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900e article. Donc ok depuis le 500e article, je fête plus les articles au chiffre « rond » mais ça c’était avant. Là je me dis que comme c’est le 900e, que le 1000e est pour mi 2015 minimum, et que hier je fêtais mes vingt-cinq ans, et bah autant être un peu joueur et taquin. Je vous ai donc demandé de me proposer des thématiques de top 5 et VOUS AVEZ ÉTÉ BEAUCOUP. Au total j’ai reçu autour de 75 thèmes… dont une bonne poignée auquel je ne peux répondre par manque de culture dans le sujet demandé voire manque de temps parce que j’aurais du checker plein de trucs. Vous retrouverez la liste des refusés à la fin.

Donc j’ai décidé d’en garder cinquante et de faire un top 50 avec ça. Voilà. Je réponds à la plupart de tête et instinctivement parce que je peux pas me poser 30mn pour réfléchir à fond à chaque thème – même si je l’ai fait pour certains d’entre eux. Bref. Je coupe l’intro dès maintenant pour essayer d’atténuer l’effet pavé. Ce n’est pas très efficace. Mais allez c’est parti.

Donc pour résumer à chaque fois est noté le nom du thème, puis le nom de la personne qui m’a donné le thème. Ce n’est pas la personne en question qui l’a rempli, eheh.

Avertissement: l’article est MEGA GROS. La relecture est pas parfaite, elle se fera progressivement, là je pars décéder, merci.

L’ordre des tops est super aléatoire donc vous inquiétez pas si votre thème est placé dans des positions « pourries ». Je le fais au feeling… 

50/ Le Top 5 des succès dont tu es le plus fier

Par AxelTerizaki, qui a su capitaliser sur ma réputation de pute à succès. Même si en général les trop chauds je les laisse tomber très vite car ma priorité reste de compléter – dans la mesure du possible – environ 75% des succès d’un jeu.

5/ Deus Ex Human Revolution – « Pacifiste » – Finir le jeu sans tuer quelqu’un - Car c’était pas putain de facile. Et j’ai donc fait ça lors de mon premier et unique run parce que, de base, j’ai tendance à jouer des personnages pacifistes  dans les RPG, donc comme là en plus le jeu me récompensait pour ça j’ai fait OUAIS. Dans le même genre j’étais content de finir Mirror’s Edge sans avoir tiré sur un seul mec.

4/ Catherine – « Taking on the Gods » – Finir le jeu avec toutes les coupes d’or en Normal ou Difficile - J’ai fini tous les niveaux de Catherine en Normal avec une coupe d’or, ET OUAIS ET OUAIS ET OUAIS REGARDEZ CE TALENT MESSIEURS DAMES.

3/ Grand Theft Auto V – « Career Criminal » – Atteindre les 100% - Ces après-midi passés à chercher des foutues lettres dans la campagne. Ou bien ce samedi après-midi de la dépression à essayer de passer sous tous les ponts du jeu. Well, au moins je me suis pas trop fait chier et le 100% est plus gentil que dans d’autres jeux du genre. Mais bon même si tout ça j’en ai déjà parlé.

2/ Rock Band 3 – Rock Band Immortal – Inscrire 5 étoiles dans toutes les chansons du jeu en mode Expert - Ce qui était bien, c’est que cela n’impliquait pas de le faire avec le même instrument. Il fallait avoir 5 étoiles en Expert sur toutes les chansons dans au moins un instrument. Pas mal ont été faites à la guitare sans trop de soucis, le reste passait facilement au chant mais y’en avait une dizaine de bien chaudes qui m’ont demandées un bon week-end. Je me souviens particulièrement avoir pas mal bloqué sur The Beast and the Harlot et… Hey Man Nice Shot. Qui est pas spécialement dure ? Enfin bref j’en suis fier pas parce que le challenge est particulièrement dur mais parce que dès le lendemain de mon chopage du jeu j’avais réussi à le débloquer car j’en avais fait mon objectif.

1/ Dead Rising – Saint – Sauver au moins 50 survivants - Ce qui est chaud parce que y’en a genre pile 51 ou 52 donc tu peux pas en perdre beaucoup… ce qui est encore plus chaud parce que les survivants sont en général dotés d’une IA super teubée qui rend l’escorte un truc super glissant qui peut se finir n’importe qui. C’est un peu le témoignage de cette époque ou j’ai plus eu le net pendant 20 jours alors j’ai fait tous les succès de Dead Rising… à part ceux liés à la mode Survie parce que faut pas déconner.

Comme le suggère Kéké, mettez un chouette album en fond sonore, l’article va être long. Je conseille Supermodel des Foster the People.

49/ Top 5 des Clow Cards

Par LiShaolan452, qui a su capitaliser sur le fait que j’ai commencé à regarder l’anime Card Captor Sakura récemment. 

5/ The Bubbles - Parce que wow les couilles de faire une carte QUI NE SERT STRICTEMENT A RIEN. Y’avait The Flower dans le même genre mais The Flower Sakura arrive à trouver une utilité à un moment. Mais là The Bubbles non, c’est juste cadeau pour boucler. Et moi je trouve ça couillu.

Et osé.

4/ The Sword - J’ai toujours un souvenir très affectueux de ce passage ou Sakura utilise la carte et elle est habillée en mousquetaire très classe. A moins que je confonde avec un autre moment dans le manga, je sais plus trop, je l’ai pas relu depuis au moins huit ans. En tout cas la classe a un super design, puis voir Sakura avec une épée cool de temps à autres, moi j’aime bien.

3/ The Fly - C’est une carte assez emblématique que j’aimais bien appeler « Sulfura » quand j’étais jeune parce que why the fuck not. J’aime tout particulièrement la transformation du baton que la carte créée, et je trouve la version transformée encore plus classe. Et la capture dans le manga est mignonne comme tout, avec une bonne utilisation DE LA PUISSANCE DE L’AFFECTION.

2/ The Shadow - Un conspirationniste en hoodie, y’a quoi de mal à ça ? Très cool, le pouvoir est bien abusé et sa capture est assez sympa à suivre. Surtout parce que y’a Tomoyo qui aide pas mal et Tomoyo <333.

1/ The Erase - Je crois que quand j’étais plus jeune, j’ai décidé arbitrairement que The Erase était ma carte préférée et puis voilà. Tout l’arc – dans le manga parce que j’en suis pas encore arrivé là dans l’anime – autour de la carte était assez bien foutu et assez mystérieux, et j’aime bien le design du personnage. On manque de clowns tristes féminins dans l’animation japonaise.

48/ Le Top 5 des h-mangas publiés chez Taifu Comics MAIS ATTENTION tu n’as pas le droit à Yamatogawa

Par Arez, qui a su capitaliser sur mon bon goût

Je pars du principe que TOUS les hentais de Taifu comptent, pas seulement la collection récente et super cool:

5/ Body Body - Well, Sabashi Renya, well une kendoka qui fait des trucs avec son camarade kendoka. Ils le font sous la douche, chez eux, partout. C’est mignon, c’est un auteur que j’aime plutôt bien, c’est pas son meilleur loin de là mais eh ça va, ça se compulse tendrement.

4/ Megumi l’Hotaku - Well c’est le meilleur h-manga de Saigado… Après Ma Tutrice qui est sorti chez Soleil, à ma grande surprise. Il est plus sympa que les loisirs d’Anna parce que Megumi l’Hotaku est un h-manga super varié dans les situations, ou l’héroïne est d’ailleurs toujours très heureuse de se retrouver. Puis j’aime bien le sujet. Et, étrangement, il est pas dispo en anglais ailleurs. Point bonus.

3/ Good Times - Je comprends pas spécialement la hype autour de Coelacanth, que je trouve assez honnête mais pas ouffissime. C’est du vanilla sympatoche mais pas Homunculus et Napata, quoi.  Après, Good Times c’est très très sympa et même si le h-manga est pas encore sorti officiellement en France, il se ramène à la fin du mois donc vous pourrez juger de vous même (et il est bien mieux que Funky Glamorous, du même auteur.)

2/ Hot Infusion - Well, Sabashi Renya, donc. Acheté un peu au pif en pleine conv Animasia, au moment ou l’électricité du gymnase principale se coupe mystérieusement, ce qui m’a permis un achat sombre, mystérieux, et adapté. J’aime beaucoup les premiers chapitres. Voilà voilà.

1/ Sex^3 - Well, Sabashi Renya, enfin. Dès que y’a un vrai triangle amoureux ou tous les points baisent entre eux, je suis toujours preneur dans le hentai. Et là y’en a. Puis y’a aussi une histoire sympa entre un garçon et sa soeur.

Wow à la réflexion, y’a beaucoup de « grand frère par derrière » chez Sabashi Renya. C’est peut-être son seul défaut :’(.

 47/ Top 5 de tes couleurs de M&M’s

Par Galoo, qui a su capitaliser sur mon surpoids

5/ Orange

4/ Marron

3/ Rouge

2/ Bleu

1/ Vert – En plus le vert M&M’s il est bien pétant et tout.

Une très jolie Ichinose Hajime par saberiii

46/ Top 5 des trucs que tu trouves vraiment nul mais que tu aimes bien quand même

Par Vael, qui a su capitaliser sur mon mauvais goût 

5/ Nisekoi - C’est clairement une comédie romantique pas forcément super drôle ni très romantique, qui va allonger son status quo jusqu’au vomissement MAIS y’a le personnage d’Onodera que je trouve méga charmant et qui me permet d’avoir envers cet univers une sorte d’affection que je ne m’explique pas. 

4/ La version animée d’Umineko No Naku Koro Ni - C’est une adaptation ultra merdique et ultra loupée maaaais… j’ai beaucoup d’affection pour elle parce que, je sais pas, y’a quelques scènes réussies et c’est Umineko alors j’imagine que j’ai pas de race… ?

C’est un peu pareil pour DanganRonpa, note.

3/ Les mangas My-Hime/Mai-Otome - Le plaisir coupable ultime. Les séries animées de base sont pas forcément supra intelligentes (surtout Otome) mais le manga s’en fout complètement, fait exploser le fanservice, offre des scénarios d’une débilité délicieusement assumée (« et là on va dire que le grand méchant serait entouré de deux bras droits femmes chats » « MAIS OUAIS ») et passe finalement son temps à essayer de dépasser continuellement les limites du stupide. Et moi je kiffe comme un poivre. Enfin un porc. Un porc poivre.

2/ To Love Darkness - Ouais désolé mais objectivement To Love Darkness c’est pas terrible. Mais rien à faire, la série parvient malgré tout à remplir totalement ses objectifs qui sont 1/ de montrer des filles à poil minimum cinq pages par chapitre ; 2/ de repousser les frontières du ecchi sur le hentai, genre Poutine sur Crimée style ; 3/ Ne surtout pas régler le status quo entre les héroïnes. Et c’est quand même méga bien dessiné alors ça aide OvO.

1/ Sword Art Online - J’en ai longuement parlé dans ce qui est, et je le rappelle parce que ça m’étonne toujours, l’article le plus lu de l’histoire du blog. Sword Art Online est un ouvrage globalement mal écrit, structuré comme une fanfiction et dont les héros sont des Mary Sue invincibles dans lequel l’auteur se projette et s’idéalise un peu trop. MAIS, damn, cet univers est fun et cet anime est divertissant. Et je l’aime bien, finalement, même son second arc. J’ai honte d’aimer ça, j’ai honte d’avoir les supers coffrets DVD/BR collector à la maison mais tant pis, je vivrais avec cette charge.

45/ Top 5 de tes personnages préférés de DanganRonpa

Par Marvin, qui a su capitaliser sur ma connaissance pointue des procès suite à mes anciennes études de droit

En partant du principe que je n’ai fait que le premier et que, même si le chara design de beaucoup de personnages du deux me plaît (la super gameuse, la super photographe, le super chef cuisinier, LA SUPER PRINCESSE, GROTAMI), well, c’est mieux de mettre dans son top des gens qu’on connaît:

5/ Monokuma - Comment peut-on résister à ce délicieux « upupu » ? Comment peut-on résister à la voix de Doraemon corrompue par le vice et la débauche ? Comment peut-on dire non à ce délicat gentleman qui aime dire des cochoncetés et menacer les gens de mort ? C’est difficile, quand on y pense, hein ?

4/ Kirigiri la superduper ??? - J’aime bien Kirigiri. Elle est un peu la jesaistout du lot mais elle fonctionne bien dans son rôle. Il faut dire aussi qu’elle possède un design franchement cool et j’aime bien faire un pairing entre elle et le pot de nouilles qui finit sur son visage lors d’une des scènes les plus bizarres du jeu.

3/ Touko la superduper écrivain - Ce qui inclut son alter-ego maléfique, évidemment. Sans l’alter-ego elle serait troisième quand même, mais moins troisième que maintenant parce qu’il ne faut pas déconner. Bref on a un des cas sociaux les plus dérangés de l’histoire, une fille qui semble pas se doucher, flipper pour tout et écrire des histoires mièvres. Mais elle est cool. Et puis arrive l’alter-ego, la langue, le langage chatié et Sawachiro Miyuki qui pète un cable. Ah oui car je surkiffe la seiyuu, aussi.

