Preview de la Nendoroid Saki Miyanaga.

Il y a neuf jours, Good Smile Company a dévoilé le visuel de la Nendoroid Saki Miyanaga. Déjà en couleurs, cela laissait présager une mise en précommande imminente. Et ce fut le cas puisqu'après avoir été présentée sous toutes les coutures par Kahotan, la voilà désormais en précommande depuis ce matin. À noter que pour l'occasion, Good Smile Company a lancé une réédition de la Nendoroid Nodoka Haramura, qui était déjà sortie en janvier 2013.

Nom : Saki Miyanaga
Origine : Saki Achiga-hen episode of side-A
Éditeur : Good Smile Company
Sculpteurs : Nendoron, JUN (E.V)
Dimension : 10cm
Sortie : Juillet 2014
Prix : 3889 ¥ (27€)

© Ritsu Kobayashi / SQUARE ENIX / Saki Episode of Achiga Production Committee

http://www.goodsmile.info/en/product/4225/Nendoroid+Saki+Miyanaga.html

L'héroïne de Medaka Box nous fait la joie de se mettre dans une tenue sexy pour FREEing !

Issue de la licence Medaka Box, la présidente des élèves de l'académie Hakoniwa, Kurokami Medaka, décide de se la jouer sexy en endossant sa tenue de bunny girl. Et il faut dire qu'elle fait bien son effet : la demoiselle est très sexy avec sa tenue noire brillant, ses bas-résilles et un pompon blanc très en vue. Ses formes sont bien mises en valeur, pour le bonheur de nos yeux. Medaka adopte une pose aguicheuse et assez dynamique, renforcé par le mouvement de ses cheveux, tout en tenant son éventail fermé vers l'arrière. Attention tout de même à votre compte bancaire, la figurine est bien grande (du haut de ses 45 cm) mais n'est pas donnée (18333 ¥). Elle reste tout de même belle et a de quoi charmer ses fans.

Nom : Kurokami Medaka
Origine : Medaka Box
Éditeur : FREEing
Sculpteur : Zenko
Dimension : 1/4 (45 cm)
Sortie : Août 2014
Prix : 18333 ¥ (130,45 €)

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© Ishin Nishio, Akira Akatsuki, Shueisha, Hakoniwa Gakuen Student Council

http://www.freeing.co.jp/products/140218_120000.html

Le setting habituel du gars se déguisant en fille pour entrer dans un lycée féminin pris à nouveau avec la touche originale du gars à qui le vêtement ne va pas.

C’était le comique de Kirameku Otome to Himitsu^5. Le gars puant le mec même après avoir passé sa tenue de fille et devant tout de même faire passer le truc pour éviter de se faire virer du lycée, c’était drôle. Un temps.

Evidemment, ça ne pouvait pas durer longtemps comme blague et toute la comédie est tombée sur les filles super trop bien clichés… Je me demande encore pourquoi j’ai fait toute les routes alors que je n’avais même pas envie de finir la première.

J'ai bien perdu 2 jours à cause de ça

Le héros a une imouto (j’utilise imouto parce que de une ça précise sa position comparé au frère et deux, écrire le œ de sœur est chiant) très calme. Ressemblant à ta fille parfaite tout en étant auparavant l’imouto toujours derrière son frère, ce dernier a envie de faire des choses pour elle tout en ayant gagné une distance entre les deux avant qu’ils ne s’en rendent compte.

L’occasion arrive lorsqu’elle va dans une école pour fille. Ayant postuler sans raison et directement passé suite à ses notes, elle n’est pour autant pas partante et a des images bien étranges sur ces écoles pour filles de haute classe. C’est là qu’il sort son image de grand-frère et lui dit qu’il va s’occuper de tout. Il va voir le directeur qui change subitement de comportement lorsqu’il parle de ses inquiétudes comme le fait qu’elle n’arrive pas encore à agir normalement envers les garçons entre autre.

1 mois est le temps accordé avec la condition que son sexe ne soit découvert. Au-delà, ça risque d’engendrer des problèmes sur sa scolarité.

Je trouve que ça pourrai le faire avec de meilleur vêtement pourtant

Seulement, il se fait inviter dans le club de théâtre de l’école. L’imouto va avec lui et toutes les membres sont aussi des membres du même dortoir qu’eux. Il pense alors qu’elles pourront devenir amies pour la suite après son départ.

C’est là qu’il apprend que le club que théâtre n’est qu’une couverture pour entraîner les filles contre les garçons. Toutes ayant un problème de façon féroce si on omet une membre. La professeur et responsable loli n’étant pas mieux que les autres, il sert d’homme pour qu’elle combatte ce mur. Puis fini par s’attacher à une d’elle pour créer la route.

Il obtient alors 2 mois de plus auprès du directeur et commence à l’aider.

Il ne faut pas oublier que c'est une comédie

Tu remarqueras rapidement qu’il y a un grand problème dans leur entraînement en le fait qu’elles commencent directement pas des niveaux dépassant le cadre de l’entraînement et que personne ne tente de le corriger.

Ainsi, ils vont prétendre le baiser sans le faire véritablement. Passant plus tard par la confession et allant ensuite plus loin. Lorsque tu penses qu’elles ne sont même pas capable de parler normalement avec un il, comment diable peuvent-elles embrasser ou avouer leur flamme ? La comédie l’obligeant, certaines parlent avec eux en s’enfuyant 10 mètres plus loin, d’autres déblatent n’importe quoi. Des situations empêchant complètement leur supposé entraînement de fonctionner.

Pourtant, le héros ne dit rien et les suit. Et tant qu’à enfoncer le truc, en réalité, seulement la twintails participe. Les autres regardent.

Le précédent partenaire de leur fantaisie

Une fois passé aux routes, c’est du grand n’importe quoi.

La plupart prétendent l’entraînement pour faire du H. C’est rapide. H, H, H, H, H, jalousie pour 2/confession pour 1/rien pour l’autre et H. Une seule a une véritable histoire en essayant de faire une pièce de théâtre pour de bon suite au développement super logique (budget du club) tout en pouvant être évité si les gars avaient un cerveau m’enfin, c’était une histoire. Ils font même du H tout du long sans passer au sexe basique ce qui laissait plus de goût et ce n’était pas la personnage principale.

Cela dit, elle non plus ne va pas bien loin. La comédie se retrouve même complètement jetée en faveur de leur H life et les autres personnages sont toujours avec leur problème sans être guéries sauf pour la route de l’imouto où elles sont toutes tranquilles à la fin sans que tu saches pourquoi.

D’ailleurs, autant être net mais la plupart des autres personnages disparaissent complètement au profit de la fille visée.

