Je viens de me rendre compte que j’ai une plus ou moins bonne image de Saboten en tant que compagnie. Créant des jeux ayant des systèmes intéressants et comiques tout en possédant des CGs de bon niveau (remarque que sur ce point, c’est plutôt difficile de trouver le contraire dans les jeux amusants).
La chose étant que je n’ai joué qu’à 3 jeux donc avoir un avis général à ce point a l’air un peu con. La firme sortant souvent des galge, le seul auquel j’ai touché avant Sex Idol 48!étant Oppai Majinden. D’où est-ce que j’ai bien pu avoir cette idée ressemblant à celle d’un habitué ? J’ai bien vu quelques images des autres et les ai en attente dans un fichier à part mais ça ne suffit pas vraiment à expliquer ne les ayant pas essayé.
D’ailleurs, j’ai beau avoir apprécié Sex Idol 48!, les deux autres n’étaient pas si bien. Surtout le troisième (Stella, sorti récemment) pas si passionnant que ça.
Le héros est un pauvre gars sans emploi. Il a terminé son lycée, est allé en ville et se fait avoir à chaque entretien d’embauche sans comprendre pourquoi. Il revient alors sur son passé, son paradis d’année lycéenne ou il a juste appris à devenir maître du H et se rend compte que ça ne lui sert pas tant que ça à présent.
C’est là qu’une femme se fait attaquer par des yakuza. Elle semble avoir une dette et le héros se bat contre les hommes pour la sauver de la situation. Il se fait évidemment écraser, la fille le remercie ayant obtenu un délai et le H commence. Elle choisi alors de le prendre producteur de son studio au vu de ses talents.
Son travail : trouver les filles ayant un fort potentiel d’idole et les subjuguer par un viole direct pour en faire des idoles.
Le jeu prend alors le système basé sur les battle fuck (première fois que j’use du terme mais c’est comme ça que les combats en H sont communément appelés). Le héros obtient une cible du genre : la fille qui vend des crêpes et il doit aller la trouver en traversant la ville pour commencer son plan d’attaque histoire de l’amener dans un coin sombre. Puis Battle Fuck.
Il y a une zone par cible, chaque zone ayant plusieurs filles en tant que rencontres aléatoires dont certaines plus rares (voir fortes) que d’autres. On peut les désactiver avec l’objet radar d’idole, les combats ne donnant pas d’expérience mais des points d’actions nécessaire pour entraîner tes idoles (H) ou les faire aller travailler (H). L’expérience (réputation) étant des points obtenus par le travail ou les lives des idoles tenus en fin de la 4e semaine dans le jeu. Une semaine étant un aller-retour entre zone-base ou lorsque l’on perd. Le cycle de 4 semaine étant la base de tour utilisée.
Plus le gars est réputé, plus il donne de point d’expérience à l’idole en l’entraînant et plus elle devient douée et rapporte de sous lors de son travail ou ses lives.
Les lives sont déroulés en tant que groupe. L’important pour leur succès étant l’accord entre les membres. Plus tu avances, plus le groupe peut s’agrandir.
Lors de la 2e semaine, après la deuxième cible, les yakuza viennent prendre leur argent. La somme augmente avec le temps, ça n’a pas de fin et si on n’a pas leur demande, ils piquent une fille pour toujours (bien qu’un npc laisse sentir une solution pour les ramener, je ne me suis pas fait avoir donc je ne sais pas). Les lives seuls sont plus que suffisant pour avoir cette dernière et les objets payant sont juste l’équipement plus les potions servant seulement à la fin. Se trouve ensuite leur travail individuel pour avoir plus d’argent mais ça ressemble plus à une perte de temps vu l’utilité d’avoir les poches remplies.
Certaines filles sont spéciales en le fait qu’elles sont dans x zone tout en ayant des capacités totalement au-dessus de leur compère en tant qu’idole et une fois toutes récupérés la dernière qui s’occupait de notre travail et est la plus forte devient disponible.

Même après la fin ils continuent de venir malgré le fait qu'ils aient bien dit que la dette était remboursée
Ca n’a déjà pas assez de logique comme ça et c’est encore pire une fois qu’on s’intéresse aux détails.
Les filles sont fortes sans avoir forcément de raison. Elles sont supposées fondre devant la technique du héros tout en finissant par H et aimer n’importe qui. Juste avec le H, elles deviennent meilleures en danse/chant et autres. Elles ont deux images pour les phases de dialogues : une normale, une idole. Le niveau où elles deviennent idole est différent selon la fille, au début ça ressemblait à la difficulté de la persuader puis on comprend qu’en fait non. Il n’y a pas de raison. A un moment, un gars se plaint même qu’on a que des idoles de campagne alors que dans le tas on avait encore mieux que celle pour qui il a accepté de signer entre autre.
Une histoire pas intéressante en soit consistant juste à rembourser la dette et devenir numéro 1 sans comprendre en quoi en est numéro 1 concrètement.

Leur expression change une fois qu'on touche leur point faible ou fini par avoir pris 80% de leur HP
Pour recruter les filles des rencontres aléatoires, il faut toucher leur point faible lors du combat. On a plusieurs type d’attaque dedans. Rien de bien brillant, pas la peine de passer du temps dessus.
Une fois obtenue, même sans être idole, on pouvait la retrouver sur des émissions de variété à la télé de la base avec d’autres de nos idoles. Une fois idole, on avait droit à un quizz sur la même télé pour pouvoir voir leur image de dialogue comme on veut si réussi. La question repose sur les propriétés de la fille avec réponse sur sa fiche personnelle mais tu n’es même pas obligé de vérifier puisque c’est assez facile si on omet quelques unes.
Il y a 3 H différent par idole : la leçon, le travail, les yakuza. Souvient toi juste de la base qui est l’éjaculation interne. Tous les H doivent finir comme ça. C’est la règle.
Il n’y a pas grande difficulté à jouer. C’est juste du piston jusqu’au milieu puis exploitation de leur faiblesse en se soignant de temps en temps.
Il est sympa de les rechercher et de monter leur stats en tant qu’idole. Bien que je n’ai pas aimé le H en dehors des leçons, ce n’est pas si mauvais. Le jeu n’est pas long non plus comme d’habitude. Juste de quoi passer quelque temps.





































