Chris†Diary - Yondemasu yo, Azazel-san. Z

Encore une fois, avant de regarder Yondemasu yo, Azazel-san. Z, j’ai commencé par le Yondemasu yo, Azazel-san. sans Z.

Bien qu’un changement de rythme se fait sentir entre les deux saisons, ça restait fidèle en l’esprit avec très peu de changements. Il faut dire que le studio s’en occupant est le même, on ne pouvait s’attendre à grandes rénovations et c’est pour le mieux. La saison 2 vise après tout les fans de la première.

Etant la série assez particulière que c’est, ça doit être le seul chemin empruntable en y réfléchissant.

Yondemasu yo, Azazel-san. Z suit toujours notre assistante avec ses deux familiers que sont Azazel et Beelzebub, les deux démons.

Leur vie quotidienne au côté du boss de leur boîte de résolveur d’affaires, on rencontrera d’autres démons, d’autres problèmes. Certains évènements de la première saison trouvent une suite et l’humaine de la bande obtient une place plus importante en mettant la mains sur plus de familiers et de responsabilités.

Ca a beau être une comédie, ça reprend bien où ça s’était terminé.

Pour ceux ayant vu la première saison, c’est simple : c’était pareil.

Entre les blagues cochonnes avec Azazel, la merde de Beekzebub, leur boss super fort faisant peur tout le monde lorsqu’il est de mauvaise humeur, les démons avec un esprit et pouvoir ridicules malgré qu’ils sont censé être effrayant. La cadences des phrases/blagues rapides. Les développement foireux.

Sans oublier les fameux visages des personnages qui sont magnifiques. On sent un sens artistique chez l’auteur nous communiquons de façon honnête que de toute façon, du moment que les personnages principales tiennent la route, on s’en fout des autres.

On rajoutera à ça l’arrogant Azazel se faisant toujours ramener sur Terre. L’inutile Azazel ne servant vraiment à rien d’autres qu’animer la comédie. L’Azazel se faisant maltraité grâce en son comportement. etc, etc…

En somme, Azazel prenait vraiment le plus gros du tableau. Les autres n’étant pas des personnages aussi comiques que lui par nature, tu finis par te souvenir à peu près que de lui.

Constat mettant en avant un manque de présence des personnages. Azazel ayant trop d’importance cette fois-ci, c’est dommage et là bien la seule particularité de cette saison.

Il n’y a en plus pas grand-chose à dire. La série restant ce qu’elle était, la question de l’appréciation reste la même : Est-ce que l’on tolère le type de blagues sexuelle et sale utilisaient.

Yondemasu yo, Azazel-san. est une question de tolérance au final. Même sans aimer ce type de blague, l’on peu apprécier la série grâce à sa présentation réussie. A moins d’être vraiment offensif envers le genre, Yondemasu yo, Azazel-san. restera 10 minutes agréables ressortant des anime habituels.