Il prétendait à l'entraînement jusqu'au bout le héros

Après il y a bien deux filles sans problèmes n’ayant pas leur tour. L’une apparaît dans le patch harem tandis que l’autre, on se demande pourquoi ils se sont pris la peine de la dessiner (personnage jeté ?).

Autant le dire, c’était loin d’être bon. Plus saoulant qu’autre chose avec le temps mais après autant l’avouer : dès le début le frère allant à l’école juste à cause de la vaine peur de l’imouto est stupide. S’ajoute à ça le fait qu’elle est supposée être la femme parfaite tout en finissant rapidement par être la fille à son grand frère…

Plutôt que dire que c’est parti n’importe comment, ça n’a jamais commencé droit serait l’expression exacte.

Cet article Mangacast Omake N°13 – Février 2014 : les chroniques manga et animés est apparu en premier sur Mangacast.

Amis stratèges, voici un pack de meidos d’infantrie, livrées avec tank et armes, pour la petite bagatelle de 150 000 Maid Points. Si vous avez un pays/ville/village/entreprise/école/secte/association otaku à envahir, c’est un bon pack pour débuter!

Et c’est mon wallpaper Android.

Source : Hji

Internet a ses marottes et ses phénomènes : y’a un mois et demi c’était l’AGDQ, ses speedruns impressionnants et SON MILLION DE DOLLARS, là cette semaine on est à fond dans un autre bonheur tout droit importé de Twitch, c’est-à-dire le TwitchPlaysPokemon. Et, oh boy, tout le monde vous casse les oreilles avec ça mais à raison parce que c’est un concept assez exceptionnel. Qui en même temps évolue perpétuellement, crée sa ribambelles de memes et permet de noter pas mal de trucs amusants.

C’est donc foutrement intéressant.

EXPLICATION DU CONCEPT

Le TwitchPlaysPokemon se déroule donc sur, well, Twitch. Twitch c’est ce site de streaming en ligne accompagné d’un chat pour que la personne qui joue puisse interagir avec les gens qui regardent (ou que les gens du chat interagissent entre eux en utilisant des smiles bizarres.) Dans TwitchPlaysPokemon le chat a un rôle centrale puisque la ROM de Pokémon utilisée a été codée de telle façon qu’elle reconnaisse ce que le chat raconte. Et ce que le chat raconte est important puisque c’est le chat qui commande les actions du personnage. Tu tapes up dans le chat ? Red va en haut. Tu tapes A ? Il effectue une action. Tu tapes start ? Le menu de pause s’allume à l’écran.

Ceci permet donc au jeu d’être techniquement jouable à plusieurs, uniquement via les inputs dans le chat. Le seul souci « technique » étant un délai d’une quinzaine à une trentaine de secondes entre le moment ou tu tapes le mot dans le chat et ou l’action est prise en compte, ce qui rajoute une difficulté piquante et supplémentaire et nécessite donc une coordination parfaite entre les joueurs qui doivent prendre en compte ce qu’ils vont faire dans vingt secondes plus que ce qu’ils voient à l’écran.

Donc tout ça, déjà, offre un jeu potentiellement très bordélique avec quelques personnes.

Mais quand y’en a plus de 100 000 qui balancent des inputs, là ça devient très bordélique. Car oui, le stream est ultra populaire et, hier soir vers 22h, on pouvait noter un pic à 100 000 viewers. C’est comme si toute la ville d’Amiens ou de Caen jouait à la même partie de Pokémon simultanément. C’est pas mal.

Et évidemment cette popularité a crée une ribambelle d’événements incongrus et de commentaires amusants.

Je reposte le lien si vous voulez voir ça de vos propres yeux, ce qui est mieux.

RÉSUMÉ DU DÉROULEMENT DE LA PARTIE JUSQU’A MAINTENANT

On est donc à 6 jours de jeu.

Les joueurs ont donc réussis à récupérer les quatre premiers badges c’est-à-dire Pierre, Ondine, Major Bob et Erika.

Au début du jeu, ils ont « choisis » Salamèche, qui s’est aussitôt retrouvé avec le surnom de ABBBBBK ( grâce au fait que tout le monde a essayé de le renommer en même temps. Dans le même temps est attrapé un Rattata (nommé là aussi par un amas de lettres qui donne plus ou moins le nom de « Jay Leno »), un second Rattata et un Roucool. Un Piafabec est aussi attrapé un peu plus tard, ils traversent le Mont Sélénite, tout va à peu près bien jusque là. Ils battent le scientifique de la Team Rocket, attrapent le fossile Nautille et soudainement commence à entrer en scène la CS Coupe. Et à partir de là commence l’enfer puisque pour utiliser Coupe dans la première génération il faut être en face de l’arbre à couper, appuyer sur pause, aller sélectionner le Pokémon qui connaît Coupe, et lui demander d’utiliser Coupe. Bon donc là déjà ça commence à être chaud à coordonner – ils resteront bloqués quelques heures sur l’arbre de l’arène d’Erika.

Mais ok ça ne les empêche pas d’avancer malgré tout : ils passent le Sainte Anne, réussissent l’énigme des poubelles de l’arène du Major Bob (oui, moi aussi je me demande comment c’est passé), Roucool et Salamèche évoluent, Piafabec est échangé contre Canarticho et arrive la Route 9 qui possède un level-design intéressant puisque si vous vous rappelez bien du jeu, il y’a ça :

Quel est le souci de la zone encadrée ? Et bien messieurs dames, dites bonjour au LEDGE. Ce passage en particulier demande une concentration particulière puisque le moindre « down » entré vous fait passer par-dessus ce talus que, pour rappel, vous pouvez certes descendre mais vous ne pouvez pas remonter, ce qui vous force à faire le détour vers la gauche pour y retourner. La situation est donc résumée par ce gif plutôt hilarant :

Ils sont resté bloqués dessus un bon paquet d’heures. Sans compter qu’ils ont obtenus la CT Tunnel qu’ils ont appris à l’un de leur Rattata et qu’il arrive parfois que le Rattata lance Tunnel depuis le menu « par erreur » , envoyant au dernier Centre Pokémon visité. Teehee ?

Malgré tout ils réussissent à arriver à la Grotte, qu’ils passent sans Flash, et bon gré mal gré arrivent à Céladopole ou ils sont restés coincés pendant deux jours, après avoir monté des stratégies bien pourries. Oh, et après avoir par erreur relaché leur Reptincel et leur Rattata « Jay Leno » dans la nature après des mauvaises manips sur le PC. Bien joué.

