas rond

Ouverture de portails dans le monde donnant naissance à un nouvel ordre aux mains des créatures en sortant. Elles luttent entre elles sous le nom de monde blanc/noir/bleu/vert/rouge.

L’histoire prend part à Koube, ville relativement peu touchée par le phénomène. Le héros et ses compagnons se battent contre des envahisseurs venus du monde rouge tandis que Koube semble faire partie du blanc actuellement. Voulant protéger leur ville, le combat entre le héros et la présumée tête de l’attaque des rouges commence tandis qu’on revient en flashback une semaine plus tôt.

Tandis que le héros n’était encore qu’un gars normal.

Les humains sont supposés ne pas devenir différents mais le mec s'envole en prenant quasiment aucun appuie

Cela dit, le problème principal de ce reste est le manque d’intérêt. Rien d’intéressant ne se passe, ça devient juste un slice of life avec des humains appelés Z/X et possédant une logique ne venant pas de ce monde. Avec un méchant ou x venant pour créer une fausse situation d’urgence sans pour autant montrer un scénario à grande échelle, t’avais l’impression de regarder un Pokemon en pire puisque tous les personnages se la pétaient de manière grossière (et non comique) alors que tu savais que c’était en fait des petits joueurs. Tout le monde sait que les gars forts sont toujours ceux qui aboient le moins.

Ce qui m’a fait me décider est l’épisode 5. C’était juste une cristallisation du développement à ne pas faire.

Va savoir pourquoi l'armée se retrouve dans l'action alors qu'elle n'était même pas dans le sujet

Même durant la vie quotidienne, tu reconnais facilement les points faibles. Entre l’ange du héros qui va rapidement s’attacher à lui et réagir comme si elle le connaissait alors que les deux se sont rencontrés la veille, tu vois bien l’habituel du type harem. La tsundere n’échappera pas à ce piège non plus, parlant de lui comme de vieux amis tout en disant qu’ils ne sont pas amis et s’attachant à ce qu’il ne l’appelle pas par son nom. Elle a d’ailleurs sa petite pinch pour montrer combien le héros est héroïque, arrivant pile au bon moment pour la sauver quitte à faire de la scène en quelque chose d’un peu étrange avec les mouvements de l’ennemi ressemblant à quelqu’un venant de se faire castrer récemment.

Bien sûr, ton héros est le légendaire garçon A dont tu ne te souviendras que grâce à son dialecte. Le reste étant typique de garçon A, celui dont on ne retiendra jamais rien tout en savant toujours tout de lui. L’exemple étant la nourriture qu’il force à son ange parce que c’est nécessaire d’après lui tandis que cette dernière disait que ça ne lui servait à rien.

Super gentil, certes. M’enfin lorsque tu connais rien des Z/X, t’évites de forcer tes principes d’humain dessus.

"Ne bouge pas, je vise"

Tout commence vers la moitié de l’épisode, lorsqu’ils vont faire les courses. La fille voit un garçon perdre son ballon pile devant elle, elle va le chercher pour lui. Acte bien gentil mais bon, le ballon part sans raison, t’as l’impression qu’il se fait tirer à vrai dire. Là, la fille arrête le petit et lui dit qu’elle va le prendre et pendant ce temps, le ballon continue à partir. Dans le genre, t’aurais fermer ta gueule, le gamin l’aurait déjà récupéré.

Ca continue avec la fille courant. Le ballon s’envole puis part en horizontal pour repartir vers le haut, bref, des mouvements complètement impossible peu importe comment t’y réfléchis. Pas de problème pour la fille, elle se fait piéger par la méchante avec le ballon disparaissant (va savoir ce que le gamin devient) et là, le héros se rend compte qu’elle n’est plus là. Le gars chantait puis paf, il fait une drôle de tête, se retourne et tiens, elle est où ? Il a une illumination le mec ?

Même au-delà de ce passage étrange, la bande a eu le temps de faire leur course et ils remarquent pas qu’il manque la principale invitée de l’évènement dans leur lot ?

La fille prétendait penser à son maître et elle finissait toujours à côté de la plaque à faire sa tsuntsun devant le héros

Ils entrent dans le tunnel avec la fille se faisant piéger, ils courent vers elle et… Tiens ? Le background ne bouge plus, serait-ce la technique ennemi ? Non, ça continue normalement après comme si ça avait bougeait. Puis vient le drama avec les Z/X, la fille disant qu’elle n’est pas forte. Elle ne peut pas pardonner les Z/X après ce qu’ils ont fait tandis que deux minutes plus tard elle se fait avoir par une autre Z/X en disant qu’elle va se venger.

Tu te rends compte que tu dis deux choses complètement différentes en laissant passer aucun développement entre temps ?

C'est une promesse de ce type de série profonde

Z/X est à l’origine à un jeu de carte ayant ses propres héros déjà définis pour chaque monde. Il a été adapté en pas mal d’autres produits. L’anime étant l’un d’eux. Le scénario est original (non, cliché, c’est juste que ce n’est pas une adaptation). Lorsque tu vois le produit d’origine, difficile d’en attendre grand-chose.

Ce n’était pas un scénario pour commencer.

Preview de la pétillante Mika Jougasaki version Charisma Girl, signée Phat Company.

