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Ruru Berryz - [ Wonder Festival Summer 2014 ] Orcatoys, Sega Prize, A Plus, Takara Tomy & Medicom Toy

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Neuvième article consacré aux figurines du Wonder Festival Winter 2014 avec les éditeurs Orcatoys, Sega Prize, A Plus, Takara Tomy et Medicom Toy. A noter que les articles subiront des...

L’Antre de la Fangirl - Impressions sur les séries de l’hiver 2013/2014 (suite et fin)

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Et voici la suite et fin un peu tardive de mes petites premières impressions personnelles sur les différentes nouvelles séries de cet hiver. J’attendais la diffusion de la dernière nouveauté pour enfin publier ce billet, avec au programme un tour d’horizon d’une vingtaine d’anime. C’est parti~

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Sugar*Soldier

ÉPISODES VUS : 03/03
QU’EST-CE QUE C’EST ? Un très court anime diffusé dans le cadre de l’émission pour enfants Oha Star sur TV Tokyo, adaptant le shoujo manga du même nom de Mayu Sakai, toujours en cours de publication au Japon. L’histoire tourne autour de Makoto Kisaragi, une lycéenne souffrant d’un complexe d’infériorité par rapport à sa grande sœur, célèbre mannequin, et qui tente de devenir aussi populaire qu’elle.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : au début je croyais que les épisodes en question étaient de simples trailers visant à promouvoir la véritable série. Et puis je voyais que beaucoup de monde s’était mis à considérer ces trailers (d’une minute trente chacun) comme les véritables épisodes. Après un peu plus de recherche sur des sites japonais, je me suis rendue compte que ce que je prenais pour des trailers étaient bel et bien les épisodes, diffusés tels quels dans l’émission Oha Star. Donc non seulement c’est court mais en plus ça ne fait que mettre en avant sous forme de clips quelques passages qui ont l’air d’être des passages-clés du manga ; le tout avec une bonne dose d’effets de lumière et de scintillements un peu partout pour accentuer le côté très sucré. C’est quand même dommage qu’il n’y ait plus de véritable anime basé sur des mangas de chez Ribon, ça me manque un peu, et j’ai l’impression que le dernier remonte à Yumeiro Pâtissière.

VERDICT : une très courte série de pseudo-trailers qui se laisse regarder. A noter que le manga est sorti en France chez Panini Comics.

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Happiness Charge Precure !

ÉPISODES VUS : 02/??
QU’EST-CE QUE C’EST ? Onzième série de Pretty Cure fêtant au passage les dix ans de la franchise. La reine Mirage et son armée de monstres veulent envahir la Terre, mais heureusement des guerrières appelées Pretty Cure sont envoyées aux quatre coins du globe pour empêcher cette menace. La princesse du royaume de Blue Sky, Cure Princess, est envoyée sur Terre à la recherche d’une nouvelle Pretty Cure qui deviendra sa coéquipière. 

PREMIÈRES IMPRESSIONS : je ne sais pas trop quoi penser de cette nouvelle série pour le moment. D’un côté cela me rappelle énormément Heartcatch Precure, tant au niveau des mimiques des personnages que de la personnalité des héroïnes, et je me demande si cela est dû au fait que le réalisateur soit le même pour les deux séries ; d’un autre côté, je ne suis vraiment pas fan du chara-design que je trouve assez inconstant au fil des épisodes et un peu moche. Au niveau de l’histoire cela m’intéresse déjà un peu plus, j’aime bien le fait que les Precure soient connues du monde entier et que l’héroïne en soit une fan, mais aussi que les dégâts causés par les ennemis ont l’air d’être permanents. En tout cas, difficile de se prononcer pour le moment avec ces deux premiers épisodes qui ne m’ont que moyennement convaincue, et on verra bien comment la série évoluera.

VERDICT : une nouvelle série qui a l’air de se poser en successeur spirituel de Heartcatch Precure, mais qui me donne surtout l’impression de trop vouloir lui ressembler sans arriver à son niveau. Reste à voir si j’arriverai à la suivre en entier, au contraire de Smile Precure et Doki Doki Precure, abandonnées vers la moitié par manque d’intérêt.

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Super Dimension Firewall Cheese Napolitan

ÉPISODES VUS : 01/01
QU’EST-CE QUE C’EST ? Sous ce titre un peu ridicule se cache petit clip de deux minutes environ tout en 3D de GMO Internet mettant en scène leurs deux mascottes, et réalisé en partenariat avec le studio Khara. 

IMPRESSIONS : cette petite curiosité est en fait un clip dont 15 000 exemplaires du DVD avaient été donnés gratuitement lors du dernier Comiket (le clip est également disponible sur son site officiel). Et c’est surtout en fait une sorte de long spot publicitaire mettant en scène la mascotte du service « GMO Application Cloud », la brune à couettes Anzu Mikumo, et celle du serveur dédié virtuel « ConoHa », Conoha Mikumo. Le clip en lui-même met les deux héroïnes, qui font des figures de patinage artistique lorsqu’elles se transforment, face à des sortes d’extra-terrestres. Le tout étant donc en 3D, ce qui donne donc parfois un résultat assez bizarre au niveau de leurs visages et des mouvements de leurs corps lorsqu’elles se battent. Ce n’est vraiment pas aujourd’hui que je vais me mettre à apprécier des anime entièrement en 3D, mais au moins ça ne m’a pas donné l’impression de voir une cinématique de jeu vidéo, au contraire par exemple des OAV de Hoshi no Umi no Amuri.

VERDICT : un clip assez court qui se laisse regarder. Et pourquoi ce « Cheese Napolitan » dans le titre ? Tout simplement parce que les héroïnes font partie d’un groupe appelé « Science Defense PASTA Corps ». ;D

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Witch Craft Works

ÉPISODES VUS : 05/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga de Ryuu Mizunagi, qui compte six volumes et est toujours en cours de publication au Japon. On y suit les mésaventures de Honoka Takamiya, simple lycéen qui se retrouve protégé en permanence par la fille la plus populaire de son école et se trouve être une sorcière.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : j’ai un peu du mal en général avec les anime du studio J.C. Staff, mais ici j’ai été plutôt agréablement surprise car si le scénario de base me faisait quand même un peu peur, j’ai été soulagée de voir qu’il ne s’agissait ni d’un anime harem, ni d’une pure comédie scolaire, et que l’héroïne n’est pas une tsundere. Ouf. Même si les deux personnages principaux ne sont pas vraiment des plus attachants (le héros est quand même plus que quelconque et semble complètement dénué de personnalité), j’aime bien pour le moment l’histoire et surtout les antagonistes, des sorcières rivales qui cherchent à tout prix à tuer le héros même si on ne sait pas encore pourquoi, et qui échouent lamentablement à chaque épisode. Un peu comme la Team Rocket dans Pokémon, en fin de compte. La réalisation reste tout à fait correcte avec beaucoup de 3D qui ne passe pas trop mal je trouve, et au final cela reste plutôt amusant à suivre.

VERDICT : finalement j’aime bien cette série donc je pense tout suivre, et puis je suis vraiment fan de son générique de fin.

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Mahou Sensou

ÉPISODES VUS : 02/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Anime qui adapte le light novel du même nom de Hisahi Suzuki, toujours en cours au Japon, et qui possède également une version manga. L’histoire tourne autour d’un lycéen ordinaire, Takeshi Nanase, qui voit sa vie changer le jour où il porte secours à une mystérieuse fille évanouie dans la cour de son école et qui porte une arme magique.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : assez déçue par cette série adaptée par le studio Madhouse, qui parle elle aussi de magiciens. Ici le héros se retrouve doté de pouvoirs magiques car visiblement lorsque les magiciens utilisent leur magie sur les gens normaux, ces derniers sont en quelque sorte contaminés et peuvent eux aussi désormais l’utiliser. Mais j’ai trouvé ces deux premiers épisodes assez mauvais et totalement ridicules, entre les horribles scènes très clichées, les méchants qui expliquent stupidement au héros quels sont leurs pouvoirs, l’épée en bambou du héros qui arrive à ne pas être bousillée en étant utilisée contre une épée, ou encore sa petite copine elle aussi « contaminée » par les pouvoirs magiques de toute ce beau monde, ce qui lui fait gagner plusieurs tours de poitrine. Ça explique peut-être pourquoi l’auteur du light novel avait dit dans une interview qu’il n’était pas tellement pour une adaptation en anime de son œuvre et qu’il y en a d’autres qui le méritaient davantage.

VERDICT : je n’ai pas du tout aimé et j’ai vraiment eu l’impression de perdre mon temps.

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Sekai Seifuku ~Bouryaku no Zvezda~

ÉPISODES VUS : 04/13
QU’EST-CE QUE C’EST ? Oeuvre originale qui parle d’une petite fille, Kate Hoshimiya, leader de la société secrète Zvezda et qui a décidé de conquérir le monde. 