2/ Chihiro la superduper programmatrice- Le trap le moins bien déguisé de l’histoire, sa voix étant foutrement obvious. Mais faisons comme si de rien n’était car le personnage est attachant, hyper gentil, ancré dans un de mes archétypes favoris et juste très travaillé au point de vue du design. C’est oui.

1/ Aoi la superduper nageuse - J’ai un petit crush sur Aoi ce qui doit être justifié par le MAILLOT DE BAIN UNE PIECE. Mais j’aime bien son énergie et j’apprécie le fait que, plus tard, elle déconstruit un peu l’archétype de la genki girl en pétant un cable bien comme il faut. Son design est très cool, j’aime bien ses délires à base de donuts et de métaphores sportives douteuses et… voilà. 

44/ Top 5 de tes émissions vidéos préférées d’Internet

Par Galoo, qui a su capitaliser sur le fait que j’ai Internet

Je me rend compte que je mate finalement peu d’émissions sur le net. Well:

5/ Todd in the Shadows’s Pop Song Reviews - J’ai laché le Nostalgia Critic y’a quelques temps parce que depuis son relancement, c’est devenu super pénible et inutilement long. Du coup chez TGWTG j’ai cherché un peu ce que faisait les autres et j’ai découvert Todd in the Shadows et ses critiques de tubes pop ricaines. Et j’aime beaucoup. Son humour me correspond pas mal, ses goûts musicaux sont assez variés et il prend quand même le temps de passer dix/quinze minutes sur une seule chanson, souvent pour dire des trucs intéressants. J’aime beaucoup ses top 10, aussi.

4/ Zero Punctuation - Well, un classique et le meilleur moyen pour n’importe qui de perdre confiance en soi dans sa compréhension orale de l’anglaise. Ca va vite, c’est un point de vue toujours très intéressant sur le jeu vidéo (ultra critique sans être pessimiste ou mécanique), l’humour est encore une fois totalement ma came et le concept est accrocheur.

3/ Le Joueur du Grenier - Fuck me, right ? J’aime beaucoup le Joueur du Grenier. Y’a cinq ans je matais tous les Angry Video Game Nerd en trouvant ça le truc le plus génial au monde mais, et ça m’emmerde presque de le dire, le JDG a très vite su se montrer meilleur que lui. L’humour est finalement plus subtil, les propos moins rébarbatifs et plus on avance, plus les vidéos sont imaginatives. Ca n’empêche pas de fournir des mauvais épisodes de temps à autres mais je ne crois pas que le concept s’essouffle.

2/ Crossed - J’aime beaucoup Karim Debbache. Il a ce ton pince sans rire assez fantastique, il est pas mauvais acteur et la plupart de ses vidéos savent ou taper pour être drôle – celle sur Double Dragon est un exemple parfait car la plupart des blagues sont originales et bien trouvées (la présentation en powerpoint, nom de dieu.) C’est là ou on voit la différence entre un simple youtubeur de merde qui te dira que Mario c’est drôle parce que trololo il est plombier ça a aucun sens trololololo et celui qui fait l’effort de prendre une situation déjà absurde de base mais de l’exploiter comme il faut et de ne pas juste se contenter de juste décrire un truc et dire à la fin « c’est drôle parce que ça n’a pas de sens, hein ? » Enfin bref je divague: entre les chansons des années 60 super bien utilisées, les goûts cinématographiques fort sympas du père Debbache et son univers hilarant, Crossed est un très bon show. Qui s’arrête bientôt :’(.

1/ 3615 USUL - Vous notez une tendance ? Ok, je suis un léger fanboy de la mafia NESBlog. Ok ok. USUL c’est terminé ce qui me rend triste parce que y’avait un peu tout ce que j’aimais: des références ultra nombreuses, un humour omniprésent et très juste, des efforts d’écriture et de réflexion, des citations et du gauchisme. Mais c’est fini :(.

:(.

43/ Top 5 des séries que tu as trop tardé à visionner (et que tu n’as toujours pas regardé d’ailleurs)

Par ElKaizer, qui a su capitaliser sur le fait que je suis pas partout.

J’ai décidé de mettre l’emphase sur le « que tu n’as toujours pas regardé. »

5/ Mushishi - J’ai enfin acheté le coffret Blu Ray récemment, faudrait que je m’y mette. On m’en parle partout comme la bestsérieeverholalalala donc, bon, ok, la hype est grande. De l’autre coté j’ai tellement peur de du coup passer tout l’anime à me faire chier et à me dire que l’anime est surestimé. J’ai peur d’être un gros con ;_;.

4/ Turn A Gundam - J’ai maté les trois premiers épisodes et je sais que je dois impérativement mater la suite parce que c’est très bien foutu et que c’est un anime avec une ambiance vraiment unique MAIS faut croire que je préfère regarder Nisekoi, Cardcaptor Sakura et Sekai Seifuku à la place. Je ramène à « l’absence de race » que je parlais plus tôt. Même moi je comprends pas.

3/ Les Sopranos - Je. Dois. M’y. Mettre. Une fois que j’aurais fini The Wire, I guess. HBO. Famille mafieuse. Une des références de son époque. Don’t stop- (yelp, je connais la fin avant même de commencer.)

2/ Patlabor - Ca fait cinq ans qu’il est en haut de la liste des « trucs que je dois regarder. » C’est comme ce coffret DVD RahXephon qui me regarde l’oeil humide depuis un an et demi. Ouip les gars je sais que… Mais… Un jour je…

1/ Nadia et le secret de l’eau bleue - J’ai l’impression de louper un truc alors je pense que je regarderais un jour. Non seulement pour voir un autre ouvrage d’Hideaki Anno, pour voir la Gainax à ses débuts et pour voir la Tour Eiffel se faire détruire dans un anime.

STOP ! Screenshot random !

42/ Le Top 5 des Miss Thalie que tout le monde adore sauf toi

Par Nefka, qui a su capitaliser sur les récentes batailles UMT. 

Grosso modo les cinq Miss Thalie que j’aime le moins.

5/ Tsunade (Octobre 2007) - J’étais jeune et con et je me disais à l’époque que ça ferait plaisir à des gens d’avoir un perso de Naruto en Miss Thalie. Non seulement tout le monde s’en fichait, mais à l’époque y’avait que dix personnes sur le forum alors bon, forcément… Mais du coup l’historique est un peu niqué.

4/ Faye Valentine (Novembre 2012) - Confession: j’aime peu Faye Valentine. Après c’est un personnage de Cowboy Bebop donc tout va bien le personnage est objectivement bien fait et bien écrit. Mais je le trouve profondément antipathique, pas spécialement séduisant et en plus elle a été élue dans une période chiante pour moi. La pauvre.

(Pour l’anecdote, mon perso préféré de Cowboy Bebop reste Jet <3.)

3/ Kuroki Tomoko (Octobre 2013) - J’adore la série Watamote mais j’ai du mal à apprécier la pauvre Tomoko ce qui, je pense, est une réaction assez normale. La pauvre suinte le malaise, est dessinée comme un pied dans le manga original et en plus ça me saoule parce qu’elle a gagnée contre Serena de Pokémon à l’époque et moi je trouvais Serena vachement mieux :I.

2/ Izayoi Sakuya (Décembre 2011) - On a pas eu beaucoup de Touhou en Miss Thalie: Yukari Yakumo et Izayoi Sakuya en tout et pour tout. C’est pas faute d’avoir essayé de caser Hakurei Reimu tous les ans… Mais bref, je sais plus trop pourquoi j’avais proposé Sakuya à l’époque. Je m’étais sans doute convaincu du fait qu’elle allait de toute façon perdre… Mais j’aime pas trop le personnage. Son design me laisse peu enthousiaste parce que ça reste juste une maid aux cheveux argentés… et j’aime ni les maids, ni les cheveux argentés. Bon. Tant pis.

1/ Enma Ai (Mars 2013) - Je sais pas trop pourquoi j’avais décidé que mars 2013 aurait comme thématique « la mort » sur le forum mais bref, ça avait donné un combat entre trois prétendantes super médiocres. Du coup, mouais, j’aime pas trop Enma Ai et j’avais été surpris de sa victoire à l’époque. J’aime pas la coupe hime, je trouve le personnage un peu glauque (HA, NORMAL) et, bofbof. C’est pas vraiment ma came, désolé.

(Et non, y’a pas Nausicäa dans mon top, HAHA.)

41/ Top 5 des Miss Thalie qui ont défilées depuis toutes ces années

Par Nock, qui a su capitaliser sur l’aspect de complétion de l’association Thalie

Grosso modo les cinq Miss Thalie que j’aime le plus:

5/ Sengoku Nadeko (Septembre 2010) - Evidemment, comme c’est moi qui propose les prétendantes neuf mois sur douze, la grosse majorité des Miss Thalie sont des personnages que j’apprécie ou surkiffe. Nadeko est un cas encore plus particulier puisque je l’adorais de base dans Bakemonogatari puis je l’ai encore plus aimé après ses deux scènes et demies dans Nisemonogatari puis est arrivé l’arc Nadeko Medusa dans la seconde saison et là j’ai commencé à installer un culte à sa gloire dans un coin de mon cerveau. Du coup je suis presque ennuyé qu’elle ait déjà gagnée parce que j’aurais pu la proposer aujourd’hui et faire encore plus de chouettes logos à sa gloire.

4/ Ichinose Hajime (Septembre 2013)- Ohlala Hajime <3. Elle est tellement cool. Elle est pleine d’énergie, super gentille, très excentrique, très maligne, elle a des supers tics verbaux, bref c’est un personnage méga parfait dites donc <3. Je suis content qu’elle soit passée et j’espère qu’elle gagnera le concours Ultra Miss Thalie de 2014.

3/ Rakka (Février 2010) - Haibane étant, je le rappelle, le meilleur anime du monde, il est logique que Rakka soit un de mes personnages favoris. Même si le plus gros atout d’Haibane Renmei réside dans son univers et ses propos plus que dans ses personnages (Rakka est pas un perso avec un caractère ultra défini) il me paraît quand même difficile de ne pas avoir de l’affection pour ce personnage. Beaucoup d’affection <3.

2/ Kushieda Minori (Septembre 2009) - L’ultime genki girl de l’animation japonaise et celle qui vole chaque scène dans laquelle elle apparaît. Évidemment cela pose beaucoup de problématique dans un anime qui est plutôt consacré à la loli tsundere dont j’ai vite eu pas grand chose à en faire parce qu’a coté, IL Y’A MINORI PUTAIN. Le personnage est juste super bien foutu. Gros ressort comique de la série, à qui on a rajouté un caractère naturellement énergétique et amical, elle est en outre développée dans le courant de la série, pour connaître là aussi ses passages compliqués et ce que certains désignent dédaigneusement comme « une période émo » vers la fin. Ce qui est justement très bien avec Minori c’est que son caractère excentrique n’est pas du tout une facade mais que cela ne l’empêche pas, à plusieurs reprises, de craquer et de s’enfermer dans une certaine déprime, qui donne envie de lui faire des calins. Il faut dire que pour une fille amoureuse de deux personnes, et qui voit ces deux personnes se mettre ensemble, la vie, c’est pas facile ! Enfin bref, tout ça pour dire qu’elle mériterait un spin off. Un truc genre « Kushieda Minori autour du monde », où elle visiterait un pays par épisode. Minori en Chine, Minori en Iran, Minori en Allemagne, Minori au Kenya… Je pourrais payer pour ça !

1/ Ranka Lee (Décembre 2008) - Bah, euh, Ranka Lee quoi. Vous êtes sur Néant Vert, je veux dire, euh. Duh.

Du coup voilà une Ranka Lee par kuronell

40/ Top 5 des meilleurs champions d’arène dans Pokémon

Par Marvin Zangoose, qui a su capitaliser sur le fait que j’ai plein de badges depuis toutes ces années.

Bon je savais pas si je devais répondre à ce top objectivement ou subjectivement, mais je vais y répondre subjectivement:

5/ Inezia - Well, le seul maître d’arène de Blanc & Noir que je me souviens de tête. Elle et les trois jumeaux multicolores. Mais comme je me souviens pas de leur nom… Après faut dire qu’Inezia a un design super cool donc ça aide pas mal à s’en souvenir. Puis y’avait ce sketch de l’AMV Hell 6 qui était très sympa.

4/ Blanche - Son Ecremeuh. Cette Roulade. Je trouvais ça cool quand j’étais jeune d’avoir un maître d’arène « Normal. » C’est le premier vrai défi d’Or & Argent parce que les deux champions précédents étaient un peu créés dans le but de se faire rouler dessus (le champion Vol avec son Roucoups de niveau 9 il avait sans doute un t-shirt « j’aime les clous roulés dans mon cul » sous son kimono.)

3/ Auguste - Dont la moitié des points grâce à son rôle dans Pokémon la Grande Aventure. J’aime bien son arène à quizz, j’aime bien son choix de Pokémon en général (Arcanin <3) et même si je suis plus un #TeamAqua je le trouve assez cool. Puis c’est le mec qui a crée Mewtwo, quoi. Don’t fuck.

