Salut tout le monde ! Cette semaine, c’est le thème « shojo-ai » qui tombe. Quand j’ai vu cela, j’ai un peu grogné. C’est alors que j’ai eu la bonne idée de demander à des amis, s’ils n’auraient pas dans leur répertoire, un truc bien cool. Ils m’ont balancé une belle liste de près de [...]

Cet article Critique – Aoi Hana est un article original de Camélia Studio - « Nous n'inoculons pas des informations, nous transmettons nos passions ».

Un mois de vacances. C’est le destin qui attend les étudiants en échange au Japon, tout du moins dans mon université. Je dois tout de même lui dire merci, car si elle ne nous avait pas mis des cours supplémentaires ne servant à rien, ce mois se serait transformé en deux mois de rien. J’en ai donc profité pour faire tout ce qu’un bon touriste devrait faire: m’enfermer à la maison et regarder des animes jour et nuit. Il était temps de me refaire une culture et d’enfin me mettre à la page.

Comme je sais que 90% du monde a déjà vu ces animes, je vous fais une faveur et regroupe tous mes visionnages de mars et début avril ( près de 200 épisodes et 3 films quand même) dans deux articles.

Dans cette deuxième partie qui a bien attendu, on aborde le gros du sujet: au programme, beaucoup de garçons ( Togainu no Chi, FMA Brotherhood, Makura no Danshi, Ping Pong, Osomatsu-san, Sekkou Boys) et un peu de filles (Love Live (S2 et film). Embarquez à bord!

Togainu no Chi
Oui je sais, j’en ai parlé dans mon article sur le jeu, mais je n’avais pas terminé l’anime. C’est maintenant chose faite. Voilà. Rendez-moi mon temps.

Bilan: C’est resté un bon caca jusqu’à la fin. A ne pas regarder seul.

FMA Brotherhood
J’avais lu le manga jusqu’à assez loin (l’apparition de Pride), mais heureusement encore une fois, grâce à mon petit cerveau, j’avais presque tout oublié avant de commencer à regarder. Les premiers épisodes ne sont pas franchement attirants: vu que l’anime est pratiquement une redite case par case du manga, on était encore au moment où l’auteure cherchait son ton et l’humour était un peu forcé. Mais après ces premiers épisodes… Je n’ai pas pu me décrocher de mon écran. Tout s’enchaîne parfaitement et chaque épisode a augmenté ma faim au lieu de me rassasier. J’ai trouvé que, si certains personnages sont devenus de plus en plus attachants et cool au fil des épisodes Ling Yao, 6000 fois plus cool une fois qu’il devient Greed , d’autres auraient gagné à être un peu plus développés  Je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il manquait quelque chose à Kimblee… . Autre point en demi-teinte: la fin. Avec une aventure longue comme celle-ci, la tentation est forte de donner une fin joyeuse qui satisfera tout le monde, mais je l’ai trouvée inadaptée sur certains points.  Quitte à nous avoir choqués en retirant la vue à Mustang, autant le laisser comme ça. C’était un peu une blague de voir le mec arriver à la fin en disant « attends je vais te soigner en fait j’ai une pier filozofal lol » Enorme point fort pour le premier opening qui est simplement parfait et un de mes openings préférés de tous les temps.

Bilan: J’ai adoré. On m’a passé tous les tomes du manga en japonais, donc je pense les lire pour voir si des petits détails changent.

De la lecture /0/ pic.twitter.com/FxH9FPuloz

— MKS (@emkaesse) 9 mai 2016

 

Makura no Danshi
Avez-vous déjà regardé une série qui vous met mal à l’aise du début à la fin? Si votre réponse est non, regardez Makura no Danshi et vous pourrez enfin répondre oui. Le pitch tient sur un post-it: de nos jours, beaucoup de femmes vivent seules et ont du mal à s’endormir… Ce serait tellement plus facile de s’endormir bercée par la voix suave d’un ikemen en 2D, n’est-ce pas? A ce problème existentiel, Makura no Danshi est la réponse. Il s’agit d’épisodes de moins de cinq minutes où le garçon (qui change chaque semaine pour correspondre à un cliché différent)  vous regarde et vous murmure des mots doux en vous souhaitant bonne nuit… Le tout sans aucune musique de fond. Essayez de regarder cette série dans le noir sans aucun bruit pour expérimenter une « détente » totale… ;)

Si il y a un mec qui s’assoit en face de moi comme ça au resto U, JE COURS. pic.twitter.com/hGSJnolYEX

— MKS (@emkaesse) 25 février 2016

Bilan: Paradoxalement, j’ai eu plus de mal à dormir après avoir regardé cette série.

