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Ruru Berryz - In my Headphone #4 Special Anime Winter 2014

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Hello ! Me revoici ce mois ci aux commandes du Headphone, Otakyun et moi avons chacun un mois sur deux à faire, il faut bien s’alléger le travail de temps...

Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - Ascension tome 2, toujours plus haut

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Salut à toi lecteur,

Il y a quelques temps je vous présentais le premier tome d'un manga qui parlait d'escalade, si vous l'avez raté, vous pouvez jeter un oeil à ma chronique du tome 1 du manga Ascension.
Aujourd'hui, on va parler un peu de la suite des aventures du jeune Buntaro Mori. Bon j'avoue que je ne sais toujours pas quel est son nom et son prénom, donc des fois j'écrirais Buntaro et d'autres fois Mori, ne soyez pas perdu ;)

N'oubliez pas de cliquer sur le bouton "Lire la suite" pour voir l'article en entier.

Ascension tome 2

Ascension tome 2 chez Akata/Delcourt
Auteur: Shin-Ichi SAKAMOTO
Année: 2010
Editeur: Akata - Delcourt
Type: seinen
Nombre de volumes: 17 (série en cours)

L'histoire du tome 2 d'Ascension:

Après son élimination du concours d'escalade, Buntaro Mori rencontre un jeune homme qui lui fait fortement penser à un ami d'enfance.
Le garçon, Keito Hara, est un grimpeur qui ne pratique que l'escalade en solo. En apprenant cela, Mori se dit que c'est exactement ce qu'il veut faire: pouvoir être libre de grimper seul, quand il le souhaite, sans devoir supporter d'être avec d'autres personnes.
Pendant ce temps là, c'est au tour de Miyamoto, le camarade de classe de Mori de tenter d'escalader la paroi du concours.
Miyamoto est super remonté et son esprit de compétition est au maximum après avoir eu vent de la performance de Buntaro qui pourtant est débutant. Il va donc se lancer sur la paroi en suivant l'ombre de son concurrent.

Grace à sa performance, l'école aura le droit d'ouvrir un club d'escalade. Avec ce club tous pourront s'entrainer au gymnase quand ils le souhaiteront. Et en plus, cela permet d'organiser des sorties en montagne pour pratiquer sur de vraies parois.
Malheureusement une des sorties ne va pas très bien se passer et Buntaro va se lancer seul et sans sécurité sur une paroi très compliquée et sur un chemin qui n'avait pas encore été ouvert.

Mais pourquoi partir seul en laissant de côté sa propre sécurité?
Quelles conséquences ce coup de tête pourra t'il avoir?

Ascension Tome 2: Buntaro doit choisir sa voie

Ce 2eme tome des aventures du jeune Buntaro Mori, qui découvre l'escalade possède une couverture dans les tons bleus et blanc, comme le premier tome. On y voit un portrait du jeune héros et quelques flocons bleus qui entourent le numéro du manga. Encore une fois cette couverture est très hivernale, alors qu'il n'y a pas de neige dans l'histoire.
Les 4 premières pages sont sur papier plastifié, mais seule la première est en couleur, avec une illustration que l'on retrouve sur le 4eme de couverture.
Le reste des 228 pages de ce 2eme tome est en noir et blanc sur du papier recyclé classique. Les chapitres sont séparés par une page intercalaire sur laquelle on retrouve juste le titre du manga.

Comme pour le premier tome et ce qui devrait continuer sur cette série, le dessin est très détaillé. Les personnages ont toujours un long cou (vous pouvez le voir sur l'image au dessus) et le dessin des montagnes est des parois est réalisé avec soin.
Ce 2ème tome continue de mettre en place la personnalité des personnages principaux. On en apprend un peu plus sur Buntaro et sur son caractère et on découvre un Miyamoto ultra compétiteur.

A la fin du manga on retrouve un glossaire expliquant certains termes techniques et l'interview de Yuji Hirayama, un grimpeur japonais ayant ouvert de nombreuses voies.

Ascension tome 2: toujours plus haut, toujours plus loin

La critique de Juju:

La lecture de ce 2eme tome est assez facile malgré quelques termes techniques. Ceux là sont un peu moins présents que dans le 1er tome.
L'histoire avance tranquillement et la sortie à la montagne permet de rajouter un peu d'action et de suspens à l'histoire pour tenir le lecteur en alerte.

Un 2eme tome plutôt bon où on va pouvoir trouver une grosse remise en question de Mori et qui laisse planer le doute sur ce qui va suivre.

Toujours plus haut... Toujours plus loin!


Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - Le vent se lève (Kaze Tachinu)

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Affiche du film: Le Vent se lève des studios Ghiblis par Miyazaki
Jiro est un jeune garçon japonais qui rêve souvent d'avions. Malheureusement il est myope et ne pourra pas réaliser son rêve de devenir pilote.

Un jour, il lit un magazine qui parle de Giovanni Caproni, un concepteur d'avions italien très célèbre. A partir de ce moment les 2 personnages vont partager leurs rêves et Jiro va alors décider de devenir ingénieur en aéronautique.

Quelques années plus tard, nous le retrouvons jeune étudiant à la fac. A cette période il va faire la rencontre d'une jeune fille lors d'un séisme dans le Kanto en 1923. Ce n'est que des années après, alors qu'il est entré dans une entreprise d'ingénierie et qu'il se rapproche de son rêve, qu'il va retrouver la jeune fille, lors d'un voyage à l'étranger.
Nahoko, comme elle s'appelle, et Jiro vont alors tomber amoureux, mais la jeune fille est malade. Atteinte de la tuberculose, leur histoire d'amour n'en sera que plus touchante.

Le vent se lève, il faut tenter de vivre...


La phrase "Le vent se lève, il faut tenter de vivre" revient dans le film, comme une rengaine tout au long des 2h de l'animation.
Ce vers est tiré d'un poème de Paul Valéry: le cimetière marin.
Le film de Miyazaki s'inspire également d'un roman japonais du même nom: Le vent se lève (Kaze Tachinu) qui raconte l'histoire d'une jeune femme malade et se déroule dans un sanatorium de Nagano.

Dans ce film d'animation des studios Ghibli on retrouve donc en trame de fond l'histoire du roman, mais le sujet principal parle de la vie de Jiro Horikoshi, le concepteur japonais ayant créé l'avion de chasse utilisé par les kamikazes japonais lors de la seconde guerre mondiale, le "chasseur Zéro".

Contrairement aux autres films de Hayao Miyazaki, le Vent se lève est réaliste.
D'ailleurs je pense que ce n'est pas un film destiné aux enfants, mais plutôt aux adultes. Déjà, le thème abordé n'est pas très enfantin, mais en plus, tout au long du film, Jiro et son ami Honjo fument cigarette sur cigarette, et la mise en scène de la maladie de Nahoko est assez dure.

Le scénario contient quelques longueurs, mais ce qu'on ne peut pas enlever à ce film d'animation, c'est la beauté des paysages et le travail sur les décors et les machines. Miyazaki aime bien mettre en scène des locomotives ou des engins volants et à vapeur. Nous n'avions d'ailleurs pas vu d'avion comme dans le Vent se lève depuis Porco Rosso au début des années 90.

La rencontre de Jiro et Nahoko, le vent se lève

La critique de juju:

Ce dernier film de Miyazaki ne sera certainement pas celui que je retiendrai et qui me restera en mémoire le plus longtemps, et pourtant j'adore le travail du maître et des studios Ghiblis.
J'ai trouvé le film long!
Le spectateur est un peu perdu dans le temps. Jiro rentre dans l'entreprise d'ingénierie et la minute d'après il nous dit que ça fait 5 ans qu'il y est...
Certains évènements historiques doivent permettre aux japonais de s'y retrouver, puisqu'on trouve le tremblement de terre du Kanto, la crise financière et l'épidémie de tuberculose. Mais pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire du Japon par coeur, c'est compliqué.
On se perd aussi un peu dans le lieu. A certains moments on ne sait pas si le personnage se trouve au Japon ou à l'étranger.
Il est parfois aussi difficile de faire la différence entre les rêves de Jiro et la réalité qui ont tendance à se confondre, surtout lorsqu'il rêve éveillé.

Au final, je ne suis pas forcément d'accord avec la plupart des commentaires qui placent ce film comme un "chef d'oeuvre" et encensent "l'utlime film de Hayao Miyazaki". Même si on suit le rêve du personnage principal et qu'on le voit se réaliser, je trouve que ce film manque de la magie qu'on a l'habitude de trouver dans les films du maître.
Heureusement que la musique vient un peu relever l'ensemble, mais à mes yeux, ce n'est pas suffisant pour faire du Vent se lève, un bon Miyazaki!
Je terminerai sur une citation du film:
Le pic de créativité ne dure jamais plus de dix ans...