Enfin bref, cette nuit ils ont battus Giovanni après avoir galéré 24h dans le labyrinthe du casino, récupéré le Sylphe Scope (après un énième rebondissement puisqu’après avoir battu Giovanni dans le QG de la Team Rocket, ils ont utilisés Tunnel SANS récupérer le Sylphe Scope donc ont du se retaper le chemin pour aller le chercher) et à l’heure ou je vous parle ils sont dans la Tour Pokémon… sans Pokémon suffisamment puissant pour buter les pokémon de type Spectre.

Oh, et je vous ai dit que depuis 24 heures on a un système qui alterne entre un système de commandes « anarchiques » et un système de commandes « démocratiques » ? Oui, ça commence à aller loin.

Démocratie contre Anarchie

Donc ouais TwitchPlaysPokémon, en plus d’être assez débile, est une sorte de métaphore grandeur nature de la création d’un système politique. Système qu’on verrait évoluer en temps réel. Car très vite on a pu noter deux types de joueurs.

On a ceux qui veulent voir le jeu AVANCER A TOUT PRIX, préparent des longues stratégies, essaient de planifier le long terme, veulent éviter à tout prix les mouvements inutiles, veulent que tout se fasse vite et que tout soit fait proprement.

De l’autre coté, on a ceux qui sont là pour faire en sorte que le jeu SOIT AMUSANT. L’avancement dans le jeu les importe aussi mais à moindre degré : leur priorité est avant tout que tout le monde s’amuse ou se laisse porter par ce gigantesque chaos organisé. L’idée étant que le jeu est construit de telle façon à ce que dans tous les cas réussir à faire quelque chose tient plus de la chance qu’autre chose : le délai, le fait qu’il y’a plus d’inputs que d’actions possible donc le jeu choisit un peu au hasard les inputs choisis, etc etc. Donc autant se laisser porter par le vent et juste voir comment, malgré tout ça, les joueurs vont réussir à passer tous ces défis.

C’est donc l’affrontement classique entre ceux partisans d’une société ordonnée et ceux partisans d’une société libre.

Et pour mettre fin au débat, le créateur du stream a rajouté un système amusant : démocratie contre anarchie. N’importe quand les joueurs peuvent voter pour l’un des deux systèmes et le système « majoritaire » dans les votes est activé.

Le système anarchique est le système de base, ou tous les inputs sont pris en compte simultanément. Le jeu va plus vite mais en même temps il est moins maniable et les erreurs sont super simples à sortir. C’est ce qui amène le plus de situations débiles mais, en même temps, le jeu avance beaucoup moins vite.

Le système démocratique est plus simple : c’est l’input « majoritaire » dans un laps de temps donné qui est pris en compte. Si 30 personnes tapent right, 25 tapent left et 17 tapent start, c’est « right » qui sera utilisé, par exemple. Donc le personnage ira à droite. Sans surprise, le jeu est bien plus lent à regarder, Red ne faisant une action que toutes les 4 ou 5 secondes, mais en contrepartie les gens savent ce qu’ils font et l’avancement dans le jeu est bien plus rapide – au point de débloquer en une heure la situation dans un donjon ou l’anarchie était bloquée pendant une douzaine d’heures.

On pourrait croire qu’un système serait choisi et resterait majoritaire pendant l’intégralité du stream: ET BAH NON. Les joueurs passent leur temps à alterner les systèmes car il n’y a pas de majorité vraiment claire. Le consensus qui semble se dégager est que la démocratie est plus utile dans les donjons et l’anarchie plus utile dans les combats. Mais même ça personne n’est sûr.

Donc comme des français changeant de majorité politique tous les 5 ans, les twitcheurs changent de système toutes les deux heures, ne semblant pas savoir ce qui est le mieux pour eux. Quand c’est la démocratie, tout le monde se plaint que c’est moins amusant et quand c’est l’anarchie, tout le monde se plaint de tourner en rond. Ah bah ça alors. Comme des français.

Mais même ça n’est pas le seul point de discorde, loin de là.

Par exemple c’est tout con mais il y’avait un gros débat sur « quel Pokémon pour avoir Surf ? » Deux camps alors très clairs s’était installés : ceux qui disaient de récupérer Evoli à Céladopole et de lui filer une Pierre Eau pour avoir Aquali (qui est en plus un pokémon assez balèze) tandis que d’autres disaient de la jouer save et d’attendre de récupérer Lokhlass à Saffrania. Sachant que l’option Aquali était risquée : le simple fait d’aller acheter une Pierre Eauétant extrêmement compliqué. Il faut aller au 4^eétage du Centre Commercial (pas simple en soit), aller parler au bon vendeur, naviguer correctement dans les menus et acheter le bon objet.

Et bah finalement le camp Evoli a « gagné. »

Et finalement ils ont achetés 3 Poképoupées, une Pierre Feu et n’avaient plus assez d’argent pour une Pierre Eau.

L’échec était total mais la tentative était belle… et ils ont faits évoluer Evoli en Pyroli. 

Là pareil à l’heure ou j’écris c’est assez fabuleux parce qu’ils sont coincés dans la Tour Pokémon pour une raison simple : leur Roucarnage ne connaît pas d’attaque autre que de type Normal donc pour combattre les Pokémon Fantômes ils sont bien embêtés. Alors il y’a débat entre ceux qui disent d’utiliser le Rattata avec Tunnel, ceux qui disent d’aller chercher la CT Psycho à Saffrania et ceux qui disent d’aller dans la grotte pour grinder Soporifik. Et rien que ces débats sont assez passionnants d’autant que finalement le choix se fait souvent « naturellement » par un Red qui se déplace tout seul dans la bonne direction, guidée par une ruche d’esprits souvent contradictoires.

Et pendant ce temps, la machine à memes.

Ce qui est plutôt passionnant dans le phénomène c’est la mythologie qui s’installe autour. Par exemple le seul Pokémon vraiment bon de leur équipe c’est leur Roucarnage : celui-ci surpasse tous les autres Pokémons du jeu d’au moins vingt niveaux tandis que le reste de leur équipe est A CHIER (un Soporifik, un Mystherbe et un Rattata à l’heure ou je vous parle.) Du coup, forcément, ce Roucarnage est devenu leur sauveur. Au point ou il est désormais humblement nommé par tout le monde « BIRD JESUS. » Fuck yeah.

Même si du coup les joueurs ont tendance à lui faire utiliser tout le temps Jet de Sable, ce qui donne des gifs qui résument la situation de manière pertinente :

Evidemment, les joueurs finissent souvent dans le menu des Items. Et si la plupart des items finissent involontairement jetés, certains d’entre eux sont nécessaires au scénario et ne peuvent pas être enlevés de l’inventaire : c’est le cas entre autres du Ticket pour le Sainte-Anne et le Fossile Nautille qu’ils ont chopés au Mont Sélénite.

