Quantcast
Channel: Nanami.fr - flux général
Viewing all 14946 articles
Browse latest View live

Shadonia - MegaHobby Expo 2016 Spring

$
0
0

Découvrez les nouvelles figurines à venir des fabricants japonais lors du MegaHobby Expo 2016 Spring ! Le MegaHobby Expo 2016 Spring s’est tenu le 28 mai 2016 à l’Akiba UDX, Tokyo. Les fabricants Alter, Amakuni (distribué par Hobby Japan), Kotobukiya, MegaHouse et Revolve étaient présents afin de dévoiler au public leurs prototypes, certains en couleurs, d’autres non, ainsi […]

Cet article MegaHobby Expo 2016 Spring est apparu en premier sur Shadonia.


Manga Mag - Dans un recoin de ce monde – Tomes 1 et 2

$
0
0

Dans un recoin de ce monde T2

Il y a deux jours, on obtenait plus de précisions sur l’adaptation animée de Sekai no Katasumi ni. Le film arrivera en octobre dans toutes les salles japonaises. Pour vous donner une petite idée de ce qui pouvait vous attendre avec cet excellent, on s’est dit qu’il serait sympathique de revenir sur le manga sorti chez Kana il …

Manga Mag - Dans un recoin de ce monde

$
0
0

Dans un recoin de ce monde T2

Il y a deux jours, on obtenait plus de précisions sur l’adaptation animée de Sekai no Katasumi ni. Le film arrivera en octobre dans toutes les salles japonaises. Pour vous donner une petite idée de ce qui pouvait vous attendre avec cet excellent, on s’est dit qu’il serait sympathique de revenir sur le manga sorti chez Kana il …

Nostroblog - Kyôgen : la folie maîtrisée (partie 2/2)

$
0
0

Dans la précédente partie, nous avions évoqué plusieurs caractéristiques du théâtre kyôgen : ses origines, son jeu scénique et son matériel (masques, accessoires et costumes). Après un bref aperçu des pièces jouées, nous allons nous intéresser aux acteurs qui, en les « réactivant », contribuent à la perpétuation d’une tradition vieille de 4 siècles, classant ainsi certaines familles d’acteurs au rang de « Trésor national Vivant».

Quelques exemples de pièces kyôgen

Le kimono disparu = Le maître (Ado – « sévère » – issu du verbe adoutsu« donner de la répartie ») et son valet (Tarô kaja, l’Arlequin japonais) entrent en scène. Le premier charge son serviteur de proposer à son oncle de l’accompagner en pèlerinage au temple d’Ise. L’oncle, ne pouvant se joindre à ce voyage, reçoit cependant le valet. Il lui offre du saké et le charge de ramener une sorte de kimono (suô) à son neveu. On devine la suite : le valet s’enivre au saké et oublie de remettre le kimono à son maître.

Oko-Sako = Le bœuf du paysan Sako a ravagé le champ de son voisin, Oko. Ce dernier, voulant déposer plainte, répète son rôle devant sa femme qui, déguisée en juge, essaie de le faire changer d’avis en l’effrayant avant qu’il ne découvre qu’elle est la maîtresse de Sako.

Irumagawa = Cette pièce relate les péripéties d’un prince et de son valet pour franchir la rivière Iruma.

Bôshibari=  L’Ado doit se rendre au village voisin mais redoute que Tarô kaja et Jirô kaja profitent de son absence pour dérober son saké. Il décide alors de les attacher avant de partir l’esprit tranquille mais rien ne se déroulera comme prévu… .

Utsubo-zaru (le singe et le carquois) = Un noble veut se procurer la peau d’un singe pour en recouvrir son carquois. Face au refus du propriétaire de lui donner son animal, le noble décide donc de les tuer tous les deux. Le noble se laissera finalement attendrir par l’animal et l’épargnera.

Utsubo zaru
Utsubo-zaru, Katsushika Hokusai, museum of Fine Arts, Boston

Busu = Un jour, le maître doit sortir pour affaire, mais il n’est pas tranquille. Il craint pour sa tonnelle de sucre. Il dit à ses deux valets (Tarô kaja et Jirô kaja) qu’elle contient un poison violent nommé busu puis s’en va. Tarô, intrigué, veut voir ce poison. Malgré les avertissements de Jirô, il décide d’y goûter et découvre qu’il s’agit de sucre. Les deux valets vident le tonneau. Mais comment expliquer à leur maître leur action ? Ils déchirent un kakemono et brisent le bol à thé le plus précieux du maître. Pour finir, ils se mettent à pleurer à chaudes larmes au retour du maître et lui expliquent qu’ils se sont disputés et ont fait des bêtises. Pour expier leurs fautes, ils ont voulu mourir d’empoisonnement. Le maître se met naturellement en colère et chasse les deux fourbes.

kyougen

Ces récits sont d’une simplicité linéaire, de la même façon que le sont celles de la Commedia dell’arte avec Arlequin. Cet échantillonnage (sur les 260 pièces kyôgen existantes avant 1868) montre des récits de bon augure qui vont des démêlés maître/valet aux rapports familiaux, en passant par les apparitions de démons. Les plus complexes font appel aux satires où sont raillées, comme dans nos fabliaux, la femme, le seigneur féodal et le prêtre. De nombreux dialogues se rattachent aux problèmes sociaux et humains contrairement au qui tend exclusivement à exprimer le « beau ».

Il existe aussi des parodies de composées de faux démons, de pseudo spectres, de farceurs et de coquins qui, à l’aide d’un masque, caricaturent le masque et terrorisent leurs dupes.

Des pièces relevant d’une véritable caricature sociale semblent avoir existé mais elles ont disparu, de même que tout aspect silencieux. La longue histoire du kyôgen a abouti à un art épuré. Ces pièces sont de très bons matériaux pour connaître la vie quotidienne du Japon médiéval. Cependant, il n’est aucunement nécessaire de savoir les situer dans leur contexte historique et social pour les apprécier : le thème des défauts humains est universel et atemporel.

Les acteurs dans le kyôgen

De même que le , tous les rôles sont tenus par des hommes et il n’est pas question d’imiter la voix féminine, contrairement au kabuki. L’acteur (kyôgen-kata) n’est pas de l’époque du héros de la pièce mais contemporain des spectateurs. Il expose, en termes faciles, les péripéties du drame pour assurer une grande fluidité de la narration et éviter que le public se perdent en route (d’autant plus qu’il lui faut quelque chose de concret après deux heures intenses de !). Le rôle de l’acteur n’est pas déclamé mais parlé. Avant que ne soit publié le Tensho Kyôgen-hona en 1570, paroles et mots étaient généralement improvisés suivant la tension ou le dénouement d’une histoire.

La langue japonaise est riche en onomatopées. Ces dernières sont très souvent employées par l’acteur en reliant la voix au geste pour boire (dobu-dobu-dobu), pour faire comprendre rapidement qu’il est arrivé aux dernières gouttes (pisho-pisho-pisho), pour scier quelque chose (zuka-zuka-zuka) ou pour vocaliser l’ouverture d’une porte fictive (gara-gara-gara). La règle de base pour obtenir le ton et le rythme caractéristique du kyôgen est d’articuler ou d’accentuer la deuxième syllabe de chaque mot important. L’ouverture large de la bouche, qui requiert des exercices d’assouplissement de longue haleine, accompagne ce travail de prononciation. Cette flexibilité de l’onomatopée réclame un contrôle de la respiration. Il s’agit en parallèle d’éviter de perdre l’attention du public par une voix trop monocorde. Chaque personnage dispose d’un timbre et d’une élocution propre à être reconnaissable entre toutes. Au ton railleur de la femme se succèdent les paroles candides du beau-fils ou la sévérité du maître. Tout cela s’est bien entendu construit au fil des siècles.

