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Kanpai - Partir seul(e) en voyage au Japon

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voyage-seul-japon
Je suis toujours parti en voyage à plusieurs, a fortiori à l’étranger. Que ce soit en couple, entre amis ou en famille, je n’ai ainsi jamais eu l’opportunité de séjourner seul dans un pays plus ou moins éloigné de chez moi. En revanche j’apprécie de me libérer du groupe, une à plusieurs fois par voyage, pour […]
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Shadonia - Mirajane Strauss (X-PLUS)

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 X-PLUS a lancé hier les précommandes d’une nouvelle héroïne de la licence Fairy Tail avec Mirajane Strauss.

En octobre, je vous présentais une adaptation assez sensuelle et sexy d’Erza Scarlet, l’une des héroïnes de la série shonen Fairy Tail signée par le fabricant X-PLUS. Et bien voici qu’un nouveau personnage féminin de la licence a fait son apparition dans les boutiques hier matin : Mirajane Strauss. La première fois que l’on a vu apparaître cette réalisation, il y a une vingtaine de jours, elle était déjà en couleurs, laissant supposer une mise en précommande imminente. Une adaptation qui devrait plaire aux fans de la licence qui apprécient les poses sensuelles et les formes généreuses.

 Nom : Mirajane Strauss
Origine : Fairy Tail
Éditeur : X-PLUS
Sculpteur : M.I.C.
Type : PVC, ABS
Dimension : 1/8ème (14 cm)
Sortie : Mai 2014
Prix : 6900 ¥ (48€)

Photos
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© Hiro Mashima / Kodansha / Fairy Tail Production Guild / TV Tokyo

http://www.xplus-toys.com/

 

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Shadonia - Akane Isshiki Pallet Suit (Griffon Enterprises)

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 Preview de la version « Pallet Suit » d’Akane Isshiki signée Griffon Enterprises.

En septembre, Griffon avait déjà proposé une adaptation d’Akane Isshiki. Et voilà qu’hier matin, l’éditeur a lancé les précommandes d’une nouvelle version du personnage intitulée « Pallet Suit« . Annoncée il y a deux mois, nous avons pu suivre au fur et à mesure des semaines son évolution assez rapide. D’ailleurs, comme habituellement avec Griffon Enterprises, la date de sortie est comme qui dirait.. très proche ! En effet, mise en précommande hier, elle sortira… au mois de mars ! Espérons que l’éditeur tiendra ses délais.

 Nom : Akane Isshiki
Version : Pallet Suit
Origine : Vividred Operation
Éditeur : Griffon Enterprises
Sculpteur : TEAM GENESIS
Type : PVC
Dimension : 1/8ème (19.5 cm)
Sortie : Mars 2014
Prix : 9800 ¥ (68€)

Photos
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© Vividred Project

http://www.griffon.co.jp/products/pvc/vro/akane-palette.html

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Shadonia - Hinaichigo (Griffon Enterprises)

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Preview de Hinaichigo, signée Griffon Enterprises(encore!).

Cette semaine, le fabricant Griffon Enterprises aura lancé de nombreux produits entre sa gamme Nanorich VC  et ses PVC. Annoncée il y a quelques mois, la petite Hinaichigo de Rozen Maiden a donc été mise en précommande ce matin. Une réalisation qui a le mérite d’avoir un beau socle en rapport avec la série. Reste à espérer que la qualité suivra, nombreux étant ceux qui ont été déçus par leur Yaya.

 Nom : Hinaichigo
Origine : Rozen Maiden
Éditeur : Griffon Enterprises
Sculpteur : I-CON
Type : PVC
Dimension : 1/3ème (21 cm)
Sortie : Avril 2014
Prix : 10400 ¥ (72€)

Photos
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© PEACH-PIT / Shueisha / Rozen Maiden Production Committee

http://www.griffon.co.jp/products/pvc/rozen/hina.html

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Paoru.fr - Concours Dimension W : and the winners are…

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Voici enfin les résultats du concours de février, consacré àDimension W,de Yuji Iwahara aux éditions Ki-oon.Trois tomes 1 étaient à gagner.

DimensionW_1

Ce mois-ci ce double concours blog / Facebook a reçu une bonne quarantaine de réponses complètes. Je suis bien content que le titre d’Iwahara attire le monde, et je l’ai également vu dans le top des ventes Fnac du moment, j’espère que ça va durer ! Sinon, à tous ceux qui trouvent ces concours trop difficiles ne désespérez pas, car certaines séries y sont récurrentes, donc n’hésitez pas à fouiller dans les concours précédents et leurs réponses, qui constituent de bons indices d’un mois sur l’autre !

Le tirage au sort a récompensé des habitués qui n’avaient pas gagné depuis loooooongtemps : Romain G. et Koupine Kawai et une qui gagne pour la première fois si je ne m’abuse : Virgine P. !  Bravo à eux et merci à tous les participants !

Pour ceux qui prennent ce concours en route, sachez que votre chance d’être tiré au sort augmente avec votre nombre de participations infructueuses. Quelqu’un qui aura participé 3 fois avec les bonnes réponses mais sans être tiré au sort les fois précédentes aura 3 fois plus de chance que quelqu’un qui tente sa chance pour la première fois. Les gagnants recevront bientôt un mail de confirmation, et pourront choisir de recevoir un tome 1 ou un tome 10. Quant aux autres merci beaucoup pour votre participation, retentez votre chance pour le concours de mars.

Et maintenant, place aux réponses. On commence avec les mots croisés :

Quizz Dimension W réponses

Et voici maintenant les réponses du puzzle :

Dimension W

Rendez-vous en ce mois-ci pour le prochain concours, ce sera avec les éditions Glénat ! En attendant, n’oubliez pas de jeter un oeil à l’article consacré au premier tome de Dimension W, ici.

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Shadonia - Mini Dollfie Dream Prisma Illya (Volks)

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Preview de la nouvelle Mini Dollfie Dream de Volks : Prisma Illya.

Dévoilée il y a maintenant quelques semaines, la Mini Dollfie Dream Prisma Illya sera bientôt disponible en loterie. En effet, le Home Town Dolls Party Kyoto 10 se tiendra le 9 mars prochain. Un After-Event aura surement lieu dans les semaines à venir, permettant ainsi à ceux qui ne sont pas au Japon de pouvoir tenter de se procurer cette nouvelle MDD. Bien entendu, dès que la date de la loterie internationale sera tombée, je l’ajouterai dans cet article. Il faut savoir que le personnage avait déjà eu droit à une adaptation Mini Dollfie Dream en 2009 et depuis sa valeur a bien augmentée. Une nouvelle chance est donc offerte aux collecteurs afin d’obtenir le personnage de la célèbre licence !

Nom : Prisma Illya
Origine : Fate/kaleid liner Prisma Illya
Éditeur: Volks
Gamme : Mini Dollfie Dream
Dimension : 1/3ème
Sortie : Mars 2014
Prix : 57 000 ¥ (397€)

Spécificité : le set « School Uniform Set », que vous pouvez découvrir dans la seconde galerie, sera vendu à part. Il coûtera 14 800 yens (103€). Avis aux amateurs, sachez que ce genre de tenue alternative a également tendance à prendre de la valeur.

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Un peu plus haut, je vous parlais d’un set qui sera mis en vente à part. Et bien voici donc des photos de la tenue dite uniforme de la Mini Dollfie Dream Prisma Illya.

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Et pour vous donner une petite idée du potentiel de cette Mini Dollfie Dream, voici quelques clichés que Volks a pris avec une toute autre tenue pour ceux qui ne voudraient pas lui laisser sa tenue officielle.

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© 2013 Hiroshi Hiroyama / TYPE-MOON /Kadokawa Shoten / [Fate/kaleid liner Prisma Illya] Production Committee

http://www.volks.co.jp/prisma_illya/

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Shadonia - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku (Volks)

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Preview de la nouvelle Dollfie Dream Sister de Volks : Youmu Konpaku.

 Il y a quatre mois, le fabricant Volks avait fait un teasing en annonçant l’arrivée d’une nouvelle Dollfie Dream via une photo… de jambes ! Et rapidement dans le milieu, les pronostics sont allés bon train, laissant planer le doute d’une nouvelle adaptation d’un personnage de Touhou Project. BINGO ! Un mois plus tard, les premières photos de la Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku circulaient. Tout comme la Mini Dollfie Dream Prisma Illya, la DDS Youmu Konpaku sera disponible lors du Home Town Dolls Party Kyoto 10 qui se tiendra le 9 mars prochain. Elle sera également disponible lors de l’After-Event mais pour l’instant, la date n’a pas été communiquée. Dès que j’en sais plus, je vous tiens au courant !