Ce qui du coup fait que Red passe son temps à involontairement essayer d’utiliser ces deux objets. Les joueurs sont donc partis du principe qu’il n’essaye pas de vraiment les utiliser, il s’en sert juste comme objet de culte. Et est alors apparu la religion du fossile Nautille. Ou en anglais, du Helix Fossil. Car le fossile Nautille sait tout, car il faut l’écouter et car lui seul décide ce qui est bien ou pas. Ok, why not. Et évidemment, le jour le Nautille sera réveillé et deviendra Amonita, nos âmes seront sauvées et purifiées. Ce qui ne me déplaît pas vu que si je m’appelle Amo, c’est en référence à ce Pokémon, donc je me sentirais un peu divin dans la vie.

Du coup, oui, le Fossile Dôme est une religion païenne et rivale. Attention l’image qui suit est un peu compliquée et commence à nécessiter une connaissance poussée de la run.

Après, certaines personnes se plaisent à imaginer à quel point Red doit avoir l’air d’un débile aux yeux de tout le monde:

« Jay Leno » et « Abby », respectivement le Rattata original et le Reptincel, sont pleurés comme des victimes de la folie des « Eevetard » puisqu’ils ont été relachés après avoir été déposés par erreur sur le PC suite à la volonté de laisser une place de libre dans l’équipe après l’arrivée d’Evoli (pour le Lokhlass et/ou le Kicklee/Tygnon de Saffrania.)

C’est pour ça que Evoli/Pyroli est considéré comme « un faux prophète » semblable à Judas trahissant les siens. Car c’est lui qui a le sang de Reptincel de Rattata sur ses mains:

Mais bon évidemment, la vengeance était inévitable :

Enfin bref. La communauté autour du truc est très bruyante mais mon dieu qu’est-ce qu’elle me fait pleurer de rire.

Bon du coup c’est quoi le bordel ?

TL ;DR – 100 000 personnes s’amusent à mort sur une seule partie de Pokémon, ils créent une mythologie autour de l’événement, créent un système politique sans leaders mais avec des idéologies claires, avancent dans le jeu à pas de fourmi et chaque grosse victoire possède désormais une exposition internationale.

Haters gonna hate mais, surtout, what the fuck.  

J’ai envie de dire.

PS: Et je parle pas des streams alternatifs comme RNG Plays Pokemon ou c’est un ordinateur avec des inputs au pif qui joue à une version méga accélérée du jeu. Pour l’anecdote, la première run est allée jusqu’a Carmin sur Mer… et le jeu a réussi aléatoirement à relâcher son Dracaufeu. Ne laissant qu’un Magicarpe de niveau 7 dans l’équipe. Inutile de le dire, les choses étant mal barrées, la run a été remise à zéro.

Nerawareta Gakuen comme titre laisse penser à un de ces fameux jeux où les participants sont tous enfermés dans une certaine zone et finisse par s’entre tuer avec pour mission de trouver le noir comme Doubt l’ait.

Tout du moins c’est la liaison qui m’est venu et comme avec tous les autres films, ça a foiré. Bon, cette fois j’avoue que c’est difficile de penser que c’est en réalité une lovecome cliché entre héros + osanajimi + étudiant transféré + délégué de classe qui part en surnaturel avec pouvoir psychique, voyage dans le futur, télépathie, lutte contre les portables et autres fantaisies.

Non seulement ça part déjà assez n’importe comment comme ça. Il a fallu en plus que le film entre dans 1h47m d’animation coupant une bonne part explicative à la fin t’empêchant de faire le lien entre les trucs psychiques et ton héros dans tout ça.

C'est bien sûr possible que l’œuvre originale soit foirée dès le début

Tu as ton héros stupide, en retard, ne pensant qu’à s’amuser et son amour comme départ. Il voit alors sa délégué de classe, la gentille fille de l’école en train de faire du surf sur leur île tandis qu’il promène son chien. Ils se parlent. Elle part ensuite pour entrer dans l’arrivée de l’osananajimi énergétique amoureuse du héros en cachette et habitant la fenêtre d’en face. Elle se moque de lui puis disparaît à son tour.

Il a beau se lever tôt, le résultat est que le gars est à la bourre et pédale à pleine vitesse pour être à l’heure. Echec, il se fait remarquer et arrive en même temps que le nouvel étudiant dont la délégué tombe tout de suite pour et commence à rêver de lui tandis que ce dernier lui parle quelque peu à certaines occasions.

Ce dernier semblant être venu ici avec une raison précise. Conversant à un chat et utilisant un drôle de cristal, il commencera par sauver une camarade de classe cherchant à se suicider et prendra petit à petit contrôle de l’école en faisant disparaître ceux se doutant de quelque chose et prenant ceux qu’il peut sous son aile.

Tu voyais qu'ils faisaient dans l'exagération

Le problème principal dans cette partie est qu’il n’y a rien d’intéressant. Tu as l’osananajimi typique qui s’en prend au héros ne comprenant rien et s’excusant malgré le fait qu’il ait toujours rien compris à la situation comme dans bien des clichés. Va savoir qu’elle est l’intérêt de l’excuse si tu ne comprends pas ton erreur m’enfin tu connais ce genre de scène : il n’y a pas d’erreur véritable chez le gars pour commencer, tout est de la faute de la fille qui n’a pas sa love life se passant comme elle le désire.

Ensuite vient la délégué et le transféré. Donc, là, t’as la fille qui tombe au premier coup d’œil. Apprend à le connaître en surface légèrement. Il est gentil, fait du piano. Le prince charmant et lorsqu’elle pense à lui ça crève les yeux qu’elle est en train de partir en phase d’excitation avec ses expressions sensuelles. Le gars finira par tomber pour elle aussi bien que je me demande encore si user le verbe finir est approprié tellement ils ne se parlent pas et tombent l’un pour l’autre sans raison.

Quant au héros ? Eh bien, son amour pour la gentille princesse ne sert qu’a créer du drama avec l’osananajimi puisqu’il ne fait rien de bien concret si ce n’est que rougir et énerver cette dernière.