2/ Morgane - Là aussi, j’aimais beaucoup son personnage dans le manga et je la trouvais assez mignonne avec un t-shirt Team Rocket. Mais de toute façon elle avait aussi un design plutôt cool dans les versions originales en général. Puis ouais, les Psy, fouyaya.

1/ Erika - Faut croire qu’une yamato nadeshiko qui occupe une arène remplie de nanas, je suis obligé de trouver ça super génial. Sigh. Ou est ma maturité.

39/ Top 5 des meilleurs épisodes des Guignols

Par Shmo, qui a su capitaliser sur le fait que je regardais cette émission quotidiennement… avant que ça devienne nul.

Par « épisode » j’imagine qu’il voulait dire « sketch » donc on va faire ça comme ça:

5/ Ici à Nagano il pleut de la choucroute - « C’est ce que ici à Nagano on appelle…. le problème…. » – j’adorais ce running gag. Y’a tout qui marche. Fulla qui comprend que la moitié de ce qu’on lui dit, le ton lent et traînant, les gros mots lancés légèrement comme ça, la choucroute… Love. 

4/ Droite Park - Les sketchs qui se foutent de la gueule de la droite sont souvent bien plus drôles que le camp adverse. Valery Giscard d’Estaing en Kenny reste quand même bien vu, et cette reprise du générique est assez fabuleuse.

3/ Pol Fiction - Rien que pour Raymond Barre qui se retourne en faisant « COUUUUUUUUCOUUUUUU. »

2/ La parodie de Last Days avec Raffarin - Je la retrouve pas en vidéo mais elle m’avait assez marquée. Pareil avec Raffarin en Brice de Nice. Enfin en général, Raffarin est une source à lol inépuisable, même maintenant.

1/ Droite City - La réussite de celui là <3. L’effet, les idées, les phrases, les dialogues, le petit Stinger. Puis revoir la marionnette de De Villepin, c’est bien cool. C’était avant que Sarkozy ne devienne plus drôle <3.

38/ Le top 5 des supermarchés

Par Kmeuh, qui a su capitaliser sur le fait que j’allais faire mes courses

J’ai mis des hypers, vous m’en voudrez pas:

5/ LIDL - Well, j’y vais quand vraimentça va mal. Même si attention aux clichés – y’a pas mal de trucs LIDL qui sont aussi bons que les originaux voire supérieurs. Quand les temps sont durs je prends trois paquets de Prince à 99 centiments, ils font 500g, chaque Prince donne l’impression de bouffer du ciment, bref ça cale vite. Enfin bref c’est pas cher, c’est pratique mais de l’autre coté les employés y sont impolis as fuck (et pour avoir fait un entretien d’embauche pour chez eux, je crois qu’ils ont pas le choix) et tu es toujours assuré d’attendre une demi-heure à la caisse.

4/ Carrefour - J’aime pas Carrefour. J’ai l’impression que chez eux tout est plus cher qu’ailleurs mais qu’ils s’en foutent parce qu’ils sont les mâitres du monde. C’est peut-être une impression. De l’autre coté je me suis jamais remis de la fois ou j’ai découvert que le logo c’était un C en trompe l’oeil. De l’autre coté faut aussi dire que le fonctionnement est plus propre et que t’es vraiment assuré de trouver tout ce que tu veux y trouver… Par contre dès qu’on commence à attaquer les supérettes et les Carrefour Market, ça devient moins cool.

3/ Casino - Alors oui déjà mieux. Je fréquentais souvent un Casino quand je vivais prêt de la rue de Bagnolet et j’aimais bien y’aller. Y’avait du choix, les produits Casino natifs sont cools et y’avait des bons prix. Bon. La base.

2/ Auchan - Pour le culturel ils sont pas mal. Après d’Auchan je ne connais finalement que leurs gigas magasins de Val d’Europe et de la Défense donc je peux pas témoigner du reste… ? Mais ces magasins là sont cools.

1/ Leclerc - Même si ils ont des pubs foutrement horripilantes (je me souviendrais toujours de celle ou ils chouinent publiquement que leurs pharmaciens ont pas le droit de vendre des médicaments à cause du méchant état français, bouhouhou pauvres victimes) que ce soit à la télé ou à la radio (ça fait combien de temps que c’est le même couple teubé qui va à Leclerc et le dit très fort à la radio ? Monique et machin, là ? Quinze ans ?), on peut pas nier que les hypermarchés Leclerc sont en général cool. Y’a du choix, les prix sont là, ça roule bien, leurs espaces culturels sont pas dégueu. Bon bah ok, je suis obligé de dire que c’est mes petits favoris…

… même si sorti de l’ouest de la France, c’est déjà plus dur d’en trouver.

Faites une pause pour manger si besoin est.

37/ Le top 5 des chansons de heavy metal

Par Itsukushimu, qui a su capitaliser sur ma bibliothèque de 900 titres dans Rock Band 3

Bon je suis naze pour classifier les chansons par genre donc si y’a des erreurs – genre tel titre c’est du thrash metal ou du alternative metal ou du grindcoremescouilles – c’est la maison qui offre. Et tant qu’a faire j’ai essayé de mettre cinq groupes différents:

5/ AC/DC – Hells Bells - Dès que y’a un bruit de cloche dans une chanson, je suis au taquet, c’est pas ma faute. AC/DC est un groupe sur lequel je suis assez partagé car j’aime autant de trucs que j’en déteste. Genre Highway to Hell ou Whole Lotta Rosie pfff non. Mais Hells Bells, Thunderstruck ou Shoot to Thrill ? Déjà, là, oui.

4/ Blue Öyster Cult – Don’t Fear The Reaper - Well, what a fucking surprise, j’ai découvert que Blue Oyster Cult était classifié comme groupe de heavy metal. Ca n’a aucun sens. Je pige que dalle aux classifications. Pour moi c’est du rock classique. Enfin je sais pas. Bref. Don’t Fear the Reaper. La cloche à vaches. Le solo de fou. Yeah.

3/ Iron Maiden – Fear of the Dark - Oui voilà, quand j’entends « heavy metal » je pense automatiquement à Iron Maiden. Ma préférée d’Iron Maiden, donc, c’est Fear of the Dark. Je trouve qu’il monte bien en puissance, qu’il possède des solos cools et que c’est un chouette morceau à écouter en se baladant la nuit.

2/ Metallica – Welcome Home (Sanitarium) - C’est pas du thrash metal Metallica ? Ou ça l’est à partir de seulement une certaine période ? Parce que mon titre préféré de Metallica c’est Welcome Home, donc, et c’est classé comme du heavy. Je sais pas trop. Enfin bref, habituellement je change de titre préféré de Metallica chaque année, mais je suis resté sur Welcome Home depuis deux ans. Avant c’était One, puis The Thing That Should Not Be, puis The Memory Remains puis No Leaf Clover. Je suis un peu incapable de faire un choix. 

1/ Guns N’Roses – Sweet Child Of Mine - Pareil, les Guns N’Roses y’a PLEIN de titres que j’adore. Mais est-ce que Chinese Democracy est un album d’heavy metal ? Pour moi ça sonne plus hard rock… Du coup j’aurais pu mettre There Was A Time mais finalement je vais rester sur Sweet Child Of Mine parce que ce riff stupide au début est tellement accrocheur. Puis ça a été un gros gros crush y’a sept ans. Quand je jouais à Guitar Hero II tout le temps.

Déjà sept ans. Wow.

36/ Top 5 des personnages préférés… hors manga/anime (mais pas le droit aux catcheurs :P.)

Par Meles Badger, qui a su capitaliser sur le fait que je regarde aussi des trucs non japonais.

Car oui, finalement j’ai pris ce top comme « mes personnages préférés qui ne sont pas issus d’un univers japonais » (parce que sinon j’aurais inclus que des persos de JRPG ou de VN et c’est pas ce qui est voulu, je crois.)

5/ Lester Freamon (The Wire) - Ce petit malin de Lester Freamon. Le mec mis au placard pendant des années parce qu’il a un peu trop fouillé, mais qui est doué, rigoureux et capable de trouver des solutions à pas mal de problèmes. J’aime beaucoup la majorité des personnages de The Wire mais Lester est le seul qui fait palpiter mon petit coeur de jeune adulte.

4/ David Fisher (Six Feet Under) - Comme The Wire, j’aime la majorité des personnages de Six Feet Under (sauf la mère à Brenda, faut pas déconner) mais David est mon petit favori. Il faut dire qu’il est joué par Michael C.Hall – ce qui aide pas mal même si je n’ai jamais vu Dexter – et qu’il est, de manière générale, absolument choupi. Quand il ne lui arrive pas des choses affreuses, évidemment (ce qui arrive au moins deux ou trois fois à chaque personnage de la série.) On a un personnage qui évolue de manière intéressante pendant les cinq saisons de la série, commençant comme un adulte très passionné par son boulot et incapable de sortir du placard pour devenir, petit à petit, un parent aimant et un modèle de personnage gay. Well. Cool. J’aime bien le message laissé par ce personnage.

3/ Yes-Man (Fallout: New Vegas) - Nom de dieu ce personnage est drôle. Et il est un tel coup de coeur. Avec son sourire débile, cette capacité à se foutre de ta gueule sans faire exprès, cette voix robotique et pourtant JOYEUSE, son phrasé de qualité et son programme qui le force à t’aider quoi qu’il arrive. Béni-oui-oui (un nom français bien trouvé en plus) est un peu un personnage de génie. Je veux l’avoir à la maison dans son gros Securitron.

2/ Gaston Lagaffe - M’enfin ? Well, aujourd’hui je travaille en tant qu’assistant / responsable courrier dans une boîte. Je suis un peu devenu Gaston. Sauf que je travaille. Au lieu de faire des inventions. Et de dormir. Et d’écouter la radio.

*snob*

1/ Balthazar Picsou - Faut dire on m’a offert un Picsou Géant quand j’avais genre 4 ans et c’est devenu mon premier vrai contact avec la bande dessinée alors bon, normal qu’au fond de moi j’idolise Piscou comme jamais. Je me souviens parfaitement de l’histoire que j’avais lu à l’époque en plus. Genre Picsou était trop stressé et fatigué par son boulot alors il achetait à Géo un clone robotique de lui qui travaillait à sa place 24 heures sur 24. Mais un jour Miss Tick met un maléfice dans l’huile que le robot boit (car il boit de l’huile, c’est un robot, pourquoi il en boirait pas) et le robot devient complétement fou la nuit, ruinant Picsou à petit feu. A la fin le robot fini dans le Vésuve.

Mais bref, Picsou <3.

(Je me rends compte que mes deux premiers sont totalement ultra opposés. Tant pis :’D.)

Et étrangement, oui pas de personnages féminins dans ce top 5. Ouch. Unfortunate Implications. 

35/ Top 5 de tes figures historiques décédées préférées

De Galoo, qui a su capitaliser sur le fait que des gens meurent

5/ Franklin Delano Roosevelt – « SALUT LES KIDS ! Alors nous les Etats-Unis on est GRAVE DANS LA MERDE et ON A PLUS DE POGNON. Alors je propose qu’on fasse un doigt aux banques et qu’on mène, tous ensemble, une politique quasi socialiste de redistribution des richesses avec un état interventionniste as fuck ! Aux Etats-Unis ! Au fait, j’ai une pyéléléiomachintruc ou un virus à la con comme ça et je peux mourir n’importe quand mais je m’en fous car grâce à l’esprit shonen JE RESTE EN VIE LE MAXIMUM QUE JE PEUX. Et je me fais tellement élire président qu’a la fin les mecs sont obligés de passer une loi pour que les gens aient pas autant de swag que moi. BITCHES. »

4/ François Mitterand - « C’EST COOL. Mais bon moi je suis Mitterand, ok. Alors ouais politiquement je sais pas, mon bilan est putain de polémique. Au début j’essayais d’être bien de gauche mais bambam la crise, la dévualuation du France, tout le monde disait que je faisais de la merde alors j’ai arrêté d’être de gauche alors tout le monde disait que je faisais de la merde car j’étais pas de gauche. Après je m’en fous de la gauche tout ça, je voulais juste diriger le pays. Alors du coup je suis devenu le roi des trolls ! J’ai Chirac comme premier ministre ? Troll dans son petit popotin de corrézien pendant le débat de second tour ! Rocard me hait et se chie dessus dès qu’il est dans mon périmètre ? Tiens, je le nomme premier ministre et il va devoir me parler quotidiennement ! Balladur est un peu précieux ? Je dis du bien de Chirac publiquement dans la presse ! Bam bam ! Et je survis avec mon cancer pendant quinze ans sans le dire à personne, et je meurs une fois que j’ai plus le pouvoir ! Bam bam bam ! »

3/ Lénine - « Bon alors moi je comprends pas trop pourquoi je suis là parce que bon techniquement je suis un dictacteur sanguinaire. Enfin c’est ce que disait les américains, et les nazis, et les européens, enfin je sais pas, la vérité est peut-être ailleurs. Alors bon ok du coup j’ai un chouette bouc. Et bon, ok, mon ascension au pouvoir est assez fascinante mais je crois qu’Amo surkiffe les mecs qui montent au pouvoir souvent à partir de pas grand chose. C’est son hard-on historique. »

2/ Robespierre - « Ouais puis Amo il kiffe aussi les figures historiques super contestées. Genre moi Robespierre par exemple. Est-ce que je suis un dictacteur sanguinaire à l’égo de melon divin qui a méga pété un cable en pleine Révolution ou est-ce que je suis un héros qui a sacrifié ses idées et sa personne pour remettre de l’ordre dans ce giga bordel révolutionnaire ? C’est compliqué, personne ne le sait vraiment, j’ai fait en sorte que tous les témoins soient morts et du coup le mystère est COM PLET. Mais bon, en plus j’étais plutôt progressiste pour l’époque alors, imaginez à quel point Amo m’aime.