 Nom : Youmu Konpaku
Origine : Touhou Project
Éditeur: Volks
Gamme : Dollfie Dream Sister
Dimension : 1/3ème
Sortie : Mars 2014
Prix : 62 000 ¥ (432€)

Photos
Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (1)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (2)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (3)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (4)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (5)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (6)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (7)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (8)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (9)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (10)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (11)Preview - Dollfie Dream Sister Youmu Konpaku Volks (12)

http://www.volks.co.jp/touhou_project/dds_youmu/

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Anime-kun - NozokiAna T6&7 – A quoi tu joues ?

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NozokiAna-6-Couverture

Comment commencer le sixième tome de NozokiAna ? D’une bien triste façon. Comme si cela ne suffisait pas au désespoir de notre héros, Emiru n’hésite pas à jouer sur les sentiments de ce dernier, lui faisant croire qu’elle l’aime après la séparation de Tatsuhiko avec Yuri. Machination, voyeurisme, caméra pour filmer tout ça, Emiru montre son côté le plus sinistre et vicieux alors qu’elle brise mentalement le jeune homme. Qu’est-ce qui trotte dans la tête d’Emiru pour se comporter de la sorte ? Difficile de la comprendre et de savoir ce qui se passe dans sa tête.

Cela fait un an maintenant que toute cette histoire a commencé. Une longue année et qui, pourtant, continue de se dérouler sans trouver de solution. L’arrivée d’un nouveau personnage féminin du nom de Madoka Watari va tout chambouler. Il faut dire qu’une demoiselle aussi joliment formée, un peu candide sur les bords, vingt-deux ans et encore vierge, ça ne laisserait personne indifférent. Pour sûr, on sait qu’elle tombera sous le charme de notre héros mais voilà, la première fois ne se passe pas forcément comme prévu. La peur de la « chose » de Kido la fait s’enfuir comme une enfant.

Heureusement, Nao Kajiwara, une demoiselle aussi douce et chaleureuse que plantureuse, sera là pour lui remonter le moral après ce nouvel échec. L’une des rares personnes au courant du secret de nos deux héros, ce n’est pas n’importe quoi ! Mais après cette séance de sexe sans amour, Tatsuhiko est alors bien décidé à ne plus se laisser marcher sur les pieds par Emiru. Pourtant, rien n’est perdu pour notre héros avec Madoka. Bien désireuse de lui laisser une seconde chance, l’ambiance est alors bien meilleure entre nos deux tourtereaux.

NozokiAna-7-Couverture

Tout pour emmener alors à une véritable déclaration de guerre de Kido à Emiru. Dorénavant, il lui tiendra tête. C’est là que l’on peut remarquer toute la complexité de notre héroïne : un bruit sourd dans le mur, un visage dévasté par les émotions mêlant douleur et tristesse, voilà ce qu’elle présente à Kido. Et pourtant, tout cela disparaît aussitôt le lendemain, sous un masque d’indifférence entremêlé d’un sourire narquois. Tout est si compliqué dès qu’il s’agit d’elle et ce n’est pas Madoka, incitant Emiru à se déclarer, qui va arranger le tout.

La conclusion du septième volume laisse un goût doux mais amer. Maintes fois, nos héros étaient proches, si proches. Maintes fois, on s’est demandé si Emiru allait encore jouer avec les sentiments de Kido. Mais maintenant ? Si ce n’est plus le cas ? Si enfin, elle montre son véritable visage, comment faut-il réagir ? Car oui, cette fois-ci, ce que Kido fait avec Emiru, c’est bien la même chose qu’il a subit de la part de Yuri. Et Madoka dans tout ça ? Car oui, contrairement à Yuri, Madoka est une ange de tendresse et de gentillesse, prête à tout pour rendre heureux Kido mais aussi Emiru. Est-ce qu’il faut briser ce bonheur ?

Nous en sommes à la moitié de la série et cette fois-ci, nous avons encore fait un bel avancement dans la relation entre Emiru et Tatsuhiko. Le problème réside malheureusement dan les barrières érigées entre eux deux. Tout d’abord par le comportement de la jeune demoiselle, qui, malgré, au fil des volumes, laisse transparaître peu à peu ses véritables sentiments. Ensuite, l’arrivée d’une demoiselle bien plu appréciable que Yuri nous inflige malheureusement un choix moral : doit-on laisser parler ses sentiments et alors ne pas hésiter à faire des sacrifices, même les plus douloureux, ou alors décidé de les restreindre pour ne pas blesser la personne qui nous aime sans que cela soit forcément réciproque. Difficile alors de choisir sans être préparé aux conséquences et aux pertes conséquentes.

Disponible depuis le 10 octobre 2013 et 9 janvier 2014 aux éditions Kurokawa. Prix : 7,95€


Otakritik V2 - [Test] Final Fantasy 6

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Final Fantasy 6 est un RPG sorti sur SNES en 1994 par Squaresoft. Il clôture la trilogie entamée sur cette console par les épisodes 4 et 5, excellents mais somme toute assez classiques (surtout pour le cinquième). Cet ultime volet qui rallie autant les fans que la presse mérite t’il son statut de « meilleur RPG au monde » ?

Le meilleur de la saga 

 

On ne tarie pas d’éloges sur Final Fantasy 6, souvent considéré comme l’épisode le plus abouti de cette saga. Ceci est tout d’abord dû à l’introduction d’un univers Cyber-Punk, alors que la série se cantonnait  purement à la Fantasy jusque-là. Les tons colorés  font désormais aussi la place à des teintes plus sombres, froides et mécaniques.

D’un point de vue scénaristique, ce volet marque aussi l’heure du renouveau : il n y a pas un, mais des personnages principaux (14 au total et la plus grande équipee vue dans un FF). La narration se scinde donc parfois entre certains groupes, dont le background reste le plus recherché depuis Final Fantasy 4. Les sentiments des héros sont constamment mis en exergue, ce qui permet de s’attacher aux destins, souvent tragiques, de ces aventuriers.

 

 

L’histoire est plus sombre et mature qu’auparavant, se constituant de deux parties dont la seconde  reste la meilleure à mon goût. Le monde a subi l’apocalypse, mais c’est surtout l’occasion pour les joueurs de visiter la mappemonde dans son entier. C’est le moment idéal pour augmenter vos niveaux, mais aussi pour réaliser toutes les quêtes annexes du jeu avant d’aller défaire le boss final dans sa tour.

Face à eux, nous découvrons Kefka Palazzo. Psychopathe, misanthrope, sadique et comique, il marquera  définitivement l’esprit des joueurs de par l’antipathie qu’il inspire. Sa folie et sa simple envie de tout détruire pour le fun, sont pourtant des innovations géniales : il n y a rien de plus méchant qu’un méchant qui aime être méchant, non ?

Enfin, techniquement parlant, Final Fantasy 6 est une véritable réussite.  Le directeur des graphismes n’est autre que le désormais célébrissime Tetsuya Nomura (Kingdom Hearts, The World will ends with you). Sakaguchi est relégué au rang de producteur et laisse doucement sa place à Yoshinori Kitase (Chrono Trigger, Seiken     Densetsu). C’est aussi avec plaisir que les compositions de Nobuo Uematsu accompagnent toute l’aventure.

 

Un gameplay attrayant

 

Comme vous le savez déjà si bien, un Final Fantasy possède 4 éléments de gameplay récurrents : la mappemonde, le menu, les combats/donjons et les villes. La mappemonde est bien entendu la plus aboutie ici, poussant la SNES au maximum de ses capacités. Vous aurez la possibilité de le constater via le mode 7 lorsque vous serez à dos de chocobo ou à bord de votre vaisseau.

Le menu n’a pas changé depuis Final Fantasy  1, il reste cependant un modèle d’ergonomie et de fluidité. Les sous-menus sont toujours aussi claires, l’inventaire est personnalisable, la gestion de l’équipe est pratique…. La saga a toujours su demeurer un plaisir de gestion, c’est un point important puisque l’on passe bien la moitié du jeu dans cet espace.

Les villes sont très nombreuses et variées, mais cette fois-ci l’équipe de Squaresoft a opté pour des teintes plus sinistres et foncées. Des villes plus froides et mécaniques font leur apparition dès le début du jeu (Narshe) et permettent de démontrer clairement que la saga de Sakaguchi fait un bond en avant sur son univers qu’il veut plus noir.