C'est le genre de gars que tu n'aimerais pas devenir

Les étudiants finissent par quasiment tous obéir, ce qui créer des problèmes avec ceux ne le faisant pas telle l’osananajimi se faisant maltraiter au milieu sans raison. Elle sera amenée à une chasse au sorcière avec le héros la sauvant grâce à son portable qu’il a glissé dans son maillot boomerang (slip en fait) et avec une touche de super pouvoir. Les autres personnages du conseil de classe sont aussi tous lavés du cerveau par ton transféré. Leur donnant un pouvoir télépathique entre eux faisant qu’ils visaient l’autre moyen de communication à distance que sont les portables.

Bref. Là vient pas mal de questions en pourquoi les gars télépathiques deviennent tous méchants par exemple. Car tient toi bien, le transféré ne donne pas d’ordre. Ces les petits qui s’excitent seuls. Après s’ensuit en comment le héros fait pour aider sa fille parce que t’as beau voir, tu ne comprends pas et l’utilité de l’existence de ses pouvoirs reste un mystère. Ca a à voir avec son passé à un moment mais là encore juste de belles phrases sans explication concrète sur le comment.

Et puisqu’on y est, pourquoi les méchants attaquent la déléguée, une fille normale dont on se fout complètement ? Autant dire que tu ne comprends rien, même le final reste en gros, je vais te sauver sans raison ni explication et un gros drama incompréhensible en résulte.

Attaque Bulle d'O!

Je n’aurai pas besoin d’aller plus loin : c’était bien pourri avec du budget en trop visiblement.

Ce matin Good Smile Company a lancé les précommandes la Nendoroid Alisa Illinichina Amiella.

Vous aimez la licence GOD EATER et vous attendez les différentes adaptations en PVC annoncées lors des derniers Wonder Festival ? Et bien en attendant, pourquoi ne pas craquer sur la Nendoroid d'Alisa Illinichina Amiella que Good Smile Company a mis en précommande ce matin ? Annoncée il y a quelques mois par le biais d'une petite affiche, la demoiselle a fait un long chemin jusqu'à aujourd'hui et semble particulièrement fourni (ce qui explique d'ailleurs le prix un peu plus élevé que d'habitude). Alors qui craquera ?

Nom : Alisa Illinichina Amiella
Origine : GOD EATER 2
Éditeur : Good Smile Company
Sculpteurs : Shunichi Karashima, Nendoron
Dimension : 10cm
Sortie : Juillet 2014
Prix : 5093 ¥ (37€)

© NBGI

http://www.goodsmile.info/en/product/4228/Nendoroid+Alisa+Illinichina+Amiella.html

Preview de la sensuelle Asuna version Captured Titania signée Max Factory.

J'ai comme l'impression que les éditeurs ont décidé de me ruiner… Mais comme souvent après la tenue d'un Wonder Festival. En effet, les prototypes présentés dans leur version finale sont souvent annoncés dans les semaines qui suivent l'évenement. Et après la superbe Frau Koujiro de Good Smile Company, voici une autre réalisation que j'attendais avec impatience qui a été mise en précommande ce matin : Asuna Captured Titania signée Max Factory.

Asuna est l'héroïne de la série populaire Sword Art Online. Ici, nous découvrons le personnage dans une forme élfique qui provient de la deuxième partie de la série, lorsque l'intrigue se déroule dans ALfheim Online. Ci-dessous, retrouvez le trailer de la série :

C'est lors du Wonder Festival Summer, en juillet dernier, que Max Factory a dévoilé le prototype sans couleur d'AsunaCaptured Titania. Une annonce qui avait fait du bruit car cette forme du personnage n'avait pas eu droit, encore, à de nombreuses adaptations. Il aura fallu attendre le 9 février pour découvrir la figurine finale lors du WF Winter. Cette présentation avait dès lors laissé supposer une mise en précommande rapide qui a finalement eu lieu ce matin.

Voici une demoiselle que j'attendais avec impatience depuis qu'elle a été présentée pour la première fois. Car, bien que je n'aime pas particulièrement l'apparence d'Asuna dans la seconde partie de la sérieSword Art Online (les oreilles d'elfes, moi, j'aime pas ça), j'avais trouvé que cette adaptation de Max Factoryétait bourrée de charme et de sensualité. Tout cela grâce à la pose et son expression. Du coup, j'avais hate de la découvrir en couleurs et je ne suis pas mécontente du résultat. La demoiselle rejoindra très certainement (pour ne pas dire que c'est sur) notre petite collection personnelle ! Entre elle et Frau Koujiro, le mois de juillet commence à être chargé !

 Nom : Asuna
Version : Captured Titania
Origine : Sword Art Online
Éditeur : Max Factory
Sculpteur : Shining Wizard @ Sawatika
Dimension : 1/7ème (13 cm)
Sortie : Juillet 2014
Prix : 10926 ¥ (78€) 

© Reki Kawahara / ASCII Mediaworks / SAO Project

http://www.goodsmile.info/en/product/4230/Asuna+Captured+Titania.html

Présentation de la Nendoroid Sasara(Fantasista Doll) mise en précommande ce matin.

Alors que sa copine Uno Uzume est prévue pour le mois d'avril, Good Smile Company a lancé ce matin les précommandes de la Nendoroid Sasara, issue de la série Fantasista Doll. Une mise en vente rapide lorsque l'on sait que la demoiselle a été annoncée il y a tout juste deux mois. Elle devrait donc faire plaisir aux fans de la licence, même si je trouve, à mon sens, qu'elle n'est pas très fournie en accessoires.

Nom : Sasara
Origine : Fantasista Doll
Éditeur : Good Smile Company
Sculpteurs : Nd_DOG (Good Smile Shanghai), Nendoron
Dimension : 10cm
Sortie : Juin 2014
Prix : 3611 ¥ (26€)

© 2013 Fantasista Doll Project / FD Production Committee

http://www.goodsmile.info/en/product/4229/Nendoroid+Sasara.html

Voici le concours manga du mois ! Pour ce mois de février, je vous propose de découvrir le nouveau Yuji Iwahara (Le roi des ronces, Nekoten) : Dimension W aux Éditions Ki-oon. Trois tomes 1 sont à gagner.

Cela faisait une éternité (4 ans pour être plus exact) que je n’avais pas pu lire une nouvelle série de cet auteur que j’apprécie tout particulièrement, notamment pour son talent graphique. De plus il parait chez Ki-oon, qui regrettait de n’avoir pas eu la licence du Roi des Ronces. Donc j’espère vraiment que la série va marcher et je vous parlerai plus en détail dans un article qui arrive dans quelques jours. En attendant, place au concours !

