Vous vous attendiez à une meido démoniaque? Perdu! A la place, promo sur cette Myucel, une meido elfique très dévouée qui nous vient de la série Outbreak Company que je vous recommande chaudement. Cette Myucel donc est à seulement 1 500 Maid Points!

Dès le début avec le placement historique et la maid au milieu de pleins de garçons de haute famille : tu sens l’eroge avec son harem habituel.

Cela étant, il se débrouillait pas mal du tout. Ayant un air pompiste naturel chez les hauts placés, ça possédait son ambiance réaliste avec peu d’intrusions illogiques habituelles au genre. Au début seulement. Et vu que c’est deux épisodes de 40 minutes, le début c’était la première dizaine de minute. Même là, tu sentais qu’à certaines moments ils ont faisait un peu trop mais le pire est évidemment la suite.

Lorsque tous en viennent à aimer ton héroïne.

Ca commence par le martyre comme bien souvent

La scène prend place dans le manoir d’une des plus grande familles de l’époque (vers les 1912). L’héroïne, femme venue de la campagne, est embauchée en tant que maid grâce à quelqu’un mais elle est maladroite et finie par poser quelques problèmes tandis que les enfants de la tête familiale ne sont pas des tendres envers leurs employés.

Les traitant soit mal soit comme des employés n’ayant rien à voir avec eux, l’attitude de l’héroïne est trop normale envers eux. Comme si ils étaient à la même position. Ils ont beaux tous essayer de lui rappeler sa place, elle ne retient pas et fini par entrer dans leur cœur grâce à cette attitude, son naturel talent pour gaffer et le fait qu’elle n’abandonnera pas même après avoir été prise à part illogiquement par un des fils.

Bon, en réalité elle est plus sauvée qu’autre chose mais l’important est que l’autre pense qu’elle a de la volonté.

T'avais les visages qui font peur

L’histoire est que l’un des 10 fils est supposé hériter de la famille puisque la tête actuelle veut se retirer et demande à ses fils d’attirer sa curiosité pour obtenir l’héritage. M’enfin, ce n’est pas mis en avant non plus, ils s’inquiètent juste pour l’histoire de la fille pouvant éventuellement être mariée sans vraiment penser à l’héritage (note que bizarrement les employés sont présents lors des conférences familiales). Les personnages sont ensuite clichés et leur curiosité envers l’héroïne semble plus forcée qu’autre chose pour bon nombre vu la durée de l’épisode.

Evidemment, tu as aussi les personnages gentils soutenant l’héroïne dans le tas. Vraiment pas une once d’originalité.

Avec un semblant de plot à la fin

N’ayant rien de choquant, rien d’attirant. Juste ton plat moyen déjà mangé une centaine de fois.

La timide Nadeko revient chez Good Smile Company pour passer au format Nendoroid.

Après une figurine à l'échelle et une figma, il restait, à celle qui a été maudite par une camarade de classe et possédée par l'esprit-serpent, à recevoir sa version Super Deformed. Nadeko sera livrée avec trois visages et une bonne pelletée d'accesoires qui permettront de reproduire un large panel de situations présentes dans l'animé. Difficile de ne pas craquer devant son large sourire ensoleillé ou son attitude embarassée. Et ce qui est très intéressant avec cette Nendoroid de Nadeko, c'est qu'elle s'exprime beaucoup par les gestes. Avec toutes les mains et les bras qui seront inclus, vous pourrez réellement faire ressortir toute la quintessence moe de Nadeko. Enfin, autre gros atout de cette Nendoroid, c'est qu'un deuxième corps en position assise est compris dans la boîte. On peut vraiment dire que Good Smile Company n'a pas fait les choses à moitié. Moi qui ne possédait pas encore de Nadeko dans ma collection Bakemonogatari, cette Nendoroid comble mes attentes sur ce personnage attachant. Et vous, est-ce que vous craquerez pour son adorable frimousse ?