PS: Danton gros con. »

1/ Napoléon - « Je suis un peu le combo des quatre précédents. Figure très contestée, bilan assez impressionnant, j’ai fait de Rome un putain de département français. Tout le monde se cassait les dents sur mon armée, j’étais relativement intouchable aussi bien à l’intérieur qu’a l’extérieur de mon pays, tout allait bien, j’étais pépère en train de créer une nouvelle puissance mondiale et puis j’ai attaqué la Russie donc bon, voilà, c’était pas la meilleure des idées. »

Règle n°317 concernant K-On!: Ritsu est meilleure les cheveux détachés.

34/ Top 5 de tes Berserk Button en terme d’anime

Par Nemo, qui a su capitaliser sur le fait que des trucs me pètent les couilles

5/ « … Yume ? » - Un flashback, une scène bizarre… Puis le héros ou l’héroïne se réveille. CAR TOUT N’ETAIT QU’UN RÊVE. C’est un procédé narratif qui m’énerve un peu mais ça a la limite c’est pas le souci, finalement. Parfois ça donne des rêves amusants. Mais par contre ce qui est chiant c’est le personnage qui dit après s’être reveillé « ce n’était qu’un rêve… » car oui, merci de parler tout seul pour nous dire ce qui paraît évident.

4/ Les status quo dans les comédies romantiques - Fonder un harem, entourer le héros de plein de filles sympas (et vice-versa) mais ne jamais, au grand jamais, apporter une résolution. Jamais il fera un choix. Jamais on le verra aller plus loin que des quiproquos érotique. Il sera là, inactif, tout mou, pendant que les filles se déchaîneront pour lui faire comprendre qu’elles veulent son pénis à tout prix. Le mec devient intentionnellement con, c’est insupportable, au secours. Puis du coup on est blasé maintenant: on voit une comédie romantique, on voit plein d’héroïne sympa mais pourquoi on s’investirait alors qu’on sait que le genre, depuis quinze ans, refuse de nous apporter des conclusions ? Hein ? C’est pour ça que Clannad et Kare Kano c’est cool, finalement (la scène terrible dans Clannad ou tout le harem comprend que Tomoya a choisi Nagisa :’<.)

3/ Les personnages qui meurent mais en fait non - C’est terrible, je hais ça. Genre le personnage qui se sacrifie, gros pathos sur la scène, les violons, la scène est belle, on pleurniche car le personnage est mort, on trouve ça courageux que l’auteur ait décidé de le sacrifier.

Et puis en fait il est juste à l’hopital.

Ou il revient pépère deux épisodes plus tard.

Ca me fout la rage. Parce que maintenant à CHAQUE fois que y’a un giga sacrifice dans un anime, j’ai appris à m’en foutre parce que je sais que le mec ou la meuf reviendra vingt minutes plus tard comme si de rien n’était. Et du coup quand le personnage est VRAIMENT mort, je ressens rien de plus que de la méfiance car j’attends le moment ou l’anime va me screwer. 

Bref, l’animation japonaise a rendu le sacrifice un sentiment négatif pour moi. FUCK YOU.

2/ Les petites soeurs - C’est la tendance du moment et c’est. In. Sup. Por. Table. Je n’aimais pas la tendance précédence (c’est à dire les tsunderes) mais celle là je suis en mode pétage en cable permanent. Pourquoi ? Ok, les 3/4 du temps l’idée c’est d’avoir un personnage féminin avec qui le héros a longtemps grandi et qu’il doit protéger du fond de son être bla bla bla. Mais une amie d’enfance toute bête ça remplit le procédé narratif. Là en attendant on se paie depuis Oreimo (putain de série de merde à l’héritage encore plus merdique) une ribambelle de relations incestueuses pas forcément toujours bien assumées (ouais parce qu’en plus ils assument pas leurs conneries, les 3/4 de relation y’a PAS DE LIEN DE SANG POUR X RAISON) et qui vivent sur la même dynamique. Mais en vrai c’est terrible parce que quiconque a déjà eu une vraie petite soeur sait que c’est pas super idyllique. Enfin bref, pff. Vivement que ça meurt et que ça soit remplacé par… autre chose.

1/ Les panty shots - Je suis un homme à seins, oui, j’avoue. Un petit décolleté bien placé, un nip slip ici ou là, un underboob offert par la maison, un soutif exposé je n’y vois aucun problème.J’applaudis même avec ma main gauche sur la table parce que ma main droite est déjà occupée. Mais par contre les panty shots c’est quoi ce foutu bordel ? C’est quoi l’attrait d’une culotte ? Pourquoi on en voit tellement ? Pourquoi pour de nombreuses séries le fanservice ne se réduit d’ailleurs qu’AUX culottes ? Moi je suis pas contre les petites jupes courtes par

Kugi Hime c’est le doujin que tu dois faire.

C’est rare de voir aussi prenant dans le domaine. Le seul regret serait le manque de variété des équipements pouvant facilement être expliqué par la durée de jeu et la fin est ouverte alors on peut espérer. Par contre, ça va beaucoup vers un système d’équilibre contrairement aux RPG actuels.

Entend par là que ce n’est pas parce que tu es à la fin du jeu que tu dois porter la dernière arme avec la dernière armure. Rien de tel, tes équipements de départs sont tout aussi bons. La différence étant alors dans la stratégie adoptée, la façon de jouer choisie. La fin te permettant juste de prendre le choix entre la magie et l’attaque tandis que tu n’avais droit qu’aux extrêmes jusque là.

C'était profond, c'était H, c'était comique avec un système intéressant

Kugi Hime (veut dire littéralement Princesse Sacrifice). D’après la légende, en offrant son corps au feu du roi des esprits, la paix est préservée empêchant les monstres et leur Dark Lords d’envahir les terres humaines. Seulement, la légende est fausse.

Dans une époque où les Dieux ont abandonné le monde, seul les esprits et humains se sont retrouvés restant. C’est alors qu’un esprit s’est levé et a décidé de préserver ce qu’il y avait de ce monde. C’est celui qui sera ensuite vénéré et protègera l’humanité. L’héroïne, Feena, sera choisie pour lui être offert en offrande suite aux attaques des Dark Lords sur leur monde ces dernières années : les humains se faisant écraser les uns après les autres par les différents Dark Lords, vint enfin le tour du temple où Feena s’entrainait à devenir Kugi Hime. Obligeant les évènements à s’accélérer.

Là, elle reçu le pouvoir de la Kugi Hime : l’immortalité incorporant la régénération du corps en cas de problème, l’attirance permettant de rendre tout être doté de magie sensible à son charme, le pouvoir d’absorber l’énergie des monstres pour en faire sa possession. L’esprit ne la sauvera pas, il restera à ses côtés; la regardant se faire violer par les monstres et ceux de son espèce, patauger dans la boue, se faisant insulter par tous, torturé par ceux qu’elle souhaite aider. Etant toujours en proie à l’agonie jusqu’à ce que son esprit se retrouve complètement brisé.

Et si elle continue de vouloir sauver ce monde malgré tout ce qu’elle aura vécu, alors, il lui tendra la main.

Il était difficile de savoir qui se trouvait en véritable mal dans cette histoire

Kugi Hime prend le principe très simple du Maou (Dark Lord) envahissant le monde tandis que le héros doit le sauver avec l’aide de la déesse. Seulement, les raisons derrières, les fondations de qui sont les Dark Lords, pourquoi ils agissent, qu’est-ce qu’un monstre, pourquoi sont-ils aussi cruels et vulgaires. Tout est basé sur une logique complètement différente que celle sans pensée habituelle avec paf! merde un monstre.

Ca prend dès le début une atmosphère recherchée avec particulièrement des tablettes, livres, voir le bestiaire des monstres en introduction de leur H donnant de nombreux détails avec un réalisme dans la manière de l’écriture. Lorsque tu avances, ça devient de plus en plus clair avec de nombreux éléments sur la légende humaine et les problèmes de leur monde se révélant dans d’anciennes ruines en autre. La véritable identité de l’esprit ou encore pourquoi Kugi Hime doit subir tant de souffrances pour qu’il accepte de lui prêter main forte deviennent de plus en claire.

Le seul laissé aller serait alors sur les humains. Là aussi, tu as certains passages montrant de la profondeur dans leur monde mais rien n’égalant les monstres ou esprits. Et pourtant, les monstres n’ont quasiment rien sur eux. Juste certains brefs passages les mentionnant… Disant que c’est certainement une preuve du manque d’histoire chez l’humanité.

Les CGs étaient plutôt affreux

Le système prend ensuite une carte où l’on peut se déplacer d’endroits à endroits avec certains lieux cachés et parfois des choix. L’on possède aussi un lancé de dés pour récolter ou passer des pièges tandis que 3 unités de chances existe. Une unité rajoutant un dés ou augmentant ton taux de critique/esquive en combat et se régénérant en se reposant (dormir).

Les skills s’obtiennent en faisant jouir l’adversaire avec une étoile comme signe d’une technique non acquise. Un lvl minimum est requis bien que pas important sauf au dernier boss. La chose étant qu’il doit jouir, ce qui ne veut pas forcément dire que tu perds. Tu peux aussi obtenir leur H et skill grâce à une essence en drop rare bien qu’il est impossible de finir vierge de toute façon. Le jeu comprend l’acte comme obligatoire même si tu ne l’as pas fait.

Après, ça va plutôt dans la complexité. D’abord, les MPs. Ils se régénèrent en plein combat selon tes points de S/M. Sadisme étant lorsque tu attaques, Masochisme lorsque tu te prends un coup. Avec des objets H, tu peux en cliquant sur l’héroïne gagner un peu d’MP en augmentant sa jauge de plaisir. Les attaques H des monstres marchent de la même façon mais si tu orgasmes, tu tombes à 0 + quelques tours KO.

De même, si le monstre éjacule, il obtient le même coup. Certaines techniques peuvent te donner la possibilité de les exciter voir augmenter leur jauge de plaisir rien qu’avec des attaques. Pouvant ainsi les rendre littéralement hors de fonction durant toute la durée du combat.

Clique en bas et le bas sera stimulé. Clique sur en haut et le haut sera stimulé. Clique sur la tête et elle parlera

Les stats sont ensuite nombreuses. Particulièrement hors combats tel que l’expérience sexuelle (éjaculation interne, bouche, bain etc, etc). S’ajoute le péché et la sainteté. Le péché augmentant d’un point de vue légal. Fouiller les tiroirs est un péché. Piquer le coffre du gouverneur de la ville ou faire s’évader la petite qu’il a emprisonné en est aussi un alors que tu augmentes ta sainteté en même temps… Les gardes te recherchent par contre.

La sainteté se base sur le bien fait. Allant en utilité dans quelques choix peu importants à part à la fin permettant de choisir entre 3 fins entre autres. Tandis qu’une stat d’indécence est là pour savoir si tu peux te mettre nue. Elle augmente en revenant les vêtements déchirés de combats et se montrant en publique (place du village) notamment.  Une autre stat représente l’envie que les ennemis auront à te violer suite à la tenue de l’héroïne.

Tandis qu’une dernière est sur la sensibilité de l’héroïne. En répétant les piques, elle peut orgasmer en deux coups créant un sale loop en combat ayant tout de même une lueur d’espoir puisqu’elle pourra agir une fois tous les 20 tours si chanceux (vive le combat accéléré).

Après le H, les stats augmentent

Vient les job. Ca détermine la croissance de Feena en level up. Seulement, pour toutes les débloquer tu es obligé de commettre un crime et faire pleins de H. 5 sont disponibles ainsi et ça représente presque la moitié. Chacun ayant sa spécialité, c’est tendu à choisir entre le mage et guerrier étant basique tout en ayant aucune dextérité tandis que d’autres sont totalement dans la défensive sans pouvoir attaquer. Certaines classes valent mieux que les autres mais elles ont toujours plusieurs stats ne montant quasiment pas et elle est plutôt importante.

Queen, certainement la meilleure, ayant par exemple une forte attaque et vitesse tout en étant en contre-partie la croyance (soin), l’esprit (magie offensive) et la défense ne montant pas.

Ton personnage devient différent dans sa croissance selon le job avec lequel tu le montes malgré le fait que ses stats changent aussi durant le changement de classe. Tous les jobs sont propres à eux même avec deux capacités spéciales basiques ou plus particulières avec les classes avancées. Tu en as même certains te faisant régénérer la moitié de ta vie ou diminuant tes MP que de moitié à l’occasion des échanges sexuelles en combat. Ca change complètement la façon de jouer, te rendant invincible sans forcément être fort.