PREMIÈRES IMPRESSIONS : une série que je n’attendais pas vraiment au tournant et que j’ai plutôt bien appréciée car finalement totalement loufoque. Le héros est ici un pauvre collégien qui se retrouve malgré lui embrigadé par Kate, une fillette que pour une fois j’arrive à supporter alors qu’habituellement j’ai du mal avec les loli. Si le tout début du premier épisode fait un rapide bond dans le futur et que l’on voit que l’organisation a effectivement réussi à contrôler le monde, on se demande comme les personnages ont pu y arriver tellement la série nous montre plutôt leur quotidien au sein de Zvezda et dont leurs actions se résument à des actions incongrues comme s’en prendre aux fumeurs du monde entier. Un petit univers bien barré et où les personnages portent des costumes fabulous qui n’ont rien à envier à ceux des antagonistes de Star Driver, et une intrigue dont on ne sait pas trop comment elle va évoluer. La série a en tout cas, je trouve, un petit côté Excel Saga au niveau de ses tentatives ratées de conquêtes du monde.

VERDICT : j’accroche vraiment à cette série pour le moment, qui sans être non plus extraordinaire reste vraiment très sympathique. Une bonne surprise.

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 Pupa

ÉPISODES VUS : 05/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Anime basé sur le manga en 5 volumes du même nom de Sayaka Mogi. On y suit l’histoire de Utsusu et sa sœur Yume qui se retrouvent contaminés par un virus nommé Pupa, Yume devenant un monstre dévoreur de chair humaine.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : le résumé me donnait envie car ça aurait pu donner un truc malsain à la Saya no Uta, et de plus je trouve que les anime sur le thème de l’horreur manquent un peu, surtout que cela peut donner des titres intéressants comme Shiki (et des anime moins bons comme Another, aussi). Sauf que non seulement les épisodes de cet anime font moins de cinq minutes chacun, mais de plus même sans avoir lu le manga on se rend compte que tout cela charcute allègrement le scénario tellement tout va vite et sans réelle explication, avec en prime une réalisation assez moyenne et surtout de sacrés problèmes de rythme : à cause de son court format cette série a tendance à se concentrer sur les scènes « choc », et elle oublie donc un peu le reste. En fait tout cela est tellement mauvais que je trouve la série très comique, et c’est franchement un plaisir de la suivre en la prenant au second degré. Dommage toutefois que cela soit censuré de partout.

VERDICT : merci le studio Deen de massacrer une fois de plus une série, néanmoins Pupa rentre ainsi dans la catégorie des anime tellement mauvais qu’ils en deviennent drôles.

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Minna Atsumare ! Falcom Gakuen

ÉPISODES VUS : 06/??
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga parodique du même nom, mettant en scènes plusieurs personnages issus de différents jeux de Falcom.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : une série comique elle aussi au format très court et remplie de références à diverses séries de jeux (notamment Ys, Sora no Kiseki et Zero no Kiseki) et où les différents personnages se retrouvent à fréquenter une école. A part ça c’est moche, c’est mal animé, mais comme c’est très très court ça passe relativement bien… à condition de comprendre les références. Le manga original est un 4-koma et au vu des quelques planches que l’on peut voir iciça a l’air d’être quand même mieux que l’anime.

VERDICT : m’ouais. Pour le moment je suis la série parce que c’est extrêmement court, mais c’est franchement pas terrible.

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Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga.

ÉPISODES VUS : 01/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga éponyme de Mari Matsuzawa (oui, c’est un femme) et toujours en cours de publication au Japon. L’histoire se centre sur Mitsuki Kanzaki, qui se retrouve avec un nouveau frère quand sa mère se remarie avec un homme qui a déjà un fils, et se fait posséder par un ange nomme Hiyori.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : le titre à rallonge bien ridicule me faisait penser à une adaptation de light novel, mais non, on tient bien là un manga… qui a été récemment adapté en light novel. Comme quoi. Le premier épisode ne vole pas bien haut avec cette histoire d’ange qui remet une ceinture (ou plutôt string) de chasteté à l’héroïne et qui s’amuse à posséder son corps afin de faire en sorte que son frère tombe amoureux d’elle. Ce qui donne lieu à de nombreuses séquences très censurées, et du coup vu que le scénario est complètement stupide et que justement les scènes perverses ont l’air d’être les seuls trucs vendeurs de cet anime, c’est un peu bizarre de les censurer ; ils auraient mieux fait d’assumer jusqu’au bout et de sortir des OAV, à ce niveau-là. C’est en plus de bien mauvais goût avec la deuxième moitié du premier épisode qui se résumait à un suspense insoutenable pour savoir si l’héroïne allait pouvoir se retenir jusqu’au bout et ne pas se faire pipi dessus à cause de sa ceinture de chasteté magique qui l’en empêche. Arg.

VERDICT :  

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Onee-chan ga Kita

ÉPISODES VUS : 02/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga du même nom de Rikou Anzai. Le héros, Tomoya Mizuhara, voit son père se remarier et gagne au passage une grande sœur, Ichika, à l’affection un peu trop débordante. 

PREMIÈRES IMPRESSIONS : encore un anime avec une sœur et un frère. Chose amusante, le premier épisode de cette série commence de la même manière que celui dont j’ai parlé juste au-dessus, avec le héros qui tombe par inadvertance sur sa sœur en train de se changer. En tout cas cette série passe nettement mieux car un épisode ne dure que trois minutes et aussi parce qu’il n’y a pas toute cette vulgarité que l’on retrouve dans ImoCho, néanmoins ça ne vole pas bien haut. De plus l’héroïne voue ici une obsession maladive envers son petit frère au point d’être jalouse de la moindre présence féminine qui tourne autour de lui à l’école, et se comporte au final bien plus comme une horrible stalkeuse qu’une simple sœur. Et puis sa bouche en forme de triangle est franchement perturbante, ça me rappelle même Minami-ke.

VERDICT : ce n’est vraiment pas mon truc et la grande sœur me fait quand même bien flipper.

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D-Frag !

ÉPISODES VUS : 02/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga de Tomoya Haruno, toujours en cours de publication au Japon. L’histoire est centrée sur Kenji Kazama, un délinquant qui se retrouve mêlé avec ses amis à un groupe de filles assez excentriques appartenant à un club de création de jeux.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : une petite comédie scolaire que l’on doit à Brains Base, et que je n’ai franchement pas trouvée très drôle. Les personnages en font des tonnes et le rythme est assez rapide,  du coup j’ai eu l’impression que les gens derrière cet anime se sont dit « faisons le plus de gags possible en un minium de temps », le premier épisode se centrant sur les filles assez excentriques du club de création de jeux et de leurs stratagèmes pour recruter Kazama afin de pouvoir empêcher la dissolution de leur club. J’ai franchement eu du mal à m’intéresser à tout ce beau petit monde et je ne vois pas trop ce que cette série apporterait de plus au genre sachant qu’elle utilise un thème très récurrent dans les anime, donc je pense ne rien rater en ne la regardant pas.

VERDICT : une comédie pas si mauvaise que ça, mais personnellement je n’ai pas vraiment aimé donc je m’arrête là.

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Nourin

ÉPISODES VUS : 02/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Une comédie scolaire qui se base sur le light novel du même nom de Shirou Shiratori, et qui est toujours en cours de publication au Japon. Le héros, Kousaku Hata, est un élève dans une école agricole qui voue un culte à son idole Yuka Kusakabe. Choqué d’apprendre que cette dernière se retire du monde de la chanson, il l’est davantage lorsqu’il découvre que la toute nouvelle élève, Ringo Kinoshita, se trouve être en fait son idole.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : le style de cet anime rappelle fortement celui de Baka to Test to Shokanjuu, et pour cause, il s’agit de la même équipe dernière. Sauf que si BakaTestétait relativement sympa à suivre sans non plus être extraordinairement génial, Nourin vise plutôt le fond du panier avec un humour un peu lourd. Personnellement je ne suis pas très fan de cet humour bien gras et pas très fin qui ne m’aura pas fait rire une seule fois (les quelques références à d’autres séries peuvent être amusantes, mais c’est tout), sans parler des personnages tous plus insupportables les uns que les autres et du héros totalement transparent. En tout cas c’est le second épisode avec ses histoires de culottes qui m’aura définitivement convaincue d’abandonner sans regret cet anime.

VERDICT : à éviter comme la peste.

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Sakura Trick

ÉPISODES VUS : 01/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du 4-koma éponyme de Tachi et parlant de deux jeunes filles, Yuu et Haruka, toujours inséparables, qui décident une fois au lycée de faire en sorte que leur relation devienne un peu plus spéciale.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : l’anime yuri de la saison, très rose-bonbon et au style qui rappelle Hidamari Sketch. En fait cet anime c’est juste un prétexte pour avoir des filles adorables comme tout qui se font des bisous, le tout sous fond de petits nuages et d’étoiles roses. Le réalisateur étant un ancien du studio Shaft, ça se sent dans la réalisation et la mise en scène, mais mis à part ça j’ai trouvé le premier épisode très léger en terme de contenu… Il y en a qui trouveront peut-être ça super mignon et sucré, pour ma part je me suis plus ennuyée qu’autre chose et j’ai trouvé ça assez vide, sans parler des scènes comiques pas très drôles, mais vu que ça se base sur un 4-koma je ne suis pas trop surprise par ce manque de consistance. Cela reste donc un anime avec des filles mignonnes qui font des trucs mignons en fin de compte, et qui plaira sûrement aux fans du genre.

VERDICT : à réserver aux amateurs de yuri et de séries mignonnes, de mon côté je passe mon chemin.