Nom: Sengoku Nadeko
Origine: Bakemonogatari
Éditeur: Good Smile Company
Sculpteurs: Nendoron, Shichibee
Dimension: 10cm
Sortie: Juin 2014
Prix: 3611¥ (26€)

© Ishin Nishio / Kodansha / Aniplex / Shaft

http://www.goodsmile.info/en/product/4215/Nendoroid+Nadeko+Sengoku.html

Hal est un film d’une heure.

Il n’y a pas vraiment de plaintes à en faire. Ou plutôt, il y en a bien mais une fois que l’on voit la fin tout s’emboite ce qui laisse comprendre pourquoi tel ou tel développement était nécessaire. Pour une romance, réussir à être aussi bon avec le peu de temps accordé fait de Hal un bon film. A condition de voir la fin.

Il faut dire que c’est pas mal cliché dans de nombreux moments et même cette fameuse fin, elle a beau être surprenante, en y réfléchissant c’est simple à trouver. Les séries du genre obéissant à une certaine pattern.

Un petit peu plus de temps aurait permis un meilleur épisode

Futur proche, un avion explose victime d’une possible attaque terroriste. Ainsi meurt l’un des membres du couple principal laissant l’autre sans raison de vivre.

La famille de la personne défunte décide alors d’envoyer son robot pour permettre à celle laissée de continuer à avancer. Ils font en sorte que ce soit le portrait craché de l’autre et l’envoie en ville où Hal rencontrera Kurumi et lui redonnera goût à la vie en s’occupant d’elle tous les jours. Grâce à sa persistance, ils deviendront de plus en plus proche et il finira par réussir à la faire sortir en tentant de réaliser les désirs du couple marqués sur les faces de rubik’s cubes.

On suit l’aventure à travers d’Hal tandis qu’il apprend aussi à découvrir le monde et le passé, la personnalité de celui qu’il est censé être.

Ca avait de l'ambiance à certains moments

Tu as déjà dû en voir du genre. La fille est supposée affaiblie, ne mangeant et ne sortant pas. Pourtant, elle a une apparence formidable, sort de temps en temps comme pour montrer sa présence et se dévoile alors de plus en plus devant Hal au fur et à mesure qu’il vient s’occuper d’elle. Tu sens même qu’ils vont un peu dans la facilité, la fille ne refusant rien lors des tentatives de ce dernier et se laissant faire dans bien des cas malgré certains signes où elle s’enferme. Répondant un peu trop facilement aux attentes de son entourage pour quelqu’un de supposé en déprime.

Elle ne fait que regarder des images du passé enregistré dans un appareil et permet à Hal de voir les images mais tu sens qu’elle manque d’histoire personnelle. Semblant plus raconter à travers l’image que son vécu. Lorsqu’elle parle du passé de Hal, tu remarques aussi qu’ils ne restent qu’à la surface sans vraiment entrer dans le sujet.

Plutôt que de la tristesse, c'était un air de tristesse

D’un autre côté, le pote d’Hal apparaissant vers les dernières minutes manque d’approfondissement. Il sert juste à la fin sans tenir en tant que personnage. Les autres personnages secondaires sont du mêmes niveau, étant ici et là sans pour autant qu’on ne sache quoique ce soit de la plupart. Une seule fait scintiller un semblant de passé sans vraiment entrer dedans. Un défaut né certainement dans le temps fixé par le film.

Quant au dernier point, ce serait concernant le final devenu complètement exagéré avec des effets spéciaux n’ayant absolument rien à faire dans la scène. Ca brisait une bonne partie des émotions apportés et le sens de réalité présent jusque là.

Hal ressemblait plus à un humain qu'à un robot par ailleurs

Honnêtement, ça repose peut-être trop sur la fin pour rebondir bien qu’effectivement elle vaut le coup.

Prévu au mois de mars, précommandez le Shadonia Magazine 9 dès maintenant si vous souhaitez le recevoir un peu avant sa sortie officielle !

