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Manga Mag - Une nouvelle série TV live pour le manga Kimi Wa Pet

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Kimi Wa Pet

Le manga Kimi Wa Pet de Yayoi OGAWA va avoir droit à une nouvelle série télévisée live, treize ans après la dernière série japonaise adaptée du titre. La série de seize épisodes produite par Fuji TV et qui sera diffusée la nuit aura un scénario adapté par Fumie KOGA, ainsi que les acteurs Noriko IRIYAMA et Jun SHISON dans …

Manga Mag - Dragon Ball Super : l’arc Trunks du Futur débutera en juin

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Dragon Ball Super Trunks

C’est le 12 juin que devrait débuter l’arc “Trunks du Futur” dans l’animé Dragon Ball Super. Akira TORIYAMA, créateur de la licence, est crédité en tant que scénariste du pitch original de cet arc ainsi que du character design original des nouveaux personnages dont celui de Trunks (visible ci-dessous). Cet arc narratif prendra la suite de …

Chronique d'une (autre) Otaku - Otome Time ! Under the moon

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Décidemment, vous en avez pas fini à me voir parler d'otome games sur le blog puisque cette semaine je continue à vous présenter des jeux qui m'ont plu. Après Asaki Yumemishi et Akazukin to Mayoi no Mori, voici Under the moon de Sugar Beans. Les démons...

Manga Mag - Kanata no Astra, nouveau manga de Kenta SHINOHARA (Sket Dance)

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Astra Lost in Space

Kenta SHINOHARA, l’auteur du manga Sket Dance, vient de lancer un nouveau titre dans le Shônen Jump+ de Shueisha : Kanata no Astra (Astra Lost in Space). Le premier chapitre de ce titre d’aventure spatiale est d’ors et déjà disponible gratuitement sur le site du service. Le manga est lancé simultanément avec une version drama audio disponible sur …

Avis Critique - La babe cosplay de la semaine #288

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Luna Moon Rider de Dota 2La babe cosplay de la semaine à découvrir. Devinez le personnage en cosplay !

Fant'asie - L’oiseau bleu de Takashi Murakami

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L'oiseau bleu - tome 1

L’oiseau bleu de Takashi Murakami

Un one-shot saisissant !

Sous ce titre un peu énigmatique : L’oiseau bleu qui pourrait faire penser à titre rayonnant, tout en joie, se cache une oeuvre forte, dramatique et qui ne laissera pas indifférent.
Sa thématique, son propos et sa maturité en font le candidat parfait pour rejoindre la collection Latitudes.
L’oiseau bleu de Takashi Murakami est édité par Ki-oon et est disponible à la vente depuis le 12 novembre 2015.

Résumé de L’oiseau bleu chez Ki-oon

Résumé de l’éditeur :

Yuki Higashimoto est la plus heureuse des femmes : un mari aimant, Naoki, ainsi qu’un adorable garçon de cinq ans, Shu, la comblent de bonheur. Mais la sortie de route de la voiture qui les ramène d’un innocent pique-nique va sonner de manière cruelle et irrémédiable la fin de cette existence paisible… Le petit Shu ne survit pas à la violence du choc, et Naoki est plongé dans un coma végétatif. Pour Yuki, un long combat commence : comment reconstruire sa vie et préserver un lien avec un mari qui est présent sans l’être ?

Comment supporter le deuil et la maladie ?

Après le très estimé Le chien gardien d’étoiles, Takashi Murakami nous revient avec ce titre dramatique : L’oiseau Bleu. Mais cette fois, il est publié chez Ki-oon dans sa collection Latitudes.
Donc l’ambition affichée de l’éditeur et d’ouvrir cette oeuvre à un public, peut-être, moins initié au manga. Et cette stratégie a du sens dans la mesure où le récit de Murakami est un petit bijou d’émotion, de finesse et de drame. Le tout en étant très ancré dans notre réalité.

L’auteur a un vrai don de conteur dans ce registre dramatique. Il est capable très rapidement de nous tirer une larme. Mais son talent ne vient pas que de ça. Car il serait facile de jouer sur ça et de trop tirer sur la ficelle du pathos et de l’excès de drame. Lui, le fait tout en pudeur, en sensibilité et ne cherche pas à dramatiser son récit pour insister sur le coté larmoyant. On sent que sa volonté est d’aborder des thèmes forts mais tristes.

Ainsi, le mangaka nous propose plusieurs histoires centrées autour de la perte d’un être cher, de l’accompagnement d’un être aimé gravement malade et de sa propre conscience de sa faiblesse.

Ainsi dans le première histoire, en quelques pages, il faut survenir un drame à Yuki, qui causera la mort de son fils de 5 ans et le coma de son mari. L’auteur a choisi d’emblée de nous confronter à ce drame pour mieux se focaliser sur les conséquences. Il n’a pas cherché outre mesure à créer une affection au préalable des personnages pour mieux les faire souffrir. La perte de Shuet le coma de Naoki sont un fait et pas une finalité. Ce qui va l’intéresser c’est comment Yukiva arriver à survivre à ça.
Cette histoire est déchirante mais d’une justesse et d’une finesse certaine. Etant père d’un enfant de presque 6 ans, et un autre d’un an, inutile de vous dire que ça m’a profondément ému et touché. Je me projetais dans cette situation et n’osait imaginer à quel point je serais dévasté. Car je crois que fondamentalement, c’est le pire drame qui puisse survenir à quelqu’un.
La pauvre Yuki passe par une phase de déni avant d’accepter la réalité et de se battre pour que son mari survive et sorte du coma. S’en suit un combat de tous les instants pour elle, conter avec beaucoup de pudeur et d’intelligence.
Une critique du système médical est également au cœur de ce récit avec son combat pour permettre à son mari de recevoir des soins, alors qu’il n’est plus « prioritaire ».