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Nisekoi

ÉPISODES VUS : 03/??
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga de Naoshi Komi, toujours en cours au Japon. Raku Ichijou, fils d’un chef yakuza, se retrouve malgré lui fiancé à la fille du chef d’un gang rival, Chitoge Kirisaki. Devant faire semblant d’être amoureux l’un de l’autre, Raku éprouve également des sentiments envers sa camarade de classe Kosaki Onodera.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : on se souviendra de l’auteur du manga original pour avoir été également derrière Double Arts, un shônen prometteur mais interrompu très prématurément car ne plaisant pas aux lecteurs du Shônen Jump. Le revoilà donc avec une histoire bien plus classique sous fond de triangle amoureux, adaptée par un studio Shaft qui s’est un peu plus calmé sur les effets graphiques, ce qui n’est pas un mal. N’étant vraiment pas fan des triangles amoureux j’ai tout de même été intriguée par le premier épisode qui m’aura donnée envie de voir la suite, mais malheureusement le personnage de Kirisaki est bien trop irritant pour que je continue (je préfère largement Onodera), sans parler de l’histoire beaucoup trop conventionnelle avec cette histoire de promesse entre le héros et une  jeune fille dont il a oublié le visage. Et vu que le manga est toujours en cours de publication, j’imagine que l’on aura une fin en queue de poisson.

VERDICT : une énième comédie romantique sous fond de triangle amoureux mais qui se laisse regarder. De mon côté les trois premiers épisodes m’ont largement suffit, et le personnage de Kirisaki est beaucoup trop insupportable pour me donner envie de suivre la série.

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Mikakunin de Shinkoukei

ÉPISODES VUS : 05/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Anime basé sur le manga du même nom de Cherry Arai. La série se centre sur Kobeni Yonomori qui, pour ses 16 ans, se retrouve fiancée à Hakuya Mitsumine, un garçon de son âge. Ce dernier, accompagné de sa petite sœur Mashiro, vont habiter chez Kobeni et sa grande sœur Benio.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : je ne m’attendais à pas grand chose au départ, surtout avec un tel scénario de base aussi vu et revu, mais au final j’ai quand même trouvé ces premiers épisodes plutôt intéressants. C’est surtout que je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi scénarisé finalement, étant donné que le manga original est un 4-koma humoristique. Si la série est plutôt jolie et colorée et que les personnages sont plutôt attachants malgré leur côté caricatural, elle se concentre un peu trop sur les deux sœurs Mashiro et Benio, que je trouve assez énervantes, avec en prime Mashiro qui est dotée d’une voix aiguë qui arrache les tympans. J’ai en tout cas failli abandonner la série au bout du troisième épisode, et puis les deux suivants m’ont davantage intéressée car je ne m’attendais pas du tout à ce que l’anime bascule dans le surnaturel.

VERDICT : je ne sais pas trop quoi penser de cette série, qui compte autant de passages lourdingues que de passages intéressants, mais la direction que prend le scénario me donne suffisamment envie de continuer pour le moment.

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Tonari no Seki-kun

ÉPISODES VUS : 05/21
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga de Takuma Morishige qui suit les mésaventures quotidiennes d’un garçon nommé Seki qui invente et imagine pendant les cours de très nombreux moyens pour faire passer le temps, et de sa voisine de classe Rumi Yokoi, la seule à remarquer ses étranges activités.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : je connaissais juste le manga de réputation, que je n’ai jamais lu, et de mon côté l’anime aura été une très bonne surprise car je ne pensais pas accrocher à une série avec un tel concept de base. Chaque épisode dure moins de dix minutes et ce n’est pas plus mal pour ce genre d’anime, en tout cas j’aime beaucoup pour le moment même si j’ai peur qu’à la longue cela ne devienne un peu redondant. Je plains quand même la pauvre héroïne qui, en suivant à chaque fois les débordements d’imagination du héros, finit toujours par rater le cours et n’a pas le temps de prendre ses notes, mais le suit quand même dans ses délires. Un anime que je trouve assez amusant et avec un humour absurde que j’aime bien, en tout cas je passe un bon moment à chaque fois et je ne vois pas les minutes passer.

VERDICT : j’accroche vraiment beaucoup et je regarderai très probablement tous les épisodes.

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Hamatora

ÉPISODES VUS : 02/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Un anime qui est en fait un projet cross-média, avec une histoire tournant autour d’une agence de détectives composée de « Minimum Holders », surnom donné aux personnes possédant des pouvoirs spéciaux.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : cet anime m’aura donné une très étrange impression, comme si ses créateurs avaient pioché un peu dans plusieurs séries pour la créer ; j’ai franchement eu l’impression de regarder un mélange entre Get Backers, K, Darker Than Black et Durarara. L’anime est cependant un projet cross-média, le scénariste du manga qui sort en parallèle étant par ailleurs celui des jeux de Senran Kagura, et Yuuki Kodama, créateur de Blood Lad, est à l’origine du chara-design. Habituellement j’aime bien ce genre de série, mais là je n’ai pas du tout accroché tellement ça manque d’originalité et de personnalité, et je ne suis pas très fan du côté très multicolore du design en général. Même les personnages et les enquêtes ne m’ont pas intéressée, donc je vais m’arrêter là. Et je ne pense pas rater grand-chose.

VERDICT : ça se laisse regarder mais je me suis franchement ennuyée avec les deux premiers épisodes.

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Strange+

ÉPISODES VUS : 02/??
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du manga humoristique de Verno Mikawa qui compte treize volumes et est toujours en cours de publication au Japon.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : un anime aux épisodes très courts qui porte bien son nom et dont les personnages principaux appartiennent là aussi à une agence de détectives. Il s’agit surtout d’un gros délire où les gags s’enchaînent les uns après les autres, avec une très légère intrigue en fond. Ce n’est pas terrible et il y a pire comme anime de moins de cinq minutes, mais il y a également mieux. En tout cas je ne suis vraiment pas fan de l’humour, mais j’imagine que le manga original doit bien marcher au Japon pour qu’il y ait déjà treize volumes et un drama CD. L’anime comporte en tout cas un casting assez impressionnant en terme de seiyuu connus, mais ce n’est pas ça qui me fera dépasser les deux premiers épisodes.

VERDICT : m’ouais, ce n’est pas mon truc.

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To Aru Hikuushi e no Koi Uta

ÉPISODES VUS : 05/12
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation d’un light novel en cinq volumes de Koroku Inumura qui raconte l’histoire d’un prince déchu qui a tout perdu suite à une révolution et cherche à se venger de la prêtresse du vent, qu’il juge responsable de son malheur. 

PREMIÈRES IMPRESSIONS : l’anime se déroule dans le même univers que celui du film d’animation Toaru Hikuushi e no Tsuioku mais il n’y a aucun lien au niveau scénario entre les deux. En tout cas ça m’a fait plaisir de voir un anime qui traite de l’aviation comme thème de fond car ce n’est malheureusement pas très courant, et ça m’aura un peu rappelé Allison & Lilia pour le côté rétro. Dommage que la réalisation ne soit pas très bonne et que ça sente vraiment la série qui n’a pas eu droit à un énorme budget, néanmoins j’aime bien pour le moment l’histoire et aussi le fait que le tout se déroule sur une immense île volante. En tout cas j’ai un peu plus du mal avec les personnages, tout le côté « comédie scolaire », et surtout l’horrible relation amoureuse entre le héros et Claire tellement c’est niais. J’avoue que là je ne regarde la série que pour trois choses : cette histoire de périple vers la Fin des Cieux, leur mystérieuse religion un peu bizarre, et la vengeance du héros. Je me rends compte aussi que les seuls passages qui m’ont vraiment intéressée pour le moment dans la série sont tous les flash-backs, et je ne sais pas si c’est forcément bon signe.

VERDICT : ça avance plutôt lentement mais j’aime bien cette série malgré ses défauts, ses personnages souvent horripilants et son atroce générique de début.

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Wonder Momo

ÉPISODES VUS : 01/05
QU’EST-CE QUE C’EST ? Adaptation du vieux jeu d’arcade Wonder Momo. Momoko, une lycéenne qui rêve de devenir idole, se retrouve avec le pouvoir de se transformer en Wonder Momo afin de lutter contre des extra-terrestres qui veulent envahir la Terre.

PREMIÈRES IMPRESSIONS : et je termine cette fournée d’impression avec Wonder Momo, un anime au format court disponible uniquement sur internet. Ou comment Bandai Namco décide de ressusciter une vieille franchise avec également un nouveau jeu prévu cette année en plus de cette courte série. Ils auraient peut-être mieux fait de s’abstenir pour l’anime tellement j’ai trouvé ça atrocement mal réalisé et, très étonnamment, mal doublé aussi, avec également des scènes totalement bourrées de clichés. A moins que ce ne soit fait exprès et que l’anime se moque volontairement de lui-même ? Et l’héroïne, complètement niaise, est également assez insupportable, son horrible doublage ne l’aidant pas. Chose intéressante, l’anime (et le revival de la franchise, en fait) se base sur ce webcomic américain, qui a l’air bien plus agréable à suivre.

VERDICT : c’était horrible. ;_; Mais je regarderai quand même l’épisode suivant, dans le doute.