Love Live S2
Ah, Love Live. Si vous vous en souvenez, j’ai bien démonté l’animé dans ma précédente critique sur le blog. Malgré ça, j’ai décidé de regarder la saison 2, et j’ai constaté qu’il y avait quand même quelque chose à sauver. Les gimmicks des personnages sont déjà bien installés, et globalement cette saison était beaucoup plus fun. Forcément, dès le début, le thème est déjà posé:  C’est bientôt la fin du groupe car les 3eme année quittent l’école à la fin de l’année. J’ai trouvé que ça devenait un peu trop envahissant parfois, d’avoir à chaque épisode « Le groupe est bientôt fini ohlala », mais sinon j’ai bien apprécié. C’était un bon divertissement sans prise de tête.

Bilan: J’ai regardé le film! Ne me jetez pas de pierres, mais je n’arrive toujours pas à supporter la voix de Kotori…

Love Live le film
Le point final de la série Love Live: le film! Et comme dans le film de K-ON!, les filles décident d’aller en voyage à l’étranger. Pas le Royaume-Uni cette fois, mais les USA!  Le scénario est assez classique, mais si vous avez aimé l’anime, c’est le film parfait pour dire au revoir aux personnages que vous avez aimé. Les dessins sont vraiment beaux, et j’ai vraiment beaucoup aimé Angelic Angel. Finalement, ça aura peut-être réussi à me réconcilier avec la franchise.

Bilan: Je jetterai peut-être un coup d’oeil à Love Live Sunshine qui sort cet été. Je n’ai pas trop aimé les chansons sorties pour le moment, mais c’est pareil avec le Love Live original (et même des franchises comme Utapri): il n’y a que 30% des chansons que j’aime vraiment et le reste est pour moi juste un copié collé : x

Ping Pong
Je ne suis pas du tout animes sportifs. Ce n’est juste pas mon type. Cependant, j’ai entendu beaucoup de bien de celui-ci, et pour cause. Plus que de parler de ping-pong, Ping Pong parle des vies de ceux qui en font. C’est l’histoire de deux adolescents, surnommés Smile et Peco, qui font du ping-pong depuis qu’ils sont petits. Ils ont des personnalités diamétralement opposées: Smile est taciturne et ne sourit jamais (c’est pour ça qu’on lui a donné ce surnom), alors que Peco est extraverti et très arrogant. L’histoire prend place lors du tournoi national de ping-pong, qui réservera beaucoup de surprises…
J’ai beaucoup aimé les personnages, très colorés et réels à la fois. Le style graphique ne plaira pas à tout le monde, assez occidentalisé, avec les personnages qui font souvent des têtes assez bizarres, mais il faut reconnaître son originalité et la fluidité que celui-ci donne aux scènes de match.

Bilan: C’était un bon visionnage. C’était quand même un pari osé d’avoir un personnage ne parlant que chinois pendant tout l’animé!

Osomatsu-san
Ah, Osomatsu-san. Impossible de passer dix minutes sur Twitter ou des sites traitant d’anime sans que vous n’en entendiez parler. J’ai eu la chance (ou malchance?) de me trouver au Japon pendant toute sa période de diffusion. J’ai deux anecdotes à ce sujet:
=> Il est impossible d’entrer à Animate (en tout cas à Nipponbashi). Genre, ils ont mis tous les goods Osomatsu-san à l’entrée (évidemment), du coup c’est la bataille pour pouvoir entrer et naviguer entre les rangs de fangirls, et je ne parle même pas de la queue!