La bande annonce du film - Le vent se lève:


LE VENT SE LEVE - Bande-annonce VF


Ik` Ilote 4 - Gérer sa collection de manga avec un nouveau design

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J'arrive enfin au bout de mon objectif pour Collection, et le design spécifique à la section en faisait partie. Il reste encore quelques retouches, mais le plus important est fait. D'ailleurs, j'en suis arrivé au point où je me sers de cette section pour gérer mes achats à venir.
Pour l'instant, je ne rentre que les séries que je suis, que j'ai fini et celles dont je viens à parler indirectement grâce aux anime. Ça prend du temps, plus de 2 000 références sont actuellement dans la base de données et je sais que j'ai plus de 2 600 (la dernière fois que j'avais une liste, il y a plusieurs mois) dans ma bibliothèque. Il m'en reste encore un paquet à rentrer, principalement les séries avec peu de tomes.
Pour le moment, la page de profil ressemble à ça, mais ça pourrait changer :

Mon profil actuel.
Il ne me reste plus qu'à remplir la base. Je sais qu'avec si peu de titres, je ne fais pas le poids face à d'autres gros sites, mais je ne cherche pas spécialement à leur faire concurrence, le but été surtout d'avoir exactement ce que je voulais. De plus, j'ai fait en sorte que l'interface visiteur soit entièrement en trois langues (même si ça reste perfectible sur les traductions). Je l'ai fait parce que je remarque que j'ai toujours plus de visiteurs dans dans les interfaces anglaise et japonaise que française. Par souci de cohérences, j'ai tout traduit.
Comme d'habitude, si vous avez de remarque à faire, elles seront les bienvenues. Pour ajouter ou modifier la base, il suffit d'avoir un compte sur ce site.

Chris†Diary - Mahou Sensou

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Mahou Sensou c’est un peu le titre grandiose ne cachant en fait rien d’autre que ta typique lovecome avec un peu d’histoire tenant difficilement la route ici et là.

Difficile d’appeler ça une déception, ça te laissait juste sur le cul tellement les développements étaient ridicules pour une action supposait dessiner une guerre entre autre. Ca donne presque l’image d’une romance entre un soldat et une infirmière à ce point.

Par contre attention, je ne m’en plains pas. Plutôt, ils auraient dû faire plus de lovecome vu le résultat qu’il affiche dès qu’il passe en histoire.

C'est que t'avais vraiment l'impression qu'il y avait quelque chose derrière au début

Le héros tombe sur une fille lors des vacances d’été alors qu’il se préparait à faire ses activités de club. Elle est pourchassée par une bande de magicien ce qui poussera à la confrontation où il se découvrira des pouvoirs lui aussi.

Ils vont réussir à s’en sortir mais suite à cette rencontre : le héros et ses deux amis vont se retrouver magiciens à leur tour sans pouvoir continuer leur vie actuelle, ils sont amenés dans une école de magie où ils choisiront de rester pour apprendre à maîtriser ce don.

L'habituelle d'une fille tombant du ciel version placard

Mahou Sensou est de la merde dès le début.

Le héros est dans une famille sombre. Tu vois le visage de la mère en haut, elle n’a pas l’air tranquille. Le frère l’ignore. Pas de discussion. Il dit qu’il préfèrerait aller en enfer pour quitter cet endroit. Propos montrant qu’il ne connait rien du monde puisque son foyer est loin de rivaliser avec d’autres m’enfin, le problème étant que un épisode plus tard tu revois la même maison avec la mère et le frère parlant normalement. Le frère devient ton gars lambda tandis que la mère a juste une tête contrariée.

C’est bien loin de l’image que tu m’as foutu au début ça. Dans le genre t’essaie t’aggraver le truc, c’est bien réussi.

Le sujet des frais de réparation n'est évidemment pas abordé

Ca continue avec la rencontre. Tu connais, le destin tout ça. Pile lorsque le gars va ouvrir la porte de son club, celle d’à côté s’ouvre avec la fille qui tombe.

Puis t’as tout le légendaire. L’impassable. La promesse de la fille se jetant dans les bras du mec pour le kicker sur le mur la seconde d’après tandis que ton maso de héros ne dit rien. Mahou Sensou ira plus loin puisqu’ils finiront par s’embrasser ! Et ils vont s’en souvenir de ce baiser accidentel puisqu’il reviendra sur le tapis par la suite alors que tu l’avais déjà oublié.

Les méchants vont alors arriver après leur série d’happening. Prend une pause parce qu’il faut encaisser le mauvais jeu du développement : le méchant lance un papillon pour trouver l’héroïne (genre de sondeur), la fille le détruit sans viser alors que le truc était à son dos (elle a des yeux derrière la tête) et pile lorsqu’il éclate, le méchant se pointe. Putain, il sert à quoi ton papillon si t’es juste à côté ?

Ca c’est le genre de développement juste pas possible que tu vas retrouver tout du long.

Je sais pas comment il s'y est pris pour réussir à dévier l'épée de cette façon

Cela dit croire que Mahou Sensou s’arrête là est sous-estimer l’anime grandement.

Avec l’arrivée des méchants commence le combat. Le héros faisant face à l’un d’eux (les autres regardent, popcorn à la main) grâce à son kendo. 3 points. Le premier que tu remarques tout de suite est que son épée en bois est bien résistante parce que l’autre il a du métal avec une lame et pourtant pas une égratignure sur le bois du gars. Le deuxième est que c’est tout simplement pas du Kendo les mouvements de ton héros. Il a juste la pose de départ piquée du sport.  Et la troisième est que même ton champion lycéen il arriverait pas à tenir de façon aussi sereine face à une vrai lame et tant d’échanges intenses.

M’enfin comme c’était pas assez, les gars s’échappent et tandis que le lycée et tout petit et que les héros se cachent de façon super évidente : ils arrivent bien à prendre 5 minutes pour les trouver.

C'est des abeilles qui transpercent. Elles ne piquent pas

Ca continue avec l’amie d’enfance commençant à demander des comptes comme si le gars était son copain. Ca existe ce genre de filles, c’est juste qu’elles sont obligatoires dans l’animation alors qu’en réalité rares.

Le combat prend avec un nouveau mec mourant parce que tu ne peux pas user ta magie sur un non utilisateur. Là, tu comprends que le pauvre gars est usé en tant qu’exemple parce que peu importe comment tu réfléchis, un mec entrainé n’est pas supposé faire pareil erreur et deux lycéens ne peuvent rester calme devant la mort d’un gars sous leurs yeux. Et puis autant le rajouter mais t’as l’héroïne protégeant l’amie d’enfance (image au-dessus) et pourtant seul cette dernière finie blessée tandis que celle devant servant de bouclier est intacte. C’est quelle logique qui fonctionne ?

Après ça, ça repart en bambou VS metal. Le héros n’ayant aucun appuie tout en réussissant à encaisser par miracle. Toujours n’importe quoi avec le travail d’équipe héros/héroïne, l’adversaire voyant bien qu’elle prépare quelque chose tout en ne faisant rien comme par hasard. Le héros visant un point faible pouvant facilement tuer alors qu’il est juste un type normal et jusqu’à preuve du contraire tuer n’est pas faisable normalement.

Que de l’impossible.

La magie c'est mettre des paillettes sur les objets

Après c’est lovecome stupide et habituelle avec méchant derrière sans raison si tu prends en compte le niveau de danger des héros pour leur association. La réalité derrière les problèmes de famille est aussi ridicule, le mec parlant tranquillement puis jetant toute la faute sur son petit frère lorsqu’il apprend que la fille sort supposément avec lui.

La logique derrière la séparation mage/normal est aussi n’importe quoi. Genre, les humains avaient peurs. Oui, certes, après tu vas pas me raconter que personne va étudier et utiliser pareil puissance chez les gars ne l’ayant pas non plus ? Tu vois facilement les pays user de la magie comme puissance militaire par exemple.

Tandis que devenir mage si un mage use de magie à côté comme condition, c’est… Etrange que la planète entière ne le soit pas.

Dans le genre réflexe pas du tout naturel pour tordre le développement

Pas la peine d’aller plus loin, Mahou Sensou était une belle merde. Le coup de la magie ne sert à rien d’autre que te faire un setting impossible (des gamins pouvant partir si facilement et sans problème de leur vie quotidienne ?).

La guerre est aussi prétexte à combat sans pour autant se demander si des gamins débarquant sont supposés en faire parti. Puis la lovecome habituelle entre les deux. Autant faire seulement lovecome, ça aurait été moins désastreux.

C'est que t'avais vraiment l'impression qu'il y avait quelque chose derrière au début[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_03.13_[2014.02.18_11.39.59]L'habituelle d'une fille tombant du ciel version placard[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_05.25_[2014.02.18_11.42.25]Le sujet des frais de réparation n'est évidemment pas abordé[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_09.11_[2014.02.18_11.49.13]Je sais pas comment il s'y est pris pour réussir à dévier l'épée de cette façon[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_12.11_[2014.02.18_11.53.00][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_13.58_[2014.02.18_11.54.57][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_16.09_[2014.02.18_11.57.35]C'est des abeilles qui transpercent. Elles ne piquent pas[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_16.37_[2014.02.18_11.58.14][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_17.07_[2014.02.18_11.58.56]Encore une erreur qu'un mage entraîné ne peut pas faire[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_19.24_[2014.02.18_12.01.55][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_20.23_[2014.02.18_12.03.21][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_20.57_[2014.02.18_12.04.19][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 01 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_23.53_[2014.02.18_12.07.34][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 02 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_00.15_[2014.02.18_12.08.27]La magie c'est mettre des paillettes sur les objets[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 02 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_04.09_[2014.02.18_12.12.38][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 02 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_06.23_[2014.02.18_12.15.20]Le mec n'a pas hésité plus d'une seconde pour abandonner sa fille[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 02 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_12.17_[2014.02.18_12.23.43][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 02 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_12.23_[2014.02.18_12.23.51]D'où elle a pris une arme à feu pareil ? Fait sur mesure ?Va savoir qui est l'idiot à avoir créé une épée si peu pratiqueLe légendaire coup de la voiture servant à rienLa magie de rendre sa poitrine énorme ?[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_04.07_[2014.02.18_14.02.39]Je l'attendais celui-là[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_05.35_[2014.02.18_14.04.20]... Ils sont toujours obligés de la faire celle-làSubitement, la place des personnages changent devant les circonstances de la lovecomeGentille la fille de ne rien dire lorsqu'on lui jette sa nappe et cartes par terreDans le genre réflexe pas du tout naturel pour tordre le développementPassé traumatisantLe héros rejette tout sur le gars alors qu'il n'a rien fait de mal de toute évidence[Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_19.39_[2014.02.18_14.21.54][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_20.09_[2014.02.18_14.22.31][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_22.13_[2014.02.18_14.25.07][Leopard-Raws] Mahou Sensou - 03 RAW (TBS 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_24.23_[2014.02.18_14.27.30]

Shadonia - Modification de thème

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Il a encore frappé ! Aujourd’hui, l’équipe de Shadonia vous présente son nouveau thème !