 

 

Après le retour du système de job dans FF 5 (apparu dans FF3), c’est finalement l’imposition d’une classe prédéfinie sur vos personnages qui vous sera soumise. Chaque combattant possèdera une super technique évolutive. Si seulement quelques uns peuvent au départ utiliser la magie, l’apparition des espers renversera la tendance.

Ces chimères vous octroient la possibilité d’acquérir de plus ou moins puissants sortilèges. Il vous faudra mener un certain nombre de combats avant de pouvoir en jouir. Ainsi, chacun des protagonistes pourra devenir sur le long terme polyvalent. La jauge ATB est de retour et les reliques quant à elles augmentent grandement vos statistiques.

Avec son scénario aussi bouleversant que magistrale, ses héros charismatiques et son gameplay efficace, Final Fantasy 6 est probablement le meilleur Final Fantasy parmi ses aînés et ses petits frères. Il surclasse encore aujourd’hui bon nombre de RPG moderne, de part son incontestable richesse sur tous les plans et  l’héritage qu’il a laissé sur l’univers des RPG.


Shadonia - Toire no Touko-san (Native) [+18]

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Native nous dévoile une jeune fille bien grivoise nous faisant partager un moment d’intimité bien particulier.

Après une attente qui m’a semblé interminable, la « fameuse Tony Taka girl sur les toilettes » est enfin disponible en précommande sous la très classieuse dénomination Toire no Touko-san. Et autant vous le dire tout de suite, ce projet un peu hors du commun de Native était l’une de mes plus grosses attentes en matière de production +18. On peut enfin admirer la belle sous toutes les coutures, sur des véritables clichés travaillés, c’est le pied!

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Commençons par parler de ce qui rend cette Toire no Touko-san aussi peu commune. Difficile de passer à côté, mais cette figurine est entièrement vêtue (enfin si on veut xD) d’une tenue faite de tissus. Un véritable produit hybride, qui offre du coup, de conséquentes possibilités de présentation, de « customisation ». Libre à vous d’ouvrir négligemment la veste de Touko-san pour laisser apparaître ce sein que je ne saurais voir. Libre à vous encore de négliger une chaussette sur un pied, ou de positionner la culotte baissée au millimètre désiré! Tout un programme *bave*…

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Mais ce n’est pas tout! Voyez-vous, Native nous apprend aujourd’hui que cette production bénéficie d’un progrès technique sensationnel dans l’univers des figurines pvc. Le regard de Touka-san n’est pas réalisé par une classique tampographie comme 99,99% des productions. Non, ses yeux sont deux demi-sphères réalisées dans un matériau transparent, qui ont ensuite été placé de l’intérieur dans les orbites précédemment découpées! Une façon de procéder empruntée à l’univers des dolls. Les répercussions d’une telle technique, plus de réalisme pour le visage, et un regard beaucoup plus vivant, plus profond, et qui capte la lumière d’une manière incomparable à des « peintures ordinaires ».

Toire no Touko-san (15)Toire no Touko-san (16)Toire no Touko-san (17)Toire no Touko-san (18)Toire no Touko-san (19)

Que d’éloges au sujet de cette nouvelle production Native, mais que voulez-vous, j’en suis raide dingue! En plus d’aimer (et d’assumer) totalement le penchant artistique de cette réalisation, je suis conquis par ses fabuleux attraits techniques! Alors, et vous ? Trouvez-vous de l’intérêt aux techniques employées pour cette production ?

Origine: Recollect
Sculpteur: Teruyuki
Dimension: 18 centimètres
Sortie: Août 2014
Prix: 11111¥ (78€)

© Tony Taka

http://www.native-web.jp/creators/1414/

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Chris†Diary - Toshokan Sensou: Kakumei no Tsubasa

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Je ne savais que le film avait une série déjà faite. J’ai commencé assez neuf sur le coup ce qui ne m’a pas empêché de tout comprendre devant la complexité de la chose.

J’avais envie de dire mon petit mot sur pas mal de détails bien sûr. Mais fallait bien que je donne sa chance au truc, alors j’ai maté la série en me disant qu’on allait peut-être avoir des explications sans m’attendre à grand-chose.

Conclusion : pas d’explication ni que dalle. T’es juste plongé dedans avec ton héroïne coincée et clichée puis tu passes sa slice of life loin d’être intéressante et surtout bien emmerdante.

L'anime commence avec les deux sans relations amoureuses mais déjà avec les emmerdes de couple x 10

Kakumei no Tsubasa est un auteur se faisant rechercher à cause d’un attentat. L’acte étant une réplique exact de ce qu’il avait publié dans son livre. En conséquence, l’état l’a recherché pour le placé en tribunal et voir ce qu’il faudra faire de son droit d’écrit.

C’est là que les héros intervienne avec la Toshokan (littéralement; bibliothèque). Ils le prennent sous leur protection en le protégeant jusqu’au procès et s’assurant qu’il puisse s’enfuir en cas de perte.

Il y avait de ces développements tout droit sorti d'une lovecome

Rien d’impressionnant dedans. L’auteur s’en foutait des censures et du combat de la Toshokan puis petit à petit apprend à les connaître et devient gentil. Ils se battent contre l’armée, pinch après le tribunal et secours salvateur. Bref, du classique. En parallèle est la relation de l’héroïne et on s’en tamponne. Cela dit, ils s’embrassent. Lorsque t’as plus de 20 ans et te tapes 12 épisodes avant de sortir avec le gars plus pinch pour enfin embrasser. C’est plutôt étrange m’enfin, passons. On s’en fout après tout.

Venant plutôt à la vrai question qui est de diable c’est quoi cette putain de censure ? Tu crois sérieusement que l’état va se casser le cul à t’envoyer l’armer pour ton livre ? Tu penses qu’il va vraiment descendre dans chaque librairie pour vérifier chacun d’eux et en réquisitionner des tas alors qu’ils pourraient faire une liste des revues autorisées tout simplement ? Et le pire étant que la Toshokan est légale, dans le genre t’as la juridiction état/Toshokan. Chacun ayant ses règles. C’est quoi cette merde ?

Même pas la peine d’aller jusque là. Les journaux et la télé mentionnant la censure tranquillement sans problème. T’as juste l’impression qu’ils ont besoin d’un prétexte pour te foutre des armes à feu à ce point.

C'était la vrai fin de la série

Les armes à feu tapant l’hélico en pleine ville tranquillou. Du genre ça tombe sur la gueule de quelqu’un je m’en tape complètement. Les soldats visant la voiture normal sans problème, elle n’explose ettu te doutes qu’ils étaient pas capables de viser les pneus, hein. Change ton entraînement, ils ont un problème tes soldats.

Et pleins d’autres merdes mais pour ça, tu peux très bien regarder. Normalement c’est pour les fans de la série donc t’es supposé aimer la super merde de la série pour aimer la merde du film. Dans ce sens, ils se sont améliorés.

[RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.01.30_[2014.01.20_04.37.23][RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.02.38_[2014.01.20_04.38.37]L'anime commence avec les deux sans relations amoureuses mais déjà avec les emmerdes de couple x 10[RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.17.01_[2014.01.20_04.53.30][RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.17.19_[2014.01.20_04.53.50][RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.18.26_[2014.01.20_04.54.59][RUELL-Raws] Toshokan Sensou - Kakumei no Tsubasa (BD 1920x1080 x264 QuadFLAC(2ch+5.1ch+2Comm) JP+ENSub) [01A1095D].mkv_snapshot_00.22.12_[2014.01.20_04.58.53][RUELL-Raws] Toshokan Sensou - 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Paoru.fr - Radiant, le shônen qui fait changer d’avis sur les mangas français ?

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Radiant

Oui, je pourrais résumer la chose ainsi car, globalement, je n’ai jamais accroché aux mangas français. Ça ne retire en rien la qualité de certains, la passion de leur auteur que j’ai souvent pris plaisir à rencontrer… Ce n’est d’ailleurs pas un papier où je veut dire du mal de ces derniers – ne vous y trompez pas – c’est juste que je ne suis pas le public de Dreamland, de City Hall et d’autres. Après j’aime certaines BD où l’on trouve des influences nippones mais ce sont des BD, comme Maliki par exemple, et donc le débat est ailleurs. De la même façon je n’aime pas les œuvres de Taniguchi car je n’ai pas l’impression d’avoir un manga entre les mains. C’est juste une question de goût. Fin du préambule.