Le crabe et l’ascète
Représentation de la pièce « Le crabe et l’ascète » (Kani yamabushi) par la compagnie Japanese Theater of the Deaf, Maison de la Culture du Japon à Paris, 2015

Mais qu’en est-il des épouses des acteurs ? Elles sont d’une aide précieuse dans plusieurs domaines. Tout d’abord, elles s’occupent du raccommodage et de l’entretien des costumes de scène puis des tâches administratives et financières. Elles ont à charge le planning des représentations, la réservation des billets de train ou d’avion, la location de chambres d’hôtel et/ou d’une salle de théâtre, la diffusion par la presse des dates de représentations, la gestion des entrées et des invitations, la correspondance avec les journalistes pour les interviews, etc. Véritables attachées de presse prêtes à diffuser l’information par tout type de canaux médiatiques possibles, elles vont parfois même jusqu’à devoir raccompagner fréquemment les acteurs qui se sont enivrés après une représentation.

tumblr_nkw0s3rwWA1tkovj8o1_500
Va savoir…

Par ailleurs, certains acteurs comme Motohiko Shigeyama, petit-fils de Sensaku (1919-2013), sont devenus des stars au Japon en tournant dans des drama. Cette double activité avec le théâtre montre une envie de faire connaître ce genre par différents moyens auprès des jeunes japonais.

Motohiko Shigeyama lors d'une pièce kyôgenLe même, interprêtant Kosôjaku dans le drama Chiritotechin (2007-2008)

Formation et jeu d’acteur : l’exemple de la famille Nomura

Il existe aujourd’hui deux grandes écoles d’apprentissage où les rôles se transmettent de père en fils : Izumi (Tokyo) et Okura (Kyotô). Celles-ci sont subdivisées en familles (Nomura, Shigeyama, etc.) où s’effectuent la formation par filiation ou par adoption au sens le plus large du terme. Il est impossible de mélanger des élèves d’écoles différentes dans une même pièce kyôgen tant le secret de fabrication est jalousement gardé. Par contre, ils peuvent se rejoindre pour une comédie moderne de type shingeki.

  • L’école Izumi-ryû, qui concerne notamment la famille Nomura, compte plus de 20 acteurs et 254 kyôgen et privilégie le chant.
  • L’école Okura-ryû compte plus de 70 acteurs et 180 kyôgen.

174 pièces leur sont communes.

Nomura Mansaku (Manzô VII), fils de Nomura Manzô VI (1898-1978) et petit-fils de Manzô V (1862-1938) appartient à une famille devenue en 1994 « Trésor National vivant » (Ningen Kokuhō) tout comme la famille Kakiemon. Il a appris le métier à Tokyo dès 1955 et s’est spécialisé dans le rôle du valet Tarô kaja. A ce titre, il rédigea une autobiographie sur sa propre expérience dans Tarô Kaja o ikiru (« les Vies de Tarô kaja« ) aux éditions Hakusuisha en 1984. Le choix de porter un numéro depuis le XVIIIe siècle est une coutume pour ne faire qu’un et incorporer les techniques et les idées sur l’art du précédent maître. Pour le public, l’acteur de la génération précédente se superpose sur l’acteur actuel. Manzô VII a un fils nommé Mannôjo Nomura Mansai (né en 1966) qui prendra le nom de Manzô VIIIà la mort de son père. Le titre de Mannôjo pourrait se qualifier comme un intermédiaire et désigner le « successeur » ou le « prétendant » de l’actuel Manzô.

Mansaku et Mansai Nomura
Mansai (Jirô kaja) et Mansaku Nomura (Tarô kaja) dans la pièce Bôshibari

Pour parvenir à entrer au plus profond de la psychologie d’un personnage, il faut sonder sa propre nature et passer le plus de temps possible à réfléchir à travers son rôle et y calquer sa gestualité avant de la jouer. Le kyôgen ne s’apprend pas à la lecture d’un script mais de manière orale en répétant un grand nombre de fois les répliques enseignées par son maître.

Manzô VII a réalisé dans son ouvrage une rétrospection de l’évolution du jeu du kyôgen à chaque génération. Le travail de son grand-père se situe juste après l’ouverture sur le monde durant l’ère Meiji (1868) et le mise au ban progressive du kyôgen, ce qui l’obligeait à jouer avec une énorme quantité d’énergie. Chaque génération a présenté son art en fonction de l’évolution des goûts et des mentalités. Le père de Manzô VIIétait convaincu que la danse devait occuper une place essentielle afin de styliser une pièce kyôgen et la rendre plus souple, plus légère et ainsi s’éloigner du .

Dans les familles Nomura et Shigeyama, on estime que l’apprentissage commence « en faisant le singe » dès l’âge de 6-7 ans et se termine « en faisant le renard » entre 18 et 20 ans. L’acteur monte sur scène pour la première fois dans le rôle du singe avec Utsubo-zaru avant d’être considéré comme un acteur à part entière une fois qu’il a interprété le rôle du renard dans le Tsuri Kitsune (« piège à renard »). Les deux rôles se jouent avec un masque. Dans le premier cas, le singe cherche ses puces, fait quelques galipettes et exécute une petite danse. C’est un rôle sans texte où il ne fait que crier.

Utsubo zaru (Shigeyama)Utsubo zaru (Nomura)

Celle du renard a davantage de constance : il prend momentanément l’apparence d’un moine qui est l’oncle d’un chasseur de renards pour se rendre chez ce dernier et l’exhorter à abandonner la chasse. Le chasseur écoute son conseil et jette ses pièges. Le renard rentre vers sa tanière, mais en chemin il tombe sur un piège dont il se dégagera de justesse. Cette pièce longue et tragique montre le rôle épuisant du renard qui adopte une attitude corporelle ainsi qu’une démarche inhabituelles, le buste très penché en avant et les genoux très pliés, tandis que le masque entrave la respiration.

Tsugi Kitsune (Shigeyama)Tsugi Kitsune (Shigeyama)Tsugi Kitsune (Shigeyama)Tsugi Kitsune (Shigeyama)

Au début de son apprentissage, l’enfant est très gâté : on le félicite en lui donnant des jouets et des sucreries à chaque fois qu’il monte sur scène. Puis vient un temps où la douceur fait place à la sévérité la plus extrême. Il y a un ordre dans l’apprentissage des pièces. Chaque rôle consiste en un rite de passage appelé hiraki. On apprend (manabu) en imitant (maneru). Il ne s’agit pas de copier le mouvement achevé du maître mais de retrouver en soi les éléments de sa recréation. Un effort de reconstruction lui est demandé et il doit en sortir transformé. Il faut savoir contrôler sa respiration et équilibrer le jeu brillant extraverti du jeu retenu intérieur.

Depuis 1963, on enseigne le kyôgen en dehors du territoire japonais, notamment à l’Université de Washington mais également celle d’Hawaï (1975). Bien entendu, les subtilités de la langue japonaise sont difficilement retranscrites dans la langue de Shakespeare. C’est pourquoi fut créée une école de kyôgen réservée à la langue anglo-saxonne à Honolulu, sorte d’Olympe ou de nombreux hawaïens ont pu se créer une renommée nationale au Japon. De plus, ces nouvelles écoles permettent à de jeunes filles de pouvoir participer à cette activité théâtrale, chose impensable au Japon !