Il est tard, mais nous voyons enfin le bout du tunnel… Enfin, on voit plutôt les lumières le long des parois car il nous reste encore beaucoup de choses à faire avant que le site soit 100% terminé. Si nous avons décidé de le lancer dès maintenant c’est que, normalement, il n’y a plus rien qui pourrait gêner dans la consultation et que nous préférons éviter de laisser le site trop longtemps inactif. En effet, on voudrait éviter que Google décide de nous virer de son référencement…

Alors un nouveau thème… Oui, cela fait déjà un mois que Shad’ avait envie de changer, malgré un changement en septembre, mais surtout qu’il avait trouvé LE thème de ses rêves. Jusqu’à présent, j’avais décidé de freiner ses ardeurs en utilisant le prétexte du bouclage du Shadonia Magazine 9, mais voilà l’impression de ce dernier a été lancée mercredi… Cette envie de changement lui vient du fait qu’il trouvait que le site n’était pas assez raccord par rapport aux deux nouvelles plateforme et surtout qu’il faisait moins classe que ces deux dernières. Le thème a été sélectionné pour sa façon de mettre en avant le contenu visuel, ses possibilités de mise en page et bien d’autres petites choses encore qui s’avèrent assez sympathiques. Pour vous aider à vous y retrouvez, j’ai décidé de vous faire quelques screenshots.

Mise en page de l’accueil

HomepageShadonia1HomepageShadonia2

On commence par le découpage de l’homepage, qui est un poil plus longue que la précédente, la faute aux nombreuses grandes images :

A– Menu déroulant (avec un affichage et une couleur différent selon la catégorie), B– Bloc À la une (une sélection d’article qu’on souhaite mettre en avant), C– Bloc Previews (les six dernières previews des catégories Figurines, Dolls et Toys), D– Bloc Reportage (cinq derniers articles de la catégorie mère Reportage), E– Bloc Shadonia Magazine (les deux derniers numéros du Shadonia Magazine), F– Bloc Photographie (derniers articles de la catégorie mère Photographie sous la forme d’un slider), G– Bloc Reviews (six dernières reviews), H– Bloc Derniers Articles (trois derniers articles des catégories qui ne sont pas présentent sur la page d’accueil), I– Réseaux sociaux + Flux RSS

Mise en page des articles

Le nouveau thème étant très axé sur le visuel, il permet également de faire bien des choses. Ainsi, nous pouvons choisir la manière d’afficher la toute première image, que ce soit en mega plein écran, en plein écran ou comme c’était le cas avant. Il permet également de faire des mosaïques, ce qui s’avère assez joli lors de la réalisation de previews, reviews ou photographies diverses. Ci-dessous, je vous ai fait un screen du rendu sur trois exemples. À terme il faudra fixer le style de mise en page pour chaque type d’article et surtout les remettre en forme (mais là, ça va prendre du temps).

ExPreview2ExempleReviewExemplePhotoDD
En bref

Vous l’aurez compris, nous avons encore beaucoup de travail pour la mise en forme générale et surtout nous sommes dans l’attente d’informations du créateur afin de régler certains points. Mais concrètement, au moins le site est fonctionnel pour le moment. Nous espérons que vous apprécierez cette nouvelle interface. Comme d’habitude, n’hésitez pas à nous faire part de vos remarques dans la partie commentaires. Pareil, si vous rencontrez des bugs ! Bonne découverte à tous !

Shadonia - Concours Made in Asia

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Gagnez vos places pour l’édition 2014 du salon belge !

Du 23 février au 1er mars au soir, venez participer au concours Made in Asia 2014 afin de remporter des entrées journalières pour le salon (valable pour la journée de votre choix). Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit de relayer le lien de cette page (http://www.shadonia.com/site/blog/concours-made-in-asia/)  sur votre page Facebook ou Twitter et de remplir les champs ci-dessous. Dimanche 2 mars, nous effectuerons le tirage au sort, annoncerons les trois gagnants sur les réseaux sociaux et les contacterons par email afin d’obtenir leur adresse postale. Un grand merci aux organisateurs de Made in Asia pour nous avoir offert ces places !

Lots de ce concours
- Gagnant n° 1 : deux entrées
- Gagnant n° 2 : deux entrées
- Gagnant n° 3 : une entrée

Made in Asia

L'usine à problèmes - Ahoy etc.

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Un article par mois, c’est ma joie.

Salut, ça va ? Je suis pas mal occupé, ne rien avoir écrit ici depuis six semaines est une première, c’est assez symptomatique. Faut dire que l’actualité est un sacré bordel. Ça a tendance à se calmer – et à être éclipsé de force avec l’actu internationale – mais les cinq premières semaines de 2014 en France ressemblaient à un gloubiboulga conspirationniste, avec des gens qui défilent sans aucune conscience de quoi que ce soit, en disant des trucs du genre « le cumul des mandats m’a fait perdre mon boulot » ou « franc-maçons, démissions » – une espèce de rupture d’anévrisme générale, donc. Sur l’internet, on rigole bien avec les reptiliens et les illuminatis mais quand on voit que « le djendeur branleur de bébés » a failli devenir un truc, on se rend compte qu’on est pas les plus dingues du lot.

aaaaarrrrr bargle bargle

Et vous savez quelle intrigue de jeu repose sur cet esprit conspirationniste, au premier degré ? Assassin’s Creed. Depuis 2007, on a quasiment un volet par an sur cette grande saga bien trop feuilletonante pour son bien. Moi j’aime bien l’esprit feuilletonant et je la supporte depuis Brotherhood. Le 4, « Black Flag », a été annoncé alors que j’étais encore en train de jouer au 3. Une année pour monter un truc si vaste, soit le même lapse de temps qu’Amélie Nothomb met pour écrire un livre bof mais aussi le lapse de temps que les Thee Oh Sees ont pour sortir trois albums géniaux. C’est à la fois beaucoup de temps et peu de temps. C’est le temps accordé à une poignée d’individus à Montreal pour finir un open-world super grand. Faut pas s’étonner qu’ils soient remplis de bugs. (Enfin, non, il n’ont pas un an, mais ce planning stakhanoviste a toujours été impresionnant. Je doute fort que le 5 soit annoncé prochainement)

Bref. Revelationsétait le meilleur, III changeait un peu les choses mais était quand même bien chiant. Il fallait prescrire un peu de charisme à Connor pour le rendre intéressant et je le qualifiait de « bon mauvais jeu ». C’est marrant, parce que Black Flag c’est l’inverse : c’est un super jeu un peu foiré. Mon objectif du jour est de vous dire pourquoi et essayer de désamorcer cet amas de critiques « moui-pas-convaincu-c’est-six » car le jeu mérite  plus, à mon sens.

Bon, par contre, le scénario est un sacré bordel. On sent l’écriture par couches, les auteurs se dépatouillent sans jamais arriver nulle part et en écrivant un degré au dessus à chaque fois. Assassin’s Creed, c’est deux timelines – une du présent, où Desmond et son scooby-gang traversent le monde pour fuir les templiers mayas néo-colonialistes, et une timeline du passé où divers membres d’une confédération d’assassins franc-maçonniques quenellistes sautent partout, suivent des gens et font de moins en moins d’assassinats, c’est étrange. Dans le jeu précédent, on jouait avec Connor, mais aussi avec son papa Haytham dans une intro-tutorial qui durait deux ères glaciaires. Dans Black Flag, on se coltine Edward Kenway, père d’Haytham Kenway, etc. Pour une fois, on remonte un peu dans le passé mais ça ne se voit pas particulièrement puisqu’on change d’environnement. Cette fois, c’est Caraïbes, mer bleue et arbres touffus qui ont toujours le même pattern pour « être grimpés ». Je me comprends.

Edward Kenway est un pirate fringuant qui vogue sur les hautes mers et vole des trucs, parce que yo ho ho c’est ça la vie d’un putain de pirate. Une incroyable facilité de scénario le fait échouer sur un îlot paradasiaque avec un assassin. Il le fume pour une raison qui m’échappe encore, lui pique ses vêtements et prend donc son identité pour commencer une énième aventure complotiste qui finira dans une grotte mystérieuse où se trouve un mécanisme bizarrepunk qui prédit l’avenir, bref, les surprises ne sont pas folles folles. Il est intéressant de noter qu’on joue un assassin stagiaire qui maîtrise déjà toutes les techniques et qui a l’habituel réseau Réginesque – évidemment, Edward connaît déjà tout le gratin de la piraterie, Barbe-Noire, Rackam, James Kidd (OH MON DIEU C’EST UNE FILLE JE NE M’EN SERAIS JAMAIS RENDU COMPTE HAAAA) et va subir les habituels mécanismes rise and fall, rien de bien nouveau. Le jeu comporte son lot de cinématiques et de sous-intrigues dont on se fout pas mal MAIS certaines séquences réussissent encore à être émouvantes, bien mises en scène, il y a un truc à en tirer, une capacité que la série a toujours eu dans ses moments de bravoure. Enfin, quand elles ne se concluent pas par un Edward qui remet une capuche invisible.