Nous sommes encore en train de travailler sur le Shadonia Magazine 9, mais en raison de la tenue de notre stand à Made in Asia, nous avons décidé de lancer les précommandes un poil plus tôt. Nous avons décidé également de décaller la réception papier et la sortie officielle du magazine sur notre site internet afin de remercier les personnes qui nous soutiennent en se procurant le numéro.Ainsi, les personnes qui précommanderont cette neuvième édition recevront chez eux leur exemplaire fin février, début mars; la sortie du Shadonia Magazine 9étant quant à elle prévue pour le 15 mars.

Cette nouvelle édition sera un peu spéciale, car nous avons décidé de chambouler tout le sommaire pour vous proposer non pas un mais deux dossiers. L'un sera consacré au Wonder Festival Winter 2014 qui se tiendra dimanche, l'autre au monde de la figurine au Japon avec interviews et photos des locaux de Good Smile Company et Kotobukiya. Bien entendu, vous retrouverez vos previews et six reviews (dont celles d'Insane Black Rock Shooter de Good Smile Company, Melty d'Alter, Daisy de Kotobukiya et Sakura Haruno HQS de Tsume). Ce numéro ne comportera par contre pas de concours, car nous avons du, pour la première fois, utiliser les pages intérieures pour un petit bonus avec notamment une carte des boutiques intéressantes d'Akihabara (sur laquelle Shad' a bossé hier jusque trois heures du matin en faisant cette carte de A à Z…). Mais d'une manière ou d'une autre, nous tacherons d'organiser un petit quelque chose après Made in Asia pour se faire pardonner.

De plus, nous avons décidé de tester le système de précommande avec prix fixe. Ce dernier a été fixé à 6.90 € hors de frais de port. Nous avons du réhausser de quelques dizaines de centimes nos tarifs en raison de la hausse de TVA que notre imprimeur et de la Poste (merci à eux…).

Bref, vous l'aurez compris, ce numéro sera un peu spécial, mais nous tenions à coller à l'actualité en parlant du WF mais nous ne pouvions pas ne pas vous dévoiler le monde de la figurine au Japon ! Alors si vous souhaitez soutenir le projet et recevoir votre exemplaire, n'hésitez pas à pré-commander ce nouveau numéro dès à présent en vous rendant sur la boutique de Shadonia.

Il paraît que les jeux sans versions d’essai se vendent mieux… Que ce soit vrai ou non,  les démos sont l’occasion de tester des titres auxquels je n’aurais a priori pas prêté attention. Plutôt attiré par les jeux d’action, je passe facilement à coté de genres plus posés comme les god-games, ces simulations divines conférant aux joueurs de grands pouvoirs et de grandes responsabilités. La gestion de tout ces paramètres demande évidemment plus de temps de réflexion, ce qui impose un rythme plus posé pour anticiper les conséquences de nos actes. C’est très intéressant, mais ça ne parle pas trop à l’amateur d’actionfast-paced que je suis. Alors vous imaginez bien que s’il n’avait pas été possible d’essayer gratuitement quelques niveaux de From Dust, je n’aurais probablement jamais entendu parler du bébé d’Eric Chahi. Pour ceux d’entre vous n’ont pas connu les années 90, sachez qu’à l’époque on écoutait des boys bands et on jouait aux jeux de monsieur Chahi. En plus, l’absence de démo m’aurait vraiment fait zapper ce jeu parce que malgré le fait qu’il ait été produit par Ubisoft, il n’a pas jouit d’une couverture médiatique comparables aux grosses productions de la firme, et c’est dans un relatif anonymat qu’il sortit durant l’été 2011.