Manga et kyôgen

Il existe très peu de mangas qui abordent réellement ce genre théâtral. Le seul existant (à ma connaissance) est un shôjo réalisé par Kitagawa Miyuki (Forbidden Love, Nude Fruits) et intitulé Shinayaka ni Kizutsuite. L’histoire narre en deux tomes les amours entre un acteur kyôgen, Aki, et une lycéenne, Ai.

しなやかに傷ついて
« Hurt me Gracefully ». Une œuvre malsaine qui finira assurément dans la mangathèque de Meloku

Un autre manga aborde le kyôgen mais uniquement et indirectement avec quelques masques : Initiation. Ce titre en 5 tomes, jadis édité chez Delcourt, a été réalisé par une mangaka qui a étrangement disparu du paysage éditorial français tandis qu’elle produit toujours au Japon : Kashiwagi Haruko.

initiation_05
Couverture du tome 5 – ©Delcourt / Haruko Kashiwagi

On y suit les péripéties d’Aiura, un jeune puceau citadin, dans un village perdu en hautes montagnes. Là-bas s’y perpétuent des rites de passage d’ordre sexuel permettant de passer du stade d’enfant à celui d’adulte. Seul le dernier volume présente le masque lors des rites exutoires où la population chante et danse toute une nuit avant de sombrer dans l’ivresse du désir, la bacchanale en moins.

Le protagoniste porte un masque Usobuki pour représenter tantôt un moustique, tantôt une pieuvre. Sa grimace semble indiquer une envie d’opérer une succion sur tout ce qui l’environne puisque le garçon ne pense à ce moment du récit qu’à se trouver une femme pour assouvir ses besoins sexuels. En face, une des protagonistes présente un masque nô Ko-omote (« belle femme »). Le comique de situation réside dans l’expression dégagée chez chacun : le suceur surexcité contre la sérénité et la mesure de la demoiselle. Tout comme l’acte sexuel, le masque kyôgen investit l’intégralité du corps humain qui débride le masque grave et silencieux du spectateur du . Et de la partenaire selon les cas.

Initiation6
Sumiko et Aiura / HANAZONO MERRY-GO-ROUND © 2001 By Haruko KASHIWAGI / Shogakukan Inc., Tokyo

L’autre point du port du masque dans les relations sexuelles est basé sur l’audace, l’effronterie. Se masquer, c’est presque devenir l’homme invisible d’Herbert GeorgeWells. On peut ainsi transgresser des interdits sans risquer le blâme et provoquer une sorte d’embrasement des esprits. Cette exaltation renvoie à un passé ancien où le bouffon grimé se comportait, dit-on, légitimement, à l’inverse des principes régissant les relations sociales.

Enfin, Inio Asano a placé ce même masque dans le chapitre 80 du tome 8 de Bonne nuit Punpun pour là aussi exprimer une envie torturante de passer à l’acte avant de se retenir du bout des lèvres.

pun pun tome 8 chapitre 80
OYASUMI PUNPUN by Inio ASANO © 2007 Inio ASANO / Shogakukan Inc., Tokyo

Conclusion

Le kyôgen, forme théâtrale fluctuante et générationnelle selon la personnalité de l’acteur mais aussi de l’audience plus ou moins réceptive, est la racine de l’humour japonais. Cette forme comique a toujours joué une grande part dans les arts et lettres au Japon, depuis le haïku jusqu’au manga. Même si le kyôgen n’a pas comme unique objectif de provoquer le rire, il offre néanmoins une réflexion spontanée sur les coutumes, les modes de vie et le quotidien du Japonais au Moyen-âge mais aussi à l’époque moderne, ne serait-ce qu’à travers ses comportements face à la gourmandise, la duperie, la bouffonnade ou la colère.

Il s’agit d’un art qui doit prêter à la fois au rire mais également à la réflexion sur la maîtrise de ce rire dans certaines pièces qui mettent en scène la tragique destinée de l’homme en proie à ses défauts. Il faut donc créer une frontière pour éviter que tout notre être soit envahi d’un fou rire susceptible d’occulter le dénouement, pas nécessairement humoristique, d’un récit. Le rire sert de pause dans le déchiffrement d’une idée, d’une action, et peut souvent prendre le devant.

Enfin, ce genre théâtral endosse les imperfections de l’espèce humaine avec une simplicité à présenter des faits compréhensibles de tous, sans aucun artifice, avec un minimum de décor, un minimum d’accessoires mais un maximum d’imagination pour le spectateur qui plonge dans cet univers masqué par la laideur de notre âme.

D’s©

***

Bibliographie et sitographie non-exhaustives

BERTHIER, François  Arts du Japon = Masques et portraits. Paris : Publications Orientalistes de France, 1981.

GONTARD, Denis  Nô-kyôgen : le masque et le rire. Marburg : Hitzeroth, 1987.

GOTÔ, Hajime  « Le Nô et le Kyôgen » ; In Japon, théâtre millénaire vivant ; Paris : Société des Amis du Musée de l’Homme, 1970.

NOMURA, Mansaku  « Experiments in Kyotô » (1988) ; In Nô and Kyôgen in the Contemporary World – James R. BRANDON. Honolulu : University of Hawaï press, 1997.

SIEFFERT, René  Nô et Kyôgen. Paris : Publication Orientalistes de France, 1976.

YOSHIKOSHI, Tatsuo ; HATA Hisashi  Kyogen. Osaka : Hoikusha color books, 1982.

Un article avec quelques vidéos intéressantes sur les acteurs (présentation de masques et de rires employés sur scène)

Un lieuà Vincennes qui propose de temps en temps du kyôgen

Shadonia - Japon – Avril 2016 – Himeji

$
0
0

Après Kagoshima et Osaka, voici mon tout petit retour sur Himeji, ou plus précisément sur le château de Himeji. Situé à près d’1h30 d’Osaka en ligne JR, Himeji était une destination obligatoire vu sa proximité avec la précédente ville que j’ai visité et surtout qu’il a fini d’être rénové en mars 2015, une belle occasion […]

Cet article Japon – Avril 2016 – Himeji est apparu en premier sur Shadonia.

Manga Mag - DevilsLine – Tomes 3 et 4

$
0
0

Devils Line - Tome 3

Dans le tome précédent, nous avions abandonné nos personnages face à leur destin tragique. Désormais, la furie meurtrière des vampires n’est plus la seule préoccupation en ville. Une organisation criminelle lance un plan d’attaque dévastateur, semant le trouble chez les deux espèces. Anzai et sa brigade s’engagent alors dans une lutte acharnée contre cette organisation secrète. Le danger …

Manga Mag - DevilsLine – Tome 3 et 4

$
0
0

Devils Line - Tome 3

Dans le tome précédent, nous avions abandonné nos personnages face à leur destin tragique. Désormais, la furie meurtrière des vampires n’est plus la seule préoccupation en ville. Une organisation criminelle lance un plan d’attaque dévastateur, semant le trouble chez les deux espèces. Anzai et sa brigade s’engagent alors dans une lutte acharnée contre cette organisation secrète. Le danger …

Ik` Ilote 4 - Ik` Ilote 5 : nouvelle version du site en ligne !