 FORCEMENT ! Alors que le Shadonia Magazine 9 est en cours d’impression, les éditeurs semblent lancer les précommandes de mes coups de cœur du Wonder Festival Winter(dont j’ai parlé dans le dossier consacré à l’événement), les uns après les autres. Mais surtout, ils enchaînent les sorties si bien que je vois mon agenda des sorties s’alourdir de semaine en semaine. Vous l’aurez compris, la petite dernière de Phat Company, Mika Jougasaki Charisma Girl Version m’avait tapé dans l’oeil et c’est donc tout naturellement que je lui dédie cet article !

Issue de la célèbre franchise THE IDOLM@STER, Mika Jougasaki fait partie du même jeu que Rin Shibuya(vivement d’ailleurs la sortie de la version de Good Smile Company), à savoir IDOLM@STER Cinderella Girls. Ci-dessous, une petite vidéo de la licence.

Le prototype de cette version dite « Charisma Girl » de Mika Jougasaki a été dévoilé pour la première fois lors du Wonder Festival Summer, alors sans couleurs. Il aura donc fallu attendre l’édition du début du mois pour découvrir l’avancée de cette réalisation qui laissait sous-entendre, dès lors, une mise en précommande rapide.  Et finalement, c’est depuis ce hier matin que Mika Jougasaki peut être réservée !

Sans pour autant être une grande fan de la licence, je dois reconnaître que j’accroche assez régulièrement aux personnages issus de THE iDOLM@STER en règle générale. Du coup, je suis souvent les adaptations des PVC, surtout quand c’est le groupe Good Smile Company qui s’en occupe (et donc les fabricants qu’il distribue). J’avoue que j’avais bien accroché au prototype déjà l’an dernier car je le trouvais très coloré. Et lors de la mise en couleurs, cet avis a été confirmé. Mika est vraiment très pétillante, les couleurs sont vives comme je les aime et le socle est très original. Autant d’éléments qui me conforte dans le fait de la précommande ! Phat Company, mon compte bancaire ne te remercie pas !

Nom : Mika Jougasaki
Version : Charisma Girl
Origine : IDOLM@STER Cinderella Girls
Éditeur : Phat Company
Sculpteurs :  Mamoru Manzoku (Knead) / Koudai Abe
Dimension : 1/8ème (22 cm)
Sortie : Août 2014
Prix : 11852 ¥ (84€)

© NBGI

http://www.goodsmile.info/en/product/4235/Mika+Jougasaki+Charisma+Girl+Ver.html

Cet article Coup de Cœur du Mois de Février 2014 : Blue Exorcist – Tome 12 est apparu en premier sur Mangacast.

Faire du neuf avec du vieux permet de connaître le succès en limitant les prises de risques, et c’est d’autant plus vrai depuis quelques années. Évidemment Hollywood et son amour pour les remakes est probablement le premier exemple qui vous vient en tête, mais vous vous doutez bien que l’animation japonaise n’est pas épargnée par ce phénomène. C’est ainsi que l’illustre Kagaku Ninjatai Gatchaman, appelé chez nousla Bataille des Planètes pour les 2 amateurs de gloubiboulga du fond, a signé son retour avec non pas un mais deux titres durant l’année 2013. Il y avait d’un coté un film live sobrement intitulé Gatchaman et de l’autre une série d’animation répondant au doux nom de Gatchaman Crowds. C’est justement de cette dernière dont nous allons parler aujourd’hui. A la barre de ce projet on retrouve l’excentrique Nakamura Kenji dont la patte si particulière a engendré des choses allant du génial au sympathique. En ce qui concerne la production, c’est  bien entendu le studio Tatsunoko qui s’occupe de mettre sa vieille licence au goût du jour. Enfin pour rassurer ceux d’entre vous qui seraient allergiques aux vieilleries, sachez que Tatsunoko est un studio dont la réputation en matière de super héros n’est plus à faire.

Gatchaman Crowds nous raconte les débuts de Ichinose Hajime au sein d’une organisation de super héros. Ainsi dès ses premiers pas chez les Gatchaman, la jeune lycéenne remet en question certaines règles établies et décide de résoudre les problèmes à sa manière. Cependant l’excentricité d’Hajime se révèle rapidement indispensable pour que les justiciers masqués traditionnels puissent se moderniser. En effet, un nouveau réseau social favorisant l’entraide entre les utilisateurs semble remettre en question l’utilité des Gatchaman. Par ailleurs un redoutable ancien ennemi profite de cette occasion pour faire un comeback. Nos héros déguisés en oiseaux devront donc déjouer les machinations de cet antagoniste tout en négociant leur transition au web 2.0.

Gatchaman Crowds s’attaque à beaucoup de valeurs traditionnelles. En effet, le contre-pouvoir que représente le réseau social Galax laisse les autorités sur la touche. Tout d’abord parce qu’il y a de nombreuses scènes où les utilisateurs de ce réseau social font le travail des pompiers ou de la police. En fait, dans ces scènes la sécurité civile est impuissante alors que les Crowds, qui sont des supers-utilisateurs de Galax, sauvent tout le monde. De plus, certains décisionnaires avouent leur incompétenceà demi-mot en devenant des utilisateurs de Galax, tandis que d’autres se voilent la face et ignorent l’importance de ce réseau social. Par exemple, le chef des pompiers et le maires sont très vite introduit en tant qu’utilisateurs assidus du web 2.0, mais à chaque fois qu’un incident se déclare, ces vieux messieurs deviennent quasi-inutiles. Par ailleurs, le comportement des Crowds n’est pas sans rappeler certains hacktivistes. C’est un groupe d’individus anonymes et dépourvus de hiérarchie qui semble agir de manière chaotique. D’ailleurs leur fondateur est un idéaliste qui rêve d’un monde égalitaire dépourvu d’autorité. Enfin, Ichinose Hajime est également un des personnages s’attaquant beaucoup aux traditions. Les multiples règles qu’elle transgresse sont une sorte de un fil conducteur par le biais duquel nous suivons le récit. Qui plus est, les succès insolents qu’elle rencontre tendent à valider l’approche non-conventionnelle de la jeune fille, ce qui accentue l’impression que les adultes sont inutiles.