Dans From Dust le joueur incarne une divinité shamanique appelée « le Souffle ». Cet esprit de la nature doit aider des tribus primitives à s’implanter dans de nouveaux territoires. Pour ce faire, le joueur contrôle un curseur et peut aspirer et recracher de la matière. Par exemple, lorsqu’un cours d’eau bloque le chemin d’un vos pygmées, vous aurez le choix entre déplacer de la terre pour dévier la rivière, ou d’aspirer l’eau le temps que l’homme traverse. Évidemment, les situations deviennent de plus en plus complexes au fur et à mesure de la progression dans le jeu. De plus, les amateurs de défis tenteront non seulement d’aider les hommes mais aussi la faune et la flore. Il faudra alors veiller à ce que tout soit bien irrigué et éviter à tout prix les incendies. Heureusement une panoplie de pouvoirs magiques et de plantes spéciales est à la disposition du joueur. Ainsi tel Teri Moïse, il est possible de fendre les eaux et de s’amuser avec des buissons ardents. Chaque niveau évolue d’une manière unique à chaque fois, en effet si la configuration initiale est toujours la même, la carte se transforme rapidement sous l’action du moteur physique et des actions du joueur. Au final, From Dust est donc, au sens propre comme au figuré, un god game bac à sable.

Même si l’on y incarne un dieu, From Dust n’aborde pas vraiment de thématiques religieuses. Les hommes sont organisés en villages tribaux et leur seule préoccupation semble être de croître et de se multiplier. A vrai dire, si la survie des humains est un paramètre à prendre en compte pour éviter le gameover, c’est vraisemblablement la nature qui va progressivement attirer votre attention. Tout d’abord parce qu’elle représente votre seule menace, que ce soit sous la forme d’un raz-de-marée, d’une éruption volcanique ou d’un feu de brousse, mais aussi parce que le jeu développe progressivement un discours écologique intéressant. Plutôt que de ressasser un énième sermon moralisateur et maladroit, ce jeu propose une piste de réflexion sur la vie et son origine. From Dust nous explique qu’elle est le résultat d’un délicat mélange de forces primales. Cette thématique est en fait au cœur du système de jeu. Votre but est de répandre la vie dans chaque niveau. Pour ce faire il faudra éviter que des catastrophes naturelles ne viennent faire le ménage par le vide. Cependant, le joueur apprend petit à petit à canaliser ces éléments destructeurs. Un volcan menace avec son magma incandescent?  Utilisez donc cette lave pour créer des îles artificielles sur lesquelles vos hommes iront prospérer. Des pluies torrentielles s’apprêtent à noyer vos pygmées? Mettez les à l’abri sur une dune géante et toute cette eau fera germer une jungle luxuriante.

On dit que la première impression est celle qui perdure. A ce petit jeu, From Dust s’en sort plutôt bien grâce à de jolis graphismes. Sans être une claque technique, le jeu propose des effets de fluides très crédibles. Ainsi l’eau s’écoule et fait des vagues en affichant des effets de transparence et d’écume. Le sable quant à lui, s’amasse en dunes et génère une poussière qui se disperse au grès des vents. Enfin, la lave dégouline plus lentement et son éclats disparaît au fur et à mesure qu’elle se solidifie.
En outre, l’esthétique tribale de ce jeu est réussie car elle a le bon goût de reste sobre et discrète. A l’image des totems autour desquels les villages sont bâtis, les formes sont épurées de pomme de terre et les couleurs unies. Par ailleurs une ambiance envoutante s’instaure aussi grâce aux thèmes musicaux. Ici on retrouve beaucoup de percussions et d’instruments à vents. Elles sont bien chouettes mais on soulignera surtout la performance du didgeridoo qui réussi l’exploit de faire de la musique à partir de sons à mi-chemin entre le beat box et le pet au cassoulet.

From Dust est une réussite grâce à son gameplay accessible. Il ne cherche pas à embrouiller le joueur avec des mécaniques complexes. A la place, il vous colle dans un bac à sable high tech et vous laisse exprimer votre imagination. C’est pas parfait pour autant et certains râleront devant les détours que l’IA fait prendre aux villageois, tandis que d’autres n’accrocheront pas plus que ça et se lasseront. Mais durant la dizaine d’heures durant lesquelles vous ferez mumuse avec le moteur physique, ce jouet vidéo vous titillera la rétine grâce à une esthétique travaillée et un moteur graphique qui vieillit plutôt bien pour l’instant. Qui plus est, l’esthétique et les choix de design donnent au jeu touche d’originalité nécessaire pour se démarquer de prédécesseurs tels que Wetrix.
Nous ne sommes donc pas en présence d’un classique, mais il serait cependant dommage de ranger From Dust au placard alors que le god game est un genre qui se fait si rare de nos jours. Je vous recommanderai donc d’essayer la démo car avec un peu de chance vous accrocherez comme je l’ai fait.