Et donc, il y a peu, j’ai découvert une exception à cette règle : Radiant, de Tony Valente, publié chez Ankama et dont le second tome vient de sortir cette semaine. Le premier opus remonte à quelques mois, Japan Expo 2013 pour être précis. Le tome 1 m’avait bien plu, j’ai pu réaliser une interview très sympathique avec son auteur – elle arrive sur JDJ la semaine prochaine – et j’attendais le second volume pour statuer. Et hier soir, boum, coup de cœur et enthousiasme quasi-immédiat. Et puis des fous rires, beauuuuucoup de fous rires.

Radiant Tome 1  Radiant tome 2

Je me devais donc de vous raconter tout ça. En route pour l’aventure !

Je veux détruire le berceau des Némésis !

Seth est un jeune sorcier en apprentissage, habitant la région des Pompo Hills. Impulsif, fonceur, cet apprenti est un nid à problème pour Alma, sorcière confirmée et indépendante qui en a la charge. Seth essaye de combattre les Némésis, ces créatures tombées du ciel qui contaminent ou déciment tous ceux qu’elles touchent. En fait, comme tous les sorciers, Seth est un « infecté », c’est à dire l’un des rares êtres à survivre au contact des Némésis, et il veut régler son compte à ses créatures démoniaques qui tuent et mettent en danger des populations entières. Et qui ruiné sa vie, accessoirement.

En son for intérieur Seth souhaite aussi sortir de l’exclusion dont il est victime depuis qu’il a été infecté, depuis que cette maladie l’a mis au même rang que les Némésis. Il en a plus qu’assez d’être montré du doigt et accusé de tout et de rien par ceux qui l’entourent ou d’être chassé par la terrible inquisition. De plus, avec son impulsivité de gentil bourrin, il fait souvent autant de mal que de bien et il facilite le travail des gens qui veulent le cataloguer comme une menace. Il ne reste plus qu’une solution pour Seth : partir à la recherche du Radiant, le berceau présumé des Némésis, et mettre fin à cette injustice !

Radiant

Des influences nippones extrêmement bien digérées…

A la lecture de Radiant, pour peu qu’on soit amateur de shônen, on est rapidement encerclé par les influences multiples que l’on croise. Puis positivement surpris de voir avec quelle réussite elles s’imbriquent. On retrouve l’encrage très noir d’un Blue Exorcist, un héros isolé des autres par son pouvoir comme Naruto, de la magie et de la fantaisie qui m’évoque Fly / Dragon Quest, des personnages inspirés par du Dragon Ball, du One Piece ou du Bleach, un dynamisme qui rappelle du Yuko Osada (Run Day Burst) ou un chara-design influencé par Yusuke Morata (Eye Shield 21). On peut y trouver aussi un peu de Lanfeust comme référence franco-belge et des inspirations qui viennent surement du jeu vidéo mais le tout donne un univers indéniablement nippon et immerge le lecteur dans une ambiance très appréciable. On s’y sent comme à la maison.

Radiant parvient à retranscrire le charme indéfinissable des shônens des années 80 – 90, à redonner foi en des personnages là où beaucoup pas mal de titres actuels cherchent plutôt à nous faire douter de tout le monde, à mettre en avant la noirceur de notre monde et son individualisme. Non, ce n’était pas mieux avant, mais l’enthousiasme et le charme des titres de cette époque est une denrée rare actuellement, c’est tout.

On retrouve un héros jeune, naif, un peu couillon et bourrin mais qui possède assez de caractère et de force de conviction pour soulever des montagnes. On se surprend à lui laisser les clefs de notre lecture, sans lui reprocher d’être un héros standard avec une quête simpliste et basique. On la connait bien cette quête de la tolérance et de l’acceptation, elle accompagne notre parcours de shônenophile depuis toujours, mais on s’y replonge avec plaisir. Sans doute parce qu’elle est assumée par l’auteur d’ailleurs, qui ne cherche pas à nous la faire à l’envers, qui veut proposer au lecteur les mêmes émotions et le même enthousiasme que lui ont procuré les mangas qu’il a dévoré. Une des choses qui m’a toujours titillé dans le « manga français » c’est cette volonté d’incorporer à la fois du français et du japonais dans un désir tout à fait louable d’innovation et de métissage, mais qui fait qu’on perd une partie de l’âme originelle. Radiant et son auteur ne cherche pas à révolutionner un genre, il lui rend hommage et son auteur tente avec une vraie humilité de nous proposer une œuvre qui se rapproche de ses grandes et palpitantes sagas.

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Le risque est donc de se faire traiter de copieur. Ce n’est pas grave, s’il est comparé à ces grands héros du manga, Tony Valente le prendra comme un compliment, de toute façon. Mais, fort heureusement pour lui, Radiant revisite des situations connues ET parvient à y incorporer quelques ingrédients qui en renouvelle la saveur, la remet au gout du jour peut-être, en utilisant la verve et les tics de ses personnages avec une grosse dose d’humour et un peu de sadisme…

Parce que, en plus, on se marre !

Je crois que c’est ça qui a créé le déclic qui m’a amené à cette article : l’humour et le sort que Tony Valente réserve à ses pauvres personnages. Les malédictions contractés par les sorciers sont l’occasion pour l’auteur de se faire plaisir sur des protagonistes de 3e ou 4e plan : des ailes de chauve-souris sur le haut du crane, uriner des glaçons, avoir des cheveux qui sentent le cassoulet, en voilà des destins peu enviables ! Les personnages plus en avant ont, eux aussi, droit à leur particularité : Mélie, sorcière traqueuse, voit son humeur passer de foncièrement gentille à insupportable (façon Lunch dans Dragon Ball mais sans l’éternuement) et elle est accompagné par une créature volante toute mignonne. Sauf que Monsieur Boobrie, la bestiole en question, est en réalité sadomasochiste et n’aime que la version odieuse de sa maîtresse. Quand à Doc, sorcier chercheur, il a des gros soucis de vocabularisation et se retrouve toujours dans des galères pas possibles, avec une tendance à s’évanouir ou à vomir quand le danger se montre trop…euh… dangereux !

Dans le volume 2 on découvre aussi quelques running gag qui font mouche comme ce bon père de famille qui s’emporte facilement et dont la femme lui verse un peu de thé pour qu’il se calme. Au début elle le verse bien dans une tasse ce thé… Au début seulement. Et pour dire un mot des bad guys il y a Konrad de Marbourg (très librement inspiré de ça), capitaine inquisiteur et chevalier colérique, d’un racisme crasseux mais dont l’orgueil lui joue toujours des tours et qui se retrouve souvent à crier des ordres contradictoires à ses soldats. Ce personnage m’offre l’occasion de toucher du doigt un petit « coté français » de Radiantdans certains tacles de Tony Valente, qui met dans la bouche du capitaine les termes basanés ou karchériser ou qui « rend hommage » au journalisme-cliché-anxiogène à travers une caricature de circonstance. Là encore on aime ou pas, mais c’est direct et assumé…

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Bref, vous aurez compris que je suis conquis par ces deux premiers tomes qui parviennent à mixer de très nombreuses influences japonaises aussi bien old school que modernes – de Dragon Ballà Blue Exorcist en somme – et qui proposent un titre entrainant et bourré d’humour. Espérons que Radiant trouve son public pour ne pas s’achever au 3e tome, comme le stipule le deal avec Ankama en cas d’échec. Ce serait dommage, on tient vraiment un bon manga !

Fiche descriptive

Radiant Tome 1Titre : Radiant
Auteur : Tony Valente
Date de parution du dernier tome : 07 mars
Éditeurs fr/jp : Ankama
Nombre de pages : 184 n&b et couleur
Prix de vente : 7.95 €
Nombre de volumes : 2/3

Visuels :  Radiant / Tony Valente © Ankama Editions 2014

Vous pouvez suivre Tony Valente sur son blog, Kaméha, ou suivre l’actualité de Radiant sur Facebook. Pour ceux qui ont prévu d’y aller, sachez que Tony Valente sera présent pour des dédicaces au festival Polymanga du 18 au 21 avril à Montreux en Suisse.