Au-delà de ce récit, nous en avant d’autres, tous liés (mais je ne vais pas vous spoiler en vous disant comment). Les autres histoires abordent également divers drame comme la vie avec une personne malade ou encore un homme atteint d’Alzheimer qui se voit décliner mais qui n’y peut rien.
Dans ces récits on voit très bien l’impact de ces divers drames pour les principaux concernés et leurs proches. Tout parait d’une crédibilité et vraisemblance inouïes, rendant encore plus poignant ces « témoignages ».

Mais pour captiver son lecteur, il ne joue pas toutes ses cartes sur ses récits et sa capacité à nous émouvoir tout en pudeur. Il a un vrai talent dans sa narration. Au cours de ces histoires, plusieurs flashbacks sont insérés donnant plus de consistance aux personnages, pour lesquels on s’attache, et permettant de faire monter la tension et/ ou l’émotion. Tout est fait intelligemment. Au final, il brosse des portraits intimes d’une incroyable tendresse mais aussi malheureusement terriblement émouvant.

Graphiquement, le trait de Takashi Murakamin’est pas son point fort. Cela manque de finesse, de précision et de maîtrise. Pourtant, il s’en dégage beaucoup de tendresse et d’émotion. Il arrive à donner vie à ses personnages grâce à leur expressivité et un certains sens du détail. Même si son dessin parait grossier parfois, il colle finalement bien au récit, tout en retenu , simplicité et émotivité.

Pour conclure, L’oiseau bleu de Takashi Murakami est un petit bijou. Il est difficile de le décrire tant c’est une lecture qui se vit. Evidemment il faudra avoir le cœur bien accroché mais ce manga est tellement bouleversant et touchant qu’il serait criminel de passer à côté. Le mangaka arrive à nous émouvoir grâce à son sens de la narration, sa pudeur, son réalisme et sa tendresse. C’est indubitablement triste et émouvant mais on ne bascule jamais dans le pathos gratuit et l’abus de larmoyant. C’est très juste et les « drames » servent l’intérêt du récit.

Bref un récit qui m’a particulièrement touché et d’une efficacité rare ! Un pépite à découvrir d’urgence !

Journaldujapon - Hana & Alice mènent l’enquête de Shunji IWAI : Une Histoire d’enfants

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Près de trente ans se sont écoulés depuis le début de la carrière du réalisateur Shunji IWAI. Pourtant, c'est avec le film d'animation Hana & Alice Mènent L'Enquête que son travail est pour la première fois visible dans les salles françaises. Retour sur ce nouveau film du réalisateur et coup de projecteur sur l'ensemble de sa carrière.

Manga Mag - L’édition classique du manga Saint Seiya bientôt indisponible

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Saint Seiya T28

Kana, l’éditeur français du manga Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque) de Masami KURUMADA, nous apprend que l’édition classique du titre va être en arrêt de commercialisation. Publiée en France depuis 1997, parmi les premier titres japonais de l’éditeur et sous le titre Les Chevaliers du Zodiaque, cette édition en 28 volumes va donc disparaître après épuisement des …

Vaikarona - La Tombe des Lucioles

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Connaissez-vous le Tombeau des Lucioles ? A cette question, et même si vous êtes étrangers à l’animation japonaise, vous risquez sans doute de répondre à l’affirmative. le film d’Isao Takahata a acquis une telle notoriété depuis sa parution en 1988 qu’il est difficile d’ignorer son existence.
Mais connaissez-vous la Tombe des Lucioles ? La nouvelle de Nosaka Akiyuki qui a inspiré ce chef d’œuvre du studio Ghibli ? Il y a de fortes chances pour que vous soyez moins nombreux. La renommée du film semble s’être faite au détriment de l’œuvre d’origine et pourtant il s’agit bien d’une adaptation, qui plus est, rigoureusement fidèle à la nouvelle.

Considérez donc cette chronique soit comme une porte d’entrée pour ceux qui ne connaissent ni la nouvelle ni le film, soit comme une manière d’éveiller quelques douloureux souvenirs. Ici nous parlerons plus particulièrement du roman mais si lire vous ennuie n’hésitez pas à vous rediriger sur les critiques de Mangalerie et Kanpai.


Nosaka Akiyuki avait 85 ans lorsqu’il nous a quitté il y a tout juste 5 mois le 9 Décembre 2015. Ce grand âge est celui d’un homme qui a parcouru des décennies de transformation et crises, celui d’un voleur, un romancier, un chanteur, un ancien membre de la Chambre des Conseillers mais aussi celui d’un enfant qui a subi la seconde guerre mondiale et dont il narre les histoires dans la Tombe des Lucioles.

Son passage en politique n’aura pas duré longtemps mais il reste une grande personnalité de la moitié du XXe siècle. On lui doit la chanson Omocha no cha cha cha qui est reprise et chanté régulièrement dans les écoles ou encore Maryrin Monroe. Du côté des ses œuvres littéraires on peut faire remarquer les Pornographes qui sera adapté en 1966 par Shohei Imamura (cf. Article de Nosaka Akiyuki sur Journal du Japon)

La Tombe des Lucioles est donc une autobiographie, c’est son vécu et ses ressentis que l’on lit mais ce n’est pas aussi simple. Le personnage principal, Seita, est une fiction dans lequel l’auteur s’incarne avec quelques nuances, de la distance et surtout sa mort, annoncé dès le début de la nouvelle.

L’histoire suit Seita, 14 ans, et sa petite sœur Setsuko, 4 ans, séparés de leur mère par les bombardements de Kobe de 1945. Livrés à eux-mêmes, ils se rendent chez leur tante qui se révélera de moins en moins accueillante au fil du temps. Seita et Setsuko décident alors de se réfugier dans un abri désaffecté entouré par les lucioles dans lequel ils essaient de survivre coute que coute. Les problèmes vont cependant s’accumuler et entrainer la maladie puis la mort de Setsuko et Seita.