La timeline du présent est aussi intéressante, sinon plus, que les habituels « brins d’Animus revisités ». Souvenez vous, à la fin du trois, [gros spoiler qui a ravi des générations entières], on se demandait un peu à quelle sauce on allait être cuisinés. Du coup on fait (presque) table rase et on se téléporte chez Abstergo, qui est maintenant une société-écran de divertissement. En gros, vous êtes un John Doe qui commence une carrière « d’animuseur » pro pour une grande production. Le parallèle avec Ubisoft est plus que souligné et vous allez vous retrouver, malgré vous, au cœur d’une autre intrigue reptiliano-secrète. Elle ne progresse qu’à des points précis et je l’ai trouvé particulièrement fascinante, surtout dans son habituelle manière de nous envoyer des pages et des pages de textes à lire pour ceux qui veulent. Bien sûr, les deux intrigues se croisent dans une non-fin absolue qui permettra des dizaines d’autres Assassin’s Creed mais il y a assez de méta pour rendre le truc intéressant. J’ai sincèrement été impressionné par quelques idées.

Puis on se rend compte à la fin du jeu que toute cette intrigue sert surtout à faire la promotion d’Assassin’s Creed : Liberation.

Huh.

Enfin. Le premier contact avec le jeu peut s’avérer difficile : le menu sent la nouvelle génération. Elle sent un peu des pieds. Quand tu vois ces cases partout façon Windows Surface, toutes ces offres pour des DLC, des time savers, le petit bouton Uplay et autres appeaux à microtransactions, tu te dis quand même « merde, si c’est ça la Ps/One… » (oui d’ailleurs j’ai fait ma copie sur 360 et c’est toujours très beau malgré des textures souvent foireuses) – c’est une démarche qui, je l’espère, n’est pas révélatrice de ce qui nous attend dans un futur proche.
Je disais donc que ce jeu est une tentative ratée de faire quelque chose de vraiment très bien. Ce « très bien », c’est l’open-world et ses mécanismes. Le ratage, c’est la campagne solo. Comme d’hab, on peut progresser à sa guise, cette fois dans les Caraïbes tout de même. Les zones ne se libèrent pas au fur et à mesure mais on a aucun intérêt à aller plus vite que la musique parce que les futurs « niveaux » sont toujours gardés par des vaisseaux trop évolués pour vous – j’y reviendrais. Faut bien faire progresser l’intrigue, souvent avec des mission dont les introduction ne fascinent pas, et les exigences in-game ne valent pas mieux : 80 % de la campagne solo consiste à suivre quelqu’un. En marchant, en courant, en se planquant dans les buissons, en dansant la Carmagnole, etc. Edward Kenway, stalker de l’extrême. Ce sentiment est exacerbé par une IA aux fraises qui continue de vous considérer invisible si vous êtes dans des herbes hautes qui dépassent vos chevilles.

Vraiment. Le truc est d’une redondance dingue. Les 20 % restants sont des assassinats qui ponctuent la fin d’une séquence (vous savez, avec la cible qui n’arrête pas de parler avant de mourir etc etc) précédé d’une séquence souvent pénible à boucler. C’est la cata sur ce pan du jeu et il va falloir faire gaffe pour la suite, messieurs.

MAIS. L’open-world est vraiment bon. Prenez ça comme un Wind Waker en moins lisse et en plus agressif. On récupère le Jackdaw, un fier rafiot qui bientôt se fera faire dessus les matelots du coin. On croise un navire, on lui tire dessus, on l’aborde, la première fois c’est extatique. Votre bateau se rapproche de l’autre, les marins s’activent, ton quartier-maître hurle n’importe quoi dans le genre « hissez les cacas d’oie », vous prenez de la hauteur et vous allez botter des culs, c’est sexy. Les ressources vous servent à accumuler de l’argent – qui a enfin de la valeur dans un Assassin’s Creed – et permettent d’améliorer le vaisseau, ce qui devient indispensable pour aborder plus gros que soit etc, le cercle vertueux. L’habituel mini-jeu de management permet, cette fois, de gagner plus de reales en envoyant sa flotte là et là. Same old shit, cette fois à gérer sur tablette pour ceux qui peuvent et qui en ont quelque chose à faire. Plein de petits éléments de gameplay : pécher la baleine, trouver des repaires secrets, glaner toujours plus de milliards de fragments d’Animus qui ne servent à rien et ne débloquent aucun succès, pourquoi, c’est maboulerie.
Y’en a qui valent le coup, notamment les chants à débloquer. Voguer et entendre tes hommes chanter les putes et le rhum est rigolo et rentre bien dans ce carcan arrrr ye olde ahoy meister hookers & adventure. Il y a de quoi faire entre deux missions chiantes et ça pallie avec cette éternelle imprécision totale du gameplay dans les sauts, les combats, parfois les deux. Pas simple de rester planqué quand Edward saute en plein dans ta cible au lieu d’aller se cacher dans les fourrés. Pas simple de faire un saut de 60 mètres alors que tu voulais juste grimper sur une branche plus haute.

Et Edward… disons qu’il a plus de personnalité que Connor et de sa monoexpression contrite mais ses motivation sont si floues, il rappelle un peu Niko Bellic. Moi vouloir argent et moi tuer tout le monde, aaaaarrrrr on ne vit qu’une fois. Sa backstory – il abandonne sa copine pour aller en mer – ne sert au final à rien et les connexions avec les autres Assassin’s tarde pas mal. Ça fait partie d’un ensemble scénaristique assez faible qui tend à prouver qu’histoire et gameplay ne s’équilibrent jamais bien dans cette saga. D’ailleurs, maintenant que le combat naval est devenu le pan central du gameplay, en quoi va consister le 5 ? J’aime bien ce sous-entendu sur le Flower Power. J’ai hâte d’incarner un hippie qui traîne avec Nixon, Carter et Reagan.

DONC. C’est pas mal. Plus passionnant que d’habite. Il est dommageable de devoir faire des concessions pour supporter un jeu en se disant que ça vaut le coup mais la série s’améliore un peu avec Black Flag. Faut juste abandonner l’idée d’une conclusion sur cette série. Bizarre de voir un tel plot twist à la fin du trois, comme si les cinq jeux précédents n’avaient servi à rien. Ubisoft, demerden sie sich, comme disait un de mes profs d’allemand.

P.S. : Oh et j’ai joué à une grosse moitié de Beyond et hahahahahahaha-
P.P.S : Inutile de vous présenter Twitch Plays Pokémon. C’est le truc le plus fascinant inventé depuis l’AGDQ.


Paoru.fr - Dimension W : Ô joie, voici le retour d’Iwahara !

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Dans la liste des mangakas de ma génération, je suis de près le travail de Yuji Iwahara, l’auteur du Roi des ronces,de Nekoten, du monde de Misaki ou encore de l’oeil du loup que j’avais traité de manière succincte aux débuts du blog. Après quelques années sans parution en France, l’auteur signe son retour avec Dimension W, œuvre de science-fiction qui met en scène un duo, un chasseur de prime et une jeune androïde, au cœur d’une avancée scientifique pleine de mystère, les coils.

L’œuvre a débuté en 2011 au Japon dans les pages du bimensuelYoung Gangan de l’éditeur Square Enix. Ce magazine publie ou a publié de nombreux succès de l’éditeur Ki-oon : Übel Blatt, Jusqu’à ce que la mort nous sépare, Jackals et les œuvres de Tetsuya Tsutsui pour ne citer qu’elles. Dimension W compte actuellement 5 volumes au Japon, au rythme de 2 tomes par an, et le premier est sorti chez nous le 13 février dernier, aux éditions Ki-oon justement. Ce tome 1 est actuellement à gagner sur le blog donc si la chronique vous plait, rendez-vous ici pour tenter votre chance !

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Voilà pour les informations de base, en route pour la découverte de cette nouveauté et de son mangaka !

Bienvenue dans la quatrième dimension…

Au 19e siècle le célèbre scientifique Nikola Tesla devient l’un des père fondateurs de l’électricité, au même titre que Thomas Edison. Le 20 mai 1891, Tesla envisage pour la première fois le concept d’énergie gratuite : « Dans quelques générations nos machines seront animées grâce à une énergie disponible en tout point de l’univers.[…] [En effet,] dans l’espace, il existe une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique – et nous savons qu’elle l’est –, ce n’est qu’une question de temps, et l’humanité mettra en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature. »

En 2036, l’homme est enfin parvenu à exploiter cette nouvelle dimension où une nouvelle forme d’énergie semble circuler : la dimension W. Pour exploiter cette énergie inépuisable, l’homme a mis au point une technologie révolutionnaire, un dispositif à induction électromagnétique qui traverse les dimensions : le coil. Grâce à une soixantaine de tours érigées de par le monde, les coils reçoivent un apport continue d’énergie où qu’ils se trouvent sur le globe. Les anciens systèmes de production et d’acheminement de courant ou de combustible sont obsolètes… Le système global est né.