Marco, commandant de la première division de l'équipage de Barbe Blanche, revient se faire tirer le portrait chez MegaHouse. 

C'est en 2011 que Marco reçut, pour la première fois, l'insigne honneur de rejoindre la célèbre gamme des Portrait of Pirates. En découla une figurine plutôt réussie mais pas parfaite. Il subsistait en effet au sein des afficionado de cette gamme, comme un goût d'inachevé sur ce personnage. MegaHouse tente probablement, avec cette nouvelle version, de faire taire ce sentiment mitigé. Nous retrouvons donc Marco dans une pose plus travaillée et mettant bien plus en avant ses pouvoirs Zoan, Marco ayant ingurgité le fruit du démon Tori Tori No Mi, lui conférant la puissance du mythique Phoenix. La réalisation générale est impeccable, le visage de Marco est expressif, lui donnant un air cool et sûr de lui. Il faut bien dire qu'il impressionne quand même pas mal avec toutes ces flammes le long du corps. Sous certains angles, la pose très agressive de Marco en jette un max. On dirait qu'il va réellement fondre sur ses ennemis tel un oiseau. En somme je trouve cette version bien supérieure à la précédente, et elle ravira sans aucun doute les amateurs des Portrait of Pirates et les fans de One Piece.  

Dimension: 1/8ème (25cm)
Sortie: Juin 2014
Prix: 8800¥ (64€)​

© Eiichiro Oda / Shueisha Fuji TV / Toei Animation

Ce week-end, je suis rendu, comme tous les ans, au Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême. C’était le pied! Déjà, pour une fois il faisait relativement beau, les conférences étaient sympas, ainsi que les expos. Et puis il y avait le monde des bulles. Là où il y a les stands des éditeurs, là où il y a les dédicaces, là où il y a… des BD de partout… Donc forcément, des drames arrivent, et celui de cette année a été particulièrement violent…

Du coup, si moi j’ai passé un bon festival, mes économies n’ont clairement pas apprécié le séjour. Tant pis, je mangeais léger ce mois-ci ^^

Et rien que pour vos yeux, voici mon butin de cette année :

Ha et sinon, il y aura de nouvelles pages de Whisper in The Dark ce week end ^^ (je dis ça comme ça, en passant…)

La dernière Myucel s’étant bien vendue, nous avons préparé un second modèle équivalent, mais cette fois-ci avec ses pouvoirs magiques. Les détenteurs du premier modèle pourront acheter une upgrade pour une somme modique, pas d’inquiétude. Celle-ci est pour vous pour seulement 2 500 Maid Points !

Honnêtement, j’ai regardé avec une attente presque nulle connaissant les films Dragon Ball : ennemi super fort -> union des héros -> victoireétant le schéma typique.

Cependant, c’était légèrement différent. Non pas qu’ils aient changé le schéma pour autant; ça reste à peu près la même chose. C’est juste que le fait est que ça a mis du temps à être en marche, laissant même planer qu’il y a des hauteurs que l’union fait la force ne peut renverser, ajouté du goût.

Une petite touche de nouveauté on va dire.

Le fait que ça fasse vraiment partie de l'histoire de Dragon Ball joue aussi

Entre le dernier chapitre et l’avant-dernier, après que Buu ne soit vaincu tout en étant avant la fuite de Goku, est rajoutée cette aventure avec le dieu de la destruction.