Voici le pitch officiel de la série : 2072. L’humanité a enfin trouvé la solution à tous les problèmes d’approvisionnement en énergie. Les coils, des bobines électromagnétiques qui fournissent des ressources inépuisables, ont relégué batteries et autres câbles au rang d’antiquités. Kyoma Mabuchi, lui, a tourné le dos à cette technologie révolutionnaire. Amoureux des bonnes vieilles voitures à essence, il préfère passer son temps à bricoler ses bolides. Pour gagner sa vie, ce chasseur de primes d’un genre nouveau s’est spécialisé dans la récupération des coils illégaux, qui, détournés de leur usage de base, peuvent se transformer en armes redoutables…

Alors qu’il enquête sur deux petites frappes des bas quartiers, son chemin croise celui de Mira, une mystérieuse prisonnière dont le destin semble intimement lié aux coils. À ses côtés, Kyoma va vite découvrir que cette technologie miraculeuse pourrait bien conduire l’humanité à sa perte…

On complète avec un trailer, ci-dessous, et vous pouvez aussi lire un extrait du tome 1 ici…

Un petit rappel des règles au passage. Comme d’habitude vous avez donc le choix entre la grille ci-dessous, le puzzle sur Facebook et Google + ou les deux. Le modus opérandi est le suivant :

• 1. Jouez sur le blog (grille ci-dessous) ou allez faire un tour sur la page Facebookde Paoru.fr, devenez fan et rendez-vous dans l’album photos Concours Paoru.fr
• 2. Sur Facebook : identifiez sur l’image du mois (celle de  février cette fois-ci) les 12 tomes présents, aka mes dernières lectures. Plusieurs ont eu le droit à un article dans ces colonnes ou ont été évoqués sur notre Twitter. Si vous bloquez, n’hésitez pas à fouiller.
  
• 3. Sur le blog : trouvez les 12 nomsde mangaka. En effet ce mois-ci je vous donne 12 prénoms de mangakas et il vous faut trouver le nom. Indice : il y a un W dans tous ces noms, Dimension W oblige !
• 4. Envoyez les noms des tomes et séries à l’adresse concours@paoru.fr, le tout avant le 5 marsà minuit !

Trois gagnants seront tirés au sort parmi les bonnes réponses. Leurs noms seront annoncés vers le 6 mars en même temps que les réponses du puzzle et du quizz.

Voici la grille de mots croisés du mois.

Bonne chance à tous, amusez-vous bien !

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Preview de la belle Senjougahara Hitagi qui débarque chez Kotobukiya 

Après une annonce par Kotobukiya lors du Wonder Festival Winter 2014, il n'aura pas fallu attendre longtemps pour que Senjougahara Hitagi soit mise en précommande, et ce, depuis ce matin. Les plus impatients sont maintenant servis (ou pas car il faudra attendre juillet pour recevoir la figurine). On a ici une adaptation plutôt fidèle du personnage où le côté hivernal est bien retranscrit avec des couleurs qui collent bien, un socle original avec un peu de neige et une Hitagi qui essaye de se réchauffer comme elle peut, sous sa doudoune et ses gants. Marrant qu'elle garde toujours sa courte jupe même par un temps glacial. Personnellement, je la préfère avec les cheveux longs mais cela reste tout de même une figurine de bonne facture et la demoiselle est très mignonne.

Nom : Senjougahara Hitagi
Origine : Monogatari Series: Second Season
Éditeur : Kotobukiya
Sculpteur : Suzu (Atomic-bom)
Dimension : 1/8 (21 cm)
Sortie : Juillet 2014
Prix : 8400 ¥ (59,90 €)

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© Nishio, Kodansha, Aniplex, Shaft

http://main.kotobukiya.co.jp/figure/pvc/nisemonogatari2nd_hitagi_koimonogatari.html

En précommande jusqu'au 1er avril sur la boutique française de Kotobukiya : http://fr.kotoeu.com/a/bakemonogatari/koimonogatari-hitagi-senjougahara

Je viens de me rendre compte que j’ai une plus ou moins bonne image de Saboten en tant que compagnie. Créant des jeux ayant des systèmes intéressants et comiques tout en possédant des CGs de bon niveau (remarque que sur ce point, c’est plutôt difficile de trouver le contraire dans les jeux amusants).

La chose étant que je n’ai joué qu’à 3 jeux donc avoir un avis général à ce point a l’air un peu con. La firme sortant souvent des galge, le seul auquel j’ai touché avant Sex Idol 48!étant Oppai Majinden. D’où est-ce que j’ai bien pu avoir cette idée ressemblant à celle d’un habitué ? J’ai bien vu quelques images des autres et les ai en attente dans un fichier à part mais ça ne suffit pas vraiment à expliquer ne les ayant pas essayé.

D’ailleurs, j’ai beau avoir apprécié Sex Idol 48!, les deux autres n’étaient pas si bien. Surtout le troisième (Stella, sorti récemment) pas si passionnant que ça.

Le titre explique tout comme à l'accoutumé

Le héros est un pauvre gars sans emploi. Il a terminé son lycée, est allé en ville et se fait avoir à chaque entretien d’embauche sans comprendre pourquoi. Il revient alors sur son passé, son paradis d’année lycéenne ou il a juste appris à devenir maître du H et se rend compte que ça ne lui sert pas tant que ça à présent.

C’est là qu’une femme se fait attaquer par des yakuza. Elle semble avoir une dette et le héros se bat contre les hommes pour la sauver de la situation. Il se fait évidemment écraser, la fille le remercie ayant obtenu un délai et le H commence. Elle choisi alors de le prendre producteur de son studio au vu de ses talents.

Son travail : trouver les filles ayant un fort potentiel d’idole et les subjuguer par un viole direct pour en faire des idoles.

Le monde entier est rempli de pervers

Le jeu prend alors le système basé sur les battle fuck (première fois que j’use du terme mais c’est comme ça que les combats en H sont communément appelés). Le héros obtient une cible du genre : la fille qui vend des crêpes et il doit aller la trouver en traversant la ville pour commencer son plan d’attaque histoire de l’amener dans un coin sombre. Puis Battle Fuck.

Il y a une zone par cible, chaque zone ayant plusieurs filles en tant que rencontres aléatoires dont certaines plus rares (voir fortes) que d’autres. On peut les désactiver avec l’objet radar d’idole, les combats ne donnant pas d’expérience mais des points d’actions nécessaire pour entraîner tes idoles (H) ou les faire aller travailler (H). L’expérience (réputation) étant des points obtenus par le travail ou les lives des idoles tenus en fin de la 4e semaine dans le jeu. Une semaine étant un aller-retour entre zone-base ou lorsque l’on perd. Le cycle de 4 semaine étant la base de tour utilisée.

Plus le gars est réputé, plus il donne de point d’expérience à l’idole en l’entraînant et plus elle devient douée et rapporte de sous lors de son travail ou ses lives.

