Quantcast
Channel: Nanami.fr - flux général
Viewing all articles
Browse latest Browse all 14946

Otakritik V2 - Petit bilan Otaku de la mi-année !

$
0
0

 

 

 

Nous sommes en Août et c’est l’occasion pour moi de revenir sur ce que j’ai pu lire, voir ou jouer au cours de ces six derniers mois… J’ai eu de mauvaises surprises, mais globalement je suis satisfait. Vous constaterez que ce bilan succinct est placé sous le signe de la nostalgie, car il n y a rien de vraiment récent à se mettre sous la dent. C’est aussi le moment pour moi de faire de petites review sur des titres intéressants qui n’auront peut-être pas d’article, faute de temps, d’envie et d’autre chose.

 

Anime

 

 

Fullmetal Alchemist Brotherhood (BONES, 2009)

J’en aurai bien mis du temps à voir cette adaptation… Je suis un fervent fan de ce qu’a fait Seiji Mizuchima à l’époque et j’avais adoré la conclusion inédite qu’il avait apportée à ce petit bijou d’animation. Mais force est de constater qu’en suivant le support originale, Brotherhood fait bien plus fort encore. Le studio Bones s’est gavé comme il faut niveau animation, les OST sont splendides… J’ai passé un excellent moment et je le recommande à ceux qui ne l’auraient pas encore vu.

 

 

Gun Frontier (AT-X/TV Tokyo Medianet, 2002)

 

Gun Frontier a fait l’objet d’un article sur ce blog, je ne vais donc pas revenir en long et en large dessus. J’ai aimé l’univers, mais le reste est à jeter à la poubelle.

 

Submarine Super 99 (Vega Ent, 2003)

En visionnant Gun Frontier, je m’étais dit que Leiji Matsumoto ne devait son succès qu’à ses œuvres liées à l’univers d’Albator et de Galaxy Express 999. Et bien… J’avais raison parce que Submarine Super 99 fait pâle figure face aux autres séries du maître. Est-ce une erreur de parcours ? L’histoire aurait pourtant pu être intéressante, mais tout va trop vite en 13 épisodes… qui souffrent d’une animation tout juste moyenne. C’est à peine mieux que Gun Frontier. Quid de l’imagination de Matsumoto ?

 

Scrapped + Princess ( BONES, 2003)

Ah, en voilà un anime qui m’a positivement surpris ! Pour l’anecdote, j’ai cru me suicider lorsque j’ai vu les rayures de mon CD 6, qui m’ont contraint à voir certains épisodes sur le net… Alors qu’il était sous Blister mon coffret. J’ai vraiment pas de chance des fois. Bref, le scénario sort quelque peu des sentiers battus habituels et les personnages sont cool à suivre. Sans être ultra original, Scrapped + Princess est rafraîchissant à suivre. L’animation est de bonne facture mais j’ai regretté la fin qui finit un peu trop gentiment, alors que le scénario annonçait quelque chose de nihiliste. Ils sont trop tendre au studio BONES !

 

Le vent se lève (Ghibli, 2013)

A sa sortie, j’avais été mitigé sur ce « dernier » Miyazaki. Mais plus le temps passe et plus je me remémore les meilleurs moments du film, à croire que je change d’avis comme de chemise. Je n’avais pas su apprécier à leurs justes valeurs les qualités de ce long métrage et je pense qu’un second  visionnage s’impose pour moi… Un au revoir en grandes pompes pour ce qui reste l’un des meilleur réalisateur.

 

Tales Of Symphonia  Tethe’alla (FRONTIER WORKS, 2009/2011)

J’avais vu il y a des années les OAV dans le monde de Sylvarant, je me suis donc décidé à poursuivre avec ceux de Tethealla. En 4 OAV, on voit que les moyens mis en œuvre sont énorme. L’animation est superbe, on prend une vraie petite claque visuelle ! Il faudra en revanche supporter le bâclage presque offensant de cette adaptation du jeu vidéo.

 

 

Mobil Suit Gundam ( Sunrise, 1979)

 

Si vous avez lu mon article, vous savez déjà tout le bien que je pense de cette série. Ce fut pour moi une excellente introduction à l’univers de Gundam et une bonne révision de mon anglais tout rouillé. On regrettera une animation qui a mal vieilli et un schéma des épisodes manichéen (Zeon Arrive, mais Amuro et le Gundam sont là, donc tout es bien qui finit bien). La seconde moitié de cet anime fait s’envoler l’œuvre entière : bien plus intéressante et passionnante, plus recherchée. Un vrai régal dans le traitement des protagonistes et dans ses thèmes.