C’est plus un évènement naturel qu’autre chose. Ce dieu se réveillant et commençant à détruire ce qu’il lui passe par la tête avant de repartir dormir quelques siècles. Cette fois, il a fini par se réveiller relativement peu de temps après sa dernière apparition, ayant demandé à son serviteur (?) de le lever plus tôt. Il a vu un de ses rêves prémonitoires concernant un super saiyan god et le cherche en commençant par celui ayant vaincu Frieza qui s’entrainait chez Kaio. Goku perdra, laissant place aux autres saiyan sur Terre connaissant ce god.

Vegeta comprendra rapidement qu’il ne fait pas le poids contre le dieu et il se retrouvera à prendre part à l’anniversaire de Bulma avec tous les invités.

Va savoir en quoi un footing chez Kaio s'appelle entraînement pour le super saiyan 3 qu'est Goku

Tout se passe plutôt bien grâce à la nourriture terrienne supposée développée (à croire que les aliens n’ont pas trouvé moyen d’avoir de la nourriture acceptable) et l’ambiance festive. On peut revoir pleins de personnages d’avant, particulièrement en fond, pas mal de têtes perdues font leur apparition. Sheron a aussi droit à son tour ainsi que Bilaf et ses deux acolytes (les gars du début de Dragon Ball) ont leur retour.

Puis arrivera le moment du combat. Une situation extrême n’ayant malheureusement pas été évité par manque de chance.

Demander de la nourriture à Buu ne fut pas une bonne idée

Les scènes de combats ont bien évoluée avec le temps, avec l’animation des auras et autres boules de la mort qui vont te détruire la planète. Magnifique, ça donne envie d’en voir plus; le combat étant court en soit puisque la plupart du film se passe justement en évitant le combat. Cela dit, il y a espérance à une suite. Le film n’annonçant pas une fin mais une extension du monde en introduisant un nombre de galaxie (7 il me semble) dans le monde et mettant notre dieu de la destruction en seulement le dieu d’une de ces galaxies.

Qui plus, le personnage le plus fort apparu durant le film ne se bat pas non plus. C’était un goût différent de ton film habituel et laissait beaux prospects.

M'enfin, pour supposer ne pas avoir d'aura, Goku tout rouge avec pleins d'aura ça montre pas trop l'exemple

Voici enfin les résultats du concours de janvier, consacré àReversal,de Kemuri Karakara aux éditions Doki-Doki.Trois tomes 1 étaient à gagner.

Ce mois-ci ce double concours blog / Facebook a reçu une trentaine de réponses complètes. Il semble que le titre enflamme moyennement les foules, mais en deux tomes ça vaut le coup de l’essayer ! Sinon à tous ceux qui trouvent ces concours trop difficiles ne désespérez pas, car certaines séries y sont récurrentes, donc n’hésitez pas à fouiller dans les concours précédents et leurs réponses, qui constituent de bons indices d’un mois sur l’autre !

Le tirage au sort a récompensé Christophe et Light, qui gagnent pour la première fois et Emilie m., qui l’emporte à nouveau après le concours Adekan en mai dernier. Bravo à eux et merci à tous les participants !

Pour ceux qui prennent ce concours en route, sachez que votre chance d’être tiré au sort augmente avec votre nombre de participations infructueuses. Quelqu’un qui aura participé 3 fois avec les bonnes réponses mais sans être tiré au sort les fois précédentes aura 3 fois plus de chance que quelqu’un qui tente sa chance pour la première fois. Les gagnants recevront bientôt un mail de confirmation, et pourront choisir de recevoir un tome 1 ou un tome 10. Quant aux autres merci beaucoup pour votre participation, retentez votre chance pour le concours de février

Et maintenant, place aux réponses. On commence avec les mots croisés :

Et voici maintenant les réponses du puzzle :

Rendez-vous en ce mois-ci pour le prochain concours, ce sera avec les éditions Ki-oon !

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L'héroïne de Bodacious Space Pirates est parée à l'abordage, et c'est chez MegaHouse que cela se passe.