Bien qu’on sache à quoi s’attendre dès le début, le style de Nosaka Akiyuki à travers ses longues descriptions froides et détaillées, nous fait ressentir aussi bien la terreur inspirée par les attaques américaines que les maladies et la famine qui en résultent. Impossible de ne pas compatir avec le sort des personnages principaux. Leurs choix ne sont pas toujours justes, ils le sont même très rarement, mais partent toujours de l’intention la plus basique : chercher à vivre tant que possible.

« Le matin, la moitié des lucioles gisaient sur le sol, mortes, des cadavres que Setsuko enterra à l’entrée de la cave, « Mais qu’est-ce que tu fabriques ? », « J’fais la tombe des lucioles »…

Il n’y a pas de mal incarné, de personnages représentés grossièrement ou sans raison valable derrière. Je me souviens avoir détesté la tante de nos personnages principaux lorsque je l’ai vu pour la première fois mais dans le contexte d’un Japon Nationaliste ou il est normal de se dévouer à son pays, Seita parait presque comme un paresseux. Mais la réponse n’est pas clairement affirmé, le film laisse le temps d’y réfléchir et de se forger une opinion sur cette question et bien d’autres comme : Quel est la meilleure attitude à suivre pour survivre sans nuire pour autant ? Que dois-je penser de ce conflit qui ne se limite pas aux troupes armées ? Est-ce normal que des enfants aient à subir ça ? Qu’est-ce que ce système de rationnement ?

Contrairement à l’anime, la nouvelle donne plus d’ampleur au déroulé de la guerre à travers les questions que se pose Seita comme si Nosaka Akiyuki avait voulu mettre en opposition la grandeur et la durée du désastre à la vie insignifiante et pourtant affectée de ce frère et de cette sœur. Dans un numéro du magazine Animerica, Nosaka décrit sa nouvelle comme un double-suicide ou ses deux personnages s’enferment dans une bulle sans se soucier de prendre le reste du monde pour ennemi.

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La nouvelle ne décroche pratiquement jamais de nos protagonistes, dépeignant leur vie aussi bien quand ils s’amusent que lorsque l’appétit se fait ressentir, lorsque Seita cherche des denrées mais aussi quand Setsuko profite de ses bonbons. Leur vie s’inscrit en décalage avec celle des autres : lorsque les habitants de Kobe partent s’abriter, Seita en profite pour visiter les champs. Lorsque leur oncle et leur cousine doivent travailler, ces derniers se baladent à la plage ou dessinent dans une pièce de la maison.

« …à Manchitani, quand ils allaient prendre leur bain chez des voisins à deux portes de chez la veuve, c’était toujours en dernier qu’ils passaient, dans l’obscurité du black-out – pas étonnant qu’ils ne se sentaient jamais propres – mais maintenant qu’il retrouvait sa soeur toute nue, il lui découvrait une blancheur de peau lui rappelant son père,  » Tiens, qu’est-ce qu’y fout çui-là ? Il dort ou quoi ? », près d’une digue basse, un cadavre à moitié recouvert d’une natte de paille laissait dépasser deux jambes démesurément grandes par rapport au reste du corps, « C’est pas la peine de r’garder ça… Tu sais, quand il fera un peu plus chaud, on pourra nager, tu verras, j’t’apprendrai… »

Seita protège sa sœur de toute ses forces, lui cachant la mort de sa mère pour éviter de la blesser et essayant coute que coute de répondre à ses besoins mais on comprend également que Seita a tout autant besoin d’elle. S’il ne fait pas forcément les meilleurs choix, sa sœur est celle qui le pousse à agir, par amour fraternel mais pas seulement. Toujours dans Animerica, Nosaka Akiyuki ne nie pas l’ambiguïté entre les deux : leur relation ressemblant à la fois à celle de deux amants mais aussi celle d’un parent et de son enfant. Alors que son auteur finira en maison de correction suite à l’un de ses vols, puis délivré par son père ; Seita trouvera la mort 1 mois après sa sœur alors que son père s’était évanoui dans un dernier espoir.

Si vous avez vu le film d’animation, passer par la nouvelle ne sera pas une perte de temps. Les deux s’apprécient différemment : le premier plus cruel vous résistera peut-être par le style si particulier de son auteur et la traduction de Patrick de Vos. Alternant entre langage familier et métaphores subtiles, certains passages sauront vous rester en tête. L’édition 2015 de Picquier Poche vous donne à voir une autre de ses œuvres : Les Algues d’Amérique dans lequel un japonais ayant vécu son enfance durant la second guerre mondiale se retrouve à accueillir des Américains qu’il méprise et estime avec ambiguïté.

Bref n’hésitez pas à sauter le pas peu importe le support, même après sa mort, l’héritage que nous laisse Nosaka Akiyuki est à forger dans nos mémoires.


 

Actualités Gundam France - Gundam The Origin : l’OST 3 en juin

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Le troisième OST de l’OVA Gundam The Origin, « Portrait 03 », sortira le 8 juin au Japon. Source : Gundam.info

Manga Mag - Ningyô no Kuni, nouveau one-shot de Tsutomu NIHEI (BLAME!)

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Ningyô no Kuni

Tsutomu NIHEI, mangaka de BLAME! et de Knights of Sidonia, est l’auteur d’un nouveau one-shot : Ningyô no Kuni. Cette histoire de science-fiction parait dans le numéro 23 du Weekly Young Magazine de Kôdansha. C’est la première fois, depuis dix ans, que l’artiste publie un titre dans le Young Magazine. Le dernier en date étant Biomega, qui a débuté dans le Young Magazine avant de …

Actualités Gundam France - Gundam The Origin III : Les 13 premières minutes disponibles

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Gundam.info a mis en ligne les treize premières minutes de l’épisode 3 de Gundam The Origin, intitulé « La Rébellion de l’Aube ». L’épisode 3 sera disponible en VOD à partir du 21 mai.