 

Slayers Next (E.G. Film, 1996) + Film Slayers Return (J.C Staff, 1996)

 

La suite des aventures  de Lina Inverse m’a bien fait rire et c’est le but ! Alors non, ce n’est pas du tout l’œuvre du siècle, mais le fort capital sympathie de la série me charme à chaque fois. Ici, pas de grosses tensions, juste un gros délire vide cervelle jubilatoire. Le film est dans la même lignée que la série, quoi qu’un mieux soit constatable niveau animation.

 

Clannad After Story (Kyoto Animation, 2008)

J’avais vu la saison 1 il y a quelques temps de cela et j’en avais conservé un excellent souvenir. Cette suite rempile donc avec la même formule que la précédente, sauf que l’on y va très fort avec le tire-larmes… Et ce n’est pas un mal du tout, c’est du tout bon même. Il faudra quand même attendre la moitié de l’anime avant que l’histoire se concentre sur le couple Nagisa/Tomoya. L’attente vaut le coup d’œil !

 

Manga

 

Hokusaï, (Shotarô Ishinomori,1987)

Plus connu pour Cyborg 009 et Kamen Rider, l’œuvre de Ishinomori fait partie des références incontournables de l’univers manga. Je suis tombé sur Hokusaï à prix cassé dans ma librairie préférée et je me suis jeté dessus. Une petite merveille qui nous relate donc l’histoire vraie, bien que romancée, du célèbre peintre japonais. Un homme à femmes qui n’aura eu de cesse de repousser les limites de son art, quitte à s’appauvrir pour aiguiser son talent. Le style vieillot ne plaira pas à tout le monde, mais c’est un auteur incontournable.

 

Gantz (Hiroya Okû, 2000)

J’ai fini de lire Gantz cette année et quelle tristesse ! J’ai franchement aimé le dernier arc même si beaucoup ont trouvé la fin expéditive…  Je l’ai trouvé juste parfaite. Gantz, c’était une expérience unique que l’on ne retrouvera pas de sitôt dans le monde du manga. Plus d’informations dans mon article !

 

Bakuman ( Takeshi Obata et Tsukgumi Ohba, 2008)

Que dire de Bakuman, j’en ai encore une fois tout dit dans mon article sur le Journal du Japon… J’ai trouvé que les idylles des personnages alourdissaient le titre en règle générale. Sinon, il s’agit d’une parfaite plongée dans les coulisses du JUMP. Le tout reste encore une fois quelque peu romancé, mais se vut tout de même assez proche de la réalité. Les dessins et le découpage sont un régal, et quelques fulgurances scénaristiques viennent réveiller le lecteur à la fin.

 

Hajime No Ippo saison 1,2 et 3 ( Georges Morikawa, 1989)

Pour mon article au JDJ, je me suis retapé les deux premières saisons du manga + la troisième. C’est un vrai plaisir de lire Ippo, un manga qui sait constamment se renouveler. On demeure restreint à l’univers de la boxe, certes, mais il y a toujours un personnage ou un rebondissement pour tenir le lecteur en haleine. Les matchs deviennent de plus en plus spectaculaires et sanglant et l’arrivée de la nouvelle génération avec Itagaki n’annonce que des choses épiques.

 

Assasination Classroom (2012, Yusei Matsui)

Le shônen à la mode depuis septembre dernier. Je n’ai pas adhéré à l’univers, à l’humour. Je n’aime pas, je trouve cela très fade, déjà vu… Pour autant le dessin est dynamique et on suit les chapitres sans déplaisir. Mon avis par ici.

 

 

Kingdom Hearts 2 (Shiro Amano, 2006)

 

Ca, c’est mon pêché mignon…  Je sais que c’est naze, mais que voulez-vous, je suis un fanboy de la saga Kingdom Hearts depuis ses débuts. J’ai tout de cette série, de la PS2 à la PS3. J’ai des figurines, le artbook, des goodies et bien évidemment le manga. C’est une bonne revisite du jeu original avec une touche d’humour appréciable. Le dessin est sympa mais les scènes d’action sont moches…

 

 

Parmi eux (Hisaya Nakajo, 1996)

Encore un manga qui a fait l’objet d’un article peu élogieux de ma part. Franchement, je ne comprends pas le succès autour de cette série aussi niaise que fade. Les héros ne sont pas recherchés une seconde, l’héroïne est typique au possible… Une horreur à éviter.

 

Amer Beton, (Taiyô Mtasumoto, 1993)

 

J’avais adoré Ping Pong de ce mangaka dont j’ai retrouvé ici le style et le découpage de malade. Les proportions sont folles, les thèmes sont exploités et explorés de fond en comble. Un Ovni dans l’univers des shônen, il fallait s’y attendre de la part de cet auteur. En à peine trois tomes, tout est dit et c’est juste parfait. Mon article.