Elles ont un niveau limite et une gauge d'endurance par ailleurs

Les lives sont déroulés en tant que groupe. L’important pour leur succès étant l’accord entre les membres. Plus tu avances, plus le groupe peut s’agrandir.

Lors de la 2e semaine, après la deuxième cible, les yakuza viennent prendre leur argent. La somme augmente avec le temps, ça n’a pas de fin et si on n’a pas leur demande, ils piquent une fille pour toujours (bien qu’un npc laisse sentir une solution pour les ramener, je ne me suis pas fait avoir donc je ne sais pas). Les lives seuls sont plus que suffisant pour avoir cette dernière et les objets payant sont juste l’équipement plus les potions servant seulement à la fin. Se trouve ensuite leur travail individuel pour avoir plus d’argent mais ça ressemble plus à une perte de temps vu l’utilité d’avoir les poches remplies.

Certaines filles sont spéciales en le fait qu’elles sont dans x zone tout en ayant des capacités totalement au-dessus de leur compère en tant qu’idole et une fois toutes récupérés la dernière qui s’occupait de notre travail et est la plus forte devient disponible.

Même après la fin ils continuent de venir malgré le fait qu'ils aient bien dit que la dette était remboursée

Ca n’a déjà pas assez de logique comme ça et c’est encore pire une fois qu’on s’intéresse aux détails.

Les filles sont fortes sans avoir forcément de raison. Elles sont supposées fondre devant la technique du héros tout en finissant par H et aimer n’importe qui. Juste avec le H, elles deviennent meilleures en danse/chant et autres. Elles ont deux images pour les phases de dialogues : une normale, une idole. Le niveau où elles deviennent idole est différent selon la fille, au début ça ressemblait à la difficulté de la persuader puis on comprend qu’en fait non. Il n’y a pas de raison. A un moment, un gars se plaint même qu’on a que des idoles de campagne alors que dans le tas on avait encore mieux que celle pour qui il a accepté de signer entre autre.

Une histoire pas intéressante en soit consistant juste à rembourser la dette et devenir numéro 1 sans comprendre en quoi en est numéro 1 concrètement.

Leur expression change une fois qu'on touche leur point faible ou fini par avoir pris 80% de leur HP

Pour recruter les filles des rencontres aléatoires, il faut toucher leur point faible lors du combat. On a plusieurs type d’attaque dedans. Rien de bien brillant, pas la peine de passer du temps dessus.

Une fois obtenue, même sans être idole, on pouvait la retrouver sur des émissions de variété à la télé de la base avec d’autres de nos idoles. Une fois idole, on avait droit à un quizz sur la même télé pour pouvoir voir leur image de dialogue comme on veut si réussi. La question repose sur les propriétés de la fille avec réponse sur sa fiche personnelle mais tu n’es même pas obligé de vérifier puisque c’est assez facile si on omet quelques unes.

Il y a 3 H différent par idole : la leçon, le travail, les yakuza. Souvient toi juste de la base qui est l’éjaculation interne. Tous les H doivent finir comme ça. C’est la règle.

Après la fin se trouve le laboratoire de mahou shoujo

Il n’y a pas grande difficulté à jouer. C’est juste du piston jusqu’au milieu puis exploitation de leur faiblesse en se soignant de temps en temps.

Il est sympa de les rechercher et de monter leur stats en tant qu’idole. Bien que je n’ai pas aimé le H en dehors des leçons, ce n’est pas si mauvais. Le jeu n’est pas long non plus comme d’habitude. Juste de quoi passer quelque temps.

Récupérée mercredi à la poste, voici la review de la sexy Maeda Keiji signée Alter.

Nom : Maeda Keiji
Tiré de : Hyakka Ryouran
Éditeur : ALTER
Sculpteur : Tanaka Sen'u
Taille : 1/8ème (28 cm)
Date de sortie : Janvier 2014

Bien que nous n'ayons pas regardé la série (juste le premier épisode), nous avons toujours bien aimé les réalisations PVC de la série Hyakka Ryouran et si nous ne possédons pas tous les personnages sortis, nous en possédons déjà plusieurs (Jubei, Sanada, Hattori et Naoe). Et il faut réconnaître que, bien évidemment, lors de sa mise en précommande, Maeda Keiji avait attiré notre attention. Malheureusement, la belle était limitée à Hobby Japan et donc dure à trouver… Mais grâce à Romariole, nous avons pu la réserver chez Nippon Yasan, qui est devenu depuis notre fournisseur officiel. Il aura cependant fallu s'armer de patience tant la demoiselle a été repoussée. Et finalement, c'est mercredi que nous avons pu la récupérer à la poste où elle nous attendait sagement. Dommage, l'impression du Shadonia Magazine 9était lancée ! Mais bon, j'avais envie de vous faire des photos, alors, en voici une bonne dose !

Et comme si ça ne suffisait pas, voici quelques clichés de gros plans de la demoiselle. De quoi se rincer l'oeil assez facilement tant elle a de jolies formes…

Avec ses formes plus que généreuses, Maeda Keiji a de quoi séduire les fans de la série ou du fabricant mais aussi plus généralement les amateurs de belles réalisations. Car il faut reconnaître que cette sculpture est pourvue de très belles finitions avec une jolie sculpture (cheveux, tenue, ombrelle) mais aussi une bonne gestion de la peinture. Les motifs de son "kimono" sont d'ailleurs mis en lumière par les couleurs chatoyantes de Maeda. Une chose assez surprenant lorsqu'on la déballe, c'est son poids. Au départ, je pensais que le poids de la boite était liée à l'ombrelle mais que nennin, c'est bien la demoiselle qui est lourde. Une chose est sure, cette réalisation a tout pour plaire, du moment qu'on arrive à la trouver à un prix décent car la qualité est bel et bien au rendez-vous. En tout cas, ici, on craque !

© Akira Suzuki / Niθ / Hobby Japan

http://www.alter-web.jp/others/13/10/index.html

Amateurs de League of Legends, voici une Lux en armure et en meido. Si vous aussi vous aimez vous faire frapper par la Lumière, alors sortez 3 000 Maid Points de votre compte en banque et foncez au Meido Store le plus proche !

Source : yinanhuanle

Man-Ken tome 1 par Daiki Katô

Manga sur le manga

Ce nouveau titre, édité par Panini Manga, va suivre le quotidien d’un club de manga.

Le monde de l’édition est maintenant devenu monnaie courante, surtout depuis Bakuman. On trouve également Cimoc qui traite du sujet (et peut être d’autres dont j’ai oublié le nom).