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Pas vus :

Et pour les séries non regardées, il y a donc : Chikasugi Idol Akae-chan, un anime qui fait la pub du futur jeu de cartes du même nom ; Oniku Daisuki ! Zeushi-san, un anime qui sert à promouvoir la consommation de viande, avec l’histoire d’un prince qui habite au pays de la viande et est toujours accompagné de sa vache bleue (WTF ?) ; la courte parodie Ghost in the Shell Nyuumon Arise ; la seconde saison de l’anime Maken-Ki! ; la seconde saison de Chuunibyou demo Koi ga Shitai ! parce que je n’avais pas vraiment accroché à la première ; la seconde saison de Seitokai Yakuindomo, parce que je n’avais pas tellement aimé non plus le peu que j’avais vu de la saison précédente ; la série en flash Channel 5.5Pic-lele, un anime avec des animaux qui jouent du ukulélé ; la seconde saison de Gin no Saji parce que je n’ai pas encore fini de regarder la première ; la nouvelle saison de Saki parce que je n’ai jamais regardé la série vu que le mah-jong et moi ça fait deux ; la seconde saison de Tesagure! Bukatsumono ; et enfin Double Circle, sorte d’ersatz de Gatchaman Crowds.

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Voilà donc pour les anime de cet hiver, et si au final il y a quand même eu des séries sympas je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit dans le lot que l’on retiendra d’ici les prochains mois / années, malheureusement. En tout cas de mon côté mes coups de cœur de la saison restent Noragami et Inari, Konkon, Koi Iroha.

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Source du fanart : Pixiv.

Chris†Diary - Robot Girls Z

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Robot Girls Z est la parodie de Mazinger que je n’ai pas vue et de toute façon vu la façon dont c’est parodié, difficile de savoir en quoi c’est si parodié justement. Le seul point faisant sentir la parodie se trouvant en réalité dans les noms du méchant ou encore celle de l’énergie usée en théorie, le reste étant en contenu proche de nombreux autres anime ou classiques scénario du genre avec l’arrivée incessante d’ennemis méchants et comiques.

Honnêtement, qu’est-ce qu’ils voulaient faire avec cette série ?

La barque du futur contiendra une source d'électricité semble-t-il

Le trio de supposés héros sont des filles se transformant en plaçant un avion pour enfant sur leur tête. Ils prennent alors exemple sur les mecha de Mazinger pour obtenir des costumes bien plus normaux et loin du terme de mecha.

Elles sont censées servir leur créateur à vendre une nouvelle source d’énergie. C’est pour la voler qu’apparaissent d’autres filles au service du Docteur Z. La différence de force est cela dit évidente et ce chère Z invente toujours plus de mecha ressemblant pas à des mecha pour réussir son ambition sans y arriver.

Subitement même les bâtiments du décors sont détruits

Il n’y a que 3 épisodes faisant un épisode normal en longueur total. En gros, les méchants se font rétamer tandis que les supposées héroïnes détruisent la ville sans ennuis avec pour punition d’aller à la pêche.

Autant l’avouer, les méchants passaient plus de temps à l’écran que les gentils. A se demander qui étaient les personnages principaux au final mais de par le fait qu’ils se font toujours battre, que les trois filles ne luttent pas tout en se faisant avoir par leur petit plan pour faire passer le temps : elles étaient les héroïnes sans l’ombre d’un doute.

Par conséquent, il ne se passait rien en contenu. Avec seulement 3 épisodes, 1 on va dire, tu sentais déjà que ça tournait en rond sans le moindre but.

Base secrète des méchants

C’était des méchants clichés qui complotaient la famine en retirant les onigiri des conbini par l’empêchement de la pêche au thon. Fait impossible aussi bien par la mondialisation que par le fait qu’il n’y a pas de thon dans l’onigiri de base ou encore que si l’onigiri n’est plus, on mange juste autre chose.

Bref, des idiots classiques. Aucun intérêt pour une parodie, ne remplissant ne serait-ce que son rôle comique que par la stupidité omniprésente.

Sérieusement, qu’est-ce qu’ils voulaient faire avec ?

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Ruru Berryz - [ Wonder Festival 2014 Winter ] Garage Kit

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Voici une courte sélection de Garage Kit présent sur le salon. Ils sont si nombreux que je n’ose imaginer les perles qui s’y cachent.

Ruru Berryz - [ Wonder Festival 2014 Winter ] Megahouse, Alter, Plum & Arcadia.

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Quatrième article consacré aux figurines du Wonder Festival Winter 2014 avec les éditeurs Megahouse, Alter, Plum et Arcadia. A noter que les articles subiront des mises à jours tout au...

Ruru Berryz - [ Wonder Festival 2014 Winter ] Aniplex, Griffon Ent, Toy’s Works, Chara Ani, QuesQ & Union Creative

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Huitième article consacré aux figurines du Wonder Festival Winter 2014 avec les éditeurs Chara Ani, Toy’s Works, Griffon Ent, QuesQ & Union Creative. A noter que les articles subiront des...

Ruru Berryz - [ Wonder Festival 2014 Winter ] Orcatoys, Sega Prize, A Plus, Takara Tomy & Medicom Toy

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Neuvième article consacré aux figurines du Wonder Festival Winter 2014 avec les éditeurs Orcatoys, Sega Prize, A Plus, Takara Tomy et Medicom Toy. A noter que les articles subiront des...

Shadonia - Janvier 2014 – Nao & Naeko

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Janvier 2014 - Nao & Naeko

Nouveau shooting Dollfie Dream avec le duo Nao/Naeko !

En octobre, j'avais réalisé mes premières photos de DD en duo avec Kairi et Yuuko. Un exercice que j'avais vraiment envie de faire, même si je trouve que c'est assez compliqué d'arriver à avoir une véritable intéraction entre les demoiselles en raison des limites des articulations (même si certains y arrivent à la perfection). Et bien voilà que j'ai réitéré l'expérience, cette fois-ci avec Nao et Naeko.

Avec l'arrivée récente de Naeko, c'est la floraison des photos de Dollfie Dream sur Shadonia. Il faut dire que la demoiselle m'inspire pas mal, un peu comme Yuuko et Kairi d'ailleurs. Mais du coup, j'avais envie de faire des clichés avec une autre DD et j'ai pensé à Nao, la petite lady de mon chéri. J'espère d'ailleurs faire prochainement des clichés de Sora et Sana, les deux lolis de la bande ! L'exercice est toujours aussi compliqué et du coup j'ai assez peu de photos cette fois-ci, d'autant que le temps grisatre n'a pas aidé (vive la retouche…). Bref, j'espère quand même que Nao et Naeko vous feront craquer !

Janvier 2014 - Nao  et Naeko (1)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (2)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (3)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (4)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (5)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (6)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (7)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (8)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (9)Janvier 2014 - Nao  et Naeko (10)

Photos faites avec : Nikon D5100, Lens AF-S Nikkor  50 mm 1.8G.


Ruru Berryz - [ Wonder Festival Winter 2014 ] Wonderful Hobby Life 4 u

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Avant toute chose, voici un recap’ complet des articles pour ce Wonder Festival Winter 2014 : Les exclusivités du Wonfest. Part 1 : Good Smile Company & Nendoroid Part 2...

Fant'asie - Dr. DMAT – tome 1 de Akio Kikuchi et Hiroshi Takano

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Dr DMAT - tome 1

Dr. DMAT – tome 1 de Akio Kikuchi et Hiroshi Takano

Urgentistes de l’extrême

Dr. DMAT (Dr. Dmat – Gareki no Shita no Hippocrates en VO) s’intéresse à l’unité DMAT (Disaster Medical Assistance Team), unité urgentiste qui existe réellement au Japon depuis 2004. Ce seinen sera donc un manga médical et plus précisément sur la médecine d’urgence.

Mais que vaut cette série ? Est-elle réaliste ?

Dr. DMAT – tome 1 de Akio Kikuchi et Hiroshi Takano est édité par Kazé Manga et est disponible à la vente depuis le 02 octobre 2013.

Résumé de Dr. DMAT 1 chez kazé Manga

Résumé de l’éditeur :

Médecin généraliste, Yakumo Hibiki se voit affecté à la DMAT : Disaster Medical Assistance Team, une unité de sauveteurs très spéciale aux méthodes exceptionnelles. Uniquement appelée sur les accidents aux conditions extrêmes, ses membres doivent réagir vite et savoir toujours garder leur sang-froid. Plongé dans cette nouvelle vie qu’il n’imaginait pas et qu’il ne connaissait pas, Hibiki va devoir faire face à cette dure réalité nouvelle, à ses doutes, à ses peurs. Une hésitation et c’est la mort pour les victimes présentes sur le lieu des accidents.

Disaster Medical Assistance Team

Ce Dr. DMAT, sur le papier, a beaucoup d’arguments à faire valoir. Le premier est ce choix de proposer un titre basé sur la médecine qui joue la carte du réalisme, en se focalisant sur une unité d’urgences médicales pour des interventions sur des accidents et situations périlleuses : la DMAT (Disaster Medical Assistance Team). Ensuite, la présence de Hiroshi Takano, qui a déjà scénarisé le très bon l’affaire Sugaya, est gage de qualité et renforce le sentiment que nous allons avoir un récit très documenté et réaliste.

Et au final c’est bien ce que nous avons, même si cela est modéré par des points plus légers qui créent un décalage un peu déroutant.