Manga Mag - Traduction de manga – Les professionnels ont la parole

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Traduction de manga : laissons parler les professionnels

La sortie d’un nouveau manga est une opportunité que certains saisissent assez souvent pour remettre un vieux dossier sur le devant de la scène : les traducteurs professionnels ne sont pas à la hauteur des séries qu’ils traduisent. En tout cas, c’est ce que le grand public semble penser comme on peut le voir avec les …

Journaldujapon - Rencontre avec Shunji IWAI, l’homme derrière « Hana & Alice mènent l’enquête »

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À la veille de la sortie dans les salles françaises de son nouveau long-métrage Hana & Alice mènent l'enquête, Journal Du Japon a rencontré le réalisateur Shunji IWAI ; l'occasion de revenir sur près de trente ans de carrière qui ont mené à ce nouveau film, son premier distribué en France.

Manga Mag - Le manga Tokyo Kaido de Minetarô MOCHIZUKI annoncé au Lézard Noir

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Tokyo Kaido

Le Lézard Noir a officialisé l’arrivée prochaine du manga Tokyo Kaido de Minetarô MOCHIZUKI (Dragon Head, Maiwai, Chiisakobe) à son catalogue. Titre en trois tomes fini, Tokyo Kaido fut pré-publié dans le magazine Morning de Kôdansha de 2008 à 2010. C’est l’œuvre que MOCHIZUKI a réalisé entre Maiwai et Chiisakobe. Si la date de parution du premier tome n’est pas encore arrêté par l’éditeur, …

Manga Mag - Un nouveau spin-off pour Fairy Tail, centré sur Laxus Dreyar

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Fairy Tail Gaiden: Raigô Issen

Le manga Fairy Tail de Hiro MASHIMA s’offre un nouveau spin-off avec Fairy Tail Gaiden: Raigô Issen par Kyôta SHIBANO (déjà auteur de Fairy Tail Gaiden: Road Knight et de Fairy Tail Gaiden: Kengami no Sôryû). Centré sur le personnage de Laxus Dreyar, le titre vient de débuter sa pré-publication dans l’application Magazine Pocket de Kodansha. Comme les deux précédents spin-offs, Raigô …

Néant Vert - L’inédit top 10 des tops 5 personnels

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On l’a déjà fait en 2010, on l’a refait en 2012 et on l’a re-refait puissance x5 pour le 900e billet, donc c’est une tradition bi-annuelle: les top 10 de top 5. C’est surtout un article léger et sans prise de tête, bien nécessaire dans une période avec une actualité chargée pour la pomme de votre serviteur.

A ce titre, Epitanime est dans deux semaines et si on excepte la venue d’un youtubeur faussement satiriste véritablement craignos – une initiative qui ne sera jamais vraiment renouvelée dans le cadre de cette conv, on l’espère très très très fort – , cette 23e édition s’annonce pas trop trop mal de ce que je peux constater niveau préparation. Comme vous vous en doutez, j’y serais comme d’habitude désormais présent en tant qu’associatif avec Thalie et, oh boy, on est chauds sur cette édition 2016. Près d’une vingtaine d’heures de jeux et cinq conférences au total, de jour comme de nuit. Le programme complet est par ici. 

J’emphase vraiment les conférences qui seront très variées: un débat qui s’annonce intéressant sur le fanservice, une explication concrète de comment sont diffusés les animés au Japon, une très belle présentation de l’animation japonaise indépendante, une table ronde sur l’évolution du jeu vidéo et les Prix Minorin 2015. Ca nous vient de toute l’asso puisque vous pouvez être rassurés si vous avez peur de saturer de ma tronche – ce que je comprendrais -: j’interviens uniquement dans les Minorin :D. A ce sujet j’ai fini d’enregistrer les votes hier, c’est 46 jurys qui ont rendus leurs voix et les résultats sont très intéressants. Beaucoup de très gros scores et d’unanimités sur certaines catégories, à voir maintenant comment le public va y réagir ! Rendez-vous donc le dimanche de 17 à 18h30 !

La pub étant faite, on y va ? Ah, attention: un des tops va être NSFW. Très très gentiment NSFW (y’a juste des tétons, CA VA), mais NSFW quand même.

10/ Le top 5 des séries très jeunes du Shonen Jump

Par « très jeunes », comprenez « qui sont là depuis maximum un an. »

5/ Yuragi-sou no Yuuna-san

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Yuragi-sou no Yuuna-san c’est le retour du Jump à des sources lointaines mais indissociables de son identité: la comédie érotique ou tout n’est que prétexte à fanservice et malentendus rigolos. Ici on a un héros qui est super doué pour voir les fantômes et les exorciser (avec son poing), qui cherche un endroit où crecher et PAF, il tombe sur cette chambre parfaite, située au beau milieu d’un onsen, qui vaut une bouchée de pain.  Spoiler qui n’en est pas un: la chambre est hantée. Spoiler qui n’en est vraiment pas un: le fantôme de la chambre est une jeune fille sexy et bien formée. Ils vont donc former un duo PLEIN DE LOL.

Je le met 5e mais uniquement parce que Mononofu, Lady Justice, Best Blue et Devilyman c’est encore moins intéressant. En vrai, c’est une comédie dans l’esprit To Love Trouble mais sans les tétons 1 et avec des personnages bien dessinés mais encore assez creux  dans leur personnalité. Pire: là ils viennent de se lancer dans un scénario sérieux à base de kidnapping et tout. JPP.

En gros, à lire en raw, sans traduction.

(Parce que l’auteur dessine bien.)