Aperçue pour la première fois au Megahobby Expo Autumn 2013, il y a un peu plus de 2 mois, Katou Marika ne sera pas restée bien longtemps à l'abri du regard des collectionneurs. Elle nous est dévoilée aujourd'hui toutes de couleurs vêtue. Et on peut dire que de ce côté là on en prends plein les yeux. Les peintures sont vraiment très soignées et donnent beaucoup de cachet à cette réalisation, nous permettant d'observer la jolie richesse sculpturale de notre capitaine corsaire. Et nous redécouvrons avec plaisir la présentation originale de cette figurine, Marikaétant assise sur son socle maintenu à 45 degrés. Il représente l'emblème de son vaisseau pirate, le Bentenmaru. En somme, c'est une très belle exécution de la part de MegaHouse, et cette Katou Marika ravira sans l'ombre d'un doute les fans de la licence qui doivent en ce moment trépigner d'impatience, le film d'animation Abyss of Hyperspace sortant dans les salles obscures japonaises dans un peu plus de 2 semaines.

Nom: Katou Marika
Origine: Mouretsu Pirates: Abyss of Hyperspace
Éditeur: MegaHouse
Sculpteurs: abekoudai, Fenrir
Dimension: 1/8ème (23cm)
Sortie: Août 2014
Prix: 9800¥ (71€)

© Yuichi Sasamoto / Asahi Shimbun Publications / Bodacious Space Pirates the Movie Production Committee

Le personnage au nom androgyne de la licence Evangelion débarque chez FREEing : j'ai nommé Nagisa Kaworu.

Personnage très apprécié de la série Evangelion, Kaworu est adapté chez FREEing sous la tenue qu'il porte dans le troisième film d'Evangelion, intitulé Evangelion 3.0: You can (not) redo (ou Evangelion Shin Gekijouban Q). Kaworu prend une pose décontractrée et arbore un léger sourire. Les détails du plugsuit sont bien réalisés et la peinture a l'air plutôt propre. La figurine est clairement dirigé vers les fans du personnage et il faut dire qu'elle s'en sort plutôt pas mal. Alors, le charme de Kaworu vous fera-t-il craquer ?

Nom : Nagisa Kaworu
Origine : Evangelion Shin Gekijouban Q
Éditeur : FREEing
Sculpteur : Hiroshi (Sakurazensen)
Dimension : 1/8 (20 cm)
Sortie : Juin 2014
Prix : 8148 ¥ (59 €)

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© Khara

http://www.freeing.co.jp/products/140206_120000.html

La gamme ARTFX J de Kotobukiya s'agrandit avec l'arrivée de Yukimura Seiichi.

Issue de la licence Shin Tennis no Ouji-sama, Yukimura Seiichi obtient sa seconde PVC chez Kotobukiya, après celle de SEGA. On retrouve le personnage dans sa tenue de sport, plutôt bien réalisé avec un léger effet de vent, et tenant sa raquette dans la main droite et une balle de tennis dans la main gauche, prêt pour un match de tennis. Il sera d'ailleurs possible d'enlever la veste de ses épaules et de changer le visage de Seiichi : on aura le choix entre l'air concentré du personnage et un visage où il arbore un petit sourire. On notera tout de même que Seiichi a un air assez classe avec sa veste et en le regardant de profil. Le style de la figurine étant très éloigné de mes préférences, je passerai mon tour mais les fans de la licence pourront se satisfaire de cette figurine de bonne facture.

Nom : Yukimura Seiichi
Origine : Shin Tennis no Ouji-sama
Éditeur : Kotobukiya
Sculpteur : Tatsuya Hattori
Dimension : 1/8 (21,5 cm)
Sortie : Juillet 2014
Prix : 6800 ¥ (49 €)

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© Takeshi Konomi, ShueishaNAS, New The Prince of Tennis Project

http://main.kotobukiya.co.jp/sintenipri/yukimura.html

Aura, c’était censé être une histoire magique et le résultat est de la chuunibyou…

Dans le genre tu me brises mes espoirs en 5 minutes. Avec les développements prometteurs et autres ennuis, rien d’original dans ce film. Le seul élément qui sauvé l’intérêt se trouvait dans le héros qui est bien faible et cliché au final.