$
0
0
On ne pourra pas dire que cela n'a pas changé[Ref]Pour information, l'ancien thème se nommait Sora (ciel en japonais) et celui-ci se nomme Crépuscule.[/Ref]. Plus sombre, plus large, normalement supporte mieux le redimensionnement. Mais je n'ai pas totalement fini, j'ai encore quelques finitions à réaliser sur le design.
C'était normalement prévu pour bien plus tôt que cela. En fait, j'aurais aimé sortir la nouvelle version du site avant les 12 ans... Je me suis loupé de quelques (dizaines de) jours. J'ai n'ai pas fait comme pour le passage de la 3 à la 4 (et même la 2 à la 3), une migration en progressive avec deux sites en ligne. En fait, pour une fois, cette nouvelle version est plus une évolution de la version 4 qu'une refonte totale[Ref]J'en suis arrivé à un niveau où il n'est de toute façon plus envisageable pour moi de tout reprendre. Il y a plus de 340 vues et 500 fichiers PHP (hors bibliothèque externe).[/Ref] avec un gros ajout dans le moteur : le support multi-domaine. C'est en partie cela qui m'a contraint d'arriver à un état suffisamment avancer pour tout migrer d'un coup et comme il n'y a eu que peu de changement, c'était plutôt facile.
La première partie qui bénéficie du support du multi-domaine est Collection. Le plus gros de ma migration était de mettre en place toutes les redirections vers le site (une fonctionnalité qui existait depuis des lustres et qui trouve enfin une vraie utilité). Normalement, la suivante devrait être les Blogs, mais j'ai quelques petits soucis. J'ai oublié d'adapter certaines parties... En l'état, ce n'est pas possible.
Techniquement à part des corrections d'interface, c'est le même site. Seul un nouveau design entièrement basé qui ne passe plus sur les vieilles versions d'Internet Explorer, et je n'ai pas non plus moyen de tester sur Edge. D'ailleurs, j'ai pété ma machine virtuelle avec Windows, donc je n'ai même plus moyen de tester dessus. Le site est certifié 100% fonctionnel sur Firefox (navigateur de développement) et Chrome (sous Linux). Merci de me faire de retour si vous avez un souci. Ayant tout refait, je ne suis pas à l'abri d'un oubli.
Note : si des nostalgiques veulent pouvoir utiliser l'ancien design, je peux l'adapter, ça prendra juste un peu de temps. Mais moins que la version actuelle... je ne compte même plus le nombre d'heures passées dessus. Probablement plusieurs centaines, j'y suis depuis novembre.
[Refs]

Paoru.fr - Manga : Retrouvailles avec Akira, 25 ans après…

$
0
0

La semaine dernière j’ai fait un petit bond en ouvrant un colis. Ça m’arrive de temps en temps, les petits bonds de surprise et de joie, lorsque le carton d’emballage dévoile quelque chose que j’attendais avec impatience. Au sein de ce paquet des éditions Glénat a jailli un alléchant pavé qui m’a fait repartir plus de 20 ans en arrière : le premier volume de l’édition originale d’Akira, de Katsuhiro OTOMO, qui sort dans les librairies la semaine prochaine…

Akira édition originale

Je vous parle d’un temps que les mangaphiles de 20 ans…

Comme beaucoup de trentenaires mangaphiles, Akira a été mon tout premier manga… tout simplement car il a été LE premier manga publié en France aux yeux de notre génération (au delà de quelques tentatives précédentes s’entend). Nous étions alors en 1991 : je suis un adolescent lambda et je prends le titre de plein fouet… Un électrochoc. C’est trop bon, jouissif même, ça me parle comme rien en bande dessinée ne m’avait parlé  auparavant, ça contient des rêves et fantasmes qui étaient miens sans que je le sache. Je dévore donc les aventures de Tetsuo et Kaneda en même temps que je découvre le film d’animation qui arrivera la même année dans notre hexagone.

C’est une révélation et le début d’une relation forte qui va durer pendant les 5 années de publication de l’ouvrage en France. J’ai lu et relu Akira une bonne vingtaine de fois pendant cette époque – nous n’étions pas surchargé de sorties à l’époque cela dit – puis j’ai laissé la collection prendre progressivement la poussière, sans rebondir sur la nouvelle édition publiée de 1999 à 2000 car j’étais encore trop attaché à la version couleur et surtout à ces livres que j’avais eu entre les mains si souvent. Hors de question les remplacer par quoi que ce soit dans mes étagères.

Akira - Edition Couleur - Tome 1

Akira – Edition Couleur – Tome 1

Aujourd’hui, en 2016, je ne suis toujours pas enclin à me séparer de cette édition mais j’avais envie de la faire cohabiter avec une nouvelle, et de profiter de l’occasion pour (re)découvrir Akira en noir et blanc, dans cette version retravaillée et pilotée par OTOMO himself. Il se trouve que le voyage est allé au-delà de mes attentes, il s’est révélé d’une richesse inattendue… Laissez moi donc vous parler de ces retrouvailles !

Quand OTOMO écrit Akira, il a 30 ans… et moi 13

Donc forcément, à l’époque je vois surtout l’histoire de Tetsuo et Kaneda, deux adolescents voyous, déjà bien en marge de la société : membres d’un gang de motards, ils passent leur temps à défier l’autorité et cultive avec humour leur insolence, reniant un système qui les rejettent et cherchant pourtant, dès qu’il le peut, à les soumettre. Ayant autant soif d’adrénaline que de s’échapper de cette société où ils n’ont pas de place, ils roulent à toute allure, se défient les uns les autres, se battent… Et veulent, au passage, mettre le plus gros bordel possible pour prouver au Monde qu’ils existent et qu’il faudra bien compter avec eux. Une révolte évidemment adolescente qui fait bien plus que me concerner : à l’époque je suis des leurs, où du moins j’en rêve !

Akira - Kaneda - Moto

Akira – Kaneda et sa moto © 1984 Katsuhiro Otomo

Lors de ces premiers rendez-vous avec l’oeuvre je ne m’expliquais pas cette immersion, je n’avais ni l’expérience des mangas ni le recul… et de toute façon je me moquais de savoir le pourquoi du comment de mon engouement. Je kiffais et surkiffais en boucle, point. Mais en savourant cette édition la semaine dernière, une lecture entre les lignes s’est naturellement mise en place et j’ai pu toucher du doigt l’extraordinaire travail d’OTOMO, ainsi qu’une partie de ces influences ou inspirations. Akirac’est d’abord un univers extrêmement travaillé qui est posé sur des bases assez simples, en apparence : nous sommes en 2019, trente-huit ans après la Troisième Guerre Mondiale et un an avant les Jeux Olympiques de 2020 qui se dérouleront à Néo-Tokyo, la ville qui a été reconstruite sur les cendres de l’ancienne capitale nippone.