Les équipements sont bien montrés sur le sprite de l’héroïne et représentent chacun une façon de se battre. Le plus important étant dans les objets rares. A la fin du jeu, tu peux tout dominer en remettant tes vêtements en place ou les détruire/apparition ou non du liquide alors que t’es obligé de faire avec durant toute la partie. D’ailleurs, dans la salle des CGs tu peux aussi jouer avec toutes ses poses et changements d’état/équipements.

Le choix sans sainteté ne ressemble pas du tout à l'héroïne

Il y a pas mal d’autres éléments tel que la persuasion (échouant parce que héroïne = gamine sans connaissance), infiltration, changement d’évènements selon l’ordre pris ou encore le service de charité à l’église pouvant se transformer en H si elle est trop connue en tant que perverse.

Le H n’est d’ailleurs pas si bien en CG. C’est assez féroce avec seulement du viole ou de la torture. Par contre, l’image de l’héroïne toujours affichée à l’écran ainsi que les actions y étant reflétées avec ses différentes poses et équipements… Que dire ? Elle est loli tout en étant eroi ainsi que kawaii. Difficile de s’en lasser même après avoir vu ses ennuis plus d’une centaine de fois devant la magie du dessin.

Certaines fois, les développements se débrouillaient de façon inattendue

La fin est ouverte, laissant quelques part d’ombres et l’existence d’autres Dark Lords toujours chez les humains. Avoir une suite ne serait pas de refus.

C’était un doujin excellent. Regorgeant d’éléments intéressant. Ils ont même pensé au fait que l’on pouvait voir une description sur l’obtention de tel H scene dans la galerie pour donner tentation à le faire.

*excessivement fière de son montage sur l’ordinateur*

Salut tout le monde! Une semaine après mon premier "appel", voilà le premier article de ma série "L’usine à animes". Enjoy!

Je vous rappelle le concept: je prends des openings/endings d’animes que je n’ai pas vus (ou oubliés) et j’essaye d’en deviner le synopsis avec la seule aide de mon cerveau merveilleux! Ce qui peut donner quelques fois des trucs marrants. C’est l’objectif. Après, je vous colle le véritable synopsis comme on peut le voir sur MyAnimeList ( ou autre?) et on compare! Si vous voulez soumettre des idées, vous pouvez le faire via commentaire dans les articles de cette série, ou via mon Twitter adoré (@emkaesse)

Pour ce premier numéro, j’ai pris les quelques suggestions (une chacun comme ça tout le monde est content et la vie est belle! mais j’en utiliserai peut-être d’autres pour le prochain numéro). J’ai décidé de faire 3 par 3 parce que je trouve ça équilibré et que 3 est mon chiffre préféré. Ne me demandez pas pourquoi, je sais pas. Je gagnais toujours les jeux a gratter avec.

Honey and Clover OP1

(aujourd’hui c’est classe de langue sur Lavande Myosotis. Vous avez des openings sous-titrés!)

Suggestion de synopsis:En fait c’est un opening très métaphorique sur la  vie de l’héroïne. Elle vit à la camapgne, mais elle n’a pas d’amis et sa plus grande honte est de s’etre fait pipi dessus son premier jour d’école. Elle a un seul talent: elle est créative. Alors du coup elle part de son patelin pour aller à Tokyo et intégrer une école de cuisine. Et la bas, elle trouvera l’amour mais aura aussi le coeur brisé. "Honey and Clover" parce qu’elle s’appelle Yotsuba. Hahaha.

La vérité du dieu MyAnimeList:

Dimanche soir, le salon Made in Asia a fermé ses portes. L’occasion de revenir sur cette édition 2014 à laquelle nous avons participé.

Made in Asia 2014 – 6ème édition

Ce week-end s’est tenue la sixième édition du salon belge Made in Asiaà Bruxelles, qui aura su faire se déplacer 43730 personnes, presque 10000 personnes de plus que l’an passé. Et cette année, le salon a accueilli deux invités japonais de renom : Kenichi Yoshida et Toshihiro Kawamoto. Mais de nombreux autres invités ont fait le déplacement : Le Joueur du Grenier, Nadou, Maliki, Antoine Daniel, Bob Lennon, Nyo, Adams, GussDX, Saya Concept, Kriss, mais aussi Aypierre, BillSilverlight, Thaek06, AlexClick…

Pour la seconde fois, nous avons pu avoir un stand sur le salon, tout comme Good Smile Company qui proposait de nombreux produits en exclusivité, dont les Nendoroid Miku Snow 2014 et Asuna Titania.

Pour conclure cette présentation rapide, toute notre équipe tient à remercier l’ensemble du staff de Made in Asia pour nous avoir permis de participer à cette édition 2014 mais aussi pour nous avoir accorder la chance d’interviewer Kenichi Yoshida et Toshihiro Kawamoto. Nous avons pris beaucoup de plaisir sur le stand K-12 et nous avons fait de belles rencontres même si ça a été compliqué, du coup, de couvrir correctement le salon. Bien entendu, je vous en dirai plus dans les prochains articles que je publierai, histoire de vous donner un petit aperçu de ce que l’on a pu vivre sur le salon ! Restez connectés !

SOMMAIRE
Présentation générale (ici)
Conférence Kenichi Yoshida & Toshihiro Kawamoto
Interview de Toshihiro Kawamoto
Interview de Kenichi Yoshida
Stand Good Smile Company
Stand Shadonia
Le cosplay
Conclusion et plus de photos

Les photos ci-dessus sont la propriété de Shadonia, veuillez nous contacter pour les utiliser.

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Retour sur la conférence à laquelle Kenichi Yoshida et Toshihiro Kawamoto ont participé lors de la 6ème édition de Made in Asia.

Made in Asia 2014 – 6ème édition

Dimanche après-midi, Kenichi Yoshida, chara-designer d’Eureka Seven et Toshihiro Kawamoto, co-fondateur du studio BONES, se sont prêtés au jeu des questions réponses avec une vingtaine de personnes rassemblées dans une petite salle. Une mini conférence que je vous propose de découvrir dans cet article.

Comment êtes-vous tombés dans le milieu de l’animation ?
Toshihiro Kawamoto : J’aimais beaucoup les animes étant jeune, ce qui m’a donné envie de travailler dans l’animation. Mais c’est en 1984 que cette envie a pris encore plus d’ampleur grâce à deux films qui m’ont marqué : Nausicaä et Macross.
Kenichi Yoshida : C’est amusant car bien que je sois plus jeune, j’ai eu envie de travailler dans le milieu plus tôt que Kawamoto-san. En effet, c’est en primaire que j’ai découvert le métier d’animateur et dès douze ans je savais que je voulais en faire mon métier.

Comment en êtes-vous arrivé à collaborer avec le producteur d’Evangelion ?
Toshihiro Kawamoto : Nous avions déjà travaillé ensemble par le passé et ça avait été un choc pour moi car c’est une personne très talentueuse qui aime beaucoup s’entourer de jeunes. Quand il a commencé à travailler sur Evangelion, qui demandait beaucoup de travail, il a donc pensé à moi.

Quels sont vos meilleurs souvenirs dans votre carrière ?
Toshihiro Kawamoto : Quand je choisis si je vais travailler sur telle ou telle série, je ne le fais pas par rapport à un titre mais par envie de travailler avec une personne. Quand j’étais plus jeune, j’aimais beaucoup Gundam. Alors quand j’ai pu bosser avec son créateur, j’ai été très fier car d’une certaine manière, c’est qu’il a reconnu mon talent, moi qui, plus jeune, envoyais des dessins où je tentais de l’imiter.
Kenichi Yoshida : Moi aussi je privilégie la personne à la série et quand j’ai commencé ma carrière, j’ai débuté dans le Studio Ghibli avec Mr. Miyazaki. C’est une personne que j’appréciais beaucoup étant jeune, je voulais d’ailleurs devenir comme lui. Et même si c’est dur de travailler avec lui, car il est très sévère, il m’a beaucoup appris. Pour moi, c’est le plus beau des souvenirs.
Toshihiro Kawamoto : Je tiens aussi à dire qu’on est très heureux de rencontrer des fans comme vous !

Quelle est la différence entre animateur et chara-designer ?
Kenichi Yoshida : La carrière de chara-designer n’est pas longue. Mais pour moi le travail de chara-design est comme une porte d’entrée sur la série. C’est ensuite à l’animateur, qui a un côté plus artisanal, de créer le mouvement. D’ailleurs j’ai parfois l’impression d’utiliser deux cerveaux différents pour ces deux métiers.

Avez-vous une liberté particulière quand vous travaillez sur une œuvre existante ?
Toshihiro Kawamoto : Il faut savoir que lorsque l’on fait une œuvre, c’est le producteur qui choisit son équipe. Et en fonction de son choix de chara-designer, il est possible de savoir quelle direction l’œuvre prendra. Quand on me choisit, c’est qu’on sait que je serais fidèle à l’œuvre existante. Quand on choisit Yoshida-san, c’est que la production souhaite qu’il apporte sa patte et qu’elle veut ajouter quelque chose de plus à l’œuvre d’origine.

Et comment se passe la création de personnage dans ce cas ?
Toshihiro Kawamoto : Il m’arrive d’ajouter ce qu’on appelle des « personnage ajouté ». Ce sont des personnages qui n’étaient pas présents dans l’œuvre d’origine. Mais c’est le plus souvent dans des œuvres originales que le chara-designer propose des personnages.
Kenichi Yoshida : Par exemple, dans Cowboy Bebop et Eureka Seven. Car le manga n’est sorti qu’après la réalisation de l’anime.

Dorénavant, on a un animateur spécialisé mais auparavant, un animateur devait savoir tout faire, être un peu tout terrain. En tant que créateur du studio BONES, quel regard portez-vous sur ça ?
Toshihiro Kawamoto : Il faut savoir qu’il y a toujours des contraintes, parfois de calendrier, parfois de budget. Avant, il est vrai qu’on demandait de toucher à tout mais maintenant, on a tendance à préférer prendre le meilleur de chaque personne dans son domaine. Cependant, je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette tendance. Pour moi, il ne faut pas être trop spécialisé. Par exemple, je souhaite savoir faire du robot, des personnages ou de l’animation, pour moi c’est la base.
Kenichi Yoshida : Je suis d’accord avec lui. Chaque animateur se doit de savoir faire bouger un robot, un animal ou un élément climatique par exemple. Mais il doit surtout avoir envie de faire de nouvelles choses. Le problème c’est que parfois quand on choisit la meilleure solution, ce n’est pas forcement la bonne justement en raison des contraintes.
Toshihiro Kawamoto : Je suis désolé. On travaille peu ensemble mais on a la même vision des choses. Du coup, nos questions sont un peu semblables et peut-être moins intéressantes pour vous.

Dans Wolf’s Rain il a fallu allier des personnages mi-homme, mi loup. Est-ce que ça a été compliqué ?
Toshihiro Kawamoto : Il n’y a pas eu de difficulté à réaliser le chara-design mais créer le mouvement a été plus compliqué, notamment dans la mise en scène lorsqu’il fallait que le loup parle. Il est donc important d’avoir un bon niveau, comme celui de Yoshida-san. Il a d’ailleurs réalisé le dernier épisode et c’est une réussite (rires).
Kenichi Yoshida : De toute façon, quand on travaille ensemble c’est souvent sur des animaux (rires).

Et pour la musique, comment ça se passe ?
Toshihiro Kawamoto : En général, on n’a pas le temps de se poser sur la musique durant la création, donc souvent on travaille sur des musiques temporaires. Mais ça a été différent sur Cowboy Bebop car nous avons travaillé avec Yoko Kanno qui a été particulièrement investie. Tout au long de la création, elle nous a envoyé des morceaux, ce qui est très rare.

Une dernière question. Quelles séries suivez-vous en ce moment ?
Kenichi Yoshida : La question est difficile.
Toshihiro Kawamoto : Le dernier manga que j’ai suivi c’est Noragami. C’est d’ailleurs parce que j’ai apprécié l’œuvre que j’ai accepté de travailler dessus. Une autre œuvre que j’aime bien c’est Natsume Yūjin-chō de Yuki Midorikawa (ndlr : en français Le pacte des Yokaïs).
Kenichi Yoshida : Moi je suis désolé mais je lis très peu de manga récemment. En effet, le travail me prend beaucoup de temps et quand je lis quelque chose c’est plus pour m’instruire que par plaisir. Mais j’ai bien aimé l’Attaque des Titans. Mais depuis que j’ai travaillé sur la série (ndlr : il a fait un plan d’un épisode), je dois avouer que je ne le lis plus.

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DRAMARA QUEST I est pris de Dragon Quest I. Je ne sais pas jusqu’où ils suivent l’original et je m’en fous pas mal autant le dire.

Le jeu manquait vraiment sur bien des points. Rapide… Ou plutôt rapide grâce à AlquadeLite vitesse x3. Monstres kawaii. Ambiance RPG old school. Quelques moments comiques.

En contre partie j’ai envie de dire bien que si tu omets le système d’xp, tout le reste sont des défauts venant obligatoirement avec l’old school donc tant pis. Je le dis quand même : le truc a pas de vie avec les couillon de mob qui te racontent la même chose du début à la fin ou encore les hints super pas cachés tout en étant parfois trop flous pour que t’arrives à comprendre quelque chose.