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Hello World - [Jeu] Lolipop Chainsaw

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Suda 51 est un développeur connu pour créer des univers de jeu vidéo complètement barrés au design plein de caractère. N’ayant que regardé de loin quelques vidéos du célèbre No more heroes sur Wii, je découvre donc sans attente ni à priori Lolipop Chainsaw, une histoire de zombie et de cheerleader.
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T’es guedin dans ta têteuuuu…
C’est l’anniversaire de Juliet, la belle Pom-Pom Girl du lycée et elle s’en va gaiement retrouver son petit ami Nick par un beau matin ensoleillé. Mais au lycée, tout va mal ! Une horde de zombies a envahi le campus, mais pas de panique, car Juliet s’avère faire partie d’une famille de chasseur de zombies, et aidée de sa tronçonneuse fétiche, elle s’affaire à une série de décapitations en règle.

Par le pouvoir de la constellation de la tronçonneuse ! XD

Par le pouvoir de la constellation de la tronçonneuse ! XD

Mais une fois à son point de rendez-vous, elle constate que Nick s’est déjà fait mordre et elle n’aura d’autre choix pour le sauver que de le décapiter et de maintenir sa tête non contaminée en vie par un rituel magique. Le duo va ainsi devoir affronter le dépressif gothique responsable de l’ouverture d’un portail démoniaque qui a permis l’invasion de zombies.

Ça, si c’est pas un concept WTF, je sais pas ce que c’est ! Et le n’importe quoi se renouvelle sans cesse dans les situations et les personnages. La famille de Juliet totalement excentrique et folle à lier, les zombies aux paroles débiles à souhait, les boss hyper drôles (un hard rockeur prétentieux, une hippie droguée, un viking qui fait des percussions, ou encore un black afro aux peintures squelettes) ou encore le fait de se battre avec une tronçonneuse rose à cœur, de planter la tête de son petit ami sur le corps de zombies décapités et de l’encourager par une danse, etc…

Le visuel chargé en couleurs en tout genre crée clairement une forte identité au jeu

Le visuel chargé en couleurs en tout genre crée clairement une forte identité au jeu

les exemples sont nombreux et entretiennent clairement l’intérêt principal du jeu. Le tout étant servi par un visuel magnifiquement coloré à coup de cœurs, de paillettes, et autres arc-en-ciel, dans une esthétique tramée façon comics.

Une patte artistique certaine qui ne peut pourtant cacher totalement la faiblesse technique du titre. Les environnements sont très statiques, les sprites plutôt simples et peu nombreux, et les animations assez raides. La musique est plutôt quelconque également, mais les voix de très bonne facture rattrapent l’ensemble.

Dégaine ta tronçonneuse !

Les aperçus de petite culotte et l'humour sexy est assez tourné en dérision pour ne pas être lourdingue ou déplacé.

Décapiter des zombies avec panache en tenue de chearleeder, c’est fun ! hu hu hu…

Le gameplay est simple et accessible, et révèle quelques petites subtilités au fur et à mesure du jeu, mais ne suffit pas non plus à cacher les limites évidentes de ce dernier et surtout un aspect assez aléatoire et mal géré. Quelques combos basiques enchaînant les coups de pompon pour affaiblir et les coups lents de tronçonneuse pour achever, mais aussi un coup vers le bas aussi inutile que peu pratique. Les armes obtenues au fur et à mesure sont assez superflues aussi puisque reliées pour la plupart à l’obligation d’utiliser un ticket de tombola à la finalité dure à gérer. Leur utilisation relèvera plus d’une volonté de les essayer histoire de que d’un réel intérêt dans le gameplay.

Décapiter des zombies avec panache en tenue de chearleeder, qu'est-ce que c'est fun ! hu hu hu !

Les aperçus de petite culotte et l’humour sexy est assez tourné en dérision pour ne pas être lourdingue ou déplacé.

Les situations sont également vite répétitives, la faute à un level design très moyen, voire carrément pourri. L’avancée se résume vite à une simple succession de zones de combats séparées très artificiellement, et ne recelant jamais vraiment de surprises. On notera bien quelques tentatives louables de varier, comme les passages de jeux rétro, mais les concepts ne sont clairement pas assez élaborés et intelligents pour que la sauce prenne vraiment. Heureusement que l’aspect WTF et l’humour omniprésent font passer la pillule en rythmant l’ensemble, parce que sinon, le jeu serait clairement assez mauvais. Les phases de boss sont également assez ennuyeuses, et ne relevant jamais un challenge quasi inexistant durant tout le jeu.

L’ensemble de ces qualités et défauts en font un jeu moyen à potentiel sympathique, assez défoulant et qui fait rire à de nombreuses reprises… un de ces jeux moyens devenus bien rares, entre la production triple A et le jeu indépendant, qui nécessite un prix de vente normal, mais fait un peu pâle figure face aux blockbusters qui côtoient les rayons. Un jeu à faire en occasion, pas cher et pour passer le temps.

lolipop chainsaw


kawako-chan - Golden time

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 Premier article depuis 2 ans !9506fe767074a571c4f520d39dbf989b1380570358_full

         Golden time c’est typiquement le genre de chose dont je passe à côté pendant un moment. Un moment avant que l’enthousiasme de quelques personnes dont je connais le bon goût me convainque de regarder au moins le premier épisode.

Apparemment, c’est l’œuvre du même réalisateur que Toradora… ce qui me fait ni chaud ni froid, je ne suis pas fan de Toradora, disons que j’ai bien aimé, mais sans plus.

(D’ailleurs personnellement, je ne comprends les über fans qui chaque année veulent te le rappeler en postant pour une énième fois l’extrai « saa christmas » dans leur Timeline Twitter juste avant les fêtes.)

Mais revenons-en à nos moutons : La série est disponible légalement et gratuitement sur Crunchyroll. (et sans pub si vous avez activé l’adblock de votre freebox… ouaip, c’est mal, je sais)

Si vous ne voulez pas trop vous abîmer les yeux et les oreilles (le bitrate audio doit se situer à moins de 128kbps en SD) je vous encourage vivement a vous prendre un abonnement premium pour regarder la série en HD (l’offre gratuite se limite à la SD) ou sinon il y a toujours le fansub anglophone.

Bon, Golden time, comédie romantique avec des personnages étudiants. Ça ne rend pas l’histoire vachement plus originale, mais c’est déjà  une originalité, et je n’ai pas l’impression de vu et revu quand je regarde cette série , pas le moins du monde même. Ce qui est notable pour une enièreme romance.

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L’histoire

Donc notre hero, Banri Tada arrive à l’université à Tokyo, en droit, mais bon, comme c’est un pauvre provincial il ne connait personne. Par hasard il rencontre Mitsuo lui aussi provincial qui ne connait personne. Très vite il fait la rencontre de Koko, amie d’enfance de Mitsuo amoureuse de lui (de Mitsuo) et l’ayant suivie pour le harceler. Ce qui est embêtant pour Mitsuo qui voit Koko comme un vrai boulet pour lui, surtout que lui est amoureux d’une autre fille Chinami Oka (une étudiante à l’aspect juvénile ). Mais bon, l’attitude ultra possessive de Koko à l’égard de Mitsuo n’empêche pas Banri de tomber amoureux d’elle.

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Après je vais arrêter là, sinon je risque de vraiment vous spolier (…)

Non je déconne : je ne vais rien vous spoiler, l’opening va le faire à ma place.

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Au bout de 3eme ou 4eme épisode, Banri finit par sortir avec Koko.

Ce que j’en pense

Banri Tada est une chiffe mole un peu stupide comme beaucoup de héros d’anime du genre, par contre l’héroïne Koko Kaga elle est une putain de bishoujou en mode dere dere. Et bordel, j’aime Koko

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Premièrement elle se prénomme Koko, je sais pas pourquoi, je trouve ça trop mignon. Mais après ce serait idiot de s’attarder sur son nom : son

physique, vous trouvez Taiga mignonne ? Ajoutez un sourire sur son joli minois et donnez-lui un corp ultra désirable. Pouf, vous avez  Koko, faite là doubler par Horie Yui et là vous avez quelque chose de très puissant.

Alors normalement je ne suis pas un grand fan des filles physiquement parfait comme Koko, mais il y a tellement plus à Koko que simplement son physique. Son caractère : elle est dere au dernier degré possible. Dans la vie réelle ça doit être creepy as fuck, mais personnellement je surkiffe son attitude.

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Pourquoi je l’aime autant ? Je pense que c’est parce qu’elle a la même vision de l’amour que moi, du coup j’ai développé une certaine empathie pour elle.

Sa sincérité est criante, elle est tout sauf hypocrite mystérieuse et en ça elle va contraster avec Banri.

Car *gros spoil* si il y a un antagoniste dans cette histoire c’est bien le héros lui-même, mais ça, vous le verrez par vous-même.