Trente-huit ans après… Wait a minute ! Akira a débuté sa publication fin 1982, début 1983 au Japon… soit trente-huit ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale ! Bon avec la coup de l’explosion nucléaire et son lien évident avec Hiroshima et Nagasaki, ceci n’a rien d’un scoop. Néanmoins ce que je ne réalise pas dans les années 80, c’est que OTOMO est né en 54 et qu’il a donc vécu une bonne partie de cet après-guerre : le caractère si réaliste d’Akira vient que son auteur n’a pas eu à chercher bien loin pour trouver des éléments à même de composer son univers, vivant lui même trente-huit ans après un conflit majeur.

akira-explosion

Akira : la fameuse explosion qui initie l’histoire © 1984 Katsuhiro Otomo

Dans Akira, on suit les traces d’une génération d’adolescents et de jeunes adultes qui n’ont pas connu la fameuse guerre en question mais qui en subissent tout de même les conséquences, comme ce fut le cas pour la génération née de 1945 jusqu’aux années 60, avant le miracle économique japonais : pour éviter qu’une telle catastrophe ne se reproduise, les militaires possèdent une place prépondérante dans les hautes instances du pays et ont tout les droits dès qu’il s’agit de sécurité nationale (oui oui, moi aussi ça me rappelle l’actualité, mais passons). On notera tout de même qu’OTOMO ne fait pas du corps militaire un ennemi totalement noir et manichéen. Leur commandant, l’énigmatique et implacable Colonel, doit affronter une autre armée, celle des bureaucrates, qui n’ont guère envie de croire au mystérieux danger que les militaires prophétisent et gardent jalousement sous leur « contrôle », ni de leur fournir les budgets astronomiques nécessaires pour protéger les générations actuelles d’un nouvel Armageddon.

Face au pouvoir en place, tenu assez fermement tout de même, on peut retrouver deux inspirations historiques qui viennent étoffer l’univers de la série, et qui constituent deux formes d’opposition : les motards et les gangs de voyous tout d’abord, qui sont une référence évidente aux  bōsōzoku, ces clans de motards et d’automobilistes jugés bruyants et dangereux dans les années 1970-1980 au Japon. Du coté moins visible de l’iceberg il y a également l’héroïne Kei, et son « frère » Ryusaku, membres d’une organisation qui cherche à faire la lumière sur les manœuvres secrètes des militaires au sein du soi-disant chantier de construction du nouveau stade olympique (pour les JO à venir, je vous le rappelle). Ils se posent aussi pas mal de questions sur les milliards qui disparaissent autour d’un étrange projet, le projet AKIRA. Cette faction révolutionnaire et armée n’est pas sans me rappeler les mouvements de protestation et d’opposition qui sont allés jusqu’au terrorisme dans le Japon de la fin des années 60 – début des années 70, et que nous avons déjà évoqués à travers Unlucky Young Men.

Akira tome 1

La sous-couverture du tome 1 dépeint une société peu enviable… © 1984 Katsuhiro Otomo

Tout ça est mis bout à bout dans une ambiance de société décadente, et donne vie à un univers d’une grande richesse permettant au récit de poser les bases d’une vraie révolution, l’une des grandes forces du titres : les mystères accumulés par la génération précédente finira par la détruire avant qu’une nouvelle, trop ivre de pouvoir, ne mette en place un système né dans la violence et dans la loi du plus fort, recréant à foison les erreurs du passé.

Mais le talent du mangaka ne s’arrête pas là car si ces éléments s’accordent si bien ensemble et forment un tout cohérent c’est parce que le graphisme de l’oeuvre agit comme un véritable ciment pour lier et consolider le tout, en nous présentant une néo-Tokyo plus vrai que nature, gigantesque et inquiétante. Néanmoins, de cette ville moderne très verticale sans doute assez variée socialement parlant, on nous en présentera davantage les bas fonds que les gratte-ciels. Les bâtiments méritent tout de même le coup d’œil : des immenses building modernes à l’école délabrée et taguée de partout, en passant par des sous-sols biscornus et des hangars pleins de bric et de broc, tous possèdent leurs petits suppléments d’âme qui suggèrent une certaine histoire….

Les décors en diront finalement beaucoup plus que la population elle même sur la société que nous présente OTOMO, à l’exception faite de nos héros bien sûr… Mention spéciale également aux moyens de locomotion qui souligne une passion d’OTOMO sur ce sujet et qui participe indéniablement au plaisir des yeux et à l’admiration qu’a toujours suscité Akira. En effet, même si je mets de coté les légendaires poursuites en moto qui doivent une part importante de leur popularité au film, on peut quand même évoquer la flopée de véhicules qui bénéficient tous du même soin et du même soucis du détail : du camion de livraison de poissons jusqu’aux sublimes hélicoptères de l’armée en passant par les petits véhicules volants que l’on suit dans la poursuite à vive allure au sein des égouts… tout est traité avec soin et il est bien difficile de dire ce qui est copié sur des véhicules réels de ce qui est pure invention.

Akira © 1984 Katsuhiro Otomo

Akira © 1984 Katsuhiro Otomo

Quand OTOMOécrit Akira il a donc 30 ans et plein de choses à dire, mais aussi un graphisme qui exprime à merveille sa vision. J’ai insisté sur les éléments de décors mais on pourrait aussi parler de la narration, de la mise en page, de son utilisation des lignes de forces ou de sa représentation des impacts pendant des heures. On le fera peut-être plus tard cela dit, un seul volume est paru sur les six prévus pour le moment, on a le temps de revenir là dessus. Pour terminer j’en finirai plutôt par les personnages, et par un tout particulièrement…

Tetsuo SHIMA

En relisant les 360 premières pages de cette nouvelle édition je me suis revu à l’époque : des images, des ambiances et des sensations de ma vie adolescente sont remontées. On dit souvent que le cerveau imprime tout ce qui vous arrive quand vous vivez des moments marquants, et c’est en voyant tout ces détails refaire surface dès la lecture des premiers chapitres que je comprend aujourd’hui à quel point ce manga a forgé des pans entiers de mon imaginaire. Si la vague de mangas qui va arriver quelques années après en France, de Dragon Ball à Slam Dunk, va me donner envie d’écrire dessus et de devenir journaliste en la matière, Akira a été la clé sur un nouveau monde beaucoup plus personnel, un modèle de rébellion qui me faisait rêver, une fureur de vire digne d’un James Dean.

Tetsuo SHIMA © 1984 Katsuhiro Otomo

Tetsuo SHIMA © 1984 Katsuhiro Otomo

Comme je le décrivais tout à l’heure la série possède une galerie de personnages clés qui incarne chacun un symbole : il y a Kaneda, le héros rebel, plutôt beau gosse, très effronté, grande gueule et casse-coup mais qui ne manque pas d’humour, d’ingéniosité et qui croit dur comme fer en l’amitié et la loyauté de ses camarades. Avec son tempérament de chef et sa tendance à se mêler de ce qui ne le regarde pas, il est l’anti-héros parfait, celui qui met tout le monde face à ses contradictions, ses erreurs et ses mensonges, celui qui vient foutre un énorme bazar pour crever tous les abcès. Kaneda c’était l’ami rêvé, celui a qui tout semble réussir, qu’on finit toujours par écouter et qui brave tous les interdits le sourire aux lèvres.

Moi, j’étais Tetsuo.

Tetsuo, c’est l’un des amis fidèles qui, un jour où il décide de devenir le premier dans une course sur l’asphalte, fait une rencontre brutale qui va le transformer… Dans tous les sens du terme. Suite à son accident avec le numéro 26, un être étrange doté de pouvoirs para-psychiques, Tetsuo va s’éveiller à ses propres pouvoirs, devenant l’un des « enfants-numéros » de l’armée, ces êtres cachés dans le plus grand secret depuis plusieurs décennies. Mais les pouvoirs de Tetsuo grandissent vite, trop vite pour lui comme pour l’armée, et ses difficultés à les gérer font ressortir les pensées les plus sombres de l’adolescent, jusqu’ici un peu timide et renfermé. Sa toute puissance le grise, l’emmène très rapidement vers le meurtre – d’abord par accident puis sciemment – et semble lui interdire le retour en arrière. Encore faudrait-il qu’il le veuille et, de toute façon, bientôt plus personne ne pourra l’arrêter. Cette façon de tout envoyer balader, de tout faire exploser y compris sa propre frustration me séduisait totalement : qu’est-ce que je ferai si j’étais Tetsuo ? Une interrogation récurrente dans mon esprit d’adolescent.