Suite déjà prévue

Le héros part vaincre le Maou puisque la précédente héros s’est faite violé et est partie en pleurant, criant qu’elle ne pouvait plus être mariée. Bah merde alors, on te demande de sauver le monde avec un choix bien que ton roi semble avoir des problèmes auditifs, n’acceptant que ton accord en réponse. C’est pour ça que les vieilles loli sont défectueuses. On dit bien souvent que l’apparence ne fait pas tout.

Quoiqu’il en soit, le monde est le fuck battle. L’épée sert à rien. L’armure sert à rien. Ton héros est équipé pour rien. Il récupère une armure légendaire et la porte parce qu’elle est classe tout en sachant très bien qu’elle n’a aucune utilité.

Il y en avait des bizarres

Là entre le système de DRAMARA QUEST I : tu n’obtiens de l’xp qu’avec un ennemi inconnu.

Se battre plusieurs fois avec le même ne sert alors à rien. Pas de phase d’xp non plus. Prit inversement, tu ne peux pas devenir super fort. Ta croissance étant alors contrôlée complètement et les ennemis sur la map étant plus chiants qu’autre chose.

Des monstres uniques et boss sont présents. Pas mal d’objets déblocables par la suite si tu as x objets interviennent aussi avec certains combats spéciaux. Tu dois revenir plusieurs fois dans la même ville pour avoir de nouvelles découvertes, enclencher des flags et peux faire des fuck battle avec certaines villageoises.

La roi ayant sa propre particularité pour avoir son tour. C’est comme d’habitude ironique, cette dernière étant aussi forte que la maou.

Va en yuri au lieu de déranger le héros

Pas de véritables techniques en soit. Tu peux te soigner et faire disparaître une part des vêtements ennemis pour te battre contre eux; c’est nécessaire chez les boss, sert à rien chez la plupart des mobs… Enfin, le vêtement part, c’est juste que ça change rien.

Pas de MP. Tu peux juste bouger les hanches. Dans le menu, pas de potion, juste une masturbation en liberté (même en ville) pour récupérer les hp que tu as perdu contre les ennemis.

Pas d’équipements évidemment et pleins d’objets tel qu’un livre ecchi qui servent à que dalle. Tu te demandes ce qu’ils foutent là.

Position fixe. Une fois l'ennemi vue, elle se dévoile avec la bulle

Bref, très moyen. Le problème vient alors avec les bugs.

Tu as le héros, ou son sosie diable en sais-je, sur la map. Il te donne 2 level up en boucle jusqu’au level de fin de jeu. Ne parle pas… Ensuite se trouve un lieu bloqué jusqu’à avoir les objets adéquats, sauf que si tu y vas avant ben merde, tu te retrouves hors de la map avec moyen de sorti sans pouvoir faire avancer l’event.

Puis vient un monstre supposé être dans le château du Maou tout en étant… Pas là.

Il y avait un changement d'état

Honnêtement, ce n’était pas intéressant. Lorsque tu perds ou joue avec une fille de la ville, ça part en H et le texte est presque auto. Super long à passer. Les déplacements sur la map aussi. Sérieusement, vive AlquadeLite.

Un jeu sans grand intérêt et pas mal de contrainte. Les filles étaient kawaii. C’est tout.

Retour sur la conférence à laquelle Kenichi Yoshida et Toshihiro Kawamoto ont participé lors de la 6ème édition de Made in Asia.

Made in Asia 2014 – 6ème édition

Dimanche après-midi, Kenichi Yoshida, chara-designer d’Eureka Seven et Toshihiro Kawamoto, co-fondateur du studio BONES, se sont prêtés au jeu des questions réponses avec une vingtaine de personnes rassemblées dans une petite salle. Une mini conférence que je vous propose de découvrir dans cet article. Merci à Tetho pour ses corrections !

Comment êtes-vous tombés dans le milieu de l’animation ?
Toshihiro Kawamoto : J’aimais beaucoup les animes étant jeune, ce qui m’a donné envie de travailler dans l’animation. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé Daicon 4. Mais c’est en 1984 que cette envie a pris encore plus d’ampleur grâce à deux films qui m’ont marqué : Nausicaä, Macross DYRL et Beautiful Dreamer.
Kenichi Yoshida : C’est amusant car bien que je sois plus jeune, j’ai eu envie de travailler dans le milieu plus tôt que Kawamoto-san. En effet, c’est en primaire que j’ai découvert le métier d’animateur et dès douze ans je savais que je voulais en faire mon métier. Mon déclic à moi a été MS Gundam.

Comment en êtes-vous arrivé à collaborer avec Mitsuo Iso, animateur sur Evangelion ?
Toshihiro Kawamoto : Nous avions déjà travaillé ensemble par le passé et ça avait été un choc pour moi car c’est une personne très talentueuse qui aime beaucoup s’entourer de jeunes. Quand il a commencé à travailler sur Evangelion, qui demandait beaucoup de travail, il a donc pensé à moi.

Quels sont vos meilleurs souvenirs dans votre carrière ?
Toshihiro Kawamoto : Quand je choisis si je vais travailler sur telle ou telle série, je ne le fais pas par rapport à un titre mais par envie de travailler avec une personne. Quand j’étais plus jeune, j’aimais beaucoup Gundam. Alors quand j’ai pu bosser avec son créateur, j’ai été très fier car d’une certaine manière, c’est qu’il a reconnu mon talent, moi qui, plus jeune, envoyais des dessins où je tentais de l’imiter.
Kenichi Yoshida : Moi aussi je privilégie la personne à la série et quand j’ai commencé ma carrière, j’ai débuté dans le Studio Ghibli avec Mr. Miyazaki. C’est une personne que j’appréciais beaucoup étant jeune, je voulais d’ailleurs devenir comme lui. Et même si c’est dur de travailler avec lui, car il est très sévère, il m’a beaucoup appris. Pour moi, c’est le plus beau des souvenirs.
Toshihiro Kawamoto : Je tiens aussi à dire qu’on est très heureux de rencontrer des fans comme vous !

Quelle est la différence entre animateur et chara-designer ?
Kenichi Yoshida : La carrière de chara-designer n’est pas longue. Mais pour moi le travail de chara-design est comme une porte d’entrée sur la série. C’est ensuite à l’animateur, qui a un côté plus artisanal, de créer le mouvement. D’ailleurs j’ai parfois l’impression d’utiliser deux cerveaux différents pour ces deux métiers.

Avez-vous une liberté particulière quand vous travaillez sur une œuvre existante ?
Toshihiro Kawamoto : Il faut savoir que lorsque l’on fait une œuvre, c’est le producteur qui choisit son équipe. Et en fonction de son choix de chara-designer, il est possible de savoir quelle direction l’œuvre prendra. Quand on me choisit, c’est qu’on sait que je serais fidèle à l’œuvre existante. Quand on choisit Yoshida-san, c’est que la production souhaite qu’il apporte sa patte et qu’elle veut ajouter quelque chose de plus à l’œuvre d’origine.

Et comment se passe la création de personnage dans ce cas ?
Toshihiro Kawamoto : Il m’arrive d’ajouter ce qu’on appelle des « personnage ajouté ». Ce sont des personnages qui n’étaient pas présents dans l’œuvre d’origine. Mais c’est le plus souvent dans des œuvres originales que le chara-designer propose des personnages.
Kenichi Yoshida : Par exemple, dans Cowboy Bebop et Eureka Seven. Car le manga n’est sorti qu’après la réalisation de l’anime.

Dorénavant, on a un animateur spécialisé mais auparavant, un animateur devait savoir tout faire, être un peu tout terrain. En tant que créateur du studio BONES, quel regard portez-vous sur ça ?
Toshihiro Kawamoto : Il faut savoir qu’il y a toujours des contraintes, parfois de calendrier, parfois de budget. Avant, il est vrai qu’on demandait de toucher à tout mais maintenant, on a tendance à préférer prendre le meilleur de chaque personne dans son domaine. Cependant, je ne suis pas tout à fait d’accord avec cette tendance. Pour moi, il ne faut pas être trop spécialisé. Par exemple, je souhaite savoir faire du robot, des personnages ou de l’animation, pour moi c’est la base.
Kenichi Yoshida : Je suis d’accord avec lui. Chaque animateur se doit de savoir faire bouger un robot, un animal ou un élément climatique par exemple. Mais il doit surtout avoir envie de faire de nouvelles choses. Le problème c’est que parfois quand on choisit la meilleure solution, ce n’est pas forcement la bonne justement en raison des contraintes.
Toshihiro Kawamoto : Je suis désolé. On travaille peu ensemble mais on a la même vision des choses. Du coup, nos questions sont un peu semblables et peut-être moins intéressantes pour vous.

Dans Wolf’s Rain il a fallu allier des personnages mi-homme, mi loup. Est-ce que ça a été compliqué ?
Toshihiro Kawamoto : Il n’y a pas eu de difficulté à réaliser le chara-design mais créer le mouvement a été plus compliqué, notamment dans la mise en scène lorsqu’il fallait que le loup parle. Il est donc important d’avoir un bon niveau, comme celui de Yoshida-san. Il a d’ailleurs réalisé le dernier épisode et c’est une réussite (rires).
Kenichi Yoshida : De toute façon, quand on travaille ensemble c’est souvent sur des animaux (rires).

Et pour la musique, comment ça se passe ?
Toshihiro Kawamoto : En général, on n’a pas le temps de se poser sur la musique durant la création, donc souvent on travaille sur des musiques temporaires. Mais ça a été différent sur Cowboy Bebop car nous avons travaillé avec Yoko Kanno qui a été particulièrement investie. Tout au long de la création, elle nous a envoyé des morceaux, ce qui est très rare.

Une dernière question. Quelles séries suivez-vous en ce moment ?
Kenichi Yoshida : La question est difficile.
Toshihiro Kawamoto : Le dernier manga que j’ai suivi c’est Noragami. C’est d’ailleurs parce que j’ai apprécié l’œuvre que j’ai accepté de travailler dessus. Une autre œuvre que j’aime bien c’est Natsume Yūjin-chō de Yuki Midorikawa (ndlr : en français Le pacte des Yokaïs).
Kenichi Yoshida : Moi je suis désolé mais je lis très peu de manga récemment. En effet, le travail me prend beaucoup de temps et quand je lis quelque chose c’est plus pour m’instruire que par plaisir. Mais j’ai bien aimé l’Attaque des Titans. Mais depuis que j’ai travaillé sur la série (ndlr : il a fait un plan d’un épisode), je dois avouer que je ne le lis plus.

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Retrouvez les rubriques mensuelles de Mangacast Omake : nos chroniques manga dans On a Lu et En Survol, nos chroniques animé dans On a Vu, ainsi que nos Coups de cœur et nos Coups de gueule. Dans ce numéro on chronique : Notre Hikari Club, Minimum, Sans Âme, J.Boy, Night Café – My Sweet Knights, Momo

Cet article Mangacast Omake N°14 – Mars 2014 : les chroniques manga et animés est apparu en premier sur Mangacast.

Alors que le Salon du Livre de Paris s’apprête à démarrer, c’est un plaisir de vous annoncer la parution de 女性的な神々(Joseiteki na kamigami), i.e. Divines en édition japonaise ꒰ ૢ❛ั◡❛ั ॢ✩꒱

Ma prose poétique est traduite par Masaya Nakatsu, et le livre est disponible en version papier comme en version eBook. Notez qu’il est accessible aux petits et grands, débutants en japonais et confirmés, car le livre comprend les furigana dans toutes ses versions.

  Livre：9,99 €  

  eBook：2,99 €  

Akemi Homura débarque chez FREEing en yukata et est disponible en précommande !

Apparue lors du Wonder Festival Summer 2013, cette version d’Akemi Homura est la deuxième figurine de la licence Gekijouban Mahou Shoujo Madoka★Magica chez FREEing. Plutôt simple dans sa réalisation, la figurine nous montre Homura en yukata avec des couleurs collant bien à sa personnalité, une barbe à papa dans sa main droite et un air plutôt calme. Malheureusement, le yukata manque cruellement de finesse, notamment le obi (la ceinture), la barbe à papa n’est pas très bien sculptée et on peut apercevoir une jointure à son bras gauche. À savoir que l’éditeur ne compte pas en rester là pour la licence Madoka. En effet, Tomoe Mami, Sakura Kyouko et Miki Sayaka seront les suivantes à être adaptées en yukata.

Nom : Akemi Homura
Origine : Gekijouban Mahou Shoujo Madoka★Magica
Éditeur : FREEing
Sculpteur : Bridge
Dimension : 1/8 (20 cm)
Sortie : Août 2014
Prix : 8148 ¥ (57,65 €)

© Magica Quartet, Aniplex, Madoka Movie Project

http://www.freeing.co.jp/products/140318_120000.html

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Voici le concours manga du mois ! Pour ce mois de mars, je vous encourage à ne pas rater cette petite perle qu’est Vertical de ShinichiIshizuka, publié par les éditions Glénat. Trois tomes 1 sont à gagner à l’occasion de la sortie du volume 4 le 19 mars.

