J »ai joué au premier: c’était chiant à cause de son donjon de la mort te les brisant pour rien. L’histoire n’avait pas non plus quoique ce soit d’intéressant, j’ai laissé tomber.
J’ai ensuite commencé le deuxième (après 7 jeux): le système c’est bien amélioré rendant appréciable le fait d’apprendre en classe pour faire évoluer son perso. Par contre les donjons sont toujours chiants étant trop lent même si en contre partie ils ont amélioré l’appréciation des combats (t’as 7 ans qui sépare les deux jeux en même temps) et l’histoire est devenu encore plus clichée.
J’ai arrêté aussi. Si tu t’en fous de lire des développements de merde et passer du temps à marcher comme une limace alors tu peux y aller; c’est du bon. Autrement c’est difficilement supportable.
Le héros arrive dans une nouvelle ville, une nouvelle école. Il rencontre direct son amie d’enfance qui pourchasse un voleur, rentre dans le héros en exigeant des excuses, pique son vélo, tombe en roulant sur un caillou, monte sur le vélo que le héros a ensuite piqué à une pauvre fille pour la pourchasser puis détruit les deux vélos avec une magie ratée. Les deux se rendent compte qu’ils se connaissent et que le héros est l’étudiant transféré prévu (ça montre direct la directive du jeu).
Le but de l’école est de devenir un aventurier à la fin de la troisième année grâce à un entraînement et une nouvelle classe faisant s’aventurer les élèves dans un donjon exprès. Le héros faisait partie d’une école bien plus prestigieuse dont il a été renvoyé après avoir frappé le top de l’école étant le fiancé de la fille du principal.Iil a été sauvé par la principale actuelle de sa nouvelle école et peut continuer son chemin vers son rêve de retrouver son père disparu lors d’un voyage au travers de la brume séparant la terre nouvelle et le monde actuel.
A partir de là, c’est la school life. T’as deux riches deuxième plus grand chiffre de marchand d’arme se mêlant au héros à cause de sa précédente école, il se rebelle: ça continuera leur relation, les deux et 3 fans piquant le contenu de quelques coffres. T’as l’amie d’enfance aimant le héros. Une elfe aimant aussi le héros tu sais pas pourquoi. La senpai de la précédente école dont il a punché le fiancé le rencontre dans l’infirmerie puis joue les amoureux pour faire partir le dit fiancé étant plutôt tyrannique. S’ajoute encore une elfe qu’il rencontre dans un donjon abandonné lorsqu’il se retrouve piégé grâce aux riches (le hasard fait bien les choses). A côté se trouve pas mal de chara secondaire (7; 3 gars/4 filles).
Tu dois obtenir des unités pour réussir deux examens durant l’année en faisant des quêtes le samedi. A ce moment, tu peux inviter une héroïne et un chara secondaire. Ces deux apprécient plus le héros au travers des combats et events parsemant le donjon de base (sans quête). Au bout du chiffre atteignant le max, tu dois voir le chara à la fin du samedi pour obtenir un event le dimanche et passer au love level suivant.
Le jeu se déroule sous forme de semaine. Les 5 premiers jours; classes. Tu as 3 choix: aider le professeur, payer 100 ou 500. Plus tu payes, plus tu montes de stats et plus tu devras payer pour les classes suivantes. Les classes sont au nombre de 8, tu choisis quoi monter. Au début du jeu, tu peux choisir de placer des points dans 3 unités (cœur, corps, technique) correspondant à combien tu montes selon l’unité en relation de la stat.
Samedi; donjon. Le donjon est en 3d avec rencontre fixe. Là où c’est chiant, c’est qu’ils ont eu l’idée de cacher des coffres et ennemis. Tu dois t’arrêter pour les repérer grâce au point d’interrogation apparaissant à côté de toi si il y a quelque chose. Seulement, tu peux soit courir, soit marcher dans le donjon et il est impossible de repérer en courant. Et marcher; c’est lent.
Le dimanche, c’est sorti avec le chara ou rencontre avec x prof te montant une stat. Tu peux aller en ville ce qui monte ta classe (charisme, etc) mais il n’y a pas de stat correspondante donc, va savoir si c’est une blague ou si ça augmente les points obtenues chez les filles après les combats.
Il n’y a ensuite pas tant de level. Ces derniers étant rare et correspondant à la monter dans une classe (guerrier, scout, prêtre, mage). Lorsque tu gagnes d’un level, tu obtiens un coupon permettant de monter le level de la classe que tu veux. Les levels normaux servant à obtenir les quêtes (tu ne peux pas prendre celles au dessus de ton level actuel), ceux des classes sont là pour les techniques que tu peux apprendre et les équipements étant limités par classe et level.
Les techniques demandent des pages. Tu peux en avoir jusqu’à 20, chaque technique est une page voir plus selon le niveau de cette dernière. Les armes ont chacune une portée plus une durée avant qu’ils puissent attaquer ainsi qu’un temps de lag entre les actions. C’était pratique dans la comparaison avec l’équipement actuel et celui que l’on regarde, les deux toujours affichés ensemble.
Dès le premier Pastel Chime était présent les stats des différentes magies avec leur vitesse d’incantation, s’ajoute les points techniques et la difficulté de monter les HP et MP selon l’entraînement que l’on effectue. C’est vraiment sympa à faire bien que bon, c’est du foutage de gueule lorsque tu penses que le gars est censé avoir fait 2 ans de préparation et commence avec des stats aussi pourries ou encore les 2 filles l’aimant déjà à l’origine tout en ayant un niveau 1 ou 2 de cœurs au lieux d’être à quasi max dès le début.
Les phases de school life sont aussi bien chiantes avec du ni queue ni tête comme d’habitude. S’ajoute les events super pas intéressants tel que le héros rejetant l’elfe le collant parce qu’on le regarde bizarrement à cause de cette fille toujours autour alors que tu vois clairement que le gars est juste un mec normal limite rêvant qu’on l’approche comme ça et ne pouvant ainsi pas agir de manière aussi froide. Dans le genre, développement cliché: c’était féroce.
Système bon pour la plupart, reste pourri. C’est du typique AliceSoft. Le seul regret serait qu’à cette époque, ils arrivaient quand même à faire des histoires un peu mieux ce qui pouvait laisser de l’espoir en Pastel Chime Continue.
