Cette oeuvre est la première réalisée par le mangaka Daiki Katô.

Et pour une première oeuvre, on peut dire que le résultat, sans être extraordinaire, est néanmoins très correct pour mériter de s’y intéresser.

3 tomes sont déjà disponibles chez Panini Manga.

Résumé du tome

Dans les écoles, il y a de nombreux clubs : pour le sport, la musique, ou encore plein d’autres sujets.
Mais il y a aussi des clubs dédiés au manga, où les membres peuvent laisser libre court à leur imagination.

Entre la leadeur menaçante, la fana de jeux vidéo et la dessinatrice de mangas sans talent, Sachi va se retrouvé embringué dans ce club, où de nombreux défis s’annoncent devant elle.

Restera-t-elle dans ce club ou gardera-t-elle son indépendance ?

Des éléments qui marchent

Pour une première oeuvre, je dois dire que j’ai été plutôt agréablement surpris.

Ce n’est pas un chef d’oeuvre, mais c’est globalement de bonne facture, au moins pour un premier volume.

Dans un sens, l’auteur a su puiser des inspirations et des idées de toute part pour donner de l’intérêt à son titre.

L’exemple le plus flagrant pour moi est la responsable du club de manga de l’école. Pour ceux qui ont pu lire Eyeshield21, ils reconnaîtront au premier coup d’oeil la personnalité d’Hiruma en version féminine.

Le personnage d’Hiruma a été un très bon moyen pour l’équipe de football américain de recruter des membres ou d’arriver à ses fins. Dans Man-Ken, l’auteur utilise donc ce personnage féminin pour la même chose, à savoir recruter pour son club de manga (avec également la même méthode de recrutement et la même influence sur les autres : elle fait pression grâce à des secrets).

Pour rester au niveau des personnages, il y a également Alice, une jeune fille qui aime dessiner des mangas, même si personne ne semble apprécier ce qu’elle fait.

C’est vraiment cliché, car malgré les critiques des autres élèves, elle continue de faire ce qu’elle aime. On est donc vraiment entouré de bons sentiments et de personnages qui vont vouloir se surpasser, mais l’ambiance qui se dégage de la lecture de ce premier tome est plutôt bonne.

Quelques pistes sont lancées, sans pour autant arroser tous les personnages avec des mystères bien mystérieux ou de coïncidences malencontreuses.

L’histoire évolue donc autour d’un club de manga, où tous les membres font absolument tout ce qu’ils veulent ! Il s’agit plus d’un club Geek qu’un club Manga d’ailleurs.

Ce premier volume introductif est bien agréable à lire, présentant de nombreux personnages sans non plus tous les mettre en avant. Nul doute qu’ils auront tous leur moment de gloire durant l’oeuvre, mais nous ne sommes pas largué dès les premières pages.

Globalement, le titre est ainsi bien équilibré, avec des sujets variés et des idées assez intrigantes pour maintenir l’intérêt du lecteur, sans tomber dans l’imaginaire complet ou l’irrationnel.

Graphiquement, le résultat est également classique, mais je trouve cependant que le résultat est très correct pour une toute première oeuvre.

Les personnages sont déjà bien définis visuellement et je n’ai pas eu l’impression que le mangaka se cherchait encore ou hésitait sur certains designs.

Bon point également, la lecture de l’oeuvre est assez dynamique. Pas d’action ou de confrontation, mais l’enchaînement des cases est très fluides et l’ensemble à un rythme très agréable à lire.

Le titre est ainsi agréable à lire et parvient à maintenir un intérêt constant sans pour autant vouloir renouveler le genre. Cela ne donne peut être pas envie, vu comment je le décris, mais le mangaka parvient à rendre son récit intéressant avec quelques touches intéressantes et un rythme agréable.

Sans être la découverte de l’année, le titre se veut classique, sans tomber non plus dans la mièvrerie ou l’humour lourd.

Le paradoxe, c’est que malgré un premier volume sympathique et agréable à lire, le titre n’est pas suffisamment accrocheur pour que je lise la suite en neuf. Une lecture du second volume me permettra sans doute d’avoir un avis plus précis sur le titre et de pourquoi pas, revoir mon avis. C’est dommage car je garde un bon souvenir de cette lecture et de cette entrée en matière.

La lecture du second tome me permettra de donner un avis plus définitif sur cette nouvelle série de Panini Manga, mais en l’état j’ai déjà été agréablement surpris par ce début de série.

Qu’avez-vous pensé de ce titre ? Trouvez-vous également qu’il soit bien équilibré ?

Go! Go! 575 est plus une promotion pour le jeu sur PS Vita qu’un anime. Ce serait supposé être un simulateur de chant en haiku, d’où le 575 représentant le nombre à la racine du haiku.

Ils ont en fait 4 épisodes de 3 minutes 30 et ce que je me suis demandais après avoir fini était sur l’intérêt du truc au final. Si c’est juste une promo, ils se sont bien trompé sur la direction de leur scénario puisqu’il n’a rien à voir avec le jeu.

Va savoir comment elle est tombée

Tu as ton cliché de la fille énergique et son amie tsundere. L’énergique veut s’exprimer en chantant, elle trouve une affiche sur une pâtisserie et se dit qu’elle aimerait aussi faire de même que le slogan : exprimer ce qu’elle ressent en quelques mots.

Elle va entraîner tsuntsun dans son aventure et là commence leur entraînement de la mort.

Va savoir ce qu'il y a à danser pour réciter un haiku, c'est-à-dire 5 secondes de parole

2e épisode, apparition d’un nouveau personnage dans l’ombre et fondation du personnage de tsuntsun grâce au moe point de la mare du parc dont elle a peur pour rien. On avait déjà le moe point de l’énergique en sa broche sur la tête visé par les oiseaux semble-t-il, tu obtiens un combo.

3e épisode, rajout du troisième personnage sur la surface. Elle est là pour rien visiblement. Slice of life.

4e épisode, son terminé subitement grâce à x ami et la pensé de x composition avec x entraînement pour finir en publication sur le net.

Chaque épisode (sauf dernier) se finissant dans le bain publique avec juste nos héroïnes seules au monde.

Je t'ai résumé 12 minutes 30

Et le reste servait à quoi en fait ? En 4 minuscules épisodes, t’as la moitié qui sert à rien. Autant ils auraient pu répartir et prendre le truc sérieusement, ils ont opté pour le slice of life doublé d’un sens de non réalisme sur leur projet. Baclant le tout, ça rend leur anime affreux. Entre un slice of life et une histoire, il fini par échouer dans les deux avec des personnages plats et une fin grossière.