J’ai déjà évoqué ce titre dans un article il y a quelques mois, et la sortie de chaque nouveau volume reste un réel plaisir de lecture pour son héros extrêmement attachant, ses situations inattendues, ses fins imprévisibles et ses histoires joliment humanistes. Ce n’est pas compliqué, on se bagarre à la maison pour savoir qui aura le droit de le lire en premier. Pour ceux qui ne connaissent pas du tout ce titre, sachez que tout commence quand Kumi Shiina, jeune policière de Nagano, est mutée en haute montagne, pour travailler dans le secourisme. Un exercice dur, périlleux, et souvent funeste. Heureusement, notre débutante et sa nouvelle équipe peuvent toujours compter sur Sanpo Shimazaki, un secouriste bénévole qui a parcouru tous les monts du globe en solitaire et qui est revenu sur sa terre natale, les Alpes japonaises, pour vivre en solitaire, en haute altitude.

Si Sanpo admire la beauté de ces montagnes blanches, il n’en occulte pas un seul instant les tragédies qu’elles renferment et multiplient aussi bien les gestes de préventions que les expéditions de recherche et de sauvetage. Que l’histoire se termine bien ou qu’elle s’achève face à des corps sans vie, notre homme ne renonce jamais, dans le respect des victimes, de la montagne, et de leur passion commune pour l’alpinisme !

La série s’est achevée après 18 tomes au Japon et 5 millions d’exemplaires vendus. Il a également remporté le tout premier prix Manga Taishôen 2008, un prix remporté par Chihayafuru, Thermae Romae et Silver Spoon pour ne citer qu’eux. Quelques visuels pour terminer la présentation :

Un petit rappel des règles au passage. Comme d’habitude vous avez donc le choix entre la grille ci-dessous, le puzzle sur Facebook et Google + ou les deux. Le modus opérandi est le suivant :

• 1. Jouez sur le blog (grille ci-dessous) ou allez faire un tour sur la page Facebookde Paoru.fr, devenez fan et rendez-vous dans l’album photos Concours Paoru.fr
• 2. Sur Facebook : identifiez sur l’image du mois (celle de mars cette fois-ci) les 12 tomes présents, aka mes dernières lectures. Plusieurs ont eu le droit à un article dans ces colonnes ou ont été évoqués sur notre Twitter. Si vous bloquez, n’hésitez pas à fouiller.
  
• 3. Sur le blog : trouvez les 12 titres de mangas. Ce mois-ci je vous donne 12 titres de sport, ça devrait être facile non ?
• 4. Envoyez les noms des tomes et séries à l’adresse concours@paoru.fr, le tout avant le 01 avrilà minuit !

Trois gagnants seront tirés au sort parmi les bonnes réponses. Leurs noms seront annoncés vers le 2 avril en même temps que les réponses du puzzle et du quizz.

Voici la grille de mots croisés du mois.

Bonne chance à tous, amusez-vous bien !

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J’avais lu il y a quelques années un manga de sport aussi pictural qu’envoûtant… sur le Ping Pong. Ce manga en 5 tomes m’avait fait une si forte impression que je m’étais mis en tête de lire les autres œuvres de son auteur. L’occasion s’est présentée sur le tard dans une version intégrale de chez Tonkam, pour un peu moins de 30 €. Voici venir Amer Beton, un seinen de Tayô Matsumoto venu du Big Comic Spirit.

Opposition et complément

Publié initialement de 1993 à 1994, Amer Beton (ou Tekkon Kinkreet en VO) raconte l’histoire de deux enfants : Noiro et Blanko. Ils « règnent » sur la ville de Treasure Town/Takara où ils font la loi et se font surnommés « le gang des chats ». Lorsque des Yakuzas décident de s’emparer de leur territoire pour y ouvrir leurs commerces, nos héros se décident à nettoyer leurs rues de ces racailles.

Plusieurs thèmes se croisent intrinsèquement tout au long du récit : on peut citer l’enfance sans l’amour  parentale, la violence de la rue et son béton si froid, si rude…  le plus en avant étant celui de l’opposition/complémentarité. Tout commence par les noms des héros qui se suffisent à eux seuls pour expliquer ce contraste : d’un côté nous avons Blanko, de l’autre Noiro. L’un est aussi décalé que rêveur, fier de compter jusqu’à 10 et aussi insouciant qu’un enfant. L’autre est un froid cartésien, responsable et protecteur de son ami.

Cette opposition n’est cependant là que pour démontrer que Noiro et Blanko sont les deux faces d’une même médaille. L’un ne peut vivre sans l’autre, ils se complètent dans leurs différences qui les rendent indissociables. A l’instar du Yin et du Yang, la psyché de nos deux chats (surtout celle de Noiro en fait) est intimement liée à la compagnie de l’un ou de l’autre. Les séparer reviendrait à briser le mince équilibre psychologique de ces enfants de la rue.

Une rue hostile, mais une rue dans laquelle ils se sentent chez eux et où ils habitent. Cette contradiction est constamment renouvelée dans le récit avec d’autres figures amicales, ennemies ou paternalistes. La police y est étrangement dépeinte comme un élément neutre mais bon, impuissante face aux organisations criminelles locales. Noiro et Blanko ne peuvent compter que sur eux-mêmes  dans cette guerre des gangs ce qui rend leur relation si attachante et émouvante.

Un conte urbain ubuesque

Beaucoup d’éléments d’Amer Beton sont empruntés au genre du conte. Malgré lé décor très urbain du manga, des éléments fantastiques viennent au fur et à mesure se greffer au scénario. On peut par exemple citer l’instinct du vieux SDF et de Blanko, capable de sentir le « mal » qui pourrit la ville de Takara. Plus percutant mais pourtant moins frappant lorsque l’on lit beaucoup de manga : les capacités physiques des deux enfants.

Ils sont en effet capables de bondir de toit en toit et de se réceptionner à partir d’une hauteur impressionnante.  Il est bon de rappeler qu’aussi athlétiques soient-ils, des enfants capables de telles prouesses proviennent plutôt du genre  fantastique que du réalisme. La ville elle-même donne parfois l’impression de se mouvoir, avec ses bâtiments aux perspectives folles, son extravagance et son architecture loufoque.

Il faut dire que le déconcertant dessin de Taiyô Matsumoto participe énormément à cet aspect du titre. Loin des stéréotypes de ses confrères, l’encrage  du mangaka ne lésine pas sur le noir. Le découpage en horizontal déploie une débauche de plans cinématographiques à couper le souffle, nous offrant une expérience graphique inédite. En fait, Matsumoto a une approche plus européenne dans sa narration, se libérant des codes classiques du manga.

Ajoutons à cela des personnages secondaires plus charismatiques les uns que les autres. Nous avons droit au vieux SDF, plein de sagesse que cette ville technologique rejette. On suit aussi le rat,  vieux Yakuza moqueur et en dehors du temps suivi de son disciple Kumura, aussi frigide que violent. Toutes ces figures se confronteront inévitablement, leurs enjeux étant le même : la ville de Takara.  

Avec son style inimitable, son découpage cinématographique et ses personnages charismatiques, Amer Beton s’impose comme l’un des meilleurs manga des années 90. Son histoire met en relief une dualité que chaque être humain connaît : la part d’ombre et de lumière que chacun a en soi. Vivre en harmonie avec soi-même commence par l’acceptation de ces principes, ce qu’Amer Beton met en avant avec Brio. Je lui donne 10 chats sur 10 !

           / 10

Celle qui a été envoûtée par un bakeneko revient chez Good Smile Company pour passer au format Nendoroid.

Après une figurine à l’échelle et une figma, il restait, à l’étudiante perfectionniste Tsubasa, à recevoir sa version Super Deformed. Ayant beaucoup d’attachement pour ce personnage, il est difficile pour moi de ne pas craquer devant les différentes bouilles de cette Nendoroid. Outre le visage souriant, Tsubasa dispose de deux visages très travaillés arborant pour l’un, une expression courroucée, et pour l’autre, une expression très gênée. Je dois vous avouer que je fonds complètement devant l’air sévère de Tsubasa souhaitant presque vouloir la voir se fâcher contre moi. D’ailleurs j’apprécie énormément la photographie avec la petite mise en scène où elle semble comme réclamer ses lunettes à Kahotan. C’est tellement amusant d’imaginer toutes les possibilités de lui faire piquer une colère!

Du côté des accessoires, nous serons gâtés, avec un bon nombre de bras et de mains permettant de reproduire différentes attitudes comme par exemple la pose moe du chat. Mais Tsubasa pourra également paraître comme une étudiante modèle en tenant fermement un livre à la main, ou passant un coup de fil à un camarade de classe à l’aide de son téléphone portable. Enfin, au moyen de jambes pliées et d’une jupe adaptée, Tsubasa pourra s’asseoir d’une façon très mignonne, ce qui sera parfait pour la faire s’amuser avec les deux chats qui seront inclus avec elle.

Sortie: Juillet 2014
Prix: 3611¥ (26€)

© Ishin Nishio / Kodansha / Aniplex / Shaft

http://www.goodsmile.info/en/product/4257/Nendoroid+Tsubasa+Hanekawa.html

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J’ai été très surpris de trouver en librairie Dans un recoin de ce monde, une œuvre signée Fumiyo Kouno dont j’ignorais l’existence. J’avoue que je n’arrive plus à suivre, perdu dans cette pléthore de volumes qui sortent hebdomadairement. Kana nous offre une édition condensée en deux volumes d’une œuvre sortie en 2007 déjà au Japon et agrémentée par de nombreuses notes explicatives. Une très belle édition au format wide-ban (dimensions d’une feuille A5) qui rejoint dans ma collection Made In d’autres titres de l’auteur : Le Pays des Cerisiers et Pour Sanpei. A noter qu’un film d’animation adaptera cette oeuvre sur grand écran !

Les premiers chapitres racontent quelques souvenirs d’enfance de Suzu du temps où elle habitait Hiroshima : une livraison pour l’entreprise familiale, une visite chez des parents d’outre-mer, les brimades d’un camarade de classe qui cache ses sentiments. Des chapitres un peu à part dans l’œuvre, une sorte d’apéritif délicieux qui plonge le lecteur dans les tableaux de l’enfance de Suzu, bercée de douceur et de bonne humeur. Impossible de lire ces quelques planches sans être charmé par le pittoresque qui en ressort. On a l’impression de lire un conte de fées quand ce mystérieux bonhomme à la capuche noire et aux traits d’ogre enlève notre petite héroïne dans sa hotte. Le second chapitre – pendant les grandes marées – se distingue par un crayonné beaucoup plus grossier et imprécis, semblable aux lapins dans les vagues que Suzu dessinera plus tard, comme si la jeune fille esquissait elle-même quelques pages de son enfance.

Dans un recoin de ce monde commence véritablement en décembre 1943, quand la mère de Suzu apprend au téléphone qu’un jeune homme désire épouser sa fille. Suzu ne trouve aucune raison de refuser cette proposition et deux mois plus tard, après une cérémonie rondement menée, elle débarque dans sa nouvelle famille à Kure. L’accueil est convivial – si l’on passe outre l’attitude hautaine et arrogante de sa belle-sœur – et Suzu s’emploie très vite à ses devoirs : suppléer une belle-mère souffrante dans les tâches ménagères. Les mois passent ainsi dans une douce quiétude jusqu’à cette terrible année 1945 qui a vu bien des vies chamboulées dans ce recoin du monde.

Le mariage de Suzu est donc plus un arrangement tout à fait banal pour l’époque que le fruit d’un véritable amour. Sa relation avec son mari est tout d’abord empreinte d’embarras. C’est à peine s’il lui accorde un regard durant la cérémonie et aucune parole n’est échangée avant leur première nuit en couple. Tous deux se rapprocheront petit à petit, avec toute la pudeur qui caractérise cette époque. Une vie de couple qui bat de l’aile quand Suzu découvre que son mari fréquentait une fille de joie ou quand elle accueille un ami d’enfance. Suzu semble en outre incapable de concevoir leur enfant. Des épreuves et de épisodes qui n’entameront pas le respect et l’affection qui les unit. Ni la bonne ambiance qui règne dans leur foyer.

Suzu se fait gentiment tourner en bourrique par son mari et sa belle famille.

Avec Suzu, c’est une héroïne mignonne et maladroite que dessine Fumiyo Kouno, assez petite à l’instar de tous ses personnages. Une héroïne aux tresses de lapin qui ferme très fort ses paupières avec un sourire aux lèvres à chaque fois qu’elle fait une bêtise et qu’on lui fait des reproches. A ses côtés, on apprend tous les rudiments de la parfaite ménagère de l’époque, Suzu allant même jusqu’à s’improviser couturière par souci d’économies. Au départ, elle est quelque peu rabaissée par sa belle-sœur qui la trouve fade et démodée. Mais leur relation s’améliorera par la suite. L’auteur dresse un tableau joyeux de cette vie quotidienne et jamais Suzu ne regrette vraiment d’avoir eu un mariage arrangé même si sa famille d’Hiroshima lui manque quelquefois. Elle s’adapte très vite à son nouveau voisinage et on voit comment les gens s’entraidaient dans un recoin de monde bien plus ouvert et soudé qu’aujourd’hui.