 

4/ Buddy Strike

175561Être KAITO dans le Shonen Jump, c’est une histoire compliquée. L’auteur (dont on ignore le sexe) avait déjà signé dans le magazine y’a presque cinq ans Cross Manage, un shonen sportif sur le… lacrosse. Le lacrosse féminin. Ok, c’est osé dans le Shonen Jump. Encore plus osé quand le héros n’est pas joueur mais manager de l’équipe. Toujours plus osé quand ça parle moins de sport que d’adolescence, de romance et de regrets. La série aurait du mourir 300 fois à cause de ventes médiocres et de popularité en berne mais a toujours échappé de peu l’annulation (souvent parce que y’avait cas plus désespérés ou grosses séries qui se terminaient en même temps.)

Du coup Cross Manage ça a duré contre toute attentes cinq tomes, et c’est un peu dommage parce que c’était super bien et on aurait aimé plus. Et, surtout, cette survie contre nature elle a du impacter le karma de l’auteur puisque Buddy Strike a commencé en novembre dernier… pour être annulé à peine trois mois plus tard. Au final y’a qu’un seul tome qui couvre l’intégralité de la série. Ce qui fait de Buddy Strike un des plus gros bides de l’histoire d’un magazine qui en a quand même compté pas mal.

C’est dommage parce que les trois premiers chapitres 2étaient intéressantes. Je suis pas fana de baseball, mais y’avait un duo intéressant de héros, avec un postulat assez fun (le héros est un lanceur trop puissant qu’aucun rattrapeur ne peut suivre tandis que le sidekick est ,justement, le meilleur rattrapeur au monde etc etc.) Bref, ça s’est vite cassé la gueule et ça m’énerve. Pourquoi ? Parce que Buddy Strike échoue alors que cette horreur de Mononofu est toujours en vie. C’est le genre de petites mesquineries mentales que je me permets.

3/ Kimetsu no Yaiba

cover

J’en ai déjà parlé y’a deux semaines mais du coup, Kimetsu no Yaiba c’est là aussi le retour du Jump à la formule d’un shonen d’action qui se veut un peu sombre et sans espoir. Monde un peu pourri situé dans un Japon féodal ou tu peux te faire buter par un démon un peu n’importe quand, avec un héros très fraichement orphelin dont la soeur est devenue démon, et qui va essayer de trouver un moyen 1/ de se venger 2/ de soigner sa fraternelle.

Ca marche vraiment bien pour pas mal de raisons: le style est original, s’offrant quelques pages particulièrement réussies et, surtout, ça suit l’école Hero Academia en allant vite. Quand le héros s’entraîne pour devenir plus fort, ça dure un chapitre. Quand il passe son examen de « demon hunter », ça dure trois chapitres et il se passe plein de crasses. On avance à grands pas et c’est très intéressant à suivre.

J’aimerais lui souhaiter une bonne continuation mais la série a une existence compliquée dans le Jump. Elle a jamais vraiment squattée le fond du sommaire mais fait des scores assez moyens dans un magazine qui va avoir du mal à trouver « pire » pour faire de la place pour les nouvelles séries. Enfin, j’espère que cette série survivra.

Et pas Mononofu.

2/ Samon the Summoner

5141706-02Ah j’aime bien.

Elle est la fille la plus pure et gentille de son lycée, loin d’être gogole, lui est un invocateur de démons qui cherche à corrompre la terre entière. Va alors commencer un grand combat de volontés puisque le garçon va donc faire chier la fille au maximum pour qu’elle montre son côté sombre et obscur.

On va rapidement rencontrer plein d’esprits funs et décontractés du slip, les plans du vilain Samon (c’est le nom du « héros ») seront souvent bien chtarbés et très progressivement on va switcher de la comédie pure à … de l’action-comédie qui accumule les références. Eh, Gintama se termine dans un an, faut préparer le terrain.

Le style visuel est un peu craqué, ça aide beaucoup à rentrer dans cet univers très excentrique. Je doute que ça sorte des frontières japonaises et ça serait dommage parce que c’est une lecture pas désagréable.

1/ Straighten Up: Welcome to Shika High’s Competitive Dance Club

51njTo4ggkLIl va avoir un an d’existence genre dans le courant de la semaine donc j’en profite maintenant ou jamais pour le mettre premier du top.

Parce que holala Straighten Up (ou Sesuji o Pin) c’est tellement bien. C’est par le dessinateur de feu Onani Master Kurosawa, un des meilleurs mangas amateurs jamais parvenu chez nous, ça parle d’un lycéen pas super assuré qui, lors de sa cérémonie d’entrée, assiste à une super représentation du club de danse. Motivé par ce qu’il a vu, il décide de follower ses dreams et part s’inscrire au club. Finalement, il sera le seul première année du club avec une autre jeune fille, au caractère similaire, et les deux zoziaux vont donc faire équipe pour se mettre à l’art technique de la compétition sportive de danse, sport qui se joue en couple !

De Onani Master Kurosawa 3, Yokota Takuma a sans pas mal gardé le conte sur l’adolescence que c’était pour en faire une version Shonen Jump friendly qui passe crème. C’est joli, mignon, drôle, bienvaillant, rempli de bons sentiments, les festivals de danse sont intenses, bref ça remonte le moral !

Je veux que cette série survive longtemps.

Et je la veux en France :v.

 

OH NON J’AI TROP PASSÉ DE TEMPS ET BEAUCOUP TROP ECRIT SUR CETTE ENTREE, C’EST PRESQUE UN ARTICLE A PART ENTIERE, JE VAIS ESSAYER D’ÊTRE PLUS CONCIS SUR LA SUITE.

9/ Le top 5 des JRPG lâchement abandonnés

5/ Resonance of Fate

C’était trop dur, j’en avais ras le cul, les personnages me faisaient pitié, dommage j’aimais bien le gameplay des combats mais non c’était trop dur, sérieux.