Le tout est servi entre quelques situation un peu cliché, des problemes amoureux, des petites histoires sympa qui pimentent le tout.

Sans être un chef d’œuvre, ni du jamais vu Golden time est un bon anime. Quelque chose sans trop de prétention, mais qui est au final agréable à regarder.

L’animation est largement passable, sans plus, c’est du JC Staff, on ne s’attend pas à la base à une œuvre d’art, mais graphiquement ça reste plus que correct avec un chara-design sympa et une ambiance colorée qui flatte facilement la rétine. Bref, c’est vraiment un anime divertissant et sans prise de tête que je vous conseille.

Sources des capture d’ecran : Random Curiosity 

Chris†Diary - Guskou Budori no Denki

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Le film en sujet est la version 2012 de Guskou Budori no Denki. Je ne l’ai su qu’après mais en 1994 a été faite une version différente.

Cette dernière présentait alors des humains en tant que personnages. Fait étrange lorsque tu n’as vu que la version 2012. Cette dernière n’ayant quasiment pas d’humains dans sa quête, voir pas du tout bien que tu reconnais des légères déformations des visages d’hommes dedans. L’anime mettant en scène des animaux personnifiés avec des touches de magies par ci et là allant très bien avec l’apparence des personnages justement.

Maintenant que je reviens dessus, il faut avouer que c’est très fouillis. T’as du mal à croire que c’est supposé être pris d’une histoire classique.

Pas mal de détails incompréhensibles sont présents

Tout commence avec une famine frappant la montagne où habite le héros. Vague de froid durant 2 ans impliquant des récoltes nulles et les personnages ayant faim encore et encore.

C’est là que le père disparaît. Allant à la montagne un jour, il ne reviendra pas. La mère laissera pour dernier mot qu’elle part le chercher, elle ne rentrera pas. La nourriture disparaissant de plus en plus, le héros tente de soutenir sa sœur, sans pouvoir y parvenir. C’est alors qu’un magicien entrera avec une bourrasque, emportant la petite ayant un talent qu’il recherche. Le héros tente de la sauver en vain et le monde autour de lui prendra une apparence féerique comme si ce n’était plus son village. Il travaillera à récolter les cocons de soie contre nourriture pour finir par partir en voyage.

Là encore, il se fera prendre par un fermier dont il remplacera le fils défunt puis devra continuer sa route suite à la famine se propageant dans ce nouveau village.

C'est un nomade

Donc le mec, il bouge beaucoup. Tu pourrais croire que t’as plein de moments de pathos avec les départs de famille, etc mais en fait non pas du tout. Je viens de lire un mec qui disait qu’il n’avait pas d’émotion le héros sauf pour sa sœur qu’il tentera de récupérer deux fois par la suite.

Sauf que plus exactement, tu n’as pas la parti interne habituelle des héros. Le mec, c’est limite un personnage externe au point de vue de celui qui regarde. Il ne pense que très peu, ne fait qu’observer et montre certaines émotions de temps en temps. Particulièrement dans la dernière partie avec la science et le problème de la vague de froid qu’il résout de manière ingénieuse. Montrant par la même occasion que le problème du réchauffement climatique peut être une solution selon les cas ce qui amène un sujet d’actualité avec un point de vue un peu moins con que celui que tu as. M’enfin, c’est juste un détail.

Le héros n’est certainement pas apporté de manière forcée dans l’humanité pour permettre aux enfants d’apprécier le voyage sans se dire que c’est triste qu’il se passe ça ou ceci. Dans la sensation, tu ne vois vraiment pas la chose comme tragique alors que son histoire est pleine de malheurs.

C'est le seul moment où il s'exprime : à travers les études

Je suis bizarrement parti de façon plutôt élogieuse sur le sujet. Guskou Budori ne l’était pas tant que ça.

Autant l’histoire principale n’est pas mal du tout, autant dès qu’ils sont partis en fantaisiste, t’es juste dans la merde complète. Tu comprends absolument rien à ce qu’il se passe. Donnant plus une impression d’un tour de magie (que je te fais un jeu pas subtil avec la fantaisie) sortant de son chapeau qu’autre chose. Même le coup de la sœur qu’ils amènent plusieurs fois avec le magicien ne voit aucune véritable conclusion. Quant à la relation avec l’histoire principale de Guskou Budori, aucun lien n’est présent. Ils vont même jusqu’à t’amener de la physique dans le domaine alors que de l’autre côté le héros se met à flotter sans raison.

Ca n’a juste pas sa place dans le film. C’est là, c’est beau. Et ça prend du temps sans but.

Les vues contribuaient à l'atmosphère lente et surnaturelle

Autant finir par dire que ce n’était pas mal en tant qu’appréciation. Ils auraient pu faire mieux mais je ne vais pas me plaindre. C’était particulier comme film.

Il semble qu’ils aient souhaité faire du Gilbi m’enfin, personnellement j’ai pas vu tant de Gilbi alors je ne vais pas m’étaler dans le sujet.

C'est un nomade[DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.16.21_[2014.01.20_16.07.03][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.20.53_[2014.01.20_16.12.50][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.24.50_[2014.01.20_16.18.40][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.25.02_[2014.01.20_16.18.52][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.25.31_[2014.01.20_16.19.22][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.25.50_[2014.01.20_16.19.46][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.26.43_[2014.01.20_16.20.42][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.28.02_[2014.01.20_16.23.19][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.28.31_[2014.01.20_16.23.49]Les vues contribuaient à l'atmosphère lente et surnaturelle[DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.32.07_[2014.01.20_16.27.32][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.35.16_[2014.01.20_16.31.00][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.36.07_[2014.01.20_16.31.59][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.37.02_[2014.01.20_16.33.00][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.38.16_[2014.01.20_16.34.16][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.39.49_[2014.01.20_16.36.04][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.43.47_[2014.01.20_16.40.37][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.44.17_[2014.01.20_16.41.12][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.45.28_[2014.01.20_16.42.28][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.50.54_[2014.01.20_16.48.00][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.54.21_[2014.01.20_16.51.35][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_00.57.02_[2014.01.20_16.54.21]Pas mal de détails incompréhensibles sont présents[DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.02.17_[2014.01.20_17.07.03][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.08.39_[2014.01.20_17.13.29][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.11.58_[2014.01.20_17.16.53][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.19.30_[2014.01.21_12.55.57][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.23.29_[2014.01.21_12.23.20]C'est le seul moment où il s'exprime : à travers les études[DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.31.46_[2014.01.21_12.44.53][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.34.32_[2014.01.21_12.47.41][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.36.09_[2014.01.21_12.49.26][DeadFish] Guskou Budori no Denki (2012) [BD][720p][AAC].mp4_snapshot_01.39.35_[2014.01.21_12.54.29]

Le Chapelier Fou - Animeland et la diabolisation d’internet

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Récemment, Kubo de Mangacast publiait un encart de Animeland pour le moins étrange, qui ne tarda pas à déchainer les passions.

Je tiens à revenir point par point sur les différentes accusations. Mais pour commencer, il convient de s’interroger sur la cible des propos de Sébastien Kimbergt, puisqu’il est apparemment l’auteur de ces lignes. Sur Twitter, il sembla évident à nombre d’internautes qu’il fustigeait les sites internet, puisque lui-même écrit dans un magazine. Pourtant, nombre de ses reproches peuvent aussi toucher la presse papier. Là où cette-dernière est moins concernée, c’est que cet encart s’en prend particulièrement à la diffusion des informations, alors que les magazines ne peuvent plus tenir le rythme face aux sites internet, la réactivité étant une des bases de leur format. Néanmoins, n’oublions pas que Animeland possède lui-aussi sa plate-forme internet, lui permettant notamment de communiquer des informations. Nous pourrions donc aisément prendre sa vindicte comme un coup de gueule, à l’encontre notamment de son propre employeur.

Plus ça va, plus les sources d’information se réduisent comme peau de chagrin.

De ce point de vue, j’aurais du mal à émettre un jugement. Pour ma part, cela fait une dizaine d’années que j’utilise ANN pour ce qui est de l’animation japonaise, et j’en suis satisfait. Pour les manga, je participe à un forum riche en informations, donc je n’éprouve pas le besoin de multiplier mes sources.

Wikipédia a enterré le concept de sites de fans dédiés à un auteur ou une série.