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Trente-six ans plus tard, cette manne est entre les mains de la toute puissante compagnie New Tesla. Bien entendu, un marché noir de coil s’est organisé et des versions illégales circulent. Pour mettre la main dessus, on fait appel à des récupérateurs. Dans la ville de Central 47 l’un des plus fameux se nomme Kyoma Mabuchi. Pour des raisons personnelles, camouflées derrière un lourd passé, Kyoma a une sainte-horreur des coils et de tout ce qui s’en rapproche. Il vit en ermite et fait figure de dinosaure avec une voiture qui roule encore à l’essence, un look de l’ère Edo et il se bat contre les trafiquants de coils à coup de grandes aiguilles. Mais son travail est efficace et il est un chasseur de primes reconnu.

Jusqu’au jour où, en enquêtant sur deux petites frappes des bas quartiers, il croise le chemin de Mira, une humanoïde dont le destin est lié aux coils et à leur créateur. Malgré son aversion pour ces derniers, il se retrouve avec cette jeune fille sur les bras, embarqués tout deux dans une aventure qui pourrait bien mener l’humanité à sa perte !

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Yuji Iwahara, vous connaissez ?

Yuji IwaharaCette homme, né dans une petite bourgade de la région d’Hokkaido, a réalisé des études d’art avant d’intégrer l’entreprise de jeux vidéo Hudson Soft, en tant que graphiste. Après 4 ans là bas, l’homme a envie de mener un projet de lui-même et de A à Z. Sa vie de mangaka débute alors en 1994 dans le magazine Afternoon de la Kodansha. Il y a gagne d’ailleurs plusieurs awards pendant ses deux premières années d’auteur. On retrouve une partie des récits courts de ses premières années dans le recueil l’oeil du loup: le serpent (1996), l’oeil du loup (1997), le siècle du fer (1998). Sa première véritable série, en 3 volumes, se nomme Koudelka et elle publiée entre 1999 et 2000 chez un autre éditeur, Kadokawa Shoten. Il s’agit d’une side-story issue d’un jeu vidéo éponyme, sur Playstation.

Il a désormais le pied à l’étrier et enchaîne une nouvelle histoire en trois volumes : le monde de Misaki, un récit fantastique sur une créature qui l’est tout autant, Nio, et une petite fille au passé mystérieux, Misaki. Cette série est arrivée chez nous chez Akata / Delcourt, mais à la fin des années 2000. En France, son premier manga publié est son œuvre suivante : Le Roi des ronces, une série futuriste et fantastique en 6 volumes qui connait un vrai succès critique mais qui peine à trouver son public en France, aux éditions Soleil. Ce sera d’ailleurs le cas de tous les mangas d’Iwahara, que ce soit Le monde de Misaki chez Delcourt ou Nekoten, la série qui succède au Roi des ronces en 2006 et qui arrive dans l’hexagone en 2008 chez Asuka / Kazé Manga. On notera que pour Nekoten, au Japon, le mangaka a encore changé d’éditeur et se retrouve chez Akita Shoten.

Pour la France, l’histoire de Yuji Iwahara s’est arrêté là en 2009 (si on excepte le film d’animation tiré du Roi des Ronces). Même si le coup de crayon du mangaka est remarquable, ses séries pour le jeune public ne parviennent pas à sortir du lot : les pitchs de départ sont sympathique, mais leur suite est parfois trop prévisible. Si on lit le Roi des ronces, on comprend que l’homme semble plus taillé pour le seinen. Ses thématiques autour du fantastique et de l’incapacité de l’homme à respecter la nature nécessitent sans doute un traitement plus adulte pour exprimer leur réel potentiel.

le-roi-des-ronces-tome-1Ensuite, Iwahara est aussi un touche à tout dans le domaine graphique comme Yusuke Kozaki - même si leurs styles sont complètement différents - et ils sont tous les deux très forts dans la création de personnages charismatiques… Une âme de chara-designer, même si Iwahara a, en plus, un don prononcé pour les décors et la création d’univers fantastique ou alternatif. Ce talent d’Iwahara est d’ailleurs mis à contribution dans une série que vous connaissez sans doute : Darker Than Black. L’occasion pour le mangaka de changer ENCORE d’éditeur nippon : pour cette œuvre en 4 volumes qui se situe entre les saisons 1 et 2 de l’anime, il travaille pour Square Enix, (comme pour Dimension W, donc).

Il travaille sur cette adaptation, de son nom complet Darker Than Black -Shikkoku no Hana, de fin 2009 à 2011, et participe aussi au chara-design de Darker than Black: Kuro no Keiyakusha. C’est à partir de là qu’il se lance dans Dimension W comme je vous l’expliquais plus haut. Ah, j’oubliais, il a même travaillé avec Marvel, pour le projet de magazine destiné aux lecteurs de mangas US, Tsunami, à travers un un récit intitulé Quest.

L’homme a donc un parcours plutôt sinueux, entre les univers des jeux vidéo, les animes et les mangas, à travers des récits entre shônen et seinen, publiés chez de multiples éditeurs… Avec 20 ans de carrière à son actif cette année, Dimension W pourrait être « l’œuvre de la maturité« . Évitons de juger sur son seul premier volume mais tachons déjà de statuer, au moins, sur son potentiel…

The Bounty hunter, the android girl and the big coil company…

Comme tout bon chara-designer qui se respecte, Yuji Iwahara sait créer des personnages aux looks bien étudiés qui définissent d’emblée leur personnalité. Il exprime aussi un certain background quand c’est nécessaire, comme c’est le cas pour Kyoma : un vieux garçon, solitaire et un peu râleur sur les bords qui s’est enfermé dans son passé. Il refuse les coils et l’évolution technologique pour des raisons qui nous sont encore inconnues même si, visiblement, il y a une femme là dessous. En dehors de son coté taciturne, on retrouve chez ce chasseur de primes quelques points communs avec l’ultra-charismatique Spike de Cowboy Bebop.

Kyoma

D’ailleurs Yuji Iwahara partage avec le studio Bones et certains de ses cadres (Tensai Okamura, Toshihiro Kawamoto) des influences US communes, une certaine patte graphique avec des contours épais et un talent pour les protagonistes qui ont de la gueule. On retrouve aussi un mélange entre vintage – jazzy – old school d’un coté et une autre face technologique ou mystique, en avance sur l’homme et pourtant emprunte d’innocence. Dans Dimension W, cette modernité est incarnée par Mira, une robot-androide-humanoïde – on ne sait pas encore vraiment – dont le père n’est autre que l’inventeur du coil. Cachée des yeux de tous depuis sa création, la demoiselle ne connait rien du monde extérieur et n’est pas vraiment armée pour son destin, même si elle est sans doute ce qui se fait de plus avancée en matière de robotique.

Ce personnage est aussi le point central de l’intrigue, qui tourne autour de  l’assassinat de sa famille par une branche de la New Tesla compagnie. Une compagnie qui a des airs de Big Brother, de grand trust énergétique très opaque sur son fonctionnement, son histoire, son lobbying et sa manipulation des masses. Hasard ou clin d’œil, le mot coil rappelle le mot oil qui désigne le pétrole, un secteur tout puissant et qui travaille aussi beaucoup dans l’ombre.

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Au sein de cette histoire, qui se met doucement en place et qui tisse ses ramifications obscures, le duo Kyoma-Mira est un point central autour duquel gravite une galerie de protagonistes, tous très bien campés : Mary, la patronne de Kyoma qui gère tous les chasseurs de primes de la ville avec ses allures de mama toute puissante, Albert, le beau-gosse bien propre sur lui qui travaille à la New Tesla company mais qui a le profil d’un arriviste peu scrupuleux et enfin, pour n’en citer que 3, le célèbre Loser, un voleur superstar qui donne à Dimension W son coté Edgar le cambrioleur… même si l’homme a plus le look d’un Iron Man en soirée de gala. L’influence des comics et du cinéma hollywoodien sur Iwara n’est plus à démontrer mais, à travers ce personnage il est assez criant (cf planche ci-dessous). D’autres personnages secondaires complètent la galerie et possèdent tous leur part de mystère pour le moment. Pour en apprendre plus sur eux et leur intentions, il faudra encore un peu attendre, car il parait que l’histoire prend toute son ampleur au tome 3.

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Sachez, enfin, que ce tome 1 s’avère d’excellente facture : superbe couverture en relief et phosphorescente mais surtout des pages couleurs au début et en plein milieu de l’œuvre, tout ça pour bon rapport qualité prix (208 pages, 7.90 euros).

A travers ce premier volume, Yuji Iwahara présente son univers et ses personnages dans un ensemble cohérent, dans une mise en scène sans temps mort notable. Tout ceci n’est pour l’instant que la face émergée de l’iceberg mais on a hâte de plonger plus profondément dans cette histoire pour en déceler la véritable ampleur et suivre des héros déjà séduisants. Bref, vivement le tome 2, prévu pour le 10 avril prochain !

Fiche descriptive

DimensionW_1Titre : Dimension W
Auteur : Yuji Iwahara
Date de parution du dernier tome : 13 février
Éditeurs fr/jp : Ki-oon / Square Enix
Nombre de pages : 208 n&b et couleur
Prix de vente : 7.90 €
Nombre de volumes : 1/5

Visuels : © Yuji Iwahara / SQUARE ENIX CO., LTD.

Pour en savoir plus sur Yuji Iwahara, vous avez le choix : une interview qui date un peu (2006) et qui tourne autour du Roi des Ronces essentiellement, ou un dossier plus récent de Manga News autour de l’œuvre du mangaka, il y a quelques pistes d’analyses intéressantes.