=> En cherchant des goods de Liar-Soft à Mandarake, je suis allée à l’étage réservé aux filles, et suis tombée nez-à-nez avec trois bibliothèques pleines à craquer de doujinshi Osomatsu-san. Malheureusement, il y en avait un qui dépassait un peu et… Qu’est ce que tu fais Karamatsu?! ‘ ___’

Bref, pour parler de l’anime en lui même, c’est un remake de Osomatsu-kun, sorti il y a fort fort longtemps. A l’époque, les sextuplés n’étaient pas les personnages principaux de l’histoire (c’était Iyami), mais ce remake les met au centre et relègue Iyami au rang de personnage secondaire. Que dire à part que j’ai beaucoup aimé? Le premier épisode est particulièrement brillant avec toutes ses références et sa parodie à l’extrême de Uta no Prince-sama. Cependant, les autres épisodes ne sont pas en reste. Je me suis surprise à rire devant le ridicule de certaines situations (ex: l’histoire d’Ichimatsu avec le blouson de Karamatsu), alors que ça m’arrive très rarement. C’est également un méchant anime qui aime jouer sur la corde sensible de temps en temps en nous mettant une histoire complètement sérieuse (Jyushimatsu et sa copine et LE fameux épisode). Le style est basique mais coloré, les musiques oubliables, mais pour un anime qui a l’humour pour argument de vente, je trouve que le contrat est plus que rempli.

Bilan: Je pense qu’on peut s’attendre à une saison 2 vu la hype générale et la folie totale des filles autour de cet animé. J’en reprendrais bien une part.

Sekkou Boys
On finit par un OVNI complètement pas sérieux: l’histoire d’une ancienne étudiante en art qui en a eu assez de ne devoir étudier que des sculptures et a tout laissé tomber pour devenir manager d’idols. Evidemment, les memebres du groupe dont elle deviendra manager sont… des statues. Dans le genre « qu’est ce qu’ils ont pris pour avoir cette idée », on est bien. N’empêche que j’ai beaucoup ri! Les épisodes ne durent que sept minutes, les blagues ne volent pas très haut mais l’animé complet tourne autour du gimmick « idols statues »: Saint Georges le tsukkomi, Mars l’homme fort… Si vous avez un peu de temps à perdre et que c’est votre genre, je vous le conseille!

Bilan: Les réalisateurs sont quand même forts pour avoir fait tout l’anime sans jamais montrer les statues bouger par elles-mêmes. Malheureusement, je ne pourrai plus jamais voir ces statues sans penser à cet animé maintenant…

Voilà, on en a enfin fini…

Pour rappel, si vous voulez la liste de tous les animés embarrassants que j’ai vus, ça se passe en haut à droite avec le bouton MyAnimeList.

A la prochaine!

Tout juste six mois après la publication du premier volume, Ofelbe a sorti la semaine dernière le deuxième volume des aventures de Shiroe et ses potes, piégés par le MMO Elder Tale dans un univers de fantasy tellement original qu’il ferait passer les jeux de Compile Heart pour des monuments de créativité, mais passons.

Shiroe et Akatsuki se retrouvent, avec quelques autres, conviés à une assemblée de la noblesse locale en tant que représentants d’Akiba, la cité étant à présent gouvernée par une « table ronde » de guildes influentes. Une occasion en or pour le « jeune » enchanteur de mesurer les luttes d’influence et en retirer divers avantages pour ses compatriotes, mais aussi d’en apprendre davantage sur l’univers de ce qu’il tenait pour un simple MMORPG et les gens qu’il prenait jusqu’alors pour de simples PNJ.

Pendant ce temps, Minori et son frère Tohya s’entrainent en compagnie d’autres joueurs débutants sous la houlette de vétérans de guildes d’Akiba, mais ils se retrouvent bien vite confrontés à de nombreuses difficultés dans leur premier donjon. Pour ne rien arranger, c’est alors que tout le monde est occupé à vaquer à ces occupations que se produit ce qui, quelques temps plus tôt encore, aurait été considéré comme un simple event mal géré par les joueurs: le couronnement du roi gobelin, qui décide de fêter l’événement en lâchant ses hordes sur le pays.

Bon, on ne va pas se mentir: si les light novels étaient de la « grande » littérature, on n’aurait pas pris le temps de les affubler de ce sobriquet pour les distinguer des autres œuvres de fiction. Ceci étant dit, comparé à pas mal de récits pulp (dont les LN sont d’une certaine manière les héritiers spirituels nippons), Log Horizon fait bonne figure, si on garde à l’esprit que le public visé a moins de 20 ans et est censé se montrer plus enclin à lire des mangas que du Natsume Sôseki.

On retrouvera ici à peu près la même chose que ce qu’on avait pu voir dans la seconde moitié de la première saison de la série animée, passages « tutos de MMO » chiants inclus (sauf que ça passe mieux à l’écrit) et bullshit « full control encounter » compris (sérieusement, qui joue à un MMO RPG comme ça?). Ce qui permet de constater que l’adaptation s’avère très fidèle à son matériau d’origine, mais pose du coup la question de l’intérêt de se mettre au LN après avoir regardé la série… et pour être tout-à-fait honnête, il n’y en a pas vraiment (juste que certaines choses passent mieux à l’écrit, d’autre moins).