En ce qui concerne la mise en scène, on retrouve le style caractéristique de Nakamura Kenji. Ce réalisateur a un goût prononcé pour les couleurs éclatantes et l’expérimentation visuelle. A titre d’exemple, les personnages ont des cheveux multicolores parsemés de rayures. De même les ennemis qu’affrontent les Gatchaman ont des formes abstraites dans la continuité de ce que l’on a déjà pu voir dans [C] – CONTROL du même réalisateur.  Il y a également la base secrète des Gatchaman dont la touche art-déco multicolore ferait baver Valérie Damidot.
Par ailleurs, monsieur Nakamura a l’air de beaucoup aimer les personnages excentriques parce qu’on en voit dans chacune de ses séries. Pour l’occasion, Gatchaman Crowds introduit une ennemi qui fait parti des personnages les plus fous de l’œuvre du réalisateur, et c’est pas peu dire quand on sait qu’il a signé une série sur la psychiatrie.

Malheureusement, on sent que ce génie créatif est parfois limité par un modeste budget. Ainsi l’animation n’est pas vraiment le point fort de cette série. Heureusement la mise en scène dissimule habilement cette faiblesse si bien que la série reste quand même agréable à l’œil. De plus, les quelques scènes de combat sont animées en images de synthèse, ce qui limite les coûts tout en donnant un aspect irréel à ces bagarres de super-héros. Enfin, la série se paie le luxe d’avoir un épisode résumé, chose plutôt rare pour une production de ce format (11 épisodes).
Pour autant, Gatchaman Crowds réussit à flatter notre ouïe grâce à un doublage de qualité. Pour une fois Miyano Mamoru joue un personnage à la mesure du kitsch de son intonation. Dans Steins;Gate son interprétation de Hôôin Kyôma était horripilante , alors que dans Death Note il campait un ridicule Yagami Light. En outre, Uchida Maaya interprète une Ichinose Hajime bienchuu2byou, mais c’est pas comme si on n’avait pas l’habitude. On saluera également la bande originale qui dynamise pas mal la série. Elle est composée par  le mec qui a le vent en poupe en ce moment: Iwasaki Taku. Comme dans ses précédent travaux, on retrouve un mélanges de sonorités rock et electro, le tout saupoudré d’une touchededubstep.

Lors de cette critique j’ai volontairement omis les liens entre Gatchaman Crowds et Kagaku Ninjatai Gatchaman. A vrai dire, c’est un peu parce que je connais mal La Bataille des Planète, mais surtout parce que ce dessin-animé donne l’impression que Nakamura Kenji ne s’est pas beaucoup soucié de la franchise. Tout comme l’héroïne de son histoire, le réalisateur s’écrit « PLACE AUX JEUNES !!!1!11!!1″ et se libère des contraintes imposées par 30ans d’OAV et de séries. Ce message est limpide car tout semble véhiculer le même discours, de l’esthétique hors-norme aux personnages excentriques en passant par le scénario progressiste. Gatchaman Crowds est donc un titre anti-nostalgique, un coup de plumeau qui dégage les vieux trucs poussiéreux et affirme haut & fort qu’il existe de bons animés récents.

Nouvelle figurine issue de Uchuu Senkan Yamato 2199 avec le lieutenant Kaoru Niimi.

Deuxième production d’Alpha x Omega pour l’année 2014, l’officier des Sciences et TechnologiesKaoru Niimi rejoint sa copine Harada Makoto du même fabricant, au sein de la collection Yamato Girls Collection, qui atteint déjà six pièces produites (pour l’instant seulement par MegaHouse).

Lascivement appuyée sur une rambarde, Kaoru nous fait profiter de sa jolie silhouette bien mise en valeur dans sa combinaison bleu. La sculpture est soignée, les peintures sont impeccables. Le visage de Kaoru est vraiment délicieux (je craque pour les coupes de cheveux courtes) et son exquise bouche ne me laisse pas indifférent. C’est réellement un point fort de cette réalisation. Autre point important, les possibilités de display de la figurine. La pose où elle tient sa tablette est très jolie, mais je dois dire que j’ai un faible pour celle où elle approche sa main de sa paire de lunettes.

Bien que je vais faire l’impasse sur cette réalisation, c’est une bien jolie pièce que nous propose Alpha x Omega dans la gamme Yamato Girls Collection, qui possède réellement de sérieux atouts pour séduire les collectionneurs. Craquez-vous pour le joli minois de Kaoru ? Ou avez-vous déjà succombé à l’une de ses copines ?

Dimension: 1/8ème (20 cm)
Sortie: Juillet 2014
Prix: 9800¥ (70€)

© Space Battleship Yamato 2199 Production Committee

http://www.alphaomega-web.jp/product/14/07_1/index.html

Preview de la Beach Queens Nishizumi Maho !