 

Villa Cosmos (YAGAMI Yû  et ACHI Taro, 2001)

 

Du gros n’importe quoi complètement assumé, Villa Cosmos c’est des personages débiles qui sert un scénario qui l’est tout autant. Le dessin est très brouillant lors des « combats », mais il faut admettre que l’enchaînement des situations cocasses arrache forcément un sourire à la lecture.

 

 

No-Bra

 

Probablement l’un des plus mauvais manga que j’ai pu lire de toute ma chienne de vie. Le family Compo du pauvre ! Mon article.

 

Jeux Vidéo

 

 

Tales of Phantasia (Wolf Team, SNES 1995)

 

Un bon petit RPG à l’ancienne que j’ai laissé inachevé à contrecoeur à cause d’un terrible bug… La seule chose à regretter dans ce joli jeu SNES, c’est peut-être sa grande facilité. Aucun vrai défi ne s’impose sur les 30heures de jeu que j’ai pu faire, même si le système de combat  est un vrai bijou. Cette histoire de voyage dans le temps est aussi très plaisante à suivre.

 

 

Final Fantasy 12 ( Square Enix, PS2 2007)

 

Je ne comprendrai jamais la bouderie dont souffre Final Fantasy 12 alors qu’il est probablement l’un des meilleurs episodes de la saga. Epic, laissant au joueur presque toutes les commandes dans un monde ouvert ultra vaste, peut-être que c’est le manque de charisme des personnages qui explique le rejet des fans ? Il reste pourtant un RPG révolutionnaire dans son système de combat, alliant parfaitement action et tactique. Mon article.

 

 

Trilogie FF 13 (Square Enix, PS3, 2009/2011/2013)

 

J’ai globalement été mitigé sur cette trilogie. Le premier épisode met l’accent sur une narration efficace et un système de combat bien pensé mais qui mâche trop le travail au joueur. La claque visuelle est au rendez-vous, mais le jeu reste trop linéaire en dépit d’une histoire excellente. Le second volet rattrape les erreurs de son aîné avec des voyages dans le temps aboutissants sur des fins multiples, mais oublie des éléments essentiels de la saga (invocations ? Difficulté ?). Le troisième est un pied de nez à l’ensemble de l’œuvre de Sakaguchi : on joue à la 3ème personne et dans un temps limité. On ne monte de niveau qu’en réussisant des quêtes peu intéressantes… mais la conclusion en vaut la peine.

 

 

Revelations : Persona (ATLUS, PSP 2009)

 

Le chara-design est loin de la beauté des épisodes PS2, la vue à la première personne pour avancer est franchement ratée… Et pourtant, on se prend vite au jeu de la capture des monstres dans des décors similaires. L’ambiance rattrape les gros défauts du jeu et l’OST est une réussite, quoi que quelque peu redondante.

 

 

Naruto Shipuden  Ultimate Ninjas Generations (CyberConnect2, PS3 2012)

 

Si les aventures du célèbre ninja orange ont fini par me lasser, je dois admettre que je suis carrément fan de ce jeu. Il regroupe 72 personnages des deux générations du manga et c’est juste un gros kiff. Les combats sont magnifiques, l’animation est fluide, ça va très vite et on a quand même le temps d’apprécier la beauté des environnements. Du coup j’ai acheté le 1 et le 2 dont tout le monde me vante le mode histoire.

 

Infamous (Sucker Punch/PS3 2009)

 

Je me suis régalé dans ce monde-libre dévasté où je sautais de Building en building, où je planais, grimpais au mur…  C’es visuellement très beau et le scénario est excellent, digne des plus grands comics ! Le style graphique du jeu s’oriente d’ailleurs beaucoup là-dessus. Seul point négatif : il n y a pas de réel  influence sur l’histoire principale que l’on devienne bon ou méchant, en dehors de quelques variations.

 

Batman Arkham Assylum (Rocksteady studios/2009)

 

Bien que les couloirs se ressemblent, il faut reconnaître à ce Batman le juste dosage de son gameplay : tantôt jeu d’action, tantôt d’infiltration, on ne se lasse jamais grâce aux nombreux rebondissements du jeu.  On appréciera le doublage de qualité avec la voix VF du DA de Tim Burton, ainsi qu’une ambiance qui colle parfaitement à l’armure du chevalier noir… Ainsi donc s’achève mon premier bilan… Si cela vous plaît, j’en referai un autre pour décembre… Et vous alors, qu’avez vous lu, vu ? A quels jeux avez vous joué ? Bonne continuation tout le monde en tout cas !

 

 

 

 

 

 

 



Viewing all articles
Browse latest Browse all 14946