Après, si les fictions qui traitent de MMO se sont multipliées en 10 ans, celle-ci se situe tout de même dans le haut du panier, puisque son auteur est capable, pour l’heure, de créer un véritable enjeu et de s’y tenir, mais également de questionner le rapport que son lecteur peut entretenir avec les univers des jeux qu’il peut traverser. Pour une œuvre que nos libraires classeraient volontiers dans la catégorie « littérature jeunesse », ce n’est tout de même pas trop mal.

Du reste, on devine déjà bien vers quel plot twist l’auteur veut nous embarquer, vu que, « littérature jeunesse » oblige, le mot « subtilité » semble avoir été banni de son vocabulaire (ce qui explique aussi probablement quelques moments se voulant humoristiques mais se révélant au final plus neuneus ou gênants qu’autre chose). Pourtant, globalement, c’est plutôt sympathique; du moins pour le moment.

Au revoir; à bientôt.

Lumière dans l’obscurité, révélatrice de l’âme humaine, la lune fascine. Moi, évidemment, mais aussi de nombreux mangakas.

Qu’elle soit pleine, sous forme de croissant, ou… étrange, comme dans Soul Eater, la lune fait partie intégrante de la bande-dessinée japonaise.

Alors, que fait-on de la lune dans un manga ?

On y voyage chez les astronautes sages de Space Brothers. Tandis que ceux, un peu plus crapuleux, de Moonlight Mile tentent de la conquérir.

Pendant ce temps, la chauve-souris de Billy Bat semble laisser une étrange indication sur notre satellite préféré…

Quoi d’autre ?

Lorsque des terroristes font une série d’attentats sur la lune dans Planètes, dans Dragon Ball, on ne s’embête pas : n’importe quelle attaque à distance suffit à la détruire.

La lune est également propice aux mythes.

Occidentaux tout d’abord. Il est bien connu que le loup-garou tire sa force de la pleine lune, comme dans Wolf Guy. Tandis qu’un vampire tel que Dio de JoJo’s Bizarre Adventure, lui, qu’elle soit pleine ou non, vit la nuit.

Les japonais aussi ont leurs légendes. A commencer par celle de la Princesse Kaguya, sublimement réinterprétée par Reiko Shimizu dans le bien-nommé Princesse Kaguya. Mais ce n’est pas tout. Si de nombreuses cultures font habiter un lapin sur la lune, la japonaise lui fait fabriquer des mochi. Ce qui se vérifie, entre autres, dans Dragon Ball.

Qui dit mythes et légendes autour de la lune, dit Moonlight Act. Lorsque les personnages de contes deviennent fous à cause de l’astre lunaire, Gekko est chargé de les remettre dans le droit chemin. A grands coups de tatane dans la gueule, forcément.

D’ailleurs, la lune est propice à la bagarre. Pas étonnant alors de la retrouver lors de grandes batailles de mangas d’heroic fantasy : Übel blatt, Claymore et même L’attaque des titans se servent de son imagerie. Mais la scène la plus marquante se trouve bien évidemment dans Berserk où une éclipse va changer à jamais le destin des protagonistes.

L’astre joue un rôle sur les comportements humains.

D’ailleurs, comme la lune, la femme est cyclique. Pas étonnant alors de trouver le satellite au cœur de nombreux shojo mangas. Nous citerons l’onirisme de Please save my earth ou alors celui, plus cauchemardesque, de L’infirmerie après les cours. Mais le plus connu d’entre tous reste encore aujourd’hui Sailor Moon.

Sous la pleine lune, on y pleure. Dans Solanin par exemple, où Meiko et Crack laissent sortir leurs larmes sous le regard de l’astre. Dans Élégie en rouge, plus original, c’est la lune elle-même qui sanglote tandis qu’elle surplombe une jeunesse aussi insoucieuse qu’égarée.

En toute subjectivité, la plus belle lune du manga est signée Atsushi Kaneko. Dans Wet Moon, il cite Georges Méliès pour nous présenter un astre qui, comme une sorte d’avatar du héros, se retrouve avec un obus dans l’œil. Obsessionnelle et hallucinante, elle nous plonge au cœur de la folie humaine.