Hiroshi Takano propose un récit assez didactique et très orienté médecine. Dr. DMAT est ponctué d’explications sur les interventions à réaliser ou encore sur les cas spécifiques. Cette arme est quand même à double tranchant. Personnellement j’apprécie beaucoup car ça rend le tout immersif et réaliste. Mais d’un autre côté, ça alourdit un peu le récit et ça donne parfois l’impression de suivre un cours magistral de médecine. On sent que le tout est très documenté.
Nous avons, par exemple, tout un passage explicatif sur les techniques de triage sur le terrain. C’est un passage obligé pour tout intervention, et ça nous explique bien l’importance de cette démarche et en quoi elle est bénéfique.
Le scénariste nous explique  aussi bien les conditions de stress dans lesquelles évoluent les médecins et secouristes de cette DMAT. On comprend bien l’importance d’un bon jugement et de savoir garder son calme, car des décisions importantes doivent être prises rapidement, pour sauver le maximum de monde. J’espère que cet aspect-là sera encore plus renforcé et mis en avant. Car je pense qu’il y avait moyen d’aller plus loin.

Dr. DMAT doit capitaliser sur cet hyper-réalisme. Mais malheureusement, Akio Kikuchi et Hiroshi Takano ne semble pas jouer cette carte à fond. Ils proposent parfois des passages en total décalage avec la gravité des situations d’urgence. Même si des décalages peuvent apporter un plus, ici je trouve que ça dessert le manga. Il y a des tentatives d’humour et des punchlines pas toujours convaincantes mais qui passent. Non moi ce qui me gêne, c’est le patron de l’hôpital, qui est assez mal fait, avec une personnalité grossièrement faite et pas crédible une seule seconde.

Mais surtout, il y a une certaine facilité dans le scénario qui rend le tout peu crédible et vient entacher l’aspect réaliste du titre. En tout premier lieu je pense à cette horrible justification du directeur de l’hôpital pour assigner le discret Hibikià la DMAT. En effet, la raison de cette affectation à cette unité, quand même bien particulière, c’est parce que le jeune médecin à indiquer dans sa fiche d’embauche qu’il voulait sauver des vies dans la rubrique « motivations ». Hyper léger !!
Ensuite autre point qui m’a un peu gêné c’est qu’un médecin généraliste à la base, puisse si facilement réussir à s’adapter à ce contexte et faire preuve d’une incroyable capacité d’analyse et de prise de décision dans ce genre de situation.

Malgré ces défauts Dr. DMAT reste une lecture très agréable, certes didactique, mais fluide et passionnante. La mise en scène est de qualité, le héros intéressant et quelques personnages secondaires méritent déjà d’être creusés. Les phases de sauvetage paraissent crédibles, semblent bien documentées et on est happé par le réalisme et l’intensité de la situation (même si tout finit un peu trop en happy end)

Graphiquement, les dessins sont soignés et jouent aussi la carte du réalisme. C’est le type de graphisme qu’il fallait pour ce genre de récit. Le découpage est limpide, avec de belles compositions. Le trait de Akio Kikuchi est de qualité, malgré quelques petits loupés sur quelques expressions.

Pour conclure, Dr. DMAT – tome 1 de Akio Kikuchi et Hiroshi Takano est un seinen documenté, réaliste, mais qui ne joue pas cette carte à fond. Malgré beaucoup d’explications, une volonté de rendre accessible certains termes et pratiques médicales, ce manga ne va pas au bout des choses dans cette orientation. La faute à quelques facilité sur le scénario (notamment la raison improbable de l’affectation d’Hibikià la DMAT) et des personnages pas toujours crédibles et avec une caractérisation qui mériterait d’être affinée. Je pense vraiment que ce Dr DMAT gagnerait à s’engager pleinement dans un seinen hyper réaliste, documenté, même s’il pourrait paraître plus froid et scolaire.
Néanmoins en l’état ça reste un bon manga, plaisant à lire, avec pas mal de qualités à faire valoir. Surtout que graphiquement, le trait réaliste du mangaka marche bien et nous propose de belles planches.

J’attends de voir ce que va donner la suite et voir quelle orientation vont choisir les auteurs. En tout cas, je vais suivre Dr DMAT de près.

Et vous qu’avez-vous pensé de ce titre ? Le décalage entre réalisme et grosses ficelles vous a-t-il gêné aussi ?

Lekraken - La babe cosplay de la semaine #172

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La babe cosplay de la semaine à découvrir. Devinez le personnage en cosplay !

Kanpai - Import japonais : le guide complet

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Beaucoup d’amateurs de la culture japonaise passent à un moment donné par l’import de produits ou de bien culturels nippons. L’import rend souvent bien des services, que ce soit pour : se faire plaisir et/ou compléter sa collection ; offrir un cadeau original à un proche ; profiter de tarifs attractifs selon le cours du Yen, […]
Lire la suite sur Kanpai.fr

Ruru Berryz - [ Wonder Festival Winter 2014 ] Cosplay Time !

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Un petit tour du coté des cosplay présents lors du Wonfest Winter 2014 ! J’ai eu un gros faible sur le cosplay d’Haruna, d’où mon x4 ! (ᇂ∀ᇂ)

Meido-Rando - MaOTD #669

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Parce que parmi son public, Meidolicious sait qu’il y a des fans de Fire EMblem (et pas que de Awakening), la societé a crée pour vous cette meido, pour seulement 2 000 Maid Points !

maotd_fireemblem

Source : Shinon

Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - Chroniques de Pékin: 10 auteurs racontent leur ville en BD

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Salut les amis,

Alors que les JO de Sotchi en Russie viennent de démarrer, je vais vous parler d'autres jeux olympiques dans cette chronique. Cette fois ça ne sera pas les JO d'hiver mais ceux d'été qui se sont déroulés il y a quelques années. L'occasion peut être de faire le parallèle avec tout ce que nous avons entendu aux infos ces derniers temps.

Alors bien sûr ce ne sont pas vraiment des JO dont je vais vous parler, mais d'une BD sur ce thème. Et pour changer, ce ne sera pas une bande dessinée japonaise, ni américaine, et encore moins européenne, mais un manhua, une BD chinoise (à ne pas confondre avec le manwa qui est la BD coréenne).

Chroniques de Pékin

Les chroniques de Pékin chez Xiao Pan
Auteurs: Collectif
Année: 2008
Éditeur: Xiao Pan
Type: Manhua

L'histoire des chroniques de Pékin:

Il ne s'agit pas ici d'une seule histoire, mais plutôt d'un recueil de plusieurs visions, par divers auteurs chinois.
Pour être plus précis, nous pourrions dire que les chroniques de Pékin est un témoignage d'auteurs chinois sur l'évolution de la société chinoise avec l'arrivée des JO de Pékin en 2008.

Au travers des différentes histoires courtes, nous pouvons voir les impacts d'un tel événement. Bien sûr la préparation des JO demande des travaux et des aménagements des villes, ce qui implique de bousculer le quotidien des habitants.
En plus de cela, la médiatisation et l'exposition des villes et villages autour de Pékin ont chamboulé les habitudes des chinois qui ont dû s'adapter.
On voit bien au travers de ce recueil que la population a été "éduquée" pour permettre aux touristes d'être le mieux accueillit possible.

Ces chroniques de Pékin racontent également le destin de certains sportifs qui ont tout donné pour pouvoir participer à ces JO.

Finalement, on retrouve autant de techniques de dessin et d'illustration que d'auteurs et d'histoires.
Les chroniques de Pékin vues par 10 auteurs chinois


Vous aurez peut être reconnu le style de l'artiste qui a réalisé la couverture des Chroniques de Pékin, il s'agit de Benjamin: Zhang Bin de son vrai nom. Dans un style graphique très coloré et réaliste, reconnaissable en un seul coup d'oeil. Cette couverture permet une accroche directe du lecteur sur l'oeuvre.

L'intro de ce Manhua (bande dessinée chinoise) est signée d'Alain Wang, l'ancien rédacteur en chef d'Asia Magazine, aujourd'hui enseignant et sinologue.
La préface quant à elle est rédigée par Olivier Vatine, un auteur et scénariste français, de bande dessinée.

"N'en déplaise aux pisse-froids qui rejetaient déjà à tort le comic-book et le manga, il faut désormais compter avec le manhua !"
Les chroniques de Pékin: l'arrivée des JO est un chamboulement

Avant chaque histoire, une courte présentation de l'auteur (mini biographie) est faite et les techniques utilisées sont décrites.
Chaque scénario est développé en 10 à 15 pages. Et à la fin on peut retrouver 16 pages d'illustrations.
Le papier de cette édition, proposée par Xiao Pan, est épais et plastifié et les pages sont de bonne qualité.

Et pour clôturer les chroniques de Pékin, la postface est signée par Benjamin; comme porte drapeau de cette génération d'auteurs chinois.
Les chroniques de Pékin: 10 auteurs et autant de techniques d'illustration

La critique de Juju:

Au premier coup d'oeil sur la couverture avec cette belle illustration et ces couleurs vives, je me suis dit: "ça c'est du Benjamin!" et j'ai feuilleté le Manhua.
C'est là que j'ai vu qu'il s'agissait de plusieurs petites histoires, ce qui est pratique, ça permet de lire une histoire de temps en temps. Il n'y a pas de lien entre chacune, si ce n'est le thème de l'arrivée des JO à Pékin.

Tous les styles graphiques ne m'ont pas plu. Mais certains étaient plutôt nouveaux pour moi. Avec entre autre certains où on aurait dit de vraies photos retravaillées sur PC pour donner une impression de peinture.