Kaneda - Tetsuo

Kaneda – Tetsuo, frères ennemis © 1984 Katsuhiro Otomo

Et donc arrive ce qui doit arriver, Kaneda se retrouve face à Tetsuo et les deux deviennent frères ennemis quand le jeune monstre-junkie fait exploser la tête de leur ami commun, Yamagata, dans une scène d’anthologie d’une rare violence. C’est le point de non-retour franchis par soif de pouvoir et de reconnaissance d’un adolescent dont on a artificiellement supprimé les limites, au nom de la science et en se moquant bien de ce qu’il allait advenir de son humanité. Mais Tetsuo leur rendra cela au centuple, en s’intéressant tout d’abord à l’origine de ces dons, sur un chemin qui le mènera rapidement à Akira…

Mais ça et la suite c’est pour le prochain volume, qui sort normalement le 29 juin prochain. On en reparlera sûrement car il y a encore plein de choses à dire sur cette série. En attendant, je compte sur vous pour partager vos souvenirs à la lecture ou à la relecture du titre, en commentaire de l’article !

Journaldujapon - Japon : en promenade au pays des insectes

$
0
0
Le Japon est le pays des insectes : nombreux et souvent "énormes" par rapport aux insectes occidentaux, ils font l'objet d'une véritable passion de la part des japonais qui aiment les observer, les élever.

Kawakawakun - [Divers] Japon 2015 : les achats et autres craquages!

$
0
0

jp71501En faisant le tri sur mon pc, je suis tombé sur le dossier contenant les photos de mes achats au Japon en Juillet dernier.
Normalement ce billet aurait du venir juste après les différents articles retraçant notre voyage mais comme je ne les ai toujours pas fini ( il doit m’en rester 4 ou 5 à écrire) et que j’ai très envie de vous parler de mes achats sur place (même s’ils commencent à dater un peu XD) voici donc un récapitulatif de ce que j’ai ramené de beau dans mes valises avec au programme du manga, des art-books, de la figurine (un peu), du jeu vidéo(beaucoup) et j’en passe … ^^

DSC03804On attaque tranquillement avec quelques mangas que j’ai pour la plupart choppé en occaz(dans un état quasi neuf donc) dans un des nombreux Book-Off japonais.
Cela concerne les tomes 34 à 37 de Gantzque je voulais pour avoir la fin de la série en japonais!
Je me suis également choppé les vol 1 et 2 de Last Hero Inuyashikiet le vol 6 de Prison Schoolen neuf. J’ai craqué pour Last Hiro Inuyashiki car en tant que fan de Gantz, je voulais voir à quoi allait ressembler la nouvelle série de l’auteur Hiroya Oku et aucun volume n’était encore sorti en France à ce moment la.
Pour Prison School il s’agissait d’une sortie toute récente au moment de mon voyage et comme je venais de découvrir la version française, je me suis laissé tenter à voir ce qu’il se passait un peu plus tard dans le manga.

DSC03805Bouquin toujours mais cette fois ci du coté des magazines avec les Megami, Megami Special et Nyan Type du moment.
Malgré mes précédents voyages, je ne m’étais jamais intéressé à ces différentes parutions qui sont pourtant des institutions pour les fana d’anime. Ils ont également la particularité de contenir chacun une 10aine de poster recto verso à l’effigie des héroïnes des animes du moment. En ce qui me concerne j’ai eu droit entre autres à du DanMachi, Triage X, Highschool DxD ou encore Kantai Collection.

Je me suis également choppé un magazine paru à l’occasion des 30 ans du manga City Hunter de Tsukasa Hojo.
Récapitulatif des missions de Ryo Saeba, Top 30 des plus belles actions mais aussi des mokkori, recueil d’illustrations, contribution d’autres auteurs et interview sont au programme des quelques 120 pages de l’ouvrage.
Je ne le cherchais pas particuliérement et j’ai été assez surpris de le trouver dans un Conbini parmi divers autres magazines mais pour le coup je le trouve vraiment très sympa et plutot bien foutu.
Il fera éventuellement l’objet d’un billet dédié ou d’une mise à jour de photos histoire de vous en montrer un peu plus.

DSC03808Enfin impossible pendant un séjour au japon de ne pas craquer sur différents art-books.
Si celui sur Puzzle & Dragonsà déjà fait l’objet d’un précédent billet, j’en ai également prit 3 autres dédiés respectivement à DanganRonpa Another Episode, Triage X/HighSchool of the Dead ainsi qu’aux 2 séries To Love (ru/trouble et darkness).
La aussi chacun des ouvrages mériterait un article dédié (un jour peut être XD) mais ce que je peux rapidement dire c’est que le bouquin sur DanganRonpa Another Episode (épisode « spin-off » de la série sur ps vita) est aussi un guide du jeu qui m’a été très utile pour chopper le platine de la version japonaise du jeu.
Pour « Lighning Pop », c’est un art book consacré au travail de Shouji Satoà qui l’on doit les héroïnes bien pourvues des mangas Triage X et Highschool of the Dead. J’avais repéré la version fr chez mon libraire mais étant un inconditionnel des art-books japonais, j’attendais pour le bon moment pour me le procurer en v.o ce qui est chose faite.
« Venus » est quant à lui un recueil  d’illustrations provenant des mangas « To Love Ru » et « To Love Darkness » dont les dessins sont signés par Yabuki Kentaro. J’ai découvert cet auteur il y a de nombreuses années avec la série « Black Cat » et je suis très rapidement tombé sous le charme de ses dessins. Avec les séries To Love, l’auteur montre qu’il dessine tout aussi bien les scénes d’actions que les « pantsu shot » et les fortes poitrines, ce qui n’est pas pour me déplaire.

DSC03778Fini pour le papier et place au plastique maintenant avec les figurines que j’ai récupéré sur place à savoir la  Black Blaze, Graceful Valkyrie de Puzzle & Dragons et Eri Ayase version « Sore wa Bokutachi no Kiseki » de Love Live.

DSC03791DSC03779

Ces 2 figurines ne m’ont pas couté grand choses (de mémoire respectivement 600 et 800 yens soit environ 5 et 6€50) puisqu’il s’agit de « Prize Figure » que j’ai gagné en jouant aux « UFO Catcher ». Je pourrais passer des heures à arpenter les salles d’arcade en quête de la figurine prête à tomber d’autant plus qu’avec un peu de technique il est vraiment possible de remporter ces prix qui sont pour le coup vraiment sympa (on est bien loin des peluches à la c.. impossible à chopper dans nos machines à pince XD).