Et c’est reparti pour une Beach Queens sur la licence Girls und Panzer ! Avec un air plus sérieux que le reste des adaptations passées, Nishizumi Maho est plutôt pas mal mais sans plus. Comme d’habitude, la réalisation reste simple sans beaucoup de finesse. Mais Wave ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et a d’ores et déjà prévu l’adaptation d’autres personnages tels que Anchovy, Katyusha, Kay et Nonna. Il y aura de quoi remplir votre vitrine si vous collectionnez les Beach Queens de Girls und Panzer.

Nom : Nishizumi Maho
Origine : Girls und Panzer
Éditeur : Wave
Sculpteur : Maruhige
Dimension : 1/10 (16 cm)
Sortie : Octobre 2014
Prix : 4600 ¥ (32,90 €)

© GIRLS und PANZER Projekt

http://www.hobby-wave.com/LINE_UP/kanseihin/2014/maho/index.html

Nouvelle Beach Queens sur la licence Aoki Hagane no Arpeggio: Ars Nova : Takao !

Après Iona, voici que débarque Takao en Beach Queens, mise en précommande ce matin, et qui est plutôt sympathique mais pas exempt de défauts. La pose est simple mais plutôt efficace avec son bras droit tendu, sa main gauche à la hanche et les jambes écartées. Son maillot de bain colle bien avec ses longs cheveux bleus (avec un espèce de tourbillon derrière). Par contre, il y a la jambe droite, tournée vers l’intérieur, qui me paraît assez bizarre, ainsi que le sourire que je trouve pas très réussi. Néanmoins, cette version en maillot de bain pourrait contenter les fans de la demoiselle, qui a bénéficié de très peu d’adaptations.

Nom : Takao
Origine : Aoki Hagane no Arpeggio: Ars Nova
Éditeur : Wave
Sculpteur : Bifuru
Dimension : 1/10 (16,5 cm)
Sortie : Septembre 2014
Prix : 4800 ¥ (34,35 €)

© Ark Performance, Shonengahosha, Arpeggio Partners

http://www.hobby-wave.com/LINE_UP/kanseihin/2014/takao/index.html

Avant de commercer, information importante en image concernant le 900e article de Néant Vert qui arrive bientôt: 

L’article 900 aura besoin de VOTRE imagination alors cliquez sur l’image pour en savoir plus.

Ceci étant dit, il est temps pour moi de parler de cinq AMV récents qui déchirent bien comme il faut. Et y’en a de la qualité ces derniers temps, surtout avec l’AKROSS qui vient de se terminer. Pour rappel, il s’agit d’un concours russe assez huppé ou participent pas mal de très très talentueux amv maker. C’est un peu un des tournois du Grand Chlem des AMV avec Japan Expo et, euh, une convention américaine dont je me souviens plus du nom, là tout de suite.

Bref, commençons avec cinq des nombreux AMV qui m’ont tapés dans l’oeil ces six derniers mois:

Cockaine

• Auteur: Centurione
• Anime utilisé: Hyouka
• Musique: Royal Republic – Addictive
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Je vous l’ai raconté y’a quinze jours: j’avais laissé tomber Hyouka y’a presque deux ans et j’en avais conclus que la série était bof. Puis un truc m’a donné envie de retenter ma chance avec cet anime. Ce truc c’est cet AMV.

Il est SUPER efficace. La chanson utilisée est très cool (enfin c’est mon style), le montage est impeccable dessus et, oui, effectivement, le coco a remarqué la tension sexuelle régulière entre Chitanda et Oreki pour l’emphaser et l’exagérer de manière ultra travaillée. Le montage est plutôt bien fait, les effets pas envahissants, y’a de l’idée, un super rythme, une bonne continuité et nom de dieu ces quinze secondes finales sur le refrain de la chanson. 

C’est un de ces AMV que je me remate souvent en boucle juste pour le plaisir et dont je n’arrive pas encore, huit mois après l’avoir vu pour la première fois, à vraiment m’en lasser. C’est du bon boulot. Je m’écouterais je le timerais pour la Toyunda d’Epitanime. Juste pour chanter fort « dic-dic-dick » comme l’homme mature et adulte que je suis devenu.

(Et c’est pour ça que Chitanda & Oreki c’est mon one true pairing de Hyouka. Je vois pas pourquoi Oreki irait sexer avec la fille du club de cinéma, hein.)

Ninja Re Bang Bang Monogatari

• Auteur: fo
• Anime utilisé: Bakemonogatari & co
• Musique utilisée: Kyary Pamyu Pamyu – Ninja Re Bang Bang
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A partir de là on a deux AMV qui ne parlent plus de drogues mais dont il paraît évident que les auteurs en consomment sans modération. Oui je sais c’est chiant cette vanne du « haha ce mec est très créatif = il se drogue à donf parce que c’est évident qu’on peut pas être créatif sans drogue hahaha » mais là c’est un peu obligé. Et donc cet AMV…

… EST ENCORE DU MONOGATARI, PUTAIN. C’est l’anime le plus surutilisé de toute l’histoire des AMV et pourtant y’a des trucs genre Evangelion ou Suzumiya Haruhi no Yuutsu qui sont bien spammés aussi. Rien qu’a l’Across cette année on a du avoir cinq ou six AMV sur Monogatari. C’est ouf. Je veux bien comprendre que la série est suffisamment « créative » visuellement pour inspirer les AMV makers mais là c’est proche de l’absence totale de courage.