C'est aussi intéressant de faire le lien avec les JO qui se déroulent en ce moment en Russie. Ce sont les JO les plus chers pour l'instant et les infrastructures ont été construites de toutes pièces. Les habitant ont dû être délogés pour certains et vont subir l'arrivée massive d'étrangers le temps des jeux.
On ressent bien ce côté là dans certaines historiettes des chroniques de Pékin, avec par exemple les vieux qui ne veulent pas changer leurs habitudes, mais qui se font rappeler à l'ordre et sont obligés de se plier.

Sans que les scénarios soient époustouflants, ce recueil se laisse lire et surtout il se laisse voir. Donc si vous avez l'occasion de le feuilleter, jetez y un oeil.

Meido-Rando - Les animés d’hiver 2014

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Parmi les animes de cette saison, je pourrais vous conseiller Golden Time, ENCORE Golden Time, sauf que ça a commencé la saison dernière. Zut.

Il faut dire que cette saison n’est pas des plus marquantes. Il y a cependant du bon, du moins bon aussi, du tellement mauvais qu’il est drôle… vous voyez le truc.

Je vous propose donc de voir un peu plus en détail ce que Janvier nous a réservé.

Je déclare également cette saison « Saison des openings qui rentrent trop facilement dans la tête »

Tonari no Seki-kun

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On commence avec du plutôt bon. Cet anime atypique propose des épisodes de 7 minutes seulement, où une fille assise à côté d’un autre élève l’observe s’amuser en classe. Et quand on parle de s’amuser, c’est digne de Gaston Lagaffe. Dessins sur un plateau de go avec les pièces, histoires imaginaires avec des pièces de shogi (vous savez, ce simili jeu d’echec japonais.), tout y passe. Le truc drôle finalement, c’est que l’héroine assise à côté de Seki-kun l’observe et essaye tant bien que mal de l’arrêter, comme c’est une élève sérieuse et tout, pour au final se faire engueuler à sa place. Monde de merde dirons certains :)

Ca reste super bon enfant, c’est drôle, Kana Hanazawa dans le rôle de la voisine est adorable, et ça ne dure que sept petites minutes, c’est donc idéal pour passer un bon moment. Et l’ending est chouette .

Super Sonico the Animation

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Quand vous voyez « THE ANIMATION » dans le titre, c’est en général mauvais signe. C’est un anime (souvent hentai) adapté d’un jeu vidéo obscur. Le seul ou presque qui s’en soit sorti c’est l’anime de Idolmaster, parce qu’heureusement A-1 Pictures était au commandes.

Super Sonico pour résumer c’est la mascotte de Nitro+. Nitro+ c’est le studio de VN qui a pondu Saya no Uta, et Steins;Gate, Robotics;Notes et Chaos;Head avec 5pb. Et un jour ils ont eu l’idée de faire une mascotte à gros seins avec un casque sur les oreilles. Instant hit chez les otakus, et maintenant elle fait tout : de la musique, de la chanson, des figurines, etc etc. J’irais pas jusqu’à dire que c’est le cancer de l’otakulture mais ça me démange un peu quand même.

Parce que voilà, Super Sonico the Animation, ça traduit complètement le vide qui entoure l’héroine. Il fallait lui trouver un background, des trucs à faire, résultat on suit un anime où il ne se passe rien, une tranche de vie sans grand intêret avec une VACHE à GROS SEINS qui danse, chante, et pose. C’est du fanservice le plus crasseux possible. J’ai un seuil de tolérance d’habitude assez élevé, mais là faut pas déconner quand même.

Sakura Trique

A ne pas confondre avec Sakura Trick. Ah si en fait.

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Dés l’opening, ça annonce la couleur au moins : des décors mal faits, une animation à la ramasse, et de la 3D ultra moche pour faire danser les persos. Parce que vous savez, depuis La Mélancolie de Haruhi Suzumiya, faire danser des persos c’est devenu tellement mega cool.

Mais voilà, dans l’opening, ces filles se roulent des pelles. Trois, rien que dans l’opening. On nous montre des couples de filles différents, c’est… on se demande ce qu’on regarde. Puis on suit un épisode, puis deux, et puis on se demande encore pourquoi on regarde. Ah oui, pour les bisous sur la bouche entre filles. Ca serait presque sympa à regarder si c’était mieux fait. Il y a cependant quelques passages mémorables, notamment dans le première épisode ce moment LOL LA PHYSIQUE avec un salto complètement improbable des héroines qui sautent d’un balcon à l’autre.

A regarder seulement si vous êtes fan de yuri. Et en manque.

Wake up Girls

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Idolmaster a fait un carton. Love Live a fait un carton. Les animes d’idols ça marche? Cool on va lancer une nouvelle franchise! Wake Up Girls c’est ça. Un groupe d’idols qui se forme dans une agence de Sendai qui voit toutes ses recrues filer à Tokyo où c’est beaucoup plus lucratif de parader. Si l’animation a le mérite d’être « plutôt » de bonne facture, et l’idée séduisante et originale (le film raconte le début du groupe, la série commence alors que le groupe est dissous plus tard) l’execution est ratée. On s’ennuie ferme, les persos se ressemblent tous et n’ont aucun charisme particulier. Idolmaster a un charadesign de ouf, Love Live s’en sort également très bien, mais Wake up Girls? Non. Juste non.

No-rin

no-rin

No-rin ça partait d’une bonne idée aussi. Le début est marrant avec cette idol adorée par un élève en agriculture. La copine d’enfance à gros seins, la oujou-sama animalière avec des seins encore plus énormes que la précédente, le copain serious-business à lunettes, la prof à l’humeur changeante et à la vie sentimentale inexistante… De jolis clichés que voilà. La mise en scène permet à l’anime de se laisser suivre, mais c’est pas vraiment très bien animé tout ça. Vraiment pas.

Ah l’histoire? Oh ça se résume au héros dont la waifu arrête soudainement sa carrière d’idol qui se lamente sur sa vie sans but après cet évènement tragique s’il en est. Sauf qu’à la fin du première épisode, surprise, l’idol en question (en mode « Je suis pas du tout comme sur scène ») est transférée dans ce même lycée d’agriculture. La suite n’est pas tellement mieux malheureusement, puisque ça parlera culotte, y’aura même un combat dans la boue plus tard, bref, ça vole pas bien haut. Ce qui est domage parce que le premier épisode m’avait relativement plu. C’était loin d’être désagréable.

Quel gâchis. Enfin, parfois c’est limite tellement mauvais que ça en devient drôle, du coup je suis assez mitigé.

Aussi, l’opening vous hantera longtemps, son refrain rentre un peu trop rapidement dans la tête.

Chuunibyou Ren

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Suite directe de Chuunibyou premier du nom, on retrouve sans surprise les personnages qu’on connaît, avec une petite nouvelle mais à part ça…

Oui c’est toujours aussi beau et bien animé, Kyoto Animation fait toujours son travail, mais passé la surprise de la nouveauté, cette seconde saison paraît bien mièvre. Si on met de côté que le héros et l’héroine vivent désormais sous le même toit et sont officiellement en couple et qu’ils n’ont toujours pas consommé (parce que vous m’excuserez mais deux ados qui s’aiment et qui vivent sous le même toit ça fait des chocapics normalement. Ah, c’est vrai qu’on est au Japon.) l’histoire ne décolle pas. Il y a des situations rigolotes mais c’est au final assez ennuyeux. Et contrairement à Hyouka ou K-On cette fois-ci l’animation sans faille de KyoAni ne sauve pas une série où il ne se passe absolument rien. Ca laisse pas augurer du bon pour la seconde saison annoncée de Free!, tout ça.

Heureusement la #teamNibutani est bien représentée dans les premiers épisodes que j’ai vu, notamment le 4. :)

Mikakunin de Shinkoukei

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Alors ça, c’est un peu l’outsider de la saison. Avec son scénario et son design directement tiré des années 90, Mikakunin de Shinkoukei s’avère relativement plaisant. Enfin, si on fait abstraction du héros qui ne sert à rien.

En gros, c’est le seizième anniversaire de l’héroine. On lui apprend comme ça cash qu’elle a un fiancé décidé par son grand-père. Sa mère est OK, sa grande soeur est OK, et pour couronner le tout, le fiancé et sa petite soeur loli agaçante viennent habiter chez elle. Heureusement que la petite belle-soeur est aussi énervante qu’elle est vulnérable à la grande soeur de l’héroine, qui est une fan de puissance en lolis. Du coup c’est assez drôle de voir la petite belle-soeur faire sa chieuse pour immédiatement devenir terrorisée (il n’y a pas d’autre mot) par la soeur de l’héroine.

Le héros quant à lui est anecdotique, ne parle pas, ne fait rien, c’est assez étrange. Le scénario entretient néanmoins un semblant d’intrigue vu que Kobeni (l’héroine) ne se souvient pas exactement de tout concernant son enfance, et qu’elle aurait déjà rencontré son fiancé par le passé (à la suite d’un accident? Difficile à dire.)

C’est somme toute pas si désagréable à regarder, même si j’ai déjà vu bien plus palpitant.

Pisse-Froid - Flappy Bird, une merde de plus

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Je vais être bref. Aussi bref que la vie du jeu de Dong Nguyen... Aussi bref que l'intérêt de cette appli... Bref, ça va être très très court!