DSC03801Bon ce n’est pas de la figurine haut de gamme et les finitions peuvent parfois laisser à désirermais pour le prix et avec le fun que cela procure de les faire tomber, je suis totalement satisfait de cet « achat ». C’est un des objectifs que je me fixe à chaque fois que je me rend au Japon et c’est toujours un plaisir de le remplir.
Malgré le très large choix de figurines disponible en magasin, je me suis limité à ces 2 là car je n’ai plus trop de place à la maison pour en exposer d’autres (ce qui ne m’empêche pas pour autant de continuer à en commander mais uniquement en cas de gros coup de cœur XD).

DSC03757Si je me suis retenu en ce qui concerne les figurines, j’ai eu la main un peu plus lourde en ce qui concerne les jeux vidéo puisque c’est clairement le domaine dans lequel j’ai dépensé le plus d’argent durant ce voyage.

DSC03767On commence gentiment avec de la Ps3 et l’édition « Collector » du visual novel Disorder 6.
J’avais vu passer cette version sur le blog de Joniwan et j’avoue que je l’avais trouvé assez jolie. Du coup quand je suis tombé dessus dans un book-off, je n’ai pas hésité longtemps avant de céder.

DSC03769DSC03768

Il s’agit d »une édition vraiment soignée avec une très jolie illustration  sur le boitier et un contenu vraiment sympa puisqu’en plus du jeu se trouve l’ost sur 2 CD ainsi qu’un drama audio.

DSC03764On continue avec deux jeux Ps4 : Guilty Gear Xrd et Dead or Alive 5 Last Round.
S’il n’y a pas grand chose à cire sur le DOA5LR derniére mouture en date du jeu de baston de Tecmo que j’ai choppé en occaz chez Trader, il serait un peu plus intéressant de se pencher sur le cas Guilty Gear Xrd.

DSC03765Il s’agit en fait de la limited box qui contient en plus du jeu un fightpad à l’effigie du jeu. Payé une misère dans une boutique d’occaz, je suis bien content de l’avoir pris car cela m’a permis de découvrir les joies du fightpad sur Street Fighter V notamment.
Bien qu’estampillé Sanwa, cette manette au 6 boutons est tout ce qu’il y a de plus cheap en terme de matériau et ce aussi bien au niveau de la coque comme des boutons ou de la croix multidirectionnelle. Malgré tout j’ai découvert avec plaisir la maniabilité idéale à mes yeux que procure ce genre de pad et j’avoue que je songe plus que sérieusement à investir dans un modèle de meilleure qualité.
En ce qui concerne Guilty Gear Xrd, je n’ai pas encore pris le temps de le tester mais j’ai pu faire quelques parties en arcade qui se sont avérées plutot agréables.

DSC03760Viennent ensuite 3 titres PsVita: Taiko no Tatsujin, Persona 4 Dancing all night et l’adaptation jv de l’anime Cross Ange.
Je n’ai pour le moment testé aucun de ces 3 jeux mais ils étaient sur ma wishlist pré- voyage et je n’ai pas eu grand mal à mettre la main dessus (en occasion).

DSC03761Toujours en occasion et toujours sur PsVita, je me suis laissé tenter par cette charmante petite box au dessin très plaisant.
Il s’agit d’une compilation contenant les 2 épisodes du visual novel Lovely x Cation. D’abord sorti sur pc respectivement en 2011 et 2013, cette version Vita est quant à elle disponible depuis mai 2015.

DSC03763Cette box constitue la version collector de la compilation dont le contenu est typiquement japonais.
En plus des 2 jeux et dans la bande son, cette édition contient également un petit set de toilette comprenant une mini brosse à dent et le gobelet qui va bien. Le genre de goodies wtf dont je raffole dans u collector XD.

Encore une fois je n’ai pas testé les jeux mais après quelques recherches, il semblerait que cette version Vita ai été censurée par rapport aux versions PC. A noter qu’il existe également un anime hentai du même nom mais de la à vous dire s’il s’agit d’une adaptation (ce que je pense être le cas) ou non, je n’en ai aucune idée.

DSC03771Enfin voila LE gros morceau en ce qui concerne les Jeux Vidéo : la PsVita collector Persona 4 Dancing All Night.
Cela fait un certain temps que je souhaite acquérir une PsVita Collector mais je n’ai jamais sauté le pas sur le net et ce voyage était pour moi l’occasion de trouver mon bonheur. Malgré tout je n’y croyais pas spécialement car ces petits bijoux se retrouvent rapidement sold out et peuvent se révéler très difficile à trouver par la suite. En ce qui me concerne j’ai trouvé la mienne au détour d’une visite dans un Trader (il me semble ) d’Akihabara. Alors certes il s’agit d’un modèle d’occasion mais connaissant le soin dont font preuve les japonais, je n’ai eut aucune réticence à sauter sur l’affaire. En quelques minutes l’affaire était pliée et je repartais avec une nouvelle console sous le bras.

DSC03772DSC03773

Niveau contenu ce pack embarque le jeu P4 Dancing all night en version « Crazy Value Pack » avec en plus du jeu, sa bande son ainsi que du contenu à télécharger.

DSC03774Et bien entendu au fond la boite, la fameuse Ps vita collector.

DSC03776DSC03777

Il s’agit d’une série 2000 à l’effigie du jeu. Si la face avant reste très sobre tout de blanc vêtue (avec un petit aspect laqué pas déplaisant du tout), c’est par contre l’orgie de couleur sur la face arrière.
Le choix des couleurs (flashy et bien pétantes) peut surprendre et même agresser la rétine mais cela colle parfaitement bien à l’esprit du jeu et de ses musiques.
Mention spéciale au petit Teddie qui prend la pose qui va bien pour l’occasion (« Saturday Night Fever » représente).
Très clairement cet achat a fait exploser le budget souvenir sur place mais je voulais vraiment rentrer avec une machine et qui plus est une PsVita Collector, ce qui est maintenant chose faite.

DSC03759DSC03758

Pour conclure cette partie consacrée aux Jeux Vidéo, quelques petites babioles à commencer par les 2 amiibos Yoshi en laineque nous n’avions pas à la maison : le bleu et le rose.
A ce moment-là ces amiibos venaient de sortir en France et étaient difficilement trouvable, ce qui n’étaient absolument pas le cas au Japon.
Je me suis également pris 2 cartes pour le psn japonaisde 5000 yens chacune histoire de pouvoir me lâcher sur certains DLC japonais (comme les personnages supplémentaires de Senran Kagura ^^). Histoire de faire les choses bien, j’ai pris des cartes « spéciales » à l’effigie de jeux : Hatsune Miku et The Idolmaster.

DSC03823

DSC03824DSC03825

Impossible de faire un voyage au Japon sans ramener de quoi grignoter une fois rentré(histoire de prolonger un peu plus le plaisir du voyage ^^).
Il y a des classiques dont je ne peux pas me passer à commencer par les « Umaibo ». Je suis totalement accro à ces petits bâtonnets aux gouts multiples et variés. Il y a également les fameux « Pocky ». Chaque fois j’essaye de prendre des variétés que je ne connais pas et cette année j’ai découvert les versions Panda (pas mauvaise du tout) et surtout les « Almond Crush » qui sont juste une tuerie!!!(je regrette vraiment de ne pas en avoir pris plus XD).
Je ramène toujours également des « Choco Ball ».
Pour le reste je tape essentiellement au hasard. Bonbons, chocolats, snacks, je prends un peu tout ce qui me passe sous la main avec de bonnes comme de mauvaises surprises XD.

