Chris†Diary - Trinity Seven

C’était affreux. Comme beaucoup de ces harem avec un faux scénario en fait.

Tu commences de manières sérieuse pendant la moitié du premier épisode, puis merde, le début est posé alors on fout plein de fille autour du héros et commence la school life avec happening intellectuel. Bien sûr, il fait bien en sorte de faire un héros semblant intelligent à certains moments pour montrer que c’est le héros quoi. Pas la peine d’être spécialement futé pour se rendre compte que ces tours de passe passe sont de la magie et rien de nécessitant une once de neurone en réalité.

Honnêtement, le gros problème était dans les happening. C’était juste tellement con.

Le héros se retrouve dans sa vie quotidienne avec son amie d’enfance. Il se rend compte que ce n’est pas celle avec qui il a passé toute sa vie et se souvient de la réalité. Une catastrophe magique ayant détruite sa ville et absorbée tous les habitants dont son amie d’enfance dans un soleil noir. Il a ordonné à un grimoire de lui rendre sa vie quotidienne ayant créé toute l’illusion lorsqu’une mage est venue pour stopper cette farce et tuer ou effacer les souvenirs du héros.

Il choisit de devenir mage pour ne pas oublier ce qu’il lui est arrivé et récupérer celle qu’il a perdu.

En gros, il devient mage pour récupérer la fille qu’il aime. Ca a l’air admirable. Ca ne l’est pas, tu t’en doutes. A partir de là, ça part en lovecome sans être drôle. Tu le sentais de loin avec les échanges de fous entre la fausse amie d’enfance et le héros: pelotage de seins accidentels, le dessin d’enfance accroché et la fille se demandant pourquoi c’est accroché alors qu’elle vient dans la pièce tous les jours… Le coup de grâce est la mage venant éradiquer le monde virtuel du héros partant en rouge et se cachant le corps à une remarque légèrement (vraimentléger) harcèlement sexuel n’ayant rien à voir avec la situation actuelle.

Ce dernier doit apprendre la magie chez les meilleures de chaque domaine. Toutes des filles parce que merde, ça a à voir avec les émotions donc les filles sont plus sensibles et aptes à être mage (le héros étant plein d’émotions malgré qu’il soit un gars et les autres étant juste insensible, tu sais). Il apprend aussi que dalle, restant juste à côté de ces dernières jouant avec chacune d’elle comme si il tentait de gagner des points pour se créer un harem.

Entre les phrases faisant à peine référence au corps donnant à la professeur (de même âge) le visage rouge et autres réactions disproportionnées alors que c’est un peu la dame de glace avant que le héros vienne (tu fais exprès de discréditer ton manga dans tes propres settings ?), les gars enfermés avec comme par hasard toutes les filles voulant aller au toilette, le grimoire se faisant piéger dans un piège même pas piège tellement la situation est impossible. Dans tous ces events bien pensés, ils ont sorti une autre fille comme l’amie d’enfance du mec.

Et là, tu vois, le mec met au moins 30 secondes à capter que le visage; c’est le même! Heureusement qu’il a passé sa vie à côté sinon imagine, il aurait pu l’ignorer. Cette dernière est d’ailleurs la personne destinée qu’elle raconte, ils commencent une vie passionnante où ses attaques de vieux pervers ne marchent pas le rendant embarrassé derrière les réactions sans gêne de cette dernière. Rajoute d’autres filles arrivant pour l’attaquer.

Du très normal dans le domaine.

La définition de la magie de leur monde est ambigüe. Te filant des ninjas dans le tout. Le héros est normal avec des plans et une force niveau maou sans raison mais il est pervers faisant plein de coups comme le ferait un gros buveur de 40 ans le rendant faussement actif et il sort de quelques fausses pinch avec ses plans supposément astucieux le rendant mieux que la normal en apparence et surtout loin de l’image de quelqu’un cherchant à récupérer la fille qu’il aime.

Le reste, il se passe que dalle. Ce n’est pas drôle, ça n’a pas d’intérêt. Tu prends une lovecome dans une école simple, c’est plus recherché et amusant que Trinity Seven.