Replaçons un petit peu pour les personnes qui n'auraient pas suivi, ou qui seraient sur Blackberry ou Windows Phone. Vous qui jouez à Candy Crush Saga, et qui pensez être cools, sachez que vous êtes désormais des gros ringards. Bah oui, c'est fini ! Maintenant, la hype se situe sur Flappy Bird. Vous ne connaissez pas? Pourtant regardez autour de vous, tout le monde joue à ça ! 

Cette appli, développée par un mec tout seul, suit la destinée de ces stars mortes à 27 ans (Kurt, Amy ou Jimi)... L'appli a en effet été retirée de l'Apple Store et du Play Store cet après-midi, en pleine apogée. Elle a été téléchargée plusieurs millions de fois et le développeur gagnerait, je dis bien gagnerait, 50000$ par jour. Mais pourquoi arrêter lorsqu'on est au sommet? Voici quelques éléments de réponse :

Plagiat ?

Dès la sortie du jeu, ou en tout cas, depuis qu'il a été médiatisé, un certain Kek s'est déclaré un peu deg de s'être fait piquer son jeu. Ce Kek est un français, graphiste, développeur de jeu et de petites BD qui a un petit blog : http://blog.zanorg.com/

Son jeu, nommé Piou-Piou contre les cactus, ressemble à s'y méprendre à Flappy Bird... Un oiseau avec de grosses lèvres qui doit éviter des cactus d'un coté, de l'autre, un oiseau avec de grosses lèvres qui doit éviter les tuyaux de Mario, tout deux en appuyant sur l'écran pour le faire s'envoler un peu plus haut. Effectivement, il y a de bonnes ressemblances. Le développeur aurait dit à Kek qu'il ne connaissait pas ce Piou Piou avant le développement de son titre. Faites-vous en votre opinion. J'ai une autre théorie que je vous exposerai à la fin de cet article.

Ce qui frappe également dans Flappy, est le design du jeu, largement copié inspiré des premiers Mario. Là, le contraire est difficilement défendable. Après est-ce qu'on peut lui en tenir rigueur? Nintendo le peut, et perso, je m'en fous. Le mec est un développeur seul, qui n'est peut-être pas très doué en design, dessin ou tout ce qui touche à ce qui est artistique. S'inspirer de sprites existants ne me choque pas plus que ça... Sachez d'ailleurs que si je développe dans ma vie un jeu, je pomperai TOUT le design de trucs déjà existants, tellement je ne sais pas faire. Si vous voulez faire du blé, préparez vos avocats !

Les raisons de l'arrêt de la distribution du jeu sur les stores sont floues. Le développeur annonce qu'il le retire, ne le vendra pas mais qu'il fera d'autres jeux. J'espère qu'il ne tentera pas de faire un puzzle game dans lequel on fait tomber des pièces qui s'effacent si elles forment une ligne... Perso, la raison que j'aimerais qu'il annonce, ce ne serait pas une raison légalo-judiciaire mais parce qu'il s'est rendu compte que son titre était une vraie MERDE! Oui Flappy Merd !

Flappy Merd

cacaJe savais que j'avais du mal avec mes contemporains. Je ne comprends pas leur choix, leur façon d'être. Cette incompréhension n'a fait qu'augmenter depuis les succès de Candy Crush, Top Eleven et aujourd'hui, Flappy Bird. Néanmoins, ne regroupons pas dans la même catégorie les attrape-gogos où il faut payer pour avoir des vies supplémentaires ou toute autre connerie en jeu. Flappy Bird est "réglo". Le jeu est gratuit, sans transaction in-app. Seuls des bandeaux de pub apparaissent et c'est tout!

Comme je l'ai dit tout à l'heure, ce titre est simple. On appuie sur son écran, l'oiseau donne un coup d'aile. Il est soumis à la pesanteur terrestre donc entame sa descente rapidement. Il ne plane pas (comme on en a l'impression dans Piou-Piou). Il s'agira donc d'appuyer plusieurs fois régulièrement pour le maintenir envolé et ainsi le faire passer entre les tuyaux, sans les toucher. Sinon, on recommence du début. Chaque tuyau passé rapporte un point, et le but est de faire le plus grand score.

Voilà une page collector !

Certains vont voir du snobisme dans mon post : "Ouais, c'est un jeu qui marche bien, alors comme Angry birds, on va dire que c'est de la merde." Pour être clair, j'ai été un gros fan d'Angry Birds. J'y ai passé des heures et des heures, tentant d'avoir toutes les étoiles. Les jeux qui fonctionnent auprès du public ne sont pas que des merdes, même s'il y en a beaucoup. Et ma déontologie de "journaliste" (LOL) me demande de tester chacun des titres sans à priori. C'est vraiment ce que j'ai fait avec Flappy Bird.

Et je dois dire que mon verdict fût sans appel : c'est une grosse merde. Et des merdes, j'en ai testées ! Ce blog pourrait s'appeler merdes-chaudes.com si je m'étais amusé à vous parler de toutes les daubes que j'ai testées.

Je ne comprends pas l'engouement pour ce titre. Je trouve l'intérêt vraiment limité et je ne m'amuse pas du tout avec. Quand tu paumes, l'appli met beaucoup trop de temps à relancer une partie. Ça affiche le score, ça nous redit comment on joue, et enfin on peut recommencer. C'est très frustrant. Surtout quand on sait qu'on meurt beaucoup, vraiment beaucoup. De plus, je trouve ça inadapté aux transports, car la moindre inattention, le petit coup d’œil pour voir si vous êtes à la bonne station, le moindre appui un peu tard est fatal et hop, retour à la case départ. Donc oubliez le métro, ou alors n'espérez pas scorer. Enfin, le jeu est très répétitif et donc pour moi très lassant. Je fais 3 games et j'arrête, ça me soûle trop.

Bref, fidèles lecteurs, je vous le déconseille et de toute façon, vous ne le trouverez plus sur le store d'ici peu. Donc, faites votre deuil en téléchargeant par exemple Hoplite (qui fera peut-être l'objet d'un article).

Théorie du complot

fantomas

Kek = Dong

Je n'ai évidemment aucune réponse quant à cet arrêtsi soudain. Si le type a fait ça dans son garage et qu'il se trouve au cœur d'une vieille histoire avec Nintendo ou d'autres personnes, ça ne fait pas plaisir. Il a dû en plus recevoir de nombreux messages d'insultes, connaissant les gros blaireaux composant majoritairement Twitter. Néanmoins, je vois une autre lecture : je pense que Kek et Dong N'Guyen ne font qu'une seule et même personne !  Tout ça, c'est pour faire du buzz Kek ! Je t'ai grillé. Non seulement tu palpes du coté des gogos qui trouvent génial ce titre, mais aussi de la part des français qui soutiennent le pauvre petit franchouillard qui s'est fait plagié. GG tu y gagnes sur tous les plans. Je suis sûr que tu arrêtes juste pour le buzz et que tu vas vendre une autre appli avec exactement le même gameplay, et bim, re-succès ! Si c'est ça, GG le plan com'!

Allons plus loin, ça ressemble à Mario, peut-être que Nintendo est derrière tout ça... pour lancer leurs jeux sur smartphones... Bientôt, le président de Nintendo va démissionner pour laisser sa place à Kek...

Bon, vous l'aurez compris, on ne peut être que ravi de l'arrêt de ce titre, même si on va bouffer dans les prochains jours je ne sais combien de clones style "Titi le moineau" ou "Pipi le pigeon". Néanmoins, ce n'est pas perdu pour tout le monde. Depuis le milieu de l'après-midi, sur Ebay, fleurissent des offres d'iPhone sur lesquels figurent... Flappy Bird... Je vous laisse constater des prix. Les gens ne doutent vraiment de rien... Vraiment, je ne comprends pas mes contemporains...

Ebay Flappy Bird

Ruru Berryz - Les coups de cœur Wonder Festival Winter 2014 !

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Petit article sur les coups de cœur de ce Wonder Festival édition Winter ! Comme d’habitude, je n’ai pas eu enormement de coups de cœur, encore moins que l’édition summer...

Chris†Diary - Tonari no Seki-kun

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J’espérais que ça ne se passe pas pour de bon avec juste de la comédie sur ce que fait le gars du siège d’à côté.

C’est tellement petit comme espace, limitant pour ainsi une bonne part des possibilités dans le comique que tu sais déjà à l’avance que ça ne peut pas aller bien loin. C’est comme se mettre soit même les menottes m’enfin, d’un autre côté, Seki est le nom du gars (son nom a la même prononciation que siège en Japonais) ce qui laisse penser que ça pourrait être lui qui est pris pour thème. Dépassant la limite du bureau.

Chose non faite pour le moment pour des raisons compréhensibles.

Tout l'intérêt étant justement dans le setting

L’héroïne, fille dont tu n’as pas besoin de connaître le nom étant donné qu’il n’y a pas de véritable échange durant la série, est une fille normale passant tout son temps en cours à regarder le garçon d’à côté.

Ce dernier ne suit pas les cours, s’amusant à une chose ou une autre sans se soucier de combien ça manque de sérieux voir d’efficacité puisqu’il lui arrive de faire des trucs énormes pour au final juste passer le temps. Il prépare tout à l’avance, se fatiguant pour savoir quel nouveau moyen de passer son temps il peut bien trouver.

Acheter autant de gommes juste pour ça est le domaine de la folie

La fille observe tout en commentant les évènements. Passant de temps en temps au danger de se faire nominer par le prof ou encore renverser tout le travail de Seki avec les vibrations, la classe se déroule.