DSC03815

DSC03816DSC03818DSC03820DSC03821

DSC03819J’ai aussi ramené quelques « gâteaux » choisis le plus souvent pour l’emballage que pour le contenu.
La plupart du temps il s’agit de petites brioches fourrées à la pâte de haricots rouges dont je ne raffole pas particuliérement. J’ai tout de même eu quelques bonnes surprises comme les gaufrettes du zoo de Ueno (dans une chouette boite métallique) ou les petites bouchées fourrées à la pêche.
Mention spéciale pour les gâteaux « Maidreamin » offert en cadeau lors de notre visite et qui n’étaient pas mauvais du tout (sorte de petits moelleux vanille/fraise).

DSC03814Achat obligatoire également : les gashapons, dont les machines se comptent par centaines la bas avec autant de produits différents à l’intérieur.
Il y a bien sur des trucs totalement wtf comme les« neko sushi ». D’autres plus classiques (Sailor Moon ou Pokemon) mais mes préférés de cette années sont sans conteste les Monokuma de DanganRonpa Another Episode suivi de près par celui de TerraFormars et cette petite Sonico toute mimi.

DSC03810Et puis il y a les bricoles que l’on trouve au détour des étalages des « 100 yens shop »  ou chez « Tokyu Hands ».
On est tombé en pleine mode du tampon du coup il y en avait partout et pour tous les gouts. Du coup on en a prit quelques uns avec encre et cie histoire de ne pas tomber en rade avant le prochain voyage ^^.

En gros voila tout ce que nous avons ramené avec nous lors de notre séjour au Japon. C’est déjà pas mal et pourtant je ne vous ai pas tout montré car j’avais oublié de vider un sac au moment de la prise des clichés XD.
Manquent à l’appel une peluche Chocobo du café Artnia, un photobook, quelques t-shirts de chez Uniqlo et autres maillots nationaux (foot et baseball) ainsi qu’une magnifique bouteille de « liqueur d’amour ». C’est le petit surnom que je lui ai donné compte tenu de l’emballage mais en fait c’est juste une liqueur de prune (qui passe très bien pure comme dans une bière blanche soit dit en passant).
Je rajouterais probablement des photos de tout cela dans un futur proche et si Mme Kawakun a le courage elle vous présentera également tout un lot de goodies Card Captor Sakura dans un futur billet.

Juju Gribouille - Du dessin, des mangas, des comics, des BD et des critiques. - [7BD] Amabilia - Nue sous le masque

$
0
0

[7BD] Amabilia - Nue sous le masque Tome 1 des éditions Dynamite
Titre: Amabilia - Nue sous le masque - Tome 1
Auteure:  Eloïse Thomas Raven
Éditeur: Dynamite
Année: 2016
Nombre de pages: 56
Nombre de volumes: 3 (4ème volume en préparation)
Pour Public averti

Une soirée costumée. Simon s’ennuie à mourir jusqu’au moment où il croise le regard chaleureux d’Iris. Le désir monte entre les deux jeunes gens. Ils s’éclipsent de la soirée, prennent un taxi et s’excitent mutuellement. C’est une fois dans l’ascenseur de l’hôtel de Simon que les choses deviennent plus sérieuses.

Désir, envie et plaisir les accompagneront toute la nuit.






Retrouvez plus d'information sur le site web de l'auteure Eloïse Thomas Raven.
Vous y trouverez notamment quelques extraits de dessins et des infos sur la série.

Vous pouvez aussi retrouver un extrait en lecture sur le site de la Musardine: BD-Adultes.com


Osananajimi - Tasogare Otome x Amneasia

$
0
0

  Aujourd’hui, un article trash-talk parce-que c’est gratuit. Pour cela je vais analyser pour vous la très probable création de l’animé Tasogare Otome x Amneasia. Information Type : TV-size Episodes : 12+1 OAV terminés. Diffusion : 8 avril 2012 – 24 juin 2012 Studio : Silver Link Genres : Horreur, Mystère, Romance, ShonenTasogare Otome x Amnesia opening – […]

Cet article Tasogare Otome x Amneasia a été publier sur Osananajimi.

Manga Mag - Le manga ATOM the Beginning adapté en animé

$
0
0

ATOM the Beginning

Le manga ATOM the Beginning de Tetsuro KASAHARA et Masami YÛKI, d’après l’œuvre originale d’Osamu TEZUKA, Astro Boy, va être adapté en animé. A ce stade, nous n’avons pas d’information sur le format, la date de diffusion ou l’équipe en charge. Supervisé par Macoto TEZKA (Makoto TEZUKA), fils du célèbre mangaka, ATOM the Beginning est pré-publié dans le magazine HERO’S …

Chronique d'une (autre) Otaku - Eroge Time ! Tears To Tiara

$
0
0
Dans le premier Eroge Time ! Je vous ai parlé de Fate/stay night, mon tout premier eroge. Cette fois-ci, intéressons-nous d'un type de jeu qui marie deux genres qui vont bien ensemble : le RPG érotique ! Eh ouais, comme quoi les jeux hybrides peuvent...

Manga Mag - Fullmetal Alchemist : Retour sur la saga d’Hiromu ARAKAWA

$
0
0

Fullmetal-Alchemist

En 2005 naissait un nouvel éditeur dans le milieu du manga en France. Kurokawa débarquait avec quelques titres (dont Azumanga Daioh et Kimi Wa Pet de mémoire) mais surtout UNE grosse licence : Fullmetal Alchemist. Depuis, le catalogue de l’éditeur s’est étoffé et accueille d’excellents titres comme Ippo, Soul Eater, Vinland Saga, Yotsuba &! et autres Genshiken… La licence Hagane no Renkinjutsushi, gros carton au Japon, a …

Avis Critique - La babe cosplay de la semaine #291

$
0
0
Héros de Fallout 3La babe cosplay de la semaine à découvrir. Devinez le personnage en cosplay !

Manga Mag - Un trailer pour le film Kaze no Yô ni

$
0
0

Kaze-no-yo-ni

Après une campagne de financement participatif réussie, le long-métrage animé issu du manga Kaze no Yô ni de Tetsuya CHIBA dévoile un nouveau trailer. Le crowdfunding lancé par le mangaka en février dernier a récolté presque 3 millions 500 mille yens (sur une cible de 2 millions), lui permettant d’être produit. Kaze no Yô ni est un manga one-shot qui fut pré-publié dans le magazine Shôjo …

Mangacast - Mangacast Omake N°37 : Mai 2016

$
0
0

Mangacast Omake N°37 : Mai 2016

Dans ce Mangacast Omake n°37, notre équipe chronique : Hinomaru Sumo, Ugly Princess, Beyond Evil, Anus Beauté, My Hero Academia, Gate Au-delà de la porte, Re/Member, Seven Deadly Sins, KumaMiko et Re:Zero ! Presque 1 heure 40 d’émission pour partager, avec vous, nos conseils manga et animés du mois, et tout ça dans la bonne humeur et les blagues

Manga Mag - Bloody Delinquent Girl Chainsaw – Tome 1

$
0
0

Bloody-Delinquent-Girl-Chainsaw-Akata-manga-tome-1

Si vous ne connaissez pas Rei MIKAMOTO, vous êtes très probablement passés à côté de l’excellent Reiko and the Zombie Shop paru chez Doki-Doki il y a quelques années. Alors que le premier titre de l’auteur paru dans l’hexagone est très difficile à trouver, Akata vous propose de vous plonger dans un nouveau manga plein de folie, de sang, et …
Viewing all 14946 articles
Browse latest View live