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Shadonia - Muramasa Rebirth (PSVita)

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Découvrez le jeu Muramasa Rebirth, petite perle beat’em all disponible sur PSVita !

À l’origine, Muramasa : The Demon Blade est un beat’em all agrémentés d’aspects RPG, sorti en 2009 sur Wii. Développé par Vanillaware, connu pour avoir travaillé sur Odin Sphere sur PS2 et récemment Dragon’s Crown sur PSVita et PS3, le jeu dispose d’un portage sur PSVita en 2013 sous le nom de Muramasa Rebirth. C’est une copie confirme au jeu original bien qu’il semble que certains détails et jeux de couleurs sont davantage mis en valeur sur la version de la console portable. Je n’ai pas joué à la version Wii, je ne m’attarderai donc pas sur ce dernier ni sur les comparaisons possibles. Ne vous attendez pas à pouvoir utiliser les fonctionnalités tactiles qu’offrent la console portable, il n’y en a pas. Le jeu PSVita n’est pas traduit en français mais bénéficie d’une version anglaise pour ceux qui sont plutôt à l’aise avec la langue de Shakespeare (et si vous n’êtes pas trop porté sur le japonais).

Il est à noter que le jeu Wii a reçu des distinctions, notamment comme étant le meilleur jeu d’action et ayant le meilleur rendu artistique à l’E3 2009.

Vous avez peut-être reconnu Momohime, personnage qui a fait très bonne impression lorsqu’elle a été adaptée en figurine par ALTER (dont vous pouvez retrouver la review ici). La jolie demoiselle est l’un des personnages jouables du jeu. Un autre personnage du jeu, mais cette fois-ci non jouable, a aussi fait l’objet d’une adaptation chez ALTER et c’est Kongiku qui est concernée.

Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 02 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 03 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 01

Histoire

L’histoire se déroule pendant l’ère Genroku (1688-1704), période durant laquelle régnait le shogun Tokugawa Tsunayoshi. Le jeu suit deux personnages :

  • Momohime : Elle se fait posséder accidentellement par Izuna Jinkuro, un sombre épéiste essayant de perfectionner le style Oboro, allant jusqu’à tuer son propre maître et ses frères. Tout au long du jeu, c’est Jinkuro qui commande le corps de Momohime (sauf à quelques moments particuliers) et il est accompagné par Kongiku, un esprit renard qui est amoureuse de lui et est d’une aide précieuse pour l’épéiste. Ensemble, ils partiront à la recherche de la lame Kuromitsu afin de rompre le sort de possession.
  • Kisuke : Il est, quant à lui, victime d’une amnésie et se fait accuser de crimes qu’il aurait commis. Il est alors considéré comme un traître par son clan qui le pourchasse. Sans souvenir, il décide de se mettre alors en chemin en quête de sa mémoire. Il rencontrera la princesse Torahime, soeur de Momohime, qui est à la recherche du katana Kuzuryu enfermant l’esprit d’Inugami, un esprit maléfique qu’elle a pour mission de vaincre.

Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 05 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 09 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 15 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 07

Momohime (et donc Jinkuro) et Kisuke remueront ciel et terre pour parvenir à atteindre leurs objectifs. Et cela ne se fera pas de la manière douce. Armés de leurs lames démoniaques, forgées par le célèbre Muramasa, beaucoup de leurs ennemis tomberont à leurs pieds avec leur âme dévorée par ces dites lames. Autant dire qu’il ne faudra pas compter sur de la parlotte ou sur la fuite pour se sortir des situations périlleuses. Il n’y a plus qu’à prendre part aux combats et sortir vainqueur par le sang.

Jeu

Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 08Dès le début du jeu, il va falloir choisir un niveau de difficulté (Legend ou Chaos, il y a aussi le mode Fury mais il faut le débloquer) et un personnage : Momohime ou Kisuke. L’histoire et les missions ne seront pas les mêmes d’un personnage à un autre et les boss seront aussi différents. Néanmoins, il arrivera que les deux personnages se rencontrent sur leur chemin et s’échangeront quelques répliques. Les contrôles sont exactement les mêmes pour les deux personnages.

La progression dans le jeu est on ne peut plus simple : on se balade à travers les différents tableaux tout en se débarrassant des ennemis à coups de katana. Evidemment, plus le combat aura du style, mieux il sera récompensé en cas de victoire. Un tableau en fin de combat récapitule les points d’expérience gagnés ainsi que les bonus (pas de coup reçu, attaque en premier, etc.). Les points d’expérience serviront à augmenter le niveau du personnage et donc sa force et sa vitalité, ce qui est important pour pouvoir manier des lames plus puissantes et survivre aux boss qui deviendront de plus en plus forts. À noter que certaines zones sont verrouillées par des barrières qu’il faudra casser avec un type de katana particulier, que vous obtiendrez au fur et à mesure que vous avancerez l’histoire. 

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Il est possible de porter trois katanas à la fois (à choisir parmi une liste de lames qui grandira au fur et à mesure de votre avancée), et de passer de l’un à l’autre en plein combat. Mais attention, chaque katana a sa « résistance » et s’il venait à se casser, vous ne pourriez plus vous protéger, vos attaques deviendront des caresses pour l’ennemi, et il faudra attendre un petit moment avant que l’arme retrouve sa vigueur d’origine. 108 katanas au total peuvent être obtenus dans le jeu grâce aux différentes missions mais aussi à la forge, où l’esprit du célèbre forgeron Muramasa vous forgera des katanas de qualité. En contrepartie, pour les forger, il faudra récolter beaucoup d’âmes en décimant des ennemis et obtenir des points de vigueur en mangeant des plats typiquement japonais (qui ont l’air plutôt délicieux). Chaque katana apporte des bonus aux caractéristiques du personnage et possède une capacité spéciale qui lui est propre.

Au cours du jeu, des PNJ (personnages non jouables) vous aideront en proposant des repas permettant de remonter votre vie, des objets comme des bombes ou des aliments, et des moyens de transport. Il vous sera également possible de faire de la cuisine et de créer soi-même des aliments en combinant plusieurs ingrédients afin de reprendre de la vie et augmenter ses points de vigueur. Il y a de quoi se goinfrer dans ce jeu…

Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 11Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 24 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 20 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 04 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 22 Chronique Jeu - Muramasa Rebirth (PSVita) - 17

Bilan

Nous avons là un très bon jeu prenant. Les combats sont très dynamiques même si certains ne durent que quelques secondes mais le faire avec style est bien plus intéressant et plus gratifiant. De plus, il faudra faire attention à l’état des katanas pour ne pas se retrouver avec ses 3 lames inutilisables et être à la merci des ennemis, ce qui ajoute un côté tactique appréciable. Les combats de boss seront beaucoup plus longs et sont très spectaculaires, parfois assez ardus et certains boss sont colossaux (au point qu’il y a même un combat contre un pied d’un boss…). Il y a un peu de répétitivité dans les combats (surtout à force de faire des allers-retours et de voir le même bestiaire), mais c’est une chose qui n’a pas été trop gênant pour ma part au vu du gameplay que propose le jeu.

L’aspect graphique est, pour moi, une grande réussite du jeu. On s’en prend plein les yeux en parcourant les différents tableaux du jeu : les décors sont très colorés et riches, avec beaucoup de finesse, le côté très caractéristique du Japon féodal est bien retranscrit et les animations sont bien détaillées. Certains décors se ressemblent trop parfois (recyclage, quand tu nous tiens), mais ce n’est pas pour autant gênants tant ils restent beaux. Bref, c’est un gros point fort du jeu et on prend plaisir à découvrir les environnements lorsqu’on passe d’un tableau à l’autre. C’est de la 2D, oui, mais de la belle 2D ! Et surtout que ça rend très bien sur une console portable telle que la PSVita. Ceci dit, en passant, Momohime est aussi très belle !

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Côté scénario, j’avoue qu’il est un peu passé au dessus de ma tête. Je trouve d’ailleurs qu’il est souvent masqué par les combats et l’action frénétique (mais ça vient peut-être de moi). Par contre, les différentes fins qu’on peut obtenir pour chaque personnage sont très appréciables. Il vous faudra passer environ un peu plus d’une dizaine d’heures pour finir l’histoire des deux personnages mais beaucoup plus si vous comptez faire l’ensemble des missions annexes (Caves of Evil) et autres aventures, notamment en difficulté supérieure, ce qui augmente pas mal la durée de vie du jeu. J’ai mis 7h à finir le scénario de Momohime en Legend car je n’étais pas habitué aux mécanismes du jeu et je faisais un peu n’importe quoi. En revanche, c’était beaucoup plus rapide avec Kisuke (4h, toujours en Legend), les combos sortaient plus facilement et étaient plus optimisés. Encore un peu plus rapide et j’aurais pu avoir le trophée « Can’t you go any faster?! » où il faut finir un scénario en 3h grand max.

Le jeu ne compte pas se limiter pas aux personnages de Momohime et Kisuke. En effet, quatre DLC (payants) sont prévus pour Muramasa Rebirth, dont le premier, « Genroku Legends: Fishy Tales of the Nekomata« , est sorti le 22 janvier 2014. Le deuxième, intitulé « Genroku Legends: A Cause to Daikon For« , est annoncé pour le 26 février. Dans chacun de ces DLC, vous pourrez prendre le contrôle d’un nouveau personnage ayant chacun leur propre technique de combat et leur propre histoire. Il y a encore de s’amuser un peu plus mais il faut sortir les sous par contre.