4/ Tales of the Abyss 3DS

J’ai jamais vraiment accroché et puis est arrivé le moment où je me suis mis à Kid Icarus Uprising et là c’était fini, désolé.

3/ Final Fantasy XIII

Je sais pas trop ce qu’il s’est passé. J’aimais bien l’univers et les personnages, seul le gameplay des combats me plaisait pas, l’histoire m’intéressait, j’y ai passé quelques nuits, je suis arrivé au chapitre 7 ou 8… Puis j’ai jamais repris. Pourquoi ? Je sais pas. Je le saurais jamais. Quand tu dépasses le point mental où tu te dis « à quoi bon reprendre, je ne saurais même plus comprendre un système de combat que je comprenais qu’a moitié avant », l’espoir est-il encore là ?

2/ Persona Q

C’est très très loin d’être un mauvais jeu mais, honnêtement, le gameplay à la Etrian Odyssey ne résonne pas trop chez moi. C’est même pas la difficulté du jeu qui m’a dégouté car le jeu reste plutôt juste et permet plein de stratégies brutales pour ses persos, juste le gameplay même. Qui n’a rien à vraiment se reprocher, si ce n’est que c’est juste pas ma came.

(Et l’ambiance un peu creepy du 3e monde m’a un peu fait lâcher.)

1/ Final Fantasy VIII

LE CD3 ETAIT RAYE, LE JEU MARCHAIT PLUS, JE KIFFAIS A DONF ;____;. Comme je l’ai emprunté à un pote j’ai même pas eu aller me plaindre à la boutique de jeu vidéo. Bouhouhou ;___;.

8/ Le top 5 des lieux récurrents de mes rêves

Mes rêves s’y déroulent tout le temps, aidez moi.

5/ « Japan Expo »

Je met ça entre guillemets parce que dans mes rêves « Japan Expo » peut se dérouler littéralement n’importe où. Dans un chateau ? C’est arrivé. Dans un parc des expositions qui ressemble à un hub de jeu de plates-formes avec plein de salles ou, par exemple, on y accède uniquement en traversant un plan d’eau à la nage ? C’est arrivé. Dans UN TRAIN ? C’est arrivé. Dans un hypermarché Carrefour, entre le marché fruits & légumes et les poissons ? Putain vous allez rire mais c’est arrivé. 

Points communs quel que soit le lieu: les activités de l’asso SONT PAS PRÊTES.

4/ « Amoville »

Vous connaissez le MCU avec tous ses personnages issus de films différents qui interagissent dans le même univers. Bah moi j’ai le même souci avec mes rêves parce qu’ils ont tendance à toujours se passer dans la même ville… qui n’existe que dans mes rêves. Je visite ainsi parfois fréquemment les mêmes boutiques, toujours situées dans les mêmes quartiers, les mêmes centres commerciaux. Y’a souvent des escaliers et des montées ombragées qui débouchent sur des places hyper modernes. Y’a un réseau de bus travaillé. Mais y’a vraiment beaucoup de montées.

3/ Mon lycée

C’est un classique mais putain je veux pas repasser mon bac JE L’AI DEJA VOUS COMPRENEZ CA FAUT QUE J’AILLE AU BOULOT, JE M’EN FOUS DES MATHS JE L’AI DEJA MON BAC ARRETEZ.

2/ Les maisons de mes grands parents

Je retrouve très souvent ces deux maisons dans mes rêveries, et c’est souvent assez lié à mon enfance. De mes deux couples de grands parents, l’un avait une maison au beau milieu de la campagne, avec un énorme terrain qui débouche sur une grosse rivière locale (la Laize, salut, Calvados représente.) Cette maison m’a toujours fascinée, elle me paraissait si grande quand j’étais gamin. Du coup dans mes rêves je lui rajoute des salles. Je suis souvent bien planqué dans la salle de télé ou je passais mon temps à jouer à des jeux, etc. Road trip vers l’enfance. Avec plus de fantômes parce que oui, j’ai toujours cru cette maison un peu hantée (ce qui m’a jamais empêché d’y passer les meilleures nuits de sommeil de ma vie.)

1/ Des trains

Je prends souvent le train dans mes rêves.

Pour ne pas dire quasi tout le temps.

Beaucoup de mes rêves tournent sur des trains que je vais louper / qui m’emmènent pas dans la bonne direction / ou je suis tout seul dedans. Je vois rarement le voyage même mais je suis souvent perdu dans l’avant ou l’après. Parfois le train voyage très loin, parfois c’est juste un simili RER. Et dans ce second cas je me retrouve souvent dans des gares de RER inconnues à devoir choisir entre cinq ou six lignes différentes.

Le train c’est très phallique donc mon psy potentiel pourrait me dire plein de choses… si il était freudien… ce qui est impossible parce que si j’ai un psy je voudrais absolument pas qu’il soit freudien.

7/ Le top 5 des gifs de Joshiraku

5/ tumblr_m8ynv2w2Im1qbyxr0o1_500

4/ Joshiraku03

3/ Joshiraku02

2/ tumblr_mi0lyjjtq91ry14qgo1_500

1/ Joshiraku01

6/ Le top 5 des animes que quand j’en parle je me dis « oh putain ça fait déjà X années que c’est sorti ??? »

5/ K-On!– Oh shit 7 ans mais de l’autre côté j’ai l’impression que K-On m’a accompagné toute ma vie.

Bon, pas littéralement. 

4/ Gatchaman Crowds – « Comme série très récente, Gatchaman Crowds c’est vraiment bien » « enfin ça a déjà trois ans » « comment ça » « bah été 2013 » « ça fait déjà trois ans ??? »

3/ Puella Magi Madoka Magica – OH PUTAIN CA FAIT DEJA CINQ ANS QUE C’EST SORTI ???

2/ Tengen Toppa Gurren Lagann – OH PUTAIN CA AURA DEJA DIX ANS L’ANNEE PROCHAINE ??? COMMENT CA SE FAIT QUE MIS A PART PANTY & STOCKING GAINAX A RIEN FAIT EN AUTANT DE TEMPS ?