Ces sites semblent pourtant encore exister. Après, je pense que l’existence de Wikipédia n’est pas le seul élément à prendre en compte : l’évolution du lectorat manga vers un public moins spécialisé – donc moins prompt à créer des plate-formes de ce genre ou à s’y rendre – me parait être une raison tout-aussi pertinente. Ceux qui veulent en concevoir et en gérer continueront à le faire, même s’ils auront moins de retombées qu’auparavant, tout simplement car ce qui les motive tient plus dans une envie de partager. De toute façon, Wikipedia ne permet pas de rassembler une communauté, contrairement à un site ou un forum.

Twitter est devenu un réseau d’infos certifié conforme.

Ce serait prendre les internautes pour des bœufs. Bien souvent, l’information sur Twitter vient avec un lien pour sa source et/ou une image comme preuve de bonne foi ; s’il n’y a ni l’une ni l’autre, cela devient tout-de-suite plus douteux. Si l’utilisateur n’est pas foutu de faire la différence, tant pis pour lui. Mais en l’état, Twitter reste une plate-forme précieuse de partage d’information, d’autant plus qu’elle est simple d’utilisation et conviviale.

Et pour les news étrangères, tous les sites passent désormais par les mêmes sources.

Amusant de la part d’un magazine, dont le site cite parfois comme source Adala-News.
Déjà, il convient de ne pas mettre tous les sites dans le même sac. Sans être un lecteur passionné de Manga-News, je sais qu’il compte dans ses rangs Heiji-sama, spécialiste depuis de nombreuses années de l’information en provenance directe du Japon. Ensuite, une source comme ANN est considérée comme fiable depuis de nombreuses années, et a atteint une taille suffisante pour proposer un maximum d’informations, donc pourquoi s’en priver ? Il a aussi l’avantage d’être en Anglais, pour les deux-trois rédacteurs français qui ne liraient pas le Japonais.

Pour les infos françaises, on nous sert de la digestion de communiqués de presse.

Là encore, j’ai envie de dire que Animeland pourrait balayer devant sa porte avant d’accuser le voisin. Aujourd’hui, les sites professionnels se doivent d’annoncer une information le plus rapidement possible (pour ne pas perdre leurs visiteurs), et iront alors au plus simple en reprenant le communiqué officiel de l’éditeur. Ils ne sont pas les seuls à recourir à cette technique. Nul ne peut exiger d’un rédacteur qu’il connaisse absolument tous les manga et tous les auteurs, et soit en mesure d’aller plus loin dans l’analyse lors d’une telle annonce. Ce qui compte, c’est justement l’annonce en question ; pour le jugement qualitatif, mieux vaut attendre la sortie.

Évidemment, audience oblige, il existe une surmédiatisation des licences à succès au détriment des titres plus confidentiels.

Sans aucun doute le point le plus douteux. Quand nous n’avions que la presse comme média, nous n’avions le choix qu’entre quelques sources spécialisées, et d’autres un peu plus généralistes ; les chances de tomber sur les mêmes licences selon l’actualité étaient grandes. Mais grâce à internet, il existe un nombre incalculable de sites – professionnels ou non – de blogs, de forums, et même de chaines Youtube consacrés au moins en partie aux manga. Dans ces conditions, certes les licences les plus populaires seront plus aisément évoquées – justement parce qu’elles sont populaires – mais il existe suffisamment de sources pour faire le tour de tout ce qui peut exister sur le marché français. Si nous prenons les blogs représentés par Aggregator Sama, nous trouvons moult articles sur Eureka, Chihayafuru, l’Anthologie Moto Hagio, Kids on the Slope, Kamakura Diary, Bonne Nuit Punpun, etc… Je doute pourtant que nous puissions les classer parmi les « licences à succès » évoquées tantôt.
Pour ne pas voir les alternatives offertes par internet, il faut le faire exprès. Et si le lecteur ne cherche pas à voir plus loin que le dernier shônen à la mode, c’est sans doute bien parce qu’il n’irait pas lire autre chose de toute façon.

A travers cette intervention dans Animeland, Sébastien Kimbergt – qui évite bien de nommer les sites sur lesquels ils basent sa prise de position – se contente de généralités, sans prendre en compte la richesse d’internet. Son comportement me rappelle fort celui l’équipe d’Akata avant la fin de leur collaboration avec Delcourt, ou celui de Tonkam dernièrement : celui de personnes qui s’aperçoivent qu’ils n’arriveront pas à maintenir le statu quo en leur faveur, et qui en veulent au monde entier.
Ou alors, souhaite-t-il nous pousser à nous interroger sur notre manière de consommer l’information, et de répercuter celles données par les éditeurs. Mais en seulement quelques lignes, c’est un peu court, jeune homme !

Pour finir, je dirai que ce qui touche aussi la presse manga ressemble tout simplement à ce que vit actuellement celle consacrée au jeu-vidéo. Sur le sujet, je laisserai la parole aux spécialistes :

Chris†Diary - ヴァルハラナイツ [VALHALLA KNIGHTS]

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Honnêtement, je ne vais pas rester en détail sur le sujet comme je l’ai fait avec des Unchain Blades puisque j’ai décidé de l’arrêter après être arrivé dans la deuxième partie du donjon. Il y en a 7 environ.

Je ne suis donc pas entré dans l’aspect stratégie du jeu en soit. Une équipe réunie, sans pour autant avoir un niveau suffisant pour atteindre la magie autre que soin. D’après ce que j’en ai lu, ça a l’air d’être la magie la plus importante du jeu. J’y reviendrai. La chose étant qu’en fait même pour un jeu de 2006 le système est juste atroce. Le jeu a pas de vie. T’as l’impression que les gars l’ont torché alors qu’ils auraient pu faire bien mieux.

La seule chose qu’ils ont bien foutu était l’ambiance. Elle était géniale. Elle durait par contre que 3 phrases puisque les NPCs parlaient que 3 phrases.

A l'origine, c'était une de ses suites qui m'intéressait

Valahalla Knights  te prend le héros que tu crées, il te le fout dans une auberge avec une voix qui résonne dans sa tête et, merde, t’es tombé amnésique alors que tu fouillais le château du village alors tu vas y retourner pour comprendre ce qu’il s’est passé.

D’ailleurs c’est peut-être une ville même si elle fait 3 maps dont une étant l’entrée vers le château et le reste ne comprenant qu’un magasin, une auberge, un pub, une église et une guilde.

Maintenant que je t’en parle, je me dis que l’architecture faisait ville mais que même ton village paumé est plus riche au niveau contenu.

L'humain a une tête de con même si en général ils ont tous l'air aussi aiguisé qu'une lame rouillée

Lorsque tu joues au jeu, t’y penses pas vraiment alors autant en venir. Comment ça se fait que le château est un donjon ?

Le coin est gardé par ton garde, t’y penses. Par contre, pas de roi dans le coin. Pas de gouvernant. Le château est juste plus grand que la ville et est juste à côté alors que le coin est bien rempli de monstre. Les gars se gênent pas non plus à l’aller-retour selon les quêtes (même si ils t’appellent de toute façon, faut bien te donner du travail). Entre la taille de la ville et ce fait, il manquait bien de vie le jeu.

Après ton avancée dans le donjon, se trouve les quêtes de guildes. Les mecs te demandent de les amener à tel endroit de la map. Trouve seul c’est où précisément, ils vont pas t’aider. T’as des sujets très beau ayant cette atmosphère du jeu d’aventure fantastique à la Wizardry que tu ne retrouves plus vraiment.

Il n'y avait pas de racisme visiblement

La ville aussi contenait cette atmosphère. C’était très bien.

Après les personnages ne parlent quasiment pas. T’as beau avancer dans le jeu, pas de changement dans les conversations. Les gars de quêtes te racontent des choses magnifiques (sérieusement) avec 3 bulles à la conclusion de leur demande et un allé vers le lieu qu’il désire donc merde, t’as juste l’impression de toucher la surface de leur histoire. Tu ne pouvais même pas comparer les armes pour voir si celle que tu viens d’obtenir est meilleure que la précédente, obligé de voir dans le menu en matant les deux.

Dans le genre tu pouvais faire mieux, c’est clair que tu le pouvais, hein. T’as pas pensé deux secondes à la pratique de toute évidence.

Tu comprenais pas vraiment la logique derrière les races

Valhalla Knights brille par deux points.