Contrefaçon est une série d’articles sur le Japon concernant leur adaptation à la sauce nipponne de symboles qui sont traditionnellement rattachés à d’autres cultures .

Bonjour,

Je tenais à vous remercier pour vos retours sur la précédente chronique, j’ai eu beaucoup de plaisir à lire vos commentaires. Je veux aussi vous demander de m’excuser pour les retards à répétition sur cet article. J’ai très mal géré mon temps comme vous avez pu le voir.

Vous le savez déjà dans les contrefaçons, je m’efforce d’éviter les stéréotypes mais si je vous dis Japon, vous me répondrez en vrac Manga, sushi, uniforme, samurai, bombe ou encore monstres (hentai pour les plus foufous).

Un voyage dans ce pays mettra en lumière d’autres aspects inconnus pour un/une français/e mais aussi renforcera ou ruinera ses clichés d’avant voyage. Le problème c’est qu’ici nous faisons l’inverse : on voit comment le Japon adapte les autres cultures donc comment les japonaises retranscriraient un voyage en France. Pour le savoir une série monument du jeux-vidéo peut nous aider, voici Pokémon X et Y.

Pokémon tout le monde connaît et c’est déjà la 7ème génération qui pointera le bout de son nez à la fin de cette année 2016. Elle s’inspirera d’Hawaï mais saviez-vous que la 6ème génération (Pokémon X et Pokémon Y) quant à elle se base sur la France ?

La région nommée Kalos reprend notre beau pays (en tout cas la partie qui correspond à la France occupée durant la seconde guerre mondiale) pour l’intégrer dans le monde de Pokémon.

Les développeurs du jeu, à savoir, Game Freak ont fait le déplacement en France pour leur jeux. De leur voyage quels souvenirs les ont marqué ? Il y en a deux types : le patrimoine connu et valorisé à l’étranger et les autres choses parfois beaucoup plus anodines qu’on retrouve dans le jeu.

Pour ceux qui s’intéresse à la première catégorie je recommande de lire cet article qui est un vrai bijou pour ses informations justes et sa rédaction agréable.

J’ai tendance à voir de telles horreurs quand je me documente pour mes articles, que trouver ce blog m’a fait plaisir et c’est pour ça que dans cet article je parlerai plutôt des choses plus anecdotiques qu’on retrouve dans le jeu. Toutefois pour ceux et celles qui ne souhaitent pas lire l’article je vous ai mis des exemples de réinterprétations du jeu.

Maintenant passons aux petites choses qui, si vous avez fait les jeux vous ont peut-être échappées ou si vous n’y avez pas touché vous feront sourire quand vous jouerez à Pokémon.

1 – L’aquarium de la Roche-sur-Gliffe

Un des principaux bâtiments de la Roche-sur-Gliffe est son Aquarium où trône un magicarpe doré : celui-ci est une représentation de l’aquarium de la Rochelle.

Cet aquarium est le plus visité de France avec ses nombreuses zones à thème. Je vous mets l’adresse du site juste ici. Je l’ai visité quand j’étais très jeune et je ne me souviens pas bien de l’endroit mais au vu du site web cela semble magnifique. En tout cas assez pour impressionner nos développeurs qui l’ont intégré au jeux comme un passage obligé pour se rendre à la ville suivante. C’est également un lieu ou diverses astuces sur les pokémons eau sont données ainsi que la fameuse canne pour pouvoir pêcher.

2 – La Normandie

Il faut savoir que je suis Normand récemment exilé en région Parisienne et j’ai trouvé assez rigolo qu’on rencontre des pokémons qui correspondent aux clichés de la Basse-Normandie à savoir une mouette et une vache.

La zone est agrémentée d’une ferme et de pas mal d’endroits de pêche. Je retrouve donc la campagne du Calvados et ses clichés du coté de Paris, quand je joue au jeu.

Pour les amateurs de la Normandie mais celle du haut cette fois-ci, dans la ville du Havre se trouve une curiosité à savoir un funiculaire.

La ficelle comme le surnomme les habitants relie le bas de la ville avec le haut. Il demeure une expérience singulière si vous visitez le Havre. C’est sûrement pourquoi on retrouve le funiculaire qui relie cette fois-ci la ville de port tempères.

3 – Le désert

J’ai vu beaucoup de théories sur le désert que l’on trouve à l’ouest d’Illumis (Paris) et je vais vous apporter la mienne.

