Chris†Diary - Witch Craft Works

Avec un titre pareil, t’espères voir quelque chose d’un minimum excitant, hein ? Sans avoir les yeux trop grands non plus, juste de l’action permettant de divertir sans trop se compliquer la vie avec des scénarios énormes.

Même ça n’est pas réalisé avec Witch Craft Works. C’était juste affreux. Donnant l’impression de te retrouver en lovecome avec du supposé action mélangé pour donner une bouilli infecte avec le côté lovecome à moitié respecté et l’action devenant du grand n’importe quoi pour être énorme tout en gardant le comique intact.

Honnêtement, ça faisait mal à voir.

Tu as deux types de sorcières : celle s’alignant avec le monde, vivant dans la société sans tenter de sortir du tas. Celle désirant le chaos, ne se cachant pas, n’utilisant la magie que pour leur propre désire.

Au milieu de leur guerre est le héros. Il semble qu’il ait quelque chose en son corps qui est nécessaire au camp des méchantes alors il se retrouve protéger sans rien comprendre par sa camarade de classe super populaire avec qui il pensait ne jamais avoir de point de liaison en ne faisant que maudire sa place à côté de cette dernière n’ayant rien de bon ne se passant à cause des fans toujours autour.

Elle lui annonce qu’elle se chargera de lui tandis que les méchantes sorcières vont se transférer dans sa classe et commencer les festivités.

Comme tu le comprends rapidement, Witch Craft Works prend le visage de la comédie avec le fameux coup du personnage adoré par tous les élèves sans raison. Là est l’héroïne, tous l’idole, surtout les filles mais autant le dire son école est constitué de 95% de filles bizarrement. Elle a une aura toute rose alors qu’elle a des proportions déformées et rien de si charmant avec bien sûr sa beauté et le fait qu’elle soit la fille de la directrice expliquant naturellement le fait qu’ils la vénèrent même si elle ne parle et ne fait que tenir devant eux tandis qu’ils racontent leur vie.

Le héros se prenant les coups de coudes des autres ou se faisant frapper à la moindre interaction. Voir des actions autant à sens unique te fait penser que ce serait ça le véritable amour au fond.

Passant alors aux combats. C’est simple, la règle d’or : ne cherche pas à comprendre.

T’as une scène le méchant qui meurt après pleins de coups de flamme puis la seconde d’après dans la même scène avec le même type de méchant se prenant toujours le même coup : one shot. Tu vois la fille brûler et le mec s’inquiétant, sauf qu’elle n’aura rien lors des prochaines attaques. Elle fait exploser ses flammes d’où elle veut tout en envoyant des boules de feu de temps en temps. Elle stoppe des balles avec sa cape. Le gars et les méchants sont toujours proches, voir dans les flammes, tout en ayant toujours zéro dégât. Les méchants apparaissent toujours en encerclant les gentils même si tu comprendras jamais comment ils font pour sortir même par derrière alors qu’il n’y avait rien 2 secondes plus tôt.

Personne ne sait non plus qu’il y a des sorcières malgré leur discrétion nulle lors des confrontations.

Pourquoi la directrice accepte les sorcière ennemis dans son école ? Les gentilles sont supposées protéger le héros mais au final seule une fille le fait est aussi étrange. Tandis que les méchantes étant le chaos faisant ce qu’elles veulent, on se demande comment elles font pour avoir une organisation. L’organisation étant le contraire même de leur définition.

Bref, autant le dire clair et net : Witch Craft Works est atroce. Ce n’est pas drôle, ni excitant. Ca foire sur tous les plans, que ce soit la comédie ou le combat.