1/ La Mélancolie de Suzumiya Haruhi – ATTENDS, TU VEUX DIRE QUE Y’A QUASIMENT AUTANT DE TEMPS ENTRE AUJOURD’HUI ET LA SORTIE DE HARUHI QU’ENTRE LA SORTIE DE HARUHI ET CELLE DE EVANGELION ??

 

5/ Le top 5 de mes cartes préférées dans Love Live: School Idol Festival

En totale non-objectivité

5/ Super Detective Hanayo-chan

LL01

4/ Rin la chevalier d’or du zodiaque

LL05

3/ Tranquille Eli

LL03

2/ Césarnayo

LL02

1/ Arsène Eli-pin

LL04

 

4/ Le top 5 des trucs que je kiffe dans Baten Kaitos

5/ Les décors du jeu

Non mais regardez moi ça:

Parnasse

Ou ça:

Church-Endmost-bethel1

Ou encore ça:

LfW463A

Se balader dans des supers décors, c’est quand même cool non.

4/ Le plot-twist de milieu de jeu

Je peux pas spoiler parce que même si ça fait dix ans, c’est un plot twist tellement ouf qu’il modifie toute ta perception du jeu si tu le connais. Mais disons que dans ce jeu tu contrôlais un « spectateur » et que c’était, très littéralement, un plot point. Moi en tout cas, ça m’avait retourné le cerveau à l’époque parce que j’étais jeune, insouciant et pas encore blasé de la vie.

3/ L’aspect méta de certaines cartes

Les cartes de bouffe qui pourrissent dans ton inventaire si tu les gardes trop longtemps dedans <3. Les cartes liées à certaines dates de ta Gamecube <3.  Les cartes qui font des références à d’autres jeux de Namco <3.

(J’ai néanmoins jamais cherché à toutes les collectionner, dieu m’en préserve.)

2/ La bande originale du jeu 

Genre Rumbling to the Earth. Ou The True Mirror. Ou Chaotic Dance. Ou Violent Storm. Ou To The End to The Journey to Gliterring Stars.

C’est à partir de ce jour là que je fais des rêves humides de Motoi Sakuraba 4

1/ Faire un combo de 1-2-3-4-5-6-7-8-9 sur la gueule du boss final et lui infliger quelques dizaines de milliers de dégats dès le second ou troisième tour de jeu.

TFW
TFW

Bonus si c’est une série de sorts de feu, et que t’as eu aucun eau pour annuler le groove.

3/ Le top 5 des Ranka

5/ JRPG Ranka

(Luca Trulyworth d'Ar Tonelico II. Et vous devriez voir la JRPG Sheryl.)
(Luca Trulyworth d’Ar Tonelico II. Et vous devriez voir la JRPG Sheryl.)

4/ Robo Ranka

Mira Yurizaki de Dimension W (J'avoue que moi aussi si je créeais un robot, je le baserais sur Ranka Lee.)
Mira Yurizaki de Dimension W (J’avoue que moi aussi si je créeais un robot, je le baserais sur Ranka Lee.)

3/ Sexy Ranka

Zessica Wong d'Aquarion EVOL (Bonus: doublée par Kana Hanazawa) (Double Bonus: c'est le même réalisateur que Macross F, de toute façon) (Illustration de Mueojisan)
Zessica Wong d’Aquarion EVOL (Bonus: doublée par Kana Hanazawa) (Illustration de Mueojisan)

2/ Delta Ranka

Freyja Wion de Macross Delta (Elle a les cheveux expressifs, la joie de vivre, un secret sale et elle va se faire piquer son amoureux à la fin, tout concorde !)
Freyja Wion de Macross Delta (Elle a les cheveux expressifs, la joie de vivre, un secret sale et elle va se faire piquer son amoureux à la fin, tout concorde !)

1/ Original Ranka

Ranka Lee de Macross F (Illustration de らりろ)
Ranka Lee de Macross F (Illustration de らりろ)

2/ Le top 5 de mes auteurs de H préférés du moment

OHLALA ATTENTION C’EST DU LEGEREMENT NSFW. 

Oui donc pas de Tony Taka parce que « du moment » et, eh, il a plus fait grand chose ces derniers temps. Please understand.

5/ Kantoku

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Je l’adore comme illustrateur mais là je découvre avec 3000 ans de retard son travail sur les jeux hentai your diary et Koi Suru Kanojo no Bukiyou na Butai et je suis plutôt fan. Surtout sur le second, le premier on sent qu’il est encore pas forcément à son niveau actuel (et puis y’a du lolicon donc je suis pas méga banané) tandis que le second il est on fire et ça se déroule au sein d’un club de théâtre donc je me sens concerné personnellement. Là j’apprends qu’un nouveau eroge est en préparation et qu’il est dessus, c’est cool, j’aime ce genre de bonnes nouvelles. C’est tellement 4930 fois qu’apprendre l’utilisation du 49-3.

4/ Nakajima Yuka

Nakajima

Ha Nakajima Yuka. La meuf, tranquille pépère, elle te sors deux doujins tous les deux mois comme si de rien n’était. Bon ces derniers temps elle est très centrée sur Kantai Collection mais je vais pas forcément trop m’en plaindre. J’aime bien sa petite habitude rigolote de faire en sorte de dessiner des personnages toujours un minimum habillé pendant l’acte. Ses personnages féminins ne sont jamais totalement nus. Une fois que vous avez remarqué ça vous pouvez lire les 106 (106 !) doujins qu’elle a produit et essayer de voir quel stratagème elle utilise à chaque fois pour ne pas faire de nudité totale.

Le méta.

3/ Shiwasu no Okina

SOO

 

Non mais Shiwasu no Okina, c’est une autre stratosphère.