Du coup le bon coté, c’est ce que je disais en présentant l’excellent AMV LoveStruck en juillet dernier, c’est que quand un AMV Monogatari sort du lot et bah du coup on est assuré qu’il soit excellent. Ninja Re Bang Bang Monogatari sort grave du lot avec une esthétique ultra colorée et plutôt sexy, une chanson qui met grave la patate, des effets de style amusants (j’aime bien le jeu avec les paroles de la chanson qui s’inscrivent dans la vidéo) et un rythme très très bien maîtrisé. C’est solide, c’est ultra fun et ça met le sourire donc allez, ça passe.

Mais ça serait bien de passer à autre chose les AMV makers. Si possible pas du SHAFT non plus. Si vous spammez Nisekoi pendant les trois prochaines années je vous nique votre ra… * pense à Onodera * … hummmm, non ça va en fait, faites faites.

A Piece of Toast

• Auteur: Baka Oppai
• Anime utilisé: AKB0048, Angel Beats!, Bakemonogatari, Beck, Chuunibyou demo Koi ga Shitai!, Durarara!!, Galilei Donna, Guilty Crown, Hunter x Hunter, Interstella5555, K-on!, Kannagi, Kill La Kill, Kyoukai no Kanata, Love Lab, Lucky Star, Macross Frontier, Magi: The Kingdom of Magic, Magi: The Labyrinth of Magic, Mawaru Penguindrum, Mikakunin de Shinkoukei, Nichijou, Nisekoi, Panty & Stocking with Garterbeit, Sakura Trick, Senki Zesshou Symphogear, Space Dandy, SoniAni, Suzumiya Haruhi no Yuuutsu, Tasogare Otome x Amnesia, TTGL, The IdolM@ster, Toki wo Kakeru Shoujo, Uchouten Kazoku, Uchuu Kyoudai; Wake Up, Girls!; White Album 2, Witch Craft Works, Yuru Yuri, Yuyushiki
• Musique utilisée: sssShawnnnn – Pizza Rolls
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Yeeeeeeeeep. L’auteur a signé l’AMV de la phrase suivante:

« Anecdote rigolote: cette chanson mixe 53 chansons différentes et cet AMV mixe 40 animes différents. »

La musique reste quand même une barrière importante quant à l’appréciation d’un AMV. C’est difficile d’aimer un AMV avec une musique qu’on trouve au mieux médiocre. Ou qui n’appartient pas du tout à ses styles de prédilection.

Et bah A Piece of Heart réussit à sublimer ce que je considère être une chanson juste bonne à forer des tympans et possédant tout ce que je déteste dans la musique électro que je suis infoutu de classer parce que y’a plus de sous-genres que de kanjis japonais. Et pour ça il utilise encore une fois un excellent rythme, un travail ahurissant sur les transitions, des animes très variés et des tas d’excellentes idées. Je suis ULTRA FANBOY des passages ou les filles d’Idolmaster chantonnent les paroles. Par exemple. C’est un gros foutoir qu’il faut pas remater plus de deux ou trois fois d’affillée sous peine de choper la migraine mais c’est un excellent foutoir qui dit clairement aux gens comment faire un excellent AMV « random. »

Evangelion 0.33: Shinji did (not) have sex

• Auteurs: l33tmeatwad & snapxynith
• Anime: Neon Genesis Evangelion
• Musique: The Lonely Island – I Just Had Sex
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Si vous êtes pas ouf en compréhension de l’anglais oral passez votre chemin. Sinon, prenez juste votre kiff devant cet AMV qui est la preuve qu’on peut encore faire des bons AMV comiques de plus de deux minutes et que ceux-ci ne sont pas forcément obligés de se cantonner aux AMV Hell.

Mon passage préféré ? Le moment ou les paroles balancent un « the best thirties seconds of my life » et ou à l’écran le perso fait trois de la main comme si il était destiné à le dire. Le montage est impec, tout fait illusion, c’est drôle et c’est plein d’excellentes idées.

8/10 would bang again

Stop the Clocks

• Auteur: Gorz
• Anime: Steins;Gate (+ d’autres animes en caméo)
• Musique: Soulidium – Waiting
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Gorz est la personne qui a remportée l’Akross de cette année avec un très bel AMV nommé Fracture. Il est français en plus (ouaaais !!!) Mais étrangement, je préfère de lui cet excellent AMV Steins;Gate qui utilise à peu près les mêmes idées que Fracture (dont le même plan de l’horloge) mais sur une musique encore plus sympa et avec une construction émotionnelle que je trouve un poil plus forte. Puis y’a Steins;Gate derrière qui aide pas mal parce que qu’est-ce qu’il était super bien cet anime maintenant que j’y repense.

Le seul défaut est que c’est peut-être un peu trop long, ptet 30 secondes de trop. Peut-être.

Je ne m’attendais pas à ce que Nisekoi soit mauvais.

Ou plus exactement, oui, je pensais qu’il serait mauvais. Dans la façon cliché parce que dire; c’est normal, n’est pas pensé bien du truc. J’avais déjà vu quelque fois le manga lorsque j’avais le jump en entier et l’impression venu était juste une lovecome. Autant dire que je n’ai pas été trahi.

Nisekoi est une lovecome. Tu peux même aller plus en disant la lovecome. Le sujet étant qu’une lovecome réussie, est une chose n’ayant pas vraiment vu le jour.

Trouver un élément original dedans s'avère une tâche impossible

Le héros. Enfant de yakuza. Héritier. Il est normal, ne souhaite pas prendre la relève et a échangé une promesse avec une fille qu’il a connu durant son enfance dans un lieu éloigné.