Le premier c’est le nom. Celui du perso, de ton équipier que tu achètes (je ne sais pas si il est notre esclave ou quoi que ce soit) à la guilde. C’est simple, tu as 1 à 10 points à attribuer en plus à la création du perso. Ce nombre est déterminé par le nom. Donc, va te faire chier à regarder quel nom fait 10 points. Puis, n’oublie pas de sauvegarder avant de level up parce que cette fois tu obtiens entre 1 à 3 points complètement au hasard. Les développeurs étaient juste des génies pour emmerder inutilement.

Secondement vient la pratique. Le combat se déroule lorsque tu touches l’adversaire. Rencontre. Map qui change. Temps réel. Là, tu crèves. Besoin de deux soigneurs minimum avant d’arriver à quelque chose. Ensuite même lorsque tu réussis à réunir ton équipe de 6 personnages, vient le fameux problèmes de l’exp divisé. Tu level up quasiment jamais. A besoin de la part d’équipement pour tout le monde histoire de devenir meilleur et moins crever parce que 2 soigneurs est pas suffisant et tu gagnes quasiment pas d’argent.

Les combats eux même sont lents. Tu passes un tiers du temps à tourner comme un con tellement la map est foutoir avec une équipe complète. Pas de lock non plus, fait tout dans le manuel avec les monstres te prenant pas forcément pour cible ce qui t’oblige à leur courir après. T’as beau avoir un coup spécial disponible souvent, il ne brille pas non plus.

La caméra étant chiante, très chiante. La repositionner toutes les 3 secondes est obligatoire. Et en plus, tu dois supporter les textures de merde du jeu tout le long.

Toutes les races ne sont pas disponibles dès le début

Evidemment, l’histoire avance lorsque tu changes de donjon seulement bien qu’il est difficile de dire que ça avance à vrai dire. Le gars te parle, c’est tout. Il ne te dit rien sur toi, tu ne cherches pas à savoir non plus. Le seul bon point outre l’atmosphère était la visualisation des équipements en fait. Le reste était en dessous d’une version beta.

Je m’étais d’abord posé sur la version Wii avant de prendre les Valhalla Knights précédent. Il en a 3, le dernier sur Vita semblant nettement plus abouti mais sérieusement, c’est quoi ce jeu donnant l’impression de ne pas être terminé ?

L'humain a une tête de con même si en général ils ont tous l'air aussi aiguisé qu'une lame rouilléeA l'origine, c'était une de ses suites qui m'intéressaitToutes les races ne sont pas disponibles dès le débutIl n'y avait pas de racisme visiblementTu comprenais pas vraiment la logique derrière les racesVH60_Large.flv_snapshot_00.30_[2014.03.06_23.20.47]VH60_Large.flv_snapshot_00.38_[2014.03.06_23.20.57]

Ruru Berryz - [Anime] Nisekoi, Love at first sight.

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Ruru au rapport ! Pourquoi  un titre digne d’un hit de la grande Kylie Minogue ? Et bien, contrairement à nos deux protagonistes de l’animé qui ne se seront pas...

Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - Freezing Zero Tome 1

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Bonjour les amis

Le soleil est revenu mais je vais vous présenter un manga avec un titre qui fait plutôt penser au froid. Pourtant Freezing Zero est un manga plutôt chaud avec beaucoup d'action.
Freezing Zero le spin off de la fameuse série Freezing nous plonge dans le passé de Aoï Kazuha la Pandora légendaire lors de ses études à West Genetics.

Alors sans plus attendre découvrez l'histoire du premier tome de cette nouvelle série éditée chez doki-doki.

N'oubliez pas de cliquer sur le bouton "Lire la suite" pour voir l'article en entier.

Freezing Zero Tome 1

Freezing Zero tome 1 chez Doki Doki
Auteurs:  Lim Dall Young (scénario) - Jung Soo Chul (dessins)
Année: 2014
Éditeur: Doki-Doki
Type: seinen
Nombre de volumes: 1 (série en cours)

L'histoire du tome 1 de Freezing Zero:

Freezing Zero débute sur un champ de bataille, en plein milieu d'un combat où de jeunes guerrières semblent en mauvaise posture face à un Nova, jusqu'à l'arrivée de Aoï Kazuha.
C'est l'occasion de revenir en arrière et de présenter les "Pandoras". Ce corps d'élite formé de jeunes filles a été mis en place par l'université Genetics dans le but de faire face à la menace extra terrestre: les "Novas".
Tous les étudiants de cette université sont des filles, qui suivent une formation et un entrainement intensif afin de faire partie de l'élite.
Quand arrive Aoï Kazuhara, ses nouvelles camarades de classes sont jalouses car elle a pu être inscrite  directement en 2ème année, uniquement parce qu'elle est est la petite fille du professeur responsable des recherches sur les Nova.
En plus de cela, Aoï ne semble pas douée et est dernière de sa promotion, mais c'est sans compter sur un incident qui révélera une autre facette de sa personnalité et de ses pouvoirs à ses camarades.

Freezing Zero tome 1: présentation de Aoï Kazuha
La jaquette plastifiée de ce premier volume de Freezing Zero représente la jeune Aoï Kazuha, dans une belle robe bleue, plutôt décolletée.
Sous la jaquette, la couverture cartonnée représente un "line" bleu, de ce même personnage.
Les 4 premières et 4 dernières pages du manga son plastifiées et en couleur, tandis que le reste des 192 pages est en noir et blanc.

Freezing Zero est un spin-off de la série Freezing, par les 2 mêmes auteurs Lim Dall Young et Jung Soo Chul. Il met en scène Aoï Kazuha ainsi que certains personnages étudiants, alors qu'ils sont présents dans Freezing en tant que professeur.
Toutefois, il n'est pas nécessaire de connaitre Freezing pour s'attaquer à cette nouvelle série.

Côté dessin, on trouve beaucoup de sensualité et surtout du "fan-service". Les personnages sont constitués quasiment que de jeunes filles, on aperçoit régulièrement des culottes (en même temps elles se battent en costume d'écolière avec des mini-jupes). Comme le montre la couverture, la plupart des filles ont des poitrines énormes et certaines scènes de bain ou de douche montrent même certaines protagonistes avec les seins nus. De quoi émoustiller le publique masculin.

Passé cet aspect graphique qui reste quand même intéressant, avec un bon coup de crayon, le manga est très dynamique et les scènes de combats, bien que parfois fouillis, sont bien gérées. Pour rajouter du dynamisme, lors de ces passages, les dialogues son très minimalistes, ce qui permet d'accélérer la lecture.

Freezing Zero tome 1 - de jeunes filles en forme

La critique de Juju:

La série Freezing me tentait mais il y a déjà plus de 20 tomes parus au Japon et la série est toujours en cours, donc je n'avais pas envie de me lancer dedans.
Et puis j'ai gagné un concours organisé par doki-doki pour gagner les 3 premiers tomes de Coeurs à Coeurs. Et comme j'avais déjà le 1er volume que j'ai présenté sur 7BD, doki doki m'a proposé de m'envoyer un autre manga à la place, et j'ai choisi Freezing Zero (merci doki-doki !).

Donc au final, il ne faut pas avoir lu Freezing pour rentrer dans Freezing Zero, qui se passe avant. C'est une sorte de préquel qui se penche sur le cas d'une Pandora légendaire de la série Freezing.
Les personnages sont introduits dès les premières pages. On les découvrira ensuite un peu mieux par la suite j'imagine.

Dans ce manga on trouve pas mal d'action, ça bouge bien. Je suis un garçon, donc les scènes un peu légères m'ont plu, mais n'étaient pas nécessaires. D'ailleurs, elles doivent galérer pour se battre avec des seins énorme comme elles ont, les filles! Mais les auteurs en jouent aussi avec humour.

Ce premier tome de Freezing Zero est donc plutôt bon et agréable, il se lit rapidement.
J'attends de voir ce que donneront les prochains volumes, en espérant que la série ne sera pas aussi longue que sa petite soeur.

Et vous, vous l'avez lu? Vous avez aimé?
Connaissez vous Freezing, la série d'origine?

Freezing Zero, la preview:

Doki doki nous propose une preview des premières pages du manga Freezing Zero pour les curieux.

Kanpai - Shiba-inu : la star des chiens japonais

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via profile.ameba.jp_shibameron
On ne le pense pas nécessairement, mais les Japonais raffolent de leurs animaux de compagnie. Même si dans les grandes villes comme Tokyo ou Osaka, beaucoup de propriétaires d’appartements ou d’agences refusent que leurs locataires possèdent des animaux, la folie ペット ne semble certainement pas prête à se désavouer. À commencer par les chats qui restent, […]
Lire la suite sur Kanpai.fr
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