Au final, c’est un jeu assez addictif une fois qu’on a compris les mécanismes du jeu, dynamique et très beau. Il demande un petit temps d’adaptation mais une fois la base acquise, ce n’est que du bonheur. Le jeu est toujours disponible sur le Playstation Store et coûte 24,99€. Un jeu que je conseille aux amateurs de beat’em all et de jolis décors.

Pour la petite note, sachez qu’on retrouve quelques seiyuu qui sont intervenus dans certains animes connus :

  • Ayako Kawasumi(Torahime) : Connue pour avoir fait la voix de Saber dans Fate/Stay NightKazumi Yoshida dans Shakugan no Shana et Kokoro dans Dead or Alive 5
  • Miyuki Sawashiro(Momohime) : Saeko Busujima de Highschool of the dead et Perrine-H. Clostermann de Strike Witches
  • Hiroyuki Yoshino(Kisuke) : Houka Inumata de Kill la Kill et Allelujah Haptism de Gundam 00
  • Joji Nakata(Jinkuro) : Alucard de Hellsing et Kirei Kotomine de Fate/Stay Night
  • Omi Minami(Kongiku) : Euphemia li Britannia de Code Geass et Eucliwood Hellscythe de Kore wa Zombie desu ka? of the dead

Captures d’écran
Cliquer pour visualiser le diaporama.

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Ik` Ilote 4 - Ribon fait sa promo en ONA : Romantica Clock & Sugar*Soldier

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Depuis quelques mois Ribon (りぼん) publie de nouveau sur sa chaîne YouTube de courts épisodes pour faire la promotion de ses manga.[...]
ロマンチカ クロック (Romantica Clock)
On y tourne tout ce qui fait un shōjo manga façon Ribon au niveau du style graphique. On y trouve aussi une héroïne un peu neuneu au premier abord qui va se retrouver rejeter par qu'elle est tombé à amoureuse d'un premier de la classe et en volant l'atteindre ne fait que s’éloigner de lui. Elle a aussi un frère jumeau qui donne l'impression d'être distant, mais en réalité beaucoup trop attentionné à son égard alors qu'elle est en rivalité permanente avec lui.
  

シュガー*ソルジャー (Sugar*Soldier )
Une fille dont l'aînée est un top modèle, arrive au lycée et se retrouver comparée à elle... Pour devenir quelqu'un, elle n'aura d'autre choix que devenir forte et elle est tombée sur un mec cool qui va la soutenir... En gros, c'est ce que j'ai compris.
  

Chris†Diary - Sakura Trick

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Il est rare de trouver si peu à dire sur une série de plus de 20 minutes.

Sakura Trick est supposée être une comédie. Ca ne réussi pas dans ce domaine. C’est aussi censé être un slice of life. Ca ne brille pas non plus. Le seul intérêt et la seule façon de décrire Sakura Trick est dans les embrassades entre filles.

Tu vois, je dirais bien yuri ai comme genre. La chose étant que Sakura Trick va beaucoup plus loin que la définition de ce dernier. Avouant pleinement sans aller non plus dans l’étape au-dessus.

Je me demande encore comment la lumière s'éteignait et s'allumait alors que le personnage restait sur son lit

L’arrivée au lycée. L’école des grands. Un nouveau départ. L’excitation la veille. Tous les clichés de l’animation se ramenant et l’héroïne en profitant pour amener ses espérances tout en nous introduisant la personne la plus importante de sa vie : son amie.

Elles arrivent à être dans la même classe bien qu’éloignée dans les sièges et commencent leur nouvelle scolarité lorsque l’héroïne entre en jalousie suite à son âme sœur s’entendant bien avec d’autres : elles décident de faire quelque chose qu’elles ne feront jamais avec les autres.

Et elles s’embrassent.

Personnage moe légèrement trop grand

A partir de là, elles vont continuer. C’est simple, l’épisode se déroule en deux parties et durant chacune de ces deux parties, elles finissent par s’embrasser.

Un autre couple verra le jour tandis que l’école a à peine commencée et qu’elles parlent comme si elles s’aimaient passionnément. Oui, elles. C’est un lycée mixte bien qu’on ne voit pas un gars et bizarrement elles finissent toutes (les personnages principales) du côté yuri par tu ne sais quel miracle. S’ajoutera la sœur de l’amie et présidente des étudiants dans les conquêtes de l’héroïne. Là encore, sans raison véritable. Elle part juste naturellement dans la direction amoureuse en se faisant des illusions.

C’était vraiment une solution de facilitée. Ne faisant non pas une tendance mais plutôt une nature de s’intéresser non seulement à l’amour de façon plus que nécessaire mais en plus vers le même sexe seulement.

Ca aurait dû s'appeler Sakura Kiss

Le contenu se résumant alors en les illusions de personnages et autres jalousies insensées tandis que le final est un chuu entre les héroïnes. Rien de bien drôle ne se passe véritablement et à moins d’aimer voir deux filles s’embrasser, Sakura Trick n’a pas grand-chose à offrir. Ne réussissant pas du tout le domaine comique.

C’est juste vide.

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Fant'asie - Nobles Paysans – tome 1 par Hiromu Arakawa

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Nobles Paysans tome 1 par Hiromu Arakawa

Retour à la campagne

Avec le succès rencontré par Fullmetal Alchemist, l’auteure Hiromu Arakawa a eu droit à la publication de ses nombreuses oeuvres chez Kurokawa.
Après Hero tales et Silver Spoon encore en cours de publication, l’éditeur nous propose cette fois-ci un récit un peu plus autobiographique sur l’auteure, qui a travaillé dans les champs avec ses parents avant de devenir mangaka.

Le thème abordé est donc très proche de Silver Spoon, sans fiction mais toujours avec beaucoup d’humour.
Ce premier volume se compose de 13 chapitres, traitant de nombreux sujets de la précédente vie d’Hiromu Arakawa.

Résumé du volume

Fullmetal Alchemist, Hero tales, Silver Spoon, autant de mangas cultes issus de l’imagination fertile de Hiromu Arakawa. Mais saviez-vous qu’avant de devenir la talentueuse mangaka que nous connaissons tous, elle avait passé sept ans à travailler au sein de la ferme familiale ? Avec Nobles Paysans embarquez pour le nord du Japon, sur l’île de Hokkaïdo, à la découverte de la ferme Arakawa et de ses habitants hauts en couleurs.

Résumé de l’éditeur

Un récit champêtre

Aborder le thème de l’agriculture dans un manga, je dois dire que c’est déjà assez surprenant. Je n’ai pas encore lu Silver Spoon (c’est en très bonne position sur ma liste de titre à lire un jour), qui traite donc de l’agriculture au travers d’un lycée dédié à ce métier.

Nobles Paysans conserve ce même thème, l’agriculture, mais l’aborde de manière bien différente.
Dans ce titre, l’auteure nous raconte sa vie d’avant, lorsqu’elle vivait à la campagne et qu’elle participait à la vie de la ferme. On découvre donc son quotidien au travers de très nombreuses anecdotes, souvent instructives et toujours drôles.

Ainsi, on apprend que sur la propriété du père Arakawa, il est possible à certains moments de récolter du saumon dans les champs, ou encore que la consommation de légumes à la campagne n’a rien à voir avec celle de la ville (principalement de l’échange entre producteurs).
Derrière toutes ces informations surprenantes, il y a toujours un raison valable pour expliquer un phénomène ou une réaction.

Les petites scénettes, allant d’une à deux pages, peuvent très bien aborder des expériences vécues par l’auteure, ou bien revenir plus particulièrement sur ses années lycée et ses études.
Ce mélange entre éléments biographiques et informations générales sur le milieu agricole est très bien dosé, toujours dans un format accessible et simple.

Sur un même chapitre, il est également possible de passer du coq à l’âne, d’une page à l’autre. L’auteure raconte ainsi ses histoires au gré de ses souvenirs, jonglant sur les saisons et les différentes périodes de sa vie.
Malgré tout ça, l’humour est omniprésent et très bien mené.
Sur presque toutes les pages, l’auteure nous permet d’esquisser un sourire avec ses remarques, ou encore sur les situations mises en place.

Je retiens surtout le passage dans un café, où l’auteure raconte à sa responsable éditoriale la vie à la campagne, et l’omniprésence des bouses de vaches dans son quotidien, racontant sans gêne ses expériences déplacées avec les excréments. Les clients alentours devaient bien se marrer.

Sur la partie graphique, on reconnait facilement le trait d’Hiromu Arakawa.
Comme dans les pages bonus de Fullmetal Alchemist, elle se représente comme une vache à lunette (pareil pour toute sa famille), mais cela ne gêne en rien la lecture. Cela contribue même à l’ambiance humoristique du titre.
Par contre, il ne faut pas s’attendre à des cases très fouillées ou à beaucoup de décors. Seul le minimum est représenté, bien que cela soit amplement suffisant pour suivre avec plaisir toutes les aventures de l’auteure.

La représentation de l’auteure et de sa famille sous la forme de vache m’a un peu fait pensé au procédé utilisé par Inio Asano dans Bonne nuit Punpun, même si la finalité n’est sans doute pas la même.
Le physique de vache permet également de jouer visuellement sur les situations et les mises en scène.