Cette zone désertique est couverte de diverses centrales à énergies renouvelables (éolienne, géothermique, hydraulique, photovoltaïque et solaire) selon poképedia et je leur fais confiance. On ne sait pas vraiment ce qui à pu inspirer cette zone mais je crois que l’inspiration vient des marées que l’on retrouve sous le pont de Normandie menant au Havre. Je n’ai pas vraiment trouvé de belles photos mais seulement une vidéo qui montre le paysage de jour.

Pour être passé au dessus de cette zone la nuit je peux vous dire que l’on ressent une étrange impression comme si nous roulions sur le chemin des enfers

4 – Les cafés

La France c’est aussi une ambiance. Dans les jeux vous trouvez des hôtels dans chacune des villes, des boutiques de vêtements (la France pays de la mode) mais ce qui nous intéresse ici, ce sont les cafés.

Les cafés sur Kalos ne servent pas à grand-chose de prime abord ; tout juste à augmenter le bonheur des pokémons en leur faisant savourer une bonne boisson. Oui mais s’asseoir dans un café c’est aussi rencontrer des dresseurs qui vous donne des anecdotes et des informations.

Comme dans un vrai café français vous pouvez ainsi faire la connaissance de quiconque, sortant du cadre des personnes que vous fréquentez habituellement et être plus ou moins chanceux concernant celles-ci.

Derrière ces quelques exemples et avec l’excellent (je le répète) article que je vous ai conseillé, nous pouvons affirmer que la France a été un très bon souvenir pour les développeurs japonais.

Ils ont su trouver toute l’inspiration nécessaire pour leurs jeux et je suis certain que vous avez d’autres exemples que je n’ai pas abordé en tête. D’ailleurs si vous en avez d’autres, n’hésitez pas à nous partager.

Cette chronique est sans prétention, je voulais plus vous livrer quelques points qui peuvent vous aider à savoir comment les développeurs pensent et vous permettent de rêver aux prochains opus qui arrivent à toute allure.

Comme toujours, merci à vous d’avoir lu cette chronique

Merci à la belette cendrée pour la correction et merci à Poyjo pour me fournir un espace de liberté.

Je vous dis à dans un mois. Des bisous.

Les sorties manga de Juin 2016

Les sorties éditeur par éditeur

En ce début de mois, je vous propose le traditionnel article sur les sorties du mois. Vous retrouverez donc ci-dessous, les sorties triées par éditeur. L’occasion de voir quoi acheter  pour février !

Voyons ça de suite, et commençons avec Akata.

Les sorties manga chez Akata

• Zombie Cherry – tome 01. 23 juin.
• Seki, mon voisin de classe – tome 06. 23 juin.
• Magical Girl of the End – tome 10. 23 juin.
• Desperate Housecat & co – tome 01. 30 juin.
• Bienvenue chez Protect – tome 02. 30 juin.
• Ugly Princess – tome 02. 30 juin.

Les sorties manga chez Doki-doki

• Lost Seven – tome 03. 01 juin.
• Lost Seven – tome 04. 01 juin.
• Gurren Five – tome 03. 01 juin.
• The Rising of Shield Hero – tome 01. 01 juin.

Les sorties manga chez Glénat

• Le paradis des chiens – tome 06. 01 juin.
• Akira, édition originale – tome 01. 01 juin.
• Vertical – tome 14. 01 juin.
• Woostock – tome 13. 01 juin.
• Dragon Ball Z – 7ème partie – tome 01. 01 juin.
• Dream Team – tomes 29-30. 01 juin.
• Kokkoku – tome 07. 15 juin.
• 12 ans – tome 02. 15 juin.
• Baby Sitters – tome 11. 15 juin.
• Masked Noise – tome 02. 15 juin.
• Les Gouttes de Dieu – tome 44. 29 juin.
• Moyasimon – tome 11. 29 juin.
• Peacemaker – tome 15. 29 juin.
• Chroniques de Lapicyan – tome 01. 29 juin.
• Captain Tsubasa – tome 33. 29 juin.
• Kurogane no Linebarrels – tomes 19-20. 29 juin.