La meuf elle fait des h-mangas depuis presque vingt ans et elle continue de taper du haut niveau à chaque fois avec une productivité assez ouf. Le dernier en date, « The School Trip to the Nudist Beach » est un bon exemple d’elle au meilleur de son art: une intrigue auquel on s’accroche tout le long de sept chapitres, avec une progression, un personnage masculin qui sert de bite sur pattes mais qui est un peu plus que ça, plein de jolies filles et une grande variété de situation.

C’est cool.

Pas aussi cool que le h-manga avec la bite qui se décroche mais cool néanmoins.

2/ Napata

Napatachan

J’ai toujours la même adoration qu’en décembre 2013 surtout que désormais est sorti son deuxième h-manga, Pandemonium. Bon si j’tétais un minimum objectif, je dirais que ses derniers chapitres en date sont pas tous très mémorables parce qu’elle y fait souvent preuve d’une certaine flemmardise dans les mises en situations mais tant pis, la sortie en Occident chez Fakku de Pandemonium se doit d’être célébré un minimum.

 

1/ Hamao

Hamaooo

Je sais pas comment je l’ai pas connu jusqu’ici mais j’ai découvert Hamao très récemment et je suis assez adoratif. Tous ses chapitres sont pas forcément bons mais quand il en fait un « bon » c’est juste « très très bon. » Puis voilà un auteur qui dédie beaucoup de ses pages à l’acte sacré des préléminaires, souvent dans une ambiance vanilla assez débauchée qui fait plaisir à voir.

En gros je suis ravi de voir qu’après 10 ans à scruter les sites de H, j’arrive encore à découvrir des nouveaux auteurs vachement à la bourre: quand on peut tout rattraper d’un coup, c’est plutôt sympa :’D.

1/ Le top 5 du F U T U R

QUELS SONT LES TRUCS QUE J’ATTENDS LE PLUS DANS LE FUTUR PROCHE

5/ Fire Emblem: Fates

Je le met que cinquième parce qu’il sort la semaine prochaine donc l’attente va pas être dure. Mais je sais d’avance que je vais y passer des heures et que ma 3DS va chauffer dans les transports comme au bon vieux temps. Je me fiche presque à moitié de l’intrigue, je veux juste faire des maps, reproduire mes persos pour avoir des supers enfants. Par contre je sais toujours pas quelle version je prends / je commence. C’est ce genre de doute qui a 10 jours de la sortie me rend plutôt triste.

4/ Love Live Sunshine

Je me sens incroyablement sale mais je me suis rendu compte que j’attendais pas mal l’animé Love Live Sunshine. J’aime déjà pas mal certain des personnages (Mari. Sa copine de 3eme année. Mari. La fille aux chevux argents. MARI.) et j’avoue que l’animé Love Live m’a quand même fait passer des bons moments donc j’ai envie de renouveler l’expérience. Puis ça va rafraîchir un peu nos guerres de waifus, c’est pas mal.

3/ Tokyo Summer Memories: FE

Alors je me retrouve à attendre un jeu Wii U. Pas mal. Mais j’avoue que toute la direction artistique du jeu me rend dingue et que j’ai envie de rebrancher la console pour l’occasion, histoire de me replonger dans un JRPG console comme au bon vieux temps. Peut-être pendant mes vacances d’été ? Eh, ça peut être cool comme programme (si seulement j’allais pas profiter de mes vacances pour… déménager.)

2/ Danganronpa V3

J’attends aussi l’anime Danganronpa 3 (ne serait-ce que pour avoir Sonia Nevermind en animé) mais, évidemment, le jeu est top priorité sur ma shopping list. Spike Chunsoft promet un jeu qui va casser les codes, qui va être différent et jouer avec nos attentes, on connaît maintenant bien les mecs, ça fait 3/4 ans qu’ils sont sur ce troisième volet et, avouons le, jusque là ils n’ont pas deçus (même avec Another Episode qui proposait une histoire vraiment ouf 5) Bref, tous les voyants sont au vert, ça sent la bonne hype récompensée moi je vous le dis.

1/ Persona 5

Moi sur les réseaux sociaux quand le jeu sortira en US/Europe:

Persona-5-Adieu-720x340

Non mais le jeu s’annonce dingue. Ce 4e trailer, lancé à grands efforts de marketing, est incroyable. L’interface, le design, l’histoire, les personnages, la bande son… TOUT a l’air fort. Maintenant allumez un cierge avec moi pour qu’il sorte sur PS3 au moins en version US, que j’aie pas à me racheter une énième console. 

Bref, j’ai peur quand septembre arrivera parce que ça sera sans doute dur d’échapper aux spoilers (faudra que je fasse du ménage dans ma timeline Tumblr) mais là pour le coup difficile de pas être à fond. A nouveau, la team Persona est une team qui n’a jamais deçue et quand on voit qu’ils déchirent même avec les spin-off les plus casse gueule 6 donc alors imaginez sur un projet qui doit être en gestation depuis genre cinq ans minimum.

Hâte <3.

 

Notes de bas de page: 

  1. Qui seront visibles dans les volumes reliés, ce qu’on espère très fort car une comédie érotique sans tétons c’est comme une soupe sans légumes, oui c’est à ce point sérieux
  2. Que j’ai pu lire grâce aux éditions numériques et anglaises du Shonen Jump US, qui s’assure de publier pendant trois chapitres toutes les nouvelles séries.
  3. Dispo en Français chez la team Noname, la série n’aura jamais de sortie occidentale « officielle » à cause de son statut de doujinshi et c’est rageant ;_;.
  4. Dans un train.
  5. Dommage que le gameplay suivait pas, LOL
  6. Persona 4 Dancing All Night est d’ailleurs vraiment bien pensé, vous devriez y jeter un doigt si vous aimez Persona 4 et les musical games.
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