Une fois ouvert le second tome, c’est un paysage de guerre qui succède à celui du quotidien. Tout d’abord avec ces émouvantes retrouvailles entre Suzu et son ancien camarade Mizuhara alors que ce dernier s’apprête à embarquer dans la marine. Kure est un port de guerre et beaucoup d’aspects documentaires sont visités par l’auteur qui  nous dessine un plan du port, un historique de la marine. Fumiyo Kouno va jusqu’à réinterpréter en quelques planches le fameux syllabaire patriotique qui dictait alors la conduite des citoyens japonais. Avec les bombardements, les sans-abris sont de plus en plus nombreux et la famille de Suzu accueille quelques sinistrés. C’est ce merveilleux élan de solidarité que l’auteur met en exergue avec aussi la mobilisation des femmes qui assurent l’intendance et le ravitaillement.

Une planche sublime qui mélange un crayonné de souvenirs et une Suzu qui reste ancrée dans le présent.

Bien que joyeux, le foyer dépeint par Fumiyo Kouno est aussi celui d’une vie modeste faite d’épargnes et de parcimonie. Si l’on reste à des lieues de la misère que Yoshishi Shimada nous présente dans Une sacrée Mamie, la vie quotidienne de Suzu se pare de la même simplicité et l’ambiance de son foyer dégage le même optimisme face aux épreuves. Ici la misère apparaît surtout à travers une fracture sociale quand Suzu se perd dans le quartier rouge de Kure. Occupée à tracer des pastèques et des caramels sur le sol, elle est abordée par Rin, une fille de joie qui lui indique la route du retour. Cette demoiselle ne sait pas lire et ignore tout du grand monde. C’est à travers les dessins de Suzu qu’elle découvre les petits luxes de la vie courante. Les quelques planches griffonnées dans le second tome laissent une interprétation ouverte : était-ce Rin ce fameux zashiki warashi qui autrefois s’introduisait furtivement dans sa chambre en passant par le grenier ? L’enfant arraché à la misère par Suzu et son mari, cet enfant qu’ils ne sont jamais arrivés à concevoir, n’est-ce pas un hommage rendu par le couple à leur amie ?

Le dernier titre de Fumiyo Kouno est une formidable ode au bonheur et à l’optimisme dans un recoin de ce monde qui était alors tourmenté par les affres de la guerre. Un récit rythmé par les quelques croquis que dessine Suzu. Ceux qu’elle traçait autrefois sur le sable pour encourager sa petite sœur, celui qui réconcilia son camarade Mizuhara avec cette mer qui avait enlevé son frère aîné, celui d’un paysage d’Hiroshima qu’elle ne reverra jamais, ceux des navires de guerre de Kure, ceux qui marquent sa rencontre avec une fille d’un autre monde. Fumiyo Kouno signe une œuvre belle et mélancolique, où le bonheur de vivre et d’exister vient transcender toute la tristesse de la guerre.

"Kill La Kill Senketsu no Porno", voici le titre de ce billet qui, comme vous vous en doutez surement, à pour but de vous présenter un nouveau petit JAV bien sympathique.
Et oui me revoilà avec un nouveau film pour adulte mettant une nouvelle fois en scéne une héroïne célèbre issue de la Japanimation.
Cette fois ci la "victime" n’est autre que Matoi Ryūko, l’héroïne de l’anime Kill La Kill.

Comme pour les précédents articlesvous ne trouverez dans ce billet aucun lien pour télécharger le film. Inutile également de me contacter à ce sujet, je ne répondrais à aucun commentaire, tweet, message FB ou mail me demandant comment se procurer le film. A bon entendeur ^^.

Sobrement intitulé "Kill La Kill Cosplay", le film met donc en scéne Matoi Ryūkoincarnée ici par une certaine Rei Mizuna.

Née le 20/05/1987 à Tokyo, la demoiselle mesure 153 cm pour un poids de … à non je n’ai pas cette donnée la. Par contre je peux vous donner ses mensurations qui ne sont pas très difficile à trouver XD : 82(C)-57-86.
Qu’est ce que je peux encore vous raconter … elle est taureau, son groupe sanguin est AB et elle aime lire et écouter de la musique (entre autres XD). Ok osef un peu beaucoup mais bon il faut bien que je raconte des trucs moi…
Niveau filmographie, c’est une actrice relativement active qui a au bas mot une 40aine de films à son actif, c’est en tout cas ce qui est annoncé sur plusieurs sites (oui je ne me suis pas amusé à tous les chercher hein XD). D’ailleurs niveau cosplay ce n’est pas non plus son coup d’essai et elle s’est deja illustrée plusieurs fois.

Saber (Fate Stay Night), Mari (Evangelion) ou encore Hatsune Miku et j’en passe … la demoiselle semble vraiment apprécier le cosplay.
Pour son dernier film elle enfile (avant de se faire e… oups pardon je m’égare XD) donc "Senketsu", l’uniforme scolaire constitué de fibres vivantes, pour entrer dans la peau de Matoi Ryūko, personnage féminin emblématique et sexy à souhait de l’anime Kill la Kill.

Personnellement je trouve que le résultat final est assez réussiet que le costume lui va plutôt bien.

Y’a pas à dire, une perruque, un costume et du maquillage, ça vous change une personne ^^.

Histoire de "respecter" le personnage jusqu’au bout, Rei Mizuna porte les mêmes sous vêtements que Matoi, les amateurs de "Shimapan" devraient apprécier^^.

En ce qui concerne le film alors là attention les yeux!!!On se trouve face à un film digne d’une superproduction hollywoodienne et qui à bénéficié d’un gros gros budget  … ok je sors!
Non plus sérieusement le film offre quelques petites originalités disons "rigolotes". La 1ére concerne l’acteur masculin du film qui incarne également un rôle, celui de Aikuro Mikisugi l’espion appartenant au groupuscule des "Nudists Beach". Bon ok le costume est pas hyper recherché et le mec est pas hyper ressemblant mais en même on s’en fout, on le voit presque pas XD.

Ensuite du coté de la réa, les gars ont été jusqu’à introduire dans le film des effets de lumières ressemblant à ceux présents dans l’anime. Le fond rose bien kitch lorsque le prof/espion se dessape est particuliérement ridicule ce qui le rend d’autant plus drôle. Il y aussi les effets de lumières scintillants pour la transformation de Senketsu en Kamui Senketsu.

Petite déception d’ailleurs car mis à part une apparition en mode "Kamui Senketsu" au début du film, on ne le revoit pas sous cette forme jusqu’à la fin … Pas de scéne d’ébats en mode Kamuidonc ce qui est bien dommage car ça aurait pu être sympa XD

Pour les déçus sachez tout de même qu’il existe un film mettant en scéne une Matoi avec Senketsu en mode "Kamui". Malheureusement il s’agit d’un truc un peu obscur à priori disponible uniquement en téléchargement payant. D’ailleurs je précise que c’est également le cas pour le "Kill la Kill Cosplay" avec Rei Mizuna (le téléchargement hein pas le truc obscur).

En ce qui concerne le filmen lui même c’est assez classique et il ne faut pas s’attendre à énormément de fantaisie. Il y a au total 3 scénes entrecoupées de scénettes ou la demoiselle prend diverses poses plus ou moins lascives, avec ou sans accessoires (je fais allusion à la "scissor blade" hein^^).
Les scénes de sexe restent bon enfant, si je puis dire (cette phrase est vraiment chelou non?) et n’ont absolument rien à voir avec ce que la pauvre Mikasa Ackerman à enduré.
Globalement c’est un film X bien gentillet qui mise avant tout sur le fan service et sur le potentiel hautement érotique des tenues de Matoi Ryūko et très honnêtement c’est largement suffisant ^^.

Maintenant que Matoi et Senketsu ont ouvert le bal, il ne reste plus qu’a attendre pour voir si d’autres vont lui emboiter le pas et qui sait peut etre que d’ici quelques temps on aura le droit à une scéne Matoi Ryūko x Satsuki Kiryūin. En attendant que cela se produise, je peux dors et deja teaser sur un éventuel prochain billet 18+ ou il sera question de Shinobi et de parchemins entre les seins… Je vous laisse méditer la dessus ^^

Rika to Cristal Tower possède un système sympa avec le grand défaut qu’il n’est d’abord pas assez complexe pour être distrayant bien longtemps et ensuite qu’il n’a non plus aucun scénario ni quoique ce soit d’accompagné pour le soutenir.

Alors tu t’amuses une heure. Ca devient gonflant. Tu arrêtes.

Bon, une heure est plus que suffisant pour arriver au niveau de supposée fin du jeu m’enfin, le dit lv est 16 alors que tu peux grimper encore et encore. Il ne se passe rien non plus une fois atteint. A te demander à quoi il sert.

Pleins d'items présents sans grande utilité

Le héros souhaite sortir avec l’idole de la classe. Il l’invite. Elle doit finir le donjon de FF3. Tant pis.

Il l’invite à nouveau le lendemain. Elle a déjà prévu autre chose. Tant pis. Il recommence. Sans réussir. Jusqu’à ce que 120 jours passent, leur cérémonie de passage se rapprochant et, attend un peu, est-ce qu’il ne se ferait pas éviter le héros ?

Alors qu’il lui a fallu un tant fou pour se rendre compte de cette évidence, il décide de se venger et va l’inviter sans problème bizarrement pour déchirer ses vêtements, la pointer et… Et la faire jouir pour rentrer chez lui et recommencer durant tout le jeu.

Si il l'avait invité de la même façon dès le début, il aurait eu aucun problème

Là tu la bats à coup de doigt dans le trou de derrière ou devant. Débloque des objets et la fait monter de niveau assez facilement (max 2 confrontations une fois sur deux). Plus son niveau augmente, plus t’as de chance d’avoir des objets rares.

Les objets sont pour la plupart des améliorations des stats du héros selon quel type d’attaque a fait le plus de dégât durant le combat. Les type étant chacun des deux trous, la fesser, le déshabillage durant lequel tu dois payer pour lui redonner des vêtements et les détruire à nouveau. Il me semble qu’un autre est présent mais on s’en fout.

Les améliorations deviennent plus fortes avec le niveau évidemment.

Le niveau est changeable bien que l'xp continue de monter dans tous les cas

Après tu obtiens la lotterie même si tu sais pas à quoi ça sert. T’as juste des CGs et surtout pubs pour les autres produits du cercle.

Se trouve en plus des stages cachés selon les conditions (temps + jour de la semaine) sous lesquels t’as choisi ton terrain mais pas de grand contenu à l’intérieur, ni différences. Ca ne sert qu’à collecter certains objets plus rares débloquant de meilleurs bonus nullement nécessaires. Le jeu devient vite lassant.

Preview d’une adorable gameuse aujourd’hui sur Shadonia avec cette adaptation de Tsurugi Yagami, signée Max Factory.

De retour de Made in Asia, il faut se remettre dans le bain et dieu sait que c’est dur, surtout quand on sait le nombre d’articles qu’il faut préparer et, qu’en plus, on a la crève (c’est plus drôle…). Mais ce matin, une petite demoiselle m’a mis le sourire aux lèvres du coup, c’est très naturellement que je commence par elle. Place donc à la présentation de Tsurugi Yagami lancée en précommande ce matin par Max Factory !

Malgré une apparence très enfantine, Tsurugi Yagami est en fait un professeur dans la série Sasami-san@Ganbaranai. Elle est également l’aînée des sœurs Yagami et une grande joueuse de jeux vidéo. Ci-dessous, découvrez l’opening de la série dont elle est tirée :

La première fois que l’on a aperçu cette adaptation de Tsurugi Yagami, c’était à l’occasion du Wonder Festival Summer 2013. À l’époque, la réalisation était sans couleurs et il aura fallu attendre le mois de février, lors de l’édition hivernale du WF pour la voir à un stade plus avancé. Finalement, la demoiselle aura été mise en précommande ce matin, sur la plupart des boutiques japonaises.

Voici une demoiselle qui ne m’avait pas spécialement tapé dans l’œil lorsqu’elle a été dévoilée pour la première fois lors du WF Summer 2013. Et pourtant lorsque je l’ai vu, en couleurs, au mois de février, j’ai comme qui dirait craqué. Avec son côté petite « geek », ses couleurs et son expression dynamique, je suis tombée sous le charme de cette adaptation de Tsurugi Yagami, sans connaître ni le personnage, ni la série. Et je dois même avouer que je ne suis pas la seule, car Shad’ n’est pas insensible… La demoiselle risque donc très certainement de venir grossir les rangs de notre collection. Je crois que les éditeurs en veulent décidément à notre compte en banque.. L’appartement va commencer à être un peu trop petit à ce rythme là…

Nom : Tsurugi Yagami
Origine : Sasami-san@Ganbaranai
Éditeur : Max Factory
Sculpteur : Potton
Dimension : 1/7ème (12 cm)
Sortie : Juillet 2014
Prix : 10926 ¥ (77 €)

© Akira / Shogakukan /Production Committee @ Ganbaranai
Photos © Kahotan / Max Factory

http://www.goodsmile.info/en/product/4263/Tsurugi+Yagami.html

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