Elle fini par tout se prendre, Seki réussissant superbement à s’en sortir à chaque danger. L’héroïne servant en fait d’animatrice de par son imagination débordante interprétant les actes de Seki de façon exagérée de sorte à ce qu’on arrive à s’amuser d’eux alors qu’on aurait que peu d’intérêt à regarder le mec grogner (seul son qu’il produit) durant 7 minutes.

Ce n’est malheureusement pas si drôle malgré le subterfuge. Il fait juste n’importe quoi avec différents objets sans se soucier de respecter la logique à l’origine et en restant assis.

Traiter le shougi de cette manière fait mal

Autant le dire, il ne se passe rien d’autre. Si tu ne trouves Seki pas si drôle et l’héroïne lourde à partir trop en fantaisies ou s’exciter sans véritable raison, tu n’aimeras pas la série avec le reste des épisodes.

C’était très moyen.

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Chris†Diary - Saikin、 Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga.

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Hum… Je suis sûr de l’avoir déjà vu quelque part celui-là.

Il y peut-être une dizaine d’année de ça. Le même setting de la sœur en personnage principale avec un fantôme qui la possède et souhaite H le faux frère tandis que pleins de jeux sur l’urine étaient fait allant jusqu’à la fille voulant faire dans le pot et finissant sur elle. Le coup de la culotte en tant que ceinture de chasteté aussi était dedans.

Cela dit, pas dans les recommandations… Etrange. C’est pourtant original comme principe empêchant de l’oublier facilement.

Même en classe ils parlaient d'imouto

Saikin、 Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. prend l’imouto en héroïne. Ne se servant du héros qu’au début à la première personne, son droit passe rapidement à la fille.

Leurs parents se sont mariés et ils finissent par vivre ensemble tous les deux tandis que les adultes doivent partir travailler loin avant même de s’adapter. La fille va alors se faire posséder par un fantôme amoureux du garçon tout en n’ayant rien pu faire ni même avouer quoique ce soit à ce dernier suite à sa mort dans un accident de la route, elle regretta sa vie et eux une occasion sous cette nouvelle forme. Si elle est satisfaite, elle pourra monter les marches vers le présumé paradis. Sa barre de satisfaction étant affichée sur la ceinture de chasteté qui a été posée de force sur l’imouto durant la première possession, elle s’est remplie un peu lors d’une phase d’auto-satisfaction sexuelle (quoique le fantôme l’a aidé donc elle n’était pas seule) et continuera à monter si elles font ce que le fantôme voulait faire de son vivant.

La chose étant que ça représente une émotion humaine. Ca baisse et n’augmente plus de la même manière si c’est un acte déjà connu. En malus : la ceinture ne peut se retirer que 3 minutes toutes les x0 minutes et l’hôte meurt si il échoue.

Ce qui fait qu'on a droit à des expressions perverses au toilette

Difficile de trouver par où commencer. Allons par la fameux fantôme, l’histoire de cette dernière est certainement dans l’ending où elle se fait renverser. On remarque qu’elle aime le gars sans véritable raison et bien qu’active, elle réagit pile au mauvais moment de façon à entraîner sa mort de manière forcée. Elle ne désire aussi que faire du H d’après ce qu’elle raconte (faux certes, juste trop mis en avant) ce qui laisse réfléchir à ce qu’elle veut et pourquoi elle le veut. Difficile de la prendre au sérieux en peu de mots.

Le frère n’a aucun point fort. C’est ton héros de lovecom avec imouto. Gentil, il fait tout pour elle de façon aimable sans lui reprocher quoique ce soit alors qu’il a de quoi. Remarquant aussi qu’elle va mal dernièrement (titre) malgré le fait qu’il a commencé à vivre avec la veille, va savoir comment il sait la façon d’être de la petite normalement.

Il réagi à elle de façon exagéré : la considérant en tant que fille et est super cliché avec l’ouverture de la porte pendant qu’elle se change par exemple. La raison étant que c’était sa chambre avant mais questionnant donc l’intérêt d’un changement de chambre alors qu’il habitait la maison à l’origine et a déjà deux chambres. Tu sens de nombreux clichés de situations sans véritables raisons derrières.

D’ailleurs, je ne comprends toujours pas comment le héros est sorti seul de la salle de bain malgré la poignée cassée dans un épisode alors qu’une fois dedans avec l’imouto, il n’y arrive plus et a besoin d’aide.

Le fantôme n'a aucun problème pour manger/toucher/ressentir mais ne peut rien faire avec le mec sans le corps de l'imouto

M’enfin, le plus grand problème est dans l’imouto. Elle juste pitoyable dans son monde minuscule.

Ignorant la gentillesse du gars en l’évitant voir ne lui parlant même pas, elle n’a aucune raison de le faire et ne se rend pas compte combien ça blesse les gens normaux ce genre de comportement. Elle fini par s’enfermer dans sa chambre comme la victime d’une tragédie devant les problèmes qui l’acharnent alors qu’elle ne fait rien véritablement si ce n’est qu’avoir envier d’aller au toilette qu’à de drôle de moments. Imagine si le fétiche général aller plus loin que l’urine la scène que ça donnerai. Qui plus est, 3 minutes manque de temps dans la réalité.

Elle s’intéressera au gars lorsqu’il verra qu’il s’inquiètera pour elle en l’amenant à l’infirmerie. Acte remplie de gentillesse et surtout d’égoïsme puisque le gars n’avait absolument rien compris à la situation et l’a fait empirer avec sa mésinterprétation tout en la tirant de force. Dire que ça fini en image de bon mec est en soit exagéré.

Elle était plus que sensible. Trop en fait

En t’intéressant à l’ensemble, tu te rendras compte rapidement que c’est bien ridicule comme série.

D’abord, le contrat avec le fantôme. Il est bien trop à sens unique, ne demandant même pas un accord et ne pensant pas au corps de l’hôte, c’est tout simplement un poids de malus qui s’abat sur une personne de irrationnel. Les développements sont ensuite bien amplifiés au niveau de l’urine, la fille passant une bonne partie de la série dans les toilettes à avoir envie d’y aller et devant y aller de suite comme un gamin ou un vieillard à la prostate. Se retenant de manière bien compréhensive, du genre en frottant les jambes alors qu’en réalité tu ne bougerais pas. Elle ressent et fait des expressions plus que douteuses pour quelqu’un de normale.

Et tu connais le coup de je passe mon corps à la fantôme pour devenir le top runner de l’école ? La façon de courir est importante mais une gamine ayant pour seul exercice physique la marche à pied du lycée à la maison. Impossible. Et pourtant réalisable dans l’anime.

Le fétiche de l'auteur est bien enregistré

Après ça se développe avec des rivales évidemment mais à partir du moment où l’héroïne est aussi emmerdante rien qu’en la suivant dans sa vie quotidienne plein d’event urinaire…

C’est juste mauvais. A moins que tu aimes l’urine venant d’un corps féminin. M’enfin, le pourcentage de la population intéressait par ce genre de goût ne doit pas dépasser la majorité… J’ai tout à coup un doute pour tout dire. Peut-être le chiffre est étonnamment nombreux ?

[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_00.45_[2014.02.05_11.56.33][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_03.25_[2014.02.05_11.59.32]Même en classe ils parlaient d'imouto[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_05.02_[2014.02.05_12.01.19][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_05.39_[2014.02.05_12.02.04]Tu sais ce qu'on dit ? Peu importe comment tu es charismatique, si personne ne le remarque ça ne sert à rien[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_07.29_[2014.02.05_12.07.26]Il se fait bien envoler pour un kick venant d'une naine sans forceToute est dans l'accessoire semble-t-il[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_09.55_[2014.02.05_12.10.23][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_14.06_[2014.02.05_12.15.59]Elle était plus que sensible. Trop en fait[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_14.47_[2014.02.05_12.16.49][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_14.49_[2014.02.05_12.17.27]Elle se contractait bien la petite. Trop[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 01 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_15.04_[2014.02.05_12.17.56]Il y avait d'autres filles évidemmentCe qui fait qu'on a droit à des expressions perverses au toilette[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_00.16_[2014.02.05_12.30.39][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_00.51_[2014.02.05_12.31.17][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_01.18_[2014.02.05_12.31.46][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_03.21_[2014.02.05_12.33.53][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_10.01_[2014.02.05_12.44.33][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_11.40_[2014.02.05_12.46.26][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_14.06_[2014.02.05_12.52.42]Le fétiche de l'auteur est bien enregistréLes situations des autres personnages correspondaient souvent à un élément des hérosT'avais de faux moments sérieux avec la vie et la mort[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_17.40_[2014.02.05_15.24.39][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_18.11_[2014.02.05_15.25.19][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_18.47_[2014.02.05_15.25.57][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_19.53_[2014.02.05_15.27.17][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_20.08_[2014.02.05_15.27.33]Le fantôme n'a aucun problème pour manger/toucher/ressentir mais ne peut rien faire avec le mec sans le corps de l'imouto[Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_20.37_[2014.02.05_15.28.11][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_21.43_[2014.02.05_15.29.23][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_22.22_[2014.02.05_15.30.03][Leopard-Raws] Saikin, Imouto no Yousu ga Chotto Okashiinda ga. - 02 RAW (MX 1280x720 x264 AAC).mp4_snapshot_23.26_[2014.02.05_15.31.10]
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