Les sorties manga chez Kana

• Détective Conan – tome 84. 10 juin.
• Gamaran – tome 22. 10 juin.
• Gintama – tome 37. 10 juin.
• Conan – tome 84. 10 juin.
• Le Pavillon des hommes – tome 12. 10 juin.
• Psycho-pass, inspecteur Shinya Kôgami – tome 01. 10 juin.
• Que sa volonté soit faite – tome 24. 10 juin.
• Sergent Keroro – tome 26. 10 juin.
• Au coeur de Fukushima – tome 02. 24 juin.
• Doraemon – tome 31. 24 juin.
• Montage – tome 14. 24 juin.
• Puzzle & Dragons Z – tome 01. 24 juin.
• Yu-Gi-Oh ! Zexal – tome 09. 24 juin.

Les sorties manga chez Kaze Manga

• Rainbow, édition triple – tome 04. 01 juin.
• Le Chemin des Fleurs – tome 15. 01 juin.
• Blood Blockade Battlefront – tome 02. 01 juin.
• Let’s get Married ! – tome 02. 08 juin.
• Are you Alice ? – tome 04. 08 juin.
• Beyond Evil – tome 03. 14 juin.
• Nisekoi, Kosaki Magical Patissière – tome 01. 15 juin.
• Rainbow Days – tome 03. 15 juin.
• Nisekoi – tome 19. 15 juin.
• Takahane & Hana – tome 01. 22 juin.
• Haikyu !! Les as du volley – tome 16. 22 juin.
• World Trigger – tome 12. 22 juin.
• Junjo Romantica – tome 18. 22 juin.

Les sorties manga chez Ki-oon

• King’s Game Origin – tome 06. 09 juin.
• King’s Game Spiral – tome 01. 09 juin.
• My hero Academia – tome 03. 09 juin.
• Re/Member – tome 03. 09 juin.
• Sayonara Football – tome 01. 09 juin.
• Your Lie in April – tome 09. 09 juin.
• Final Fantasy type-0 – Le Guerrier à l’épée de glace – tome 05. 23 juin.
• Père & Fils – tome 02. 23 juin.

Les sorties manga chez Kurokawa

• Arata – tome 24. 09 juin.
• Arsène Lupin – tome 04. 09 juin.
• Je t’aime Suzuki – tome 16. 09 juin.
• One-Punch Man – tome 03. 09 juin.
• Pokemon Or et Argent – tome 02. 09 juin.
• Sukedachi Nine – tome 24. 09 juin.

Les sorties manga chez Pika

• Akatsuki – tome 04. 01 juin.
• Alice au pays des merveilles. 01 juin.
• Alice in murderland – tome 01. 01 juin.
• Aphorism – tome 08. 01 juin.
• Fortress of Apocalypse – tome 06. 01 juin.
• Noragami – tome 10. 01 juin.
• Seven Deadly Sins – tome 15. 01 juin.
• Nodame Cantabile – tome 21. 08 juin.
• A town where you live – tome 21. 15 juin.
• Attache-moi – tome 10. 15 juin.
• Billy Bat – tome 18. 15 juin.
• Bloody Monday Saison 3 – tome 03. 15 juin.
• Green Worldz – tome 01. 15 juin.
• Green Worldz – tome 02. 15 juin.
• Me, Myself and him – tome 02. 15 juin.
• Mobile Suit Gundam The Origin – tome 20. 15 juin.
• Princesse Kilala – tome 01. 15 juin.
• Princesse Kilala – tome 02. 15 juin.
• Space Brothers – tome 15. 15 juin.
• UQ Holder ! – tome 09. 15 juin.
• Countrouble – tome 03. 29 juin.
• Crystal Girls – tome 05. 29 juin.
• Dreamland – tome 15. 29 juin.
• Fairy Tail +. 29 juin.
• Fairy Tail – tome 52. 29 juin.
• GDGD – tome 02. 29 juin.
• L-DK – tome 10. 29 juin.
• Say i love you – tome 12. 29 juin.

Vous voilà avec une vision plus poussée des sorties du mois. Au programme quelques beaux titres, avec des suites attendues, et quelques nouveautés prometteuses. Dans les nouveautés, celles-ci m’intriguent : Dead Tube, The Rising of Shield Hero, Akira, édition originale, King’s Game Spiral, Sukedachi nine, Green Worldz  et Sayonara Football. Je me ruerai également sur le nouveau Online Comic, Food Wars, Woodstock, Dream Team, Peacemaker, Gamaran, Haikyu, King’s Game, My Hero Academia, Re/Member, Your Lie in April, Père & Fils, One-Punch Man et Seven Deadly Sins  .

Et vous, que prendrez-vous ce mois-ci ?