Oh, celui-là est un de ces jeux qui reste à l’esprit.
Le thème de base est intéressant et innovant. Il devient ennuyant lors du 2e chapitre qui ne sert à rien dans l’histoire tout en gardant son H magnifique complètement fidèle à la ligne du jeu. Ce dernier ne te donnera certainement pas envie d’ailleurs. Ils ont beau être biens les CGs, avec l’avancée de l’action ça part rapidement dans un dégout plus qu’autre chose.
Lorsque tu penses que certains se qualifient de hard avec du viole tout court, t’as l’impression que c’est du soft à côté de Fuka no Jugoku.
Le héros est un fou. Il a l’air normal même dans ses pensées, tout en ayant pleins de trous de mémoires. Au point où parfois oublier qui il est. Une fois dans la semaine, il se rend dans un hôpital spécialisé et voit ce docteur qu’il déteste. Un docteur le prenant de haut et l’effrayant.
Il y va en réalité pas aussi souvent au ça. Zappant le rendez-vous sans même s’en rendre compte. Oubliant le contenu de tout ce qu’il fait. La seule chose importante à ses yeux et sa mère toujours enfermée dans sa chambre à regarder leur arbre dans le jardin. Il travaille aussi tout en ne mentionnant jamais de quel travail il s’agit. Ne pensant pas que ses visites lui servent à quelque chose tout en les payant, il fini pas apprendre qu’il répète en réalité la même chose à chaque fois qu’il voit son docteur.
Ayant mentionné devoir trouver les bras et jambes de la mère sainte, il se fait à chaque fois violer par ce docteur et oublie tout. Se rappelant petit à petit grâce à cette dernière, il reprend son devoir de construction de la mère sainte.
L’idée du mec ne se souvenant de rien est très bonne. Le problème est son exécution. Le chapitre 2 étant un choix entre la voisine et deux enfants sauvées par le héros du mal traitement de leur mère, tu comprends rapidement qu’il ne sert à rien comme chapitre en réalité. Aucune utilité aussi bien dans le scénario que la tête de notre héros.
Le premier chapitre le fait avancer vers son chemin tandis que le troisième apporte sa conclusion. C’est long. Le troisième passe bien au début et à la fin, le milieu manque d’intérêt. Tandis que le premier ne se débrouille bien qu’au début et au tout dernier instant expliquant comment il se débarrasse de la direction du docteur.
Beaucoup de moments sans contenus. Tu peux carrément les passer en skip puisqu’il a beau y avoir pas mal de points douteux et hints : le héros ne bouge pas. Il ne fait quasiment rien.
Ca n’est pas non plus complètement vide tout en manquant gravement. Tu comprends même quels sont les rares moments valant le coup avec le CG ou backgroun présenté de sorte à stopper le skip juste lorsqu’il le faut. Le reste étant essentiellement du H.
A travers le H, tu comprends la pensé du héros. Honnêtement, même dans sa logique tordue certains moments étaient étranges. Tu pouvais sentir qu’ils essayaient d’en faire trop mais c’est assez rare en général. Sauf dans le chapitre 2 où le chapitre entier est une blague.
Le contenu du H lui même est du vrai gore. Entre les personnages devenant fous et s’amusant avec le penis seul puisque le corps est down, celle se faisant transpercer les pieds, les seins fondants, les déchargent électriques, les poissons carnivores dévorant sa victime, les arrachements des dents et surtout les excréments ou l’urine quasiment obligatoire. Ca entre bien dans le cadre du héros tout en ne donnant aucune envie et faisant pitié pour ses victimes qui n’ont pour la plupart rien fait.
Il y a bien des choix mais rien ne sauvant qui que ce soit. Même si elles sont libres, avec les pratiques subies elles perdent la tête. Même si tu prends un choix gentil, dans la tête du héros ça tourne complètement de travers.
Tu ressens vraiment qu’il a sa propre logique bien tordue.
La vérité de Fuka no Jugoku est intéressante. Difficile à prévoir complètement tout en étant vraiment simple à deviner si tu n’as pas besoin d’aller dans les détails, ils trainent juste trop pour donner la valeur de se taper tout ce H.
Honnêtement, le skip est ton ami. Je le conseil vivement et regrette de ne pas l’avoir utiliser autant qu’il le fallait.






