L’édition proposée par Kurokawa est encore une fois de qualité, dans un format plus grand que d’ordinaire. Ce premier volume paraît cependant très maigre en nombre de pages, mais à la lecture, cela reste suffisant. Plus de pages auraient peut être rendu la lecture indigeste.
Petite attention supplémentaire, chaque bas de page représente un petit dessin qui permet de transformer les coins de pages de ce premier volume en folioscope.

J’ai tenté la lecture de Nobles Paysans surtout par curiosité pour le travail de l’auteure, mais je dois avouer avoir été très agréablement surpris par le résultat. La lecture est ainsi à la fois intéressante et amusante, sans jamais trainer en longueur ou dévier considérablement du sujet de départ.
Hiromu Arakawa semble publier les chapitres de manière sporadique, lui permettant sans doute d’avoir le temps pour réfléchir correctement aux prochaines histoires à raconter. Seul 2 tomes sont actuellement disponibles au Japon et j’espère pouvoir lire rapidement la suite de ce premier volume. Si c’est pour passer un aussi bon moment, je serais au rendez-vous !

Avez-vous tenté la lecture de ce premier tome de Nobles Paysans ? Est-ce du même acabit que Silver Spoon ?

Ruru Berryz - [Anime] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga, Imocho.

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Bonjour à tous, ici Otakyun onii-chan ! Après les avis de Ruru sur Space Dandy, SoniAni : Super Sonico The Animation & Wake Up, Girls !, il était enfin temps pour moi de monter...

AsiaFilm.FR - Différences entre Animation Japonaise & Occidentale

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En tant que spectateurs, on voit bien qu’il y a une différence entre...

Kanpai - Téléphoner au Japon : le guide

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iphone-ipad-appel-japon
Des questions sont régulièrement posées sur Kotaete autour de(s coûts liés à) l’usage de son téléphone lors d’un voyage au Japon. En effet, même si je vous ai déjà parlé de l’achat ou la location de téléphone au Japon, qui concerne plutôt les longs séjours ou ceux qui téléphoneront beaucoup sur place, il est intéressant de connaître […]
Lire la suite sur Kanpai.fr

Lekraken - La babe cosplay de la semaine #174

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La babe cosplay de la semaine à découvrir. Devinez le personnage en cosplay !

Chris†Diary - Oniku Daisuki! Zeushi-kun

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Bon honnêtement je ne vois même pas l’intérêt de s’arrêter sur Oniku Daisuki! Zeushi-kun. J’en ai sauté pas mal des anime du genre et pourtant je traite Zeushi-kun autrement sans raison.

Pas la peine de chercher bien loin sur le sujet, ça doit être un coup d’humeur.

Ca ne parlait même pas de ce qui est supposé être le sujet de la série

Zeushi-kun est le prince d’un pays des cieux ayant le nom bien pratique de nikuniku. Viande viande. Il aime la viande et s’est rendu chez une famille de terrien du Japon sans grande raison avec sa peluche, une vache.

Ils adorent tous la viande et mangent tous les jours comme toutes familles normales d’un pays développé.

C'est juste qu'ils parlent beaucoup plus nourriture

Tu les vois alors à table. Criant leur amour pour la viande et parlant d’autres nourritures comme comment les manger en famille. Des sujets très légers n’entrant pas vraiment dans les règles ou graines de savoir sur la viande.

Zeushi-kun ira même jusqu’à faire les courses lorsqu’ils trouveront qu’on a eu assez de coup sur la nourriture ou la table. En fait, tu as plus l’impression que l’anime ne sert qu’à mettre l’image à la fin te montrant un plat avec un lien de recherche pour obtenir sa recette.

Une promotion pour le dit plat plutôt qu’autre chose. Le thème même de la viande n’étant pas respecté pour tout dire, on se demande vraiment ce qu’est le point d’origine de l’animation.

Ils criaient beaucoup le produit national

Il n’y a rien de drôle ou de signification dedans. C’est vraiment juste de la pub.【おにくだいすき! ゼウシくん】第1話「ゼウシくんとみの太」 (HD).mp4_snapshot_00.05_[2014.02.20_15.53.32]【おにくだいすき! ゼウシくん】第1話「ゼウシくんとみの太」 (HD).mp4_snapshot_01.04_[2014.02.20_15.54.42]Ca ne parlait même pas de ce qui est supposé être le sujet de la série【おにくだいすき! ゼウシくん】第1話「ゼウシくんとみの太」 (HD).mp4_snapshot_01.18_[2014.02.20_15.55.01]【おにくだいすき! ゼウシくん】第1話「ゼウシくんとみの太」 (HD).mp4_snapshot_01.20_[2014.02.20_15.55.06]【おにくだいすき! ゼウシくん】第1話「ゼウシくんとみの太」 (HD).mp4_snapshot_01.29_[2014.02.20_15.55.16]【おにくだいすき! ゼウシくん】第2話「焼肉大合戦」 (HD).mp4_snapshot_00.54_[2014.02.20_15.56.31]【おにくだいすき! ゼウシくん】第2話「焼肉大合戦」 (HD).mp4_snapshot_00.59_[2014.02.20_15.56.38]【おにくだいすき! ゼウシくん】第2話「焼肉大合戦」 (HD).mp4_snapshot_01.03_[2014.02.20_15.56.46]【おにくだいすき! ゼウシくん】第3話「おにくしりとり」 (HD).mp4_snapshot_00.49_[2014.02.20_15.58.11]【おにくだいすき! ゼウシくん】第3話「おにくしりとり」 (HD).mp4_snapshot_01.20_[2014.02.20_15.58.44]C'est juste qu'ils parlent beaucoup plus nourriture【おにくだいすき! ゼウシくん】第4話「しょうがのそこぢから」 (HD).mp4_snapshot_01.11_[2014.02.20_16.00.28]Ils criaient beaucoup le produit national【おにくだいすき! ゼウシくん】第4話「しょうがのそこぢから」 (HD).mp4_snapshot_01.31_[2014.02.20_16.00.56]【おにくだいすき! ゼウシくん】第5話「おつかいってむずかしい」 (HD).mp4_snapshot_01.08_[2014.02.20_16.02.20]【おにくだいすき! ゼウシくん】第5話「おつかいってむずかしい」 (HD).mp4_snapshot_01.10_[2014.02.20_16.02.29]

Shadonia - Nendoroid Nagisa Momoe (Good Smile Company)

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Lancement des précommandes ce matin de la Nendoroid Nagisa Momoe !

Depuis ce matin, les fans de la licence Puella Magi Madoka Magica ont la possibilité de précommander la Nendoroid de Nagisa Momoe, personnage de Puella Magi Madoka Magica : The Rebellion Story. La mise en lumière sur le blog de Kahotan de celle qui avait été dévoilée, en couleurs, il y a déjà plusieurs mois, aura fait du bruit, nombreux étant les fans de la gamme ou de la série qui sont tombés sous le charme de sa frimousse. À noter qu’un second visage, moins moe, est disponible et vous pourrez le découvrir plus bas, via une balise spoiler pour ne pas casser l’intrigue.

Nom : Nagisa Momoe
Origine : Puella Magi Madoka Magica – The Rebellion Story
Éditeur : Good Smile Company
Sculpteurs : Shichibee / Nendoron
Dimension : 10cm
Sortie : Juin 2014
Prix : 3889¥ (28€)

 

Photos
Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (1)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (2)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (3)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (4)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (5)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (6)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (7)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (8)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (9)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (10)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (11)Preview - Nendoroid Nagisa Momoe (12)

Comme je vous l’ai annoncé plus haut, la demoiselle est fournie avec un tout autre visage mais pour ne pas vous spoiler l’intrigue, j’ai préféré utiliser une balise Spoiler

© Magica Quartet/Aniplex・Madoka Movie Project Rebellion
Photos © Kahotan

http://www.goodsmile.info/en/product/4234/Nendoroid+Nagisa+Momoe.html

Shadonia - The Seven Deadly Sins – Satan (Orchid Seed)

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« Pardonnez-moi, Seigneur, car j’ai péché… » Présentation d’une nouvelle figurine de la collection des Sept Péchés Capitaux, avec Satan, manifestation de la Colère.

Débutée en 2013, la collection de figurines The Seven Deadly Sins poursuit tranquillement son petit bonhomme de chemin avec cette sixième pièce (si on ne compte pas les repaints, et les versions Maoumokushiroku encore plus déshabillées). Belzébuth, manifestation de la Gourmandise, sera le dernier démon à être adapté en version classique.

Mais revenons à notre sujet, Satan« Prince de notre monde ». Je dois dire que si Satanétait réellement une fille aussi sexy, je crois bien que je préférerais l’Enfer au Paradis. Tenant une hache superbement détaillée, portant une cape avec un somptueux effet translucide, cette flamboyante figurine est vraiment magnifique. La sculpture, les peintures, les finitions, tous ces détails, c’est assurément du travail impeccable. Je dirais qu’elle est, après Léviathan, l’une de mes favorites.

En somme, c’est une bien belle pièce que nous propose Orchid Seed, et vous en aurez pour votre argent. D’ailleurs vous aurez largement le temps d’économiser, puisque cette figurine est prévue pour Février 2015, ce qui nous laisse un an avant que ne soit provoquée la colère de Satan!

Nom: Satan
Origine: The Seven Deadly Sins
Éditeur: Orchid Seed
Sculpteur: Tanaka Masanori
Dimension: 1/8 (26 cm)
Sortie: Février 2015
Prix: 11000¥ (78€)

Photos
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© Hobby Japan / Nishii

http://www.orchidseed.co.jp/contents/134satan/

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