Il fini par rencontrer l’héroïne lorsqu’elle lui tombe dessus avec une tranche de pain à la bouche. Elle est le nouvel élève transféré dans sa classe et ils commencent tout de suite à s’échanger des insultes. Rendant ainsi leur relation assez étrange tandis que le destin les force ensemble avec le héros s’occupant des animaux et la fille nommée pour le même poste ou encore ton gentil garçon de personnage principal prenant des notes pour elle.

Et finalement, leur parent décident qu’ils devront être ensemble pendant 3 ans pour éviter que les yakuza et le gang diriger par le père de la fille ne se fassent la guerre.

Elle est bien gentille mais c'est pas un pansement sur le nez qui empêchera une infection

Ouais, c’est Shaft. Donc c’est bien ? Pas forcément. Là, rien à dire. Une forte impression de Monogatari dedans avec une référence à Zetsubou Sensei. Vraiment une animation magnifique et c’est bien là le problème. Les deux séries précédentes ont quelque chose les différençant des autres, elles sont spéciales dans leur atmosphère et façon de faire des développements déjà à l’origine.

Sauf que Nisekoi, c’est normal. De façon directe, autant l’avouer, c’est juste hors de place ce genre d’animation pour un anime où il se passe rien de bien surprenant ou mystérieux. Tu sens juste que ça ne colle pas, va trop loin pour rien du tout au final. La fille racontant rien de bien grand et étant montrée comme si elle insinuait quelque chose tel le faisait toutes les filles de Monogatari, le mec étant dans un situation normale ne pensant rien de bien intéressant et commençant à paniquer tel le ferait le héros de toujours Monogatari lorsqu’il avait ses impulsions de lolicon.

Ca n’allait pas du tout ensemble. Juste une impression de malaise avec une dépense en budget inutile.

Héros. Lycéen. Ne comprend toujours rien à l'anglais

La première, c’est que c’est l’arrivée de la bible récente de la lovecome. C’est simple, tu prends ton bleu de l’animation, tu le mets devant Nisekoi : il a compris c’est quoi la lovecome de base. Tout est dedans. Tout est cliché. Tout est putain d’impossible que t’as l’impression que les personnages principaux se connaissent avant de se rencontrer ou encore qu’ils n’y a qu’eux au monde pour avoir tant de rencontres et drôles d’happening arrivant.

C’est LA lovecome pour les nuls. Tu as saisi Nisekoi, tu sais ce qu’est une lovecome.

Oui, normalement le monde n'est pas si beau ni si pratique

Dans le troisième épisode, il arrive à poser la question a la fille qu’il aime et avec qui il finira jamais parce que c’est une lovecome. Ca a l’air con comme ça, mais c’est juste impossible comme situation et aussi le seul moment dépassant le cliché. Non en bon point puisque la fille ne se trahi pas du tout et il lui pose subitement le problème comme si il avait réussi à deviner quelque chose alors que rien n’annoncer l’évènement. Autant prendre ta personne au hasard dans la héros et lui demander, ça revient au même du moment que la tranche d’âge est bonne.

Il semble d’ailleurs que d’autres filles avec la clef apparaitront par la suite. Encore un élément impossible typique de la lovecome. Ca fait tout pour traîner la série inutilement et de la façon la moins réalisable possible.

Il faut toujours plusieurs filles même si seul la première finit heureuse

C’est simple : Nisekoi n’a rien d’intéressant. Si tu es un nouveau venu, ça t’apprend ce qu’est une lovecome. Si tu connais déjà, à moins d’avoir des problème d’adaptation mental (non, pas forcément une mauvaise chose), tu t’ennuieras. Il n’y a absolument rien de nouveau.

Aller, on va tirer le sujet et dire que pour changer, la fille qu’aime le héros au début n’est pas si belle que d’habitude.

La vague déferlante KanColle continue chez l’éditeur au bon sourire avec une figurine 1/8ème de Shimakaze.

Difficile de passer à côté du phénomène Kantai Collection, jeu vidéo free to play du type jeu de cartes online. Collectionnite aïgue et crafting sont les maîtres mots de ce jeu où de célèbres navires de guerre sont iconographiés par des personnages féminins bien MOE! Et bien des épreuves vous attendent si vous souhaitez vous lancer dans ce browser game japonais. Espérons que si le phénomène s’accroît encore, une ouverture à l’international soit engagée. Découvrons pour le plaisir, une petite vidéo de gameplay!

Le personnage de Shimakaze, représentation du destroyer japonais filant comme le vent, est la plus célèbre de toute la clique. Toujours accompagnée de Rensouhou-chan, notre petite blonde reconnaissable entre mille avec son grand noeud dans les cheveux, son string noir et ses stockings à rayures blanches et rouges, débarque à l’échelle 1/8ème.

Depuis quelques jours Good Smile Company a ouvert à l’international les ventes de leurs premiers produits sous licence KanColle. Et je dois vous avouez que comme je craque totalement pour Shimakaze j’ai fait une razzia sur la nendoroid, la figma et le petit jouet mécanique… Ce matin mon porte-feuille a pris la même expression rigolote que Rensouhou-chan, comprenant parfaitement que je ne passerais pas non plus à côté de la figurine à l’échelle. Je fonds complètement pour cette Shimakaze cambrée et son sourire espiègle. La réalisation globale est impeccable, le décor constitué de l’armement de Shimakaze et de trois Rensouhou-chan est à tomber (difficile de résister à leurs petites bouilles). Bref, j’aime vraiment l’entièreté de cette réalisation, c’est un vrai coup de coeur. Cependant il est vrai que son prix relativement élevé peut refroidir un tantinet les collectionneurs. Mais comme on dit, quand on aime, on ne compte pas!

