Chris†Diary - Mangaka-san to Assistant-san to The Animation

Je ne vais pas prétendre que j’en attendais grand-chose non plus ce qui m’a empêchait d’en penser quoique ce soit.

Il faut dire que le contenu est vraiment passable de commentaire tellement il est simple et peu original. C’est juste un tas de blague perverses avec un idiot se faisant frapper bien souvent en tant qu’héros. Les autres personnages sont toutes des filles.

Sans pour autant en être mauvais, ça n’a pas le moindre élément intéressant.

Va savoir ce qu'elle cache avec sa main droite l'assistante

L’anime prend comme le titre l’indique le thème du mangaka dans sa pièce avec son assistant à côté. S’ajoute son éditeur comme tu t’en doutes plus d’autres assistantes venant plus rarement pour tu ne sais quelle raison.

Le mangaka s’occupe de dessiner des culottes dans son manga. Il est satisfait de pouvoir le faire et ne vise pas plus haut. C’est un pervers ne se gênant pas à le montrer aux gens souhaitant l’entendre et n’ayant pas de problème avec la lingerie. Se servant de l’excuse du matériel pour son œuvre. Il apparait pur bien souvent lorsqu’il s’amuse avec les filles l’entourant.

C'était le seul à avoir de la dynamique dans certaines scènes

Son originalité s’arrête là. Le reste étant ton basique pervers fantasmant sur pas mal de sujets, s’excitant seul, se cachant lorsqu’on trouve ses ero hon, ne pouvant rien faire seul, se laissant frapper par presque toutes et ne pouvant se rebeller.

Les autres personnages n’ont rien de passionnant non plus. Ne servant qu’à s’opposer à ses réactions pour créer le comique. Sauf, évidemment, celle étant de son côté. Fan de manga ecchi bizarrement et n’ayant aucun développement avec le héros malgré le fait qu’il soit pervers.

Du tout craché. Difficile de citer un élément en particulier tellement c’est normal.

On va forcer et dire que la plupart de l'action est dans la pièce de son appartement

L’épisode dure ~12 minutes. Certainement un moment de plaisir pour ceux aimant les blagues perverses déjà vues des centaines de fois (ou première pour les nouveaux). Plat pour les habitués ne trouvant rien de si intéressant dans ce type de perversité basique.

Non pas que je déteste le genre, il pourrait juste faire un effort. Des pervers comme lui, t’en vois des centaines. Notamment dans les eroge qui s’en servent comme héros. C’est le genre d’humour facile à prévoir. Si ça t’atteindrait, autant dire que tu n’arriveras jamais à te débrouiller entre toutes les œuvres le mettant en scène.