Par contre, il faut bien préciser que ça n’a pas grand-chose à voir avec l’autre série chuuni. Aura étant la phase réaliste du chuuni dans la société en légèrement exagéré on va dire. Ce n’est pas parce que tu es chuuni que tu auras la même aventure que décrite dans Aura, c’est juste que c’est une possibilité pas si négligeable qui existe.

Ca commençait avec de la magie

Le héros part chercher son manuel à l’école en pleine nuit comme dans bien des clichés (l’homme normal dormirait comme une masse sans s’en soucier) et découvre alors une fille mystérieuse lui parlant de magie. Ils vivent ensemble une courte aventure grâce au célèbre gardien surveillant les couloirs pile au bon moment, un brave type lorsque tu penses que la plupart ferait deux à trois tours la nuit. Puis tout se termine et le héros va demander à cette fille si ils peuvent continuer cette vie, elle lui donnera alors un objet.

Lendemain, elle apparait à l’école en tenue habituel, c’est-à-dire de magicien tout droit sorti d’un RPG et prétend que personne ne peut la voir grâce à sa barrière. Tout le monde réagit à sa venue et l’objet que le héros a reçu est un jouet. Entre la veille et ce jour, ses réactions envers la fille ont complètement changés et il tombe inconscient lorsqu’il se rend compte que tous les regards sont fixés sur lui suite à la venue de cette étrangeté.

Le professeur va après s’occuper de lui, demandant qu’il arrive à faire venir cette fille en classe : c’est celle toujours absente jusqu’à présent et si il n’obéit pas, il dévoile sa virée de nuit dans l’école et son passé de chuuni.

Avec secret écrit sur le dossier histoire que tu comprennes

C’est là qu’il va se retrouver pris entre les normaux (le top des normaux plus exactement) et les chuuni qui sont tous rassemblés dans sa classe grâce au professeur, va savoir comment il a compris qui était chuuni alors qu’ils se cachaient. Le héros avait bien des amis normaux mais ils sont tous partis avec ses nouveaux ennuis et il commence par protéger les chuuni sans vraiment le vouloir. C’est juste qu’ayant vécu la même expérience, il déteste les deux côtés.

Aura dessine le martyre impliquait chez ceux étant étranges sans véritable raison et la victimisation de nos chères victimes ne faisant pas la moindre action pour changer leur situation.

Pas étonnant que celui se dressant devant eux soit considéré en sauveur

Il réagi à tous les problèmes en renvoyant tout dans la gueule de celui censé martyriser. De façon naturelle, il répond. Sans changer d’expression parfois, c’était assez drôle à voir et charismatique il faut l’avouer. De même, son passé concernant la façon dont il s’est séparé de son déguisement (le chuuni comprenant très bien qu’il raconte que de la merde au fond) est totalement original. Poussant le domaine dans de nouvelles voies.

Par contre, ce qu’il doit arriver arrive : il fini par s’enfuir devant son passé comme un lâche alors qu’il était incroyable jusque là. Un élément faible du personnage que tu pouvais voir avant avec une autre fille qui l’intéresse juste parce qu’elle est kawaii (il semble) et vient lui parler de façon naturelle comme avant les ennuis malgré tout. Le truc étant qu’il n’a pas de véritable raison derrière cet intérêt, c’est comme tomber pour quelqu’un parce qu’il t’adresse la parole.

Qui plus est, le final est n’importe quoi avec l’habituel message de l’acceptation des chuuni alors que ce n’est en rien une bonne morale. Les gars eux même ne croyant pas à leur speech, jouant la comédie et voulant qu’on les prenne au sérieux comme si ils l’étaient.

L'art impossible. T'as limite envie de croire qu'elle dit la vérité sur la magie