Dimension: 1/8 (24 cm)
Sortie: Août 2014
Prix: 13704¥ (98€)

© DMM.com / KADOKAWA GAMES All Rights Reserved.

http://www.goodsmile.info/en/product/4240/Shimakaze.html

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Découvrez les nouveautés de Good Smile Company et de Max Factory présentées lors du Goodsmile Won Hobby Night, en vidéo !

Good Smile Company a publié aujourd’hui une vidéo présentant les figurines dévoilées lors du Wonder Festival Winter 2014, avec la présence de Kahotan et Bird. On y retrouve les toutes dernières figurines, agrémentées de quelques anecdotes et détails sur leur fabrication, le tout dans la joie et la bonne humeur ! La vidéo est sous-titrée en anglais mais les textes sont faciles à comprendre.

Au programme, nous avons la présentation de :

• Ciel Alenson – God Eater 2 (Good Smile Company)
• Figma Inogashira Gorou – Kodoku no Gourmet (Max Factory)
• Psychic – 7th Dragon 2020 (Max Factory)
• Hatsune Miku Sakura Ver. – Vocaloid (Good Smile Company & Hobby Japan)
• Nendoroid Sakura Kinomoto – Card Captor Sakura (Good Smile Company)

Sur ce, bon visionnage !

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Chose rare, Nourin ne fait pas d’erreur dans son domaine.

Ca arrive à garder son rôle de comédie, usant de divers effets de l’animation pour donner naissance à un rythme dynamique et intéressant. C’était pas mal du tout et un type qu’on ne voit plus vraiment dernièrement dans le domaine.

Bien sûr, les minus du genre viennent aussi en même temps que le reste. Ca revient alors ensuite à une question de goût bien que je pense que certains ne doivent même pas se rendre compte de ce qui ne va pas dedans.

Ca bougeait énormément

Tu as ton héros, le fan de l’idole super populaire du moment. Ayant son dakimakura, ses posters, CDs, DVDs. Va savoir si il y avait des figurines dans le lot, c’est juste un de ces fan hardcore.

Il est lycéen d’une école agricole dans un trou plutôt perdu semble-t-il et ne fait que parler de cette idole tout en s’amusant avec ses deux amis, une fille et un garçon. Ils sont aussi les seuls du dortoir bizarrement et c’est durant leur discussion animée comme d’habitude qu’ils apprennent que l’idole arrête sa carrière. Un choque pour le monde et le héros.

Seulement, tandis qu’il est en train de perdre son but de faire pousser une culture agricole novatrice avec l’idole de ses rêves dans la vie, cette dernière se transfère dans sa classe et la vie de dortoir obtient un nouveau membre.

Il en parlait vraiment comme si il la connaissait

Silver Link amène tout son art pour rendre le tout dynamique. Il use de différentes techniques ainsi que de références à d’autres œuvres tout le long tout en abusant pas sur ces dernières de sorte à ce que même si on ne comprend pas quel est l’origine, on puisse en apprécier l’effet. Autant dire qu’en réalité tout le succès de Nourin vient presque grâce à Silver Link, ça n’aurait jamais été aussi drôle sans ce studio.

Le hic étant les petits personnages SD comme au-dessus trop utilisés. Sans être gavant pour autant, tu sens qu’ils sont nombreux. Ensuite vient le sujet des yeux, je ne sais pas si ils sont comme ça à l’origine dans le light novel mais ont un air stagnant faisant peur sur quelques scènes supposées être plus attirantes qu’effrayantes.

La quasi-totalité des effets amusants se retrouvaient sur les mecs seulement

S’ajoute ensuite les points faibles dans ce type de série qui sont dans les personnages féminins ne permettant pas autant la plaisanterie certainement par risque de les rendre moins attirantes (elles sont supposées l’être tout du moins). Ainsi tu as le rôle de l’osananajimi cachant pas vraiment ses sentiments et l’idole étant dans le personnage sans émotion tout en montrant très bien ce qu’elle pense par le combo animation/acte. Bien sûr, rivalité et affrontement dans le domaine agricole sans la moindre once de réalité. C’est juste un sur-être sans raison cette idole.

C’était loin d’être exceptionnel comme anime. On a juste droit à un bon moment avec une comédie qu’on ne voyait plus dernièrement.

Ils étaient tout de même incroyable

Ta petite idole est aussi complètement différente de l’idole qu’elle était. Ce qui ne décourage personne. Le sujet ne venant même pas. Elle débarque juste sans montrer ses émotions sur son visage alors qu’avant elle souriait tout le temps. Dans le genre radical.

Par contre, elle a toujours son charisme d'idole même si tu le sens pas

Ca reste tout de même amusement et appréciable. A chacun de voir.

Une petite meido Date-A-Live qui sait chanter, cela vous dit? Comme il n’y a pas eu d’autre Maid of the Day cette semaine, celle-ci est en réduction, a seulement 1 000 Maid Points. Clairement une grande affaire.

Steel Ball Run tomes 5 et 6 par Hirohiko Araki

La course se poursuit

La course Steel Ball Run bat son plein et de nombreux adversaires ont fait leur apparition.

Tous tentent de s’en prendre à Jayro, pour une raison qui échappe à Johnny.

Après un début de série sur les chapeaux de roue, Steel Ball Run a rencontré un petit passage à vide lors des précédents tomes (qui étaient néanmoins très réussis). Mais pas d’inquiétude, car avec les dernières parutions, le récit prend définitivement son envol en se lançant dans une intrigue qui s’annonce vraiment passionnante !

Le volume 7 est déjà disponible au édition Tonkam.

Résumé des tomes 5 et 6

Après la deuxième étape se déroulant dans le désert d’Arizona, quelle sera la suite de l’aventure pour nos héros ?

La 2ème étape touche enfin à son terme ! Comme lors de la 1re étape, Sandman, Jayro et Johnny sont au coude à coude juste avant l’arrivée ! Qui sortira vainqueur de ce combat acharné ? En tout cas, celui-là ne savourera pas sa victoire car, sans plus attendre, les concurrents enchaînent aussitôt avec la 3ème étape, destination de Cannon City !

Résumés de l’éditeur

Montée en puissance

Le premier tome de Steel Ball Run entrait rapidement dans le vif du sujet, en lançant la course et en amenant presque les coureurs au terme de la première étape.
Suite à ce départ sur les chapeaux de roues, la suite a été un peu plus lente, afin de faire entrer dans la course de nombreux nouveaux personnages et commencer à remettre en place les affrontements entre coureurs.

Avec ces 2 autres volumes, Hirohiko Araki nous donne maintenant un but, en présentant la vraie raison de l’existence de cette course.

La course à travers les États-Unis prend ainsi une toute nouvelle tournure et promet également quelque chose de très intéressant.

Bien sûr, tous les tenants et aboutissants de la course ne nous sont pas révélés, mais les informations distillées jusqu’à présent suffisent à relever l’intérêt des précédents volumes et donner une direction qui va s’annoncer intéressante pour la suite.

Sans en dévoiler énormément sur les révélations, on peut supposer que la quête du Graal va prendre de l’ampleur et donnera lieu à des affrontements toujours plus originaux. Reste à voir ce qu’il se passera quand toutes les parties auront été rassemblées ? Est-ce une quête dans le genre de Dragon Ball ? Nous avons encore beaucoup de mois de lecture devant nous avant d’en connaître tous les secrets, mais il y a beaucoup de questions que se posent le lecteur (ou du moins que je me pose).

Avec les nombreux personnages introduits précédemment, j’ai cependant trouvé dommage que les tomes 5 et 6 ne se concentrent plus que sur Jayro et Johnny, au détriment des seconds rôles pleins de potentiels.

Le groupe des héros reste ainsi très petit, alors que je l’imaginais déjà prendre de l’ampleur avec les coureurs présentés jusqu’à maintenant. Mais quoi qu’il en soit, les possibilités pour la suite sont nombreuses et c’est ce qu’il me plaît (de ne pas deviner de suite comment va évoluer le récit).
Cependant, malgré un regain d’intérêt dû aux révélations sur la course, je dois avouer avoir été un peu déçu par la tournure prise pour le 6ème tome.

En effet, le Stand de Dio est complètement tiré par les cheveux, mais là c’est vraiment décevant. Je vais tout de même attendre la fin de l’affrontement pour trancher, mais disons que je ne trouve pas très original cette représentation du pouvoir de Dio.

Tout cela est d’autant plus dommage, que pleins d’autres idées sont mises en avant, avec une véritable chasse au trésor et un enjeu qui semble être de taille.
L’adversaire de cette saison a également été introduit et il réserve tout de même quelques surprises.

Je reste persuadé que l’on va encore apprendre de nouvelles choses dans les prochains volumes à son sujet, qui pourraient par exemple expliquer le choix de cette personnalité. Néanmoins, le personnage est intéressant et j’espère que l’on pourra le voir durant un affrontement contre le groupe de héros de l’aventure.

Au contraire, l’adversaire qui se frotte aux héros dans le volume 5 dispose d’un Stand vraiment intéressant et bien utilisé. Et quand on connaît l’aura de Dio dans les précédentes saisons, c’est presque dommage de lui avoir donné un Stand aussi moyen (en terme de représentation surtout)

Sur la partie graphique, le résultat est toujours à la hauteur de l’auteur. Les personnages sont maintenant bien définis et les derniers volumes changent un petit peu de décors pour proposer un environnement un peu plus détaillé.

Il est surprenant de voir l’intérêt que je porte pour la série JoJo’s Bizarre Adventure, car après chaque lecture de nouveaux tomes, j’attends toujours avec impatience la suite, enchanté par le moment de lecture que j’ai passé. Et à chaque fois, je prends du retard, oubliant un petit peu ce qui m’a fait accrocher à la série, jusqu’à retomber dedans !
La folie JoJo’s Bizarre Adventure est donc cyclique, avec des moments sans, où l’absence de lecture ne manque pas, puis la passion revient et là, l’attente entre chaque volume devient très longue.

Cette 7ème saison de JoJo’s Bizarre Adventure est donc toujours d’un très bon niveau et continue de se dévoiler au fur et à mesure de la lecture.
De nouveaux enjeux ont fait leur apparition et la suite de l’aventure s’annonce intéressante.
On peut déjà se donner rendez-vous dans quelques mois, pour faire un nouveau point d’étape sur l’avancée de Steel Ball Run !

Y a-t-il des lecteurs de Steel Ball Run ? Avez-vous découvert la série JoJo’s Bizarre Adventure